Martigny

Martigny (en allemand : Martinach[3]) est une commune et une ville du canton du Valais, située dans le district de Martigny dont elle est le chef-lieu. Sise au coude du Rhône, au croisement des axes routiers du Grand-Saint-Bernard et du Simplon. Par sa population (20 210 habitants), Martigny est la deuxième ville du canton, après Sion[4].

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Martigny

Héraldique
Administration
Pays Suisse
Canton Valais
District Martigny
Localité(s) Chemin-Dessous, La Bâtiaz, La Verrerie, Le Guercet, Martigny-Bourg, Martigny-Ville, Charrat
Communes limitrophes Dorénaz, Vernayaz, Salvan, Martigny-Combe, Bovernier, Val de Bagnes, Fully, Saxon
Président(e) Anne-Laure Couchepin-Voullioz
NPA 1920
No OFS 6136
Démographie
Gentilé Martignerain, Martigneraine
Octodurien, Octodurienne
Bordillon, Bordillonne
Population
permanente
20 210 hab. (31 décembre 2019)
Densité 809 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 00″ nord, 7° 04′ 22″ est
Altitude 471 m
Superficie 24,97 km2
Divers
Langue Français
Localisation

Carte de la commune dans sa subdivision administrative.
Géolocalisation sur la carte : canton du Valais
Martigny
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Martigny
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Martigny
Liens
Site web www.martigny.ch
Sources
Référence population suisse[1]
Référence superficie suisse[2]

    Toponymie

    Le nom latin d'origine gauloise est Octodurus « les huit portes », graphie à finale latine -us sur la base du gaulois oxtu, huit. Cf. vieil irlandais ocht, tous du celtique octū / oxtū (voir aussi le nom de personne gaulois Octocnus) et duron, porte, forum, bourg. Cf. breton, gallois dor, porte[5], d'où le nom français alternatif d’« Octodure ».

    Le nom « Martigny », attesté pour la première fois au XIIe siècle, est un nom de domaine gallo-romain tardif composé du suffixe d'origine celtique -acum, dont la forme est précisément -ach ou -ich en zone germanophone et du nom de personne chrétien Martinus, il a pour équivalent les innombrables Martigny, Martigney, Martigné du Nord de la France et Martignac (Martinhac en occitan) du Sud.

    Il se pourrait qu'il s'agisse du nom de la villa rustica gallo-romaine de la banlieue de la ville romaine (le Forum Claudii Vallensium)[réf. nécessaire] où la première église romaine, qui sera remplacée par une cathédrale double puis par l'église paroissiale, a été construite. Un bourg, noyau de la Martigny moderne, s'y est formé. Les environs de l'église s'appelaient encore Granges de Martigny au XIXe siècle.

    Géographie et environnement

    Selon l'Office fédéral de la statistique (OFS), Martigny mesure 24,97 km2[2]. La ville de Martigny se situe dans la plaine du Rhône où celui-ci forme un coude. Elle fait partie du Bas-Valais et se trouve proche de la ville de Sion (capitale du Valais). Le hameau de Chemin-Dessous, intégré à Martigny, occupe le flanc nord du mont Chemin.

    Le relief encaissé de la commune et le régime des vents rend la ville et les milieux cultivés ou naturels voisins vulnérables aux nuisances par le bruit routier, la pollution routière et la pollution industrielle de l'air.
    Une pollution localement élevée de l'environnement et des vignobles par le fluor a notamment été constatée dans les années 1970[6],[7],[8].

    Parfois, des loups s'y promènent[9].

    Démographie

    Martigny compte 18 525 habitants fin 2016[10]. Sa densité de population atteint 741,9 hab./km2.

    Histoire

    Photo aérienne historique de Werner Friedli de 1949

    Oppidum ou vicus du peuple celte des Véragres sous le nom d'Octodurus, elle fut le théâtre de la bataille d'Octodure en 57-56 av. J.-C. entre la douzième légion romaine commandée par Servius Galba et les Véragres alliés aux Sédunes et aux Nantuates.

    Martigny, fouille du site romain par Albert Naef. Photographie Albert Naef, vers 1903-1906 (Archives cantonales vaudoises).

    Elle est incorporée à l'Empire romain. Claude y fonde vers 47 une cité romaine, le Forum Claudii Augusti, rapidement renommée en Forum Claudii Vallensium pour éviter la confusion avec la cité d'Aime appelée de la même manière, capitale des Alpes grées. Martigny fut le chef-lieu de la région jusqu'au déplacement du siège épiscopal à Sion au VIe siècle.

    Outre les nombreuses ruines romaines, dont des arènes romaines en bon état de conservation, la ville abrite une importante galerie, la Fondation Pierre-Gianadda, au rayonnement international, ainsi que le château de la Bâtiaz, construit au XIIIe siècle et dont le maître d'œuvre est sans doute l'évêque de Sion, Landry de Mont.

    Le 25 mai 1595, Martigny est touchée par une débâcle du Giétro[11],[12]. Selon les estimations, près de 140 personnes meurent durant cet évènement, la moitié issues de la paroisse martigneraine, et plusieurs centaines de bâtiments, maisons et chalets sont détruits dans le val de Bagnes et la plaine environnante.

    Le 16 juin 1818, la ville de Martigny est à nouveau frappée par une débâcle du Giétro[13],[14] . La crue arrive au niveau de Martigny vers 18 heures, seulement 15 minutes après la première alerte. La montée des eaux, estimée entre 2 et 5 mètres[15], obligent les habitants à se réfugier sur les pentes en hauteur du Mont-Chemin. En plus des victimes dans le val de Bagnes, la ville de Martigny compte environ 25 morts lors de la catastrophe.

    Suite à la crue, de nombreux édifices sont détruits[16],[12]. À Martigny, ce sont environ 80 habitations et immeubles qui sont perdus ainsi que l'usine Broccard. Martigny et sa plaine environnante enregistrent ainsi des dégâts à hauteur d'environ 600 000 francs suisses[17]. Les autorités et les familles bourgeoises profitent de la reconstruction des habitations pour lancer les prémices de la Place Centrale dès la fin de 1818[18],[19].

    La ville fusionna le avec Charrat, qui devint un quartier de Martigny[20].

    Économie

    • Plusieurs vergers donnant des abricots et, surtout, des vignes sur les pentes abruptes dominent la Dranse (un affluent du Rhône) sur le flanc ouest de la ville.
    • Activités touristiques, commerciales, et, dans une moindre mesure, administratives et industrielles.
    • Sur le plan scientifique, Martigny héberge le centre de recherche en informatique Idiap (Institut d'Intelligence Artificielle Perceptive), le CREM (Centre de recherches énergétiques et municipales) en génie énergétique, Debio R.P. branche de recherche pharmaceutique du groupe Debiopharm
    • Le Groupe mutuel (Compagnie d'assurance).
    • Martigny est aussi depuis 1889 le siège de la maison familiale Morand, lieu de distillation de la Williamine (eau-de-vie).
    • Depuis 1959, Martigny accueille chaque année en automne la Foire du Valais, anciennement « Comptoir de Martigny ». Au fil des ans, celle-ci s'est imposée comme la plus grande foire généraliste de Suisse romande.

    Politique

    Politiquement, la ville de Martigny est un fief historique du parti radical-démocratique dans le canton du Valais, canton lui-même plutôt dominé par le parti démocrate-chrétien.

    Les présidents

    Commerces le long de la place centrale de Martigny.
    Martigny-Ville, de 1834 à 1956
    • 1834-1837 : Eugène Gay ;
    • 1837-1841 : Joseph-Samuel Cropt ;
    • 1841-1843 : Eugène Gay ;
    • 1843-1848 : Valentin Morand ;
    • 1848-1850 : Joseph Morand ;
    • 1850-1853 : Joseph-Antoine Vouilloz ;
    • 1853-1858 : Valentin Morand ;
    • 1859-1860 : Alexis Gay ;
    • 1861-1864 : Valentin Morand ;
    • 1864 : Joseph Morand est élu, mais refuse la présidence ;
    • 1865-1868 : Louis Closuit ;
    • 1869-1874 : Charles Morand ;
    • 1875-1884 : Alexis Gay ;
    • 1885-1888 : Joseph Pillet ;
    • 1889-1900 : Alphonse Orsat ;
    • 1901-1905 : Louis Cropt ;
    • 1906-1918 : Georges Morand ;
    • 1918-1920 : Denis Orsat ;
    • 1921-1956 : Marc Morand ;

    Martigny-Ville réuni à la Bâtiaz, 1957-1964
    • 1957-1960 : Marc Morand ;
    • 1961-1964 : Edouard Morand ;

    Martigny (Ville + Bâtiaz + Bourg), dès 1965

    Culture

    Prix de la Ville de Martigny

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    Ce prix a été institué en 1966. Il a été décerné aux personnes et institutions suivantes : 1966 Maurice Chappaz, littérature. 1969 André Donnet, histoire. 1972 Antoine Fornage, sculpture. 1975 Raphaël Girard, ethnologie. 1978 Oscar et Michel Darbellay, photographie. 1981 Fondation Pro Octoduro, archéologie gallo-romaine, 1985 Paul Messerli, peinture. 1989 Adrien Pasquali, littérature. 1991 Léonard Pierre Closuit, protection du patrimoine. 1995 Fondation Louis-Moret, beaux-arts. 1998 Marie Gailland, peinture. 2001 Christophe Fellay, musique. 2004 Roland Vouilloz, comédie. 2007 Denis Rabaglia, cinéma. 2010 Léonard Gianadda, mécénat. 2014 Olivier Cavé, musique. 2018 Pierre Damay, folklore.

    Monuments

    • Eglise Notre-Dame de la Visitation, de style baroque, et son clocher le plus haut du Valais.
    • Chapelle de la Bâtiaz et ses ex-voto.
    • Eglise Saint-Michel de style contemporain.
    • Hôtel de Ville monumental avec la plus grande verrière de Suisse réalisée par Edmond Bille.
    • Manoir Ganioz, maison patricienne et centre d'expositions.
    • Amphithéâtre romain du Vivier.
    • Ruines romaines de la promenade archéologique et de la Fondation Pierre-Gianadda.
    • Villa romaine dite du Génie Domestique.
    • Tour de la Bâtiaz.
    • Pont de la Bâtiaz (le dernier pont en bois couvert et carrossable du Valais).
    • Le Mithraeum.
    • Villa romaine dite Minerva.
    • Le Tepidarium.

    Musées

    • La Fondation Pierre-Gianadda
      • Musée gallo-romain ;
      • Musée de l’automobile ;
      • Expositions, parc de sculptures ;
      • Le vieil arsenal.
    • La Fondation Pro Octoduro veille à la conservation et à la mise en valeur des vestiges du site gallo-romain de Forum Claudii Vallensium.
    • Le Musée des Sciences de la Terre (Fondation Tissières). Ce musée présente des expositions sur les sciences de la Terre. Trois étages d'exposition sont visitables :
      • le sous-sol où une mine grandeur nature a été reconstituée. Les visiteurs déambulent dans une galerie qui relate l'histoire des mines en Valais et où sont exposés de outils d'époque ;
      • le premier étage où sont exposés une collection de cristaux dont la plupart proviennent des Alpes ;
      • le deuxième étage est le théâtre des expositions temporaires.
    • Musée et chiens du Saint-Bernard : œuvres d'art et documents relatant l'histoire de la race Saint-Bernard, et chenil de la fondation Barry.
    • Fondation Louis-Moret : présente des expositions d'art contemporain, organise conférences et rencontres et accueille chaque année une saison musicale.
    • Manoir de Ville - Galerie d'expositions.
    • Fondation André-Guex-Joris : recherche, sauvegarde, conservation et mise en valeur de tout document sonore, musical ou parlé.
    • Musée de Plan-Cerisier (sur la commune de Martigny-Combe): le plus petit mayen de Suisse, il expose des objets traditionnels.
    • Le moulin Semblanet : représente parfaitement le type du « grand moulin » apparu en Europe dès le XVIIIe siècle.
    • La section de la Médiathèque Valais qui préserve le patrimoine audiovisuel valaisan.

    Salles de concert et festivals

    • Les Caves du Manoir. Cette salle, née en 1977, est la plus ancienne salle de concert du Valais qui n'est jamais été déplacée[21].
    • Le Windstock Festival. Créé en 2010, ce festival prône la diversité musicale en artistique en proposant à son public de découvrir tout un lot d'activités sur une seule journée. On peut ainsi y voir : un contest de Skate, des démonstrations de danses urbaines, des expos et performances d'arts visuels et une fin de soirée concert avec des groupes régionaux et internationaux.

    Transport

    Sports

    • Athlétisme: le CABV Martigny est fondé en 1970 avec actuellement plus de 300 membres. Il accueille les athlètes au stade d'Octodure qui partagent le site avec le club de football du FC Martigny-Sports. Le club organise chaque mois de novembre une course nommée Corrida d'Octodure ayant lieu dans les rues de la ville[22].
    • Baseball : Martigny Minotaures. Le club, fondé en 2008, participe au championnat de la LSRB depuis 2009 et de LNB depuis 2017.
    • Basket-ball : Martigny-Rhône Basket, dont les équipes évoluent en ligue nationale A féminine et en 1re ligue nationale masculine. Chez les filles, l'équipe de Martigny a été plusieurs fois championne de Suisse et victorieuse tant de la coupe de Suisse que de la coupe de la ligue, l'équipe de LNB masculine a été championne suisse durant l'année 2008/2009 ;
    • Boxe : Boxing Club D'Octodure à Martigny ainsi qu'a Martigny-Bourg
    • Cyclisme : Martigny a accueilli à plusieurs reprises des arrivées et départs d'étapes du Tour de Romandie (1952, 1953, 1957, 1959, 1962, 1965, 1981, 1996 et 2011) et des départs d'étape du Tour de Suisse. En 2009, Martigny a accueilli la deuxième journée de repos du Tour de France ainsi que le départ de la 16e étape en direction de Bourg-Saint-Maurice. Le Vélo-Club Excelsior, fondé en 1931, organise chaque année plusieurs épreuves nationales notamment le Prix des Vins Henri Valloton et la course de côte Martigny-Mauvoisin et en 2016 les Championnats de Suisse sur route
    • Échecs : Le CE Martigny évolue régulièrement entre la LNB et la ligue 2 (ligue 1 en 2018 sous le nom de Valais 1)[23]. Gérard Nuesch, l'un de ses membres a remporté en 2008 la seizième édition de l'Open international de Martigny devant plusieurs grands-maîtres et professionnels du jeu. Le CE Martigny a également été 10 fois d'affilée champion valaisan par équipes entre 2000 et aujourd'hui. En 2020, la pandémie de Covid-19 a fortement réduit l'activité du club.
    • Football : FC Martigny-Sports, qui évolue en première ligue (3e division). Les matchs à domicile ont lieu au Stade d'Octodure.
    • Hockey sur glace : HC Valais Martigny, qui joue en mysport ligue (3e division) ;
    • Lutte : la lutte joue un rôle important, grâce notamment à la famille Martinetti. En effet, les lutteurs Jimmy Martinetti, Étienne, Raphy, David, William, Lionel, Laurent et Grégory Martinetti possèdent un palmarès national et international riche de titres, podiums et diplômes (championnats suisses, championnats d'Europe, championnats du Monde et tournois internationaux de Coupe du Monde) dans tous les styles de lutte olympique (lutte libre et lutte gréco-romaine, 7 sélections olympiques comme athlètes (Jimmy : Mexico 1968, Munich 1972, Montréal 1976 et Moscou 1980//Étienne : Munich 1972//David : Barcelone 1992//Grégory : Sydney 2000), 4 couronnes fédérales en lutte suisse (lutte à la culotte) et des centaines de couronnes cantonales et régionales, avec le record national de couronnes (lutte suisse, Jeux nationaux, lutte gymnique) pour Étienne Martinetti (219). Grégory Martinetti est toujours en activité sur le plan national et international. Martigny a organisé les championnats du Monde de lutte libre et gréco-romaine en 1989, deux éditions Masters en 1997 et en 2001 et le tournoi international de sélection olympiques Swiss Grand Pri en 2008. Raphaël Martinetti est en outre président de la FILA[24] (Fédération internationale des luttes associées : environ 160 pays affiliés) depuis 2002.
    • Rallye automobile : Avec ses infrastructures, Martigny est le centre névralgique du Rallye international du Valais (RIV) créé en 1960.
    • Street-hockey : SHC Martigny, qui évolue en ligue nationale A.
    • Tennis de table : club CTT Martigny. Le club a été fondé en 1983. L'équipe principale, formée de Bertrand Veuthey, Gaspard Couchepin et Zoran Funjak, est rapidement montée dans les ligues pour atteindre en 1991 la ligue nationale. Le club a été à son plus haut niveau vers la fin des années 1990 lorsque l'équipe n°1 a été sacrée championne de ligue nationale B en 1997 et l'année suivante, l'équipe a manqué pour un set la promotion en ligue nationale A. Par la suite, le club de Martigny a réussi à maintenir une équipe en ligue nationale[25].
    • Volley-ball : VBC Martigny, dont l'équipe masculine évoluait en ligue nationale B pour la saison 2008/2009 et vient d'être promue en LNA mais n'y a pas participé pour des raisons financières [26];

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    1. « Population résidente permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, le sexe, l'état civil et le lieu de naissance, en 2019 », sur Office fédéral de la Statistique.
    2. « Statistique de la superficie 2004/09 : Données communales », sur Office fédéral de la Statistique (consulté le )
    3. Antoine-Augustin Bruzen de La Martinière, Le Grand Dictionnaire géographique et critique, t. 5, (lire en ligne).
    4. Le Valais en chiffres, 2013, p. 20-24
    5. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 156 et p. 245.
    6. SEDE S.A. (1974) Dispersion des polluants fluorés de l'usine d'aluminium de Martigny. Études météorologique
    7. Gilbert O.L (1973). The effect of Airborne Fluorides. In Ferry et Coll.
    8. Clerc P & Roh P.D (1979) Effets du fluor sur la végétation lichénique corticole autour de la région de Martigny (VS). Bulletin de la Murithienne, 96, 23-41.
    9. « Un loup se promène près de Martigny », Le Matin, (ISSN 1018-3736, lire en ligne, consulté le )
    10. « Situation de la commune Martigny au 31.12.2016 »
    11. Florence Naaim-Bouvet et Didier Richard, Les risques naturels en montagne, Versailles, Editions Quae, , 392 p. (ISBN 978-2-7592-2386-2, lire en ligne), p. 220-221
    12. Maurice Gabbud, « La débâcle de la Dranse », Le Confédéré, (lire en ligne)
    13. Vincent Gillioz, « Victimes de l’avancée des glaciers - Giétro, mémoire d’une débâcle », Les Alpes, (lire en ligne)
    14. Xavier Lambiel, « Le glacier qui terrorisait le Valais est à l’agonie », Le Temps, (lire en ligne)
    15. (en) C. Ancey, E. Bardou, M. Funk, M. Huss, M. A. Werder et T. Trewhela, « Hydraulic Reconstruction of the 1818 Giétro Glacial Lake Outburst Flood », Water Resources Research, (lire en ligne)
    16. Xavier Lambiel, « Le glacier qui terrorisait le Valais est à l’agonie », Le Temps, (lire en ligne)
    17. Le salaire journalier à cette époque est d'environ 1 franc suisse dans la région.
    18. Gaëtan Cassina, « Autour de la Place Centrale », Vieux Martigny, no 6, (lire en ligne)
    19. « La Place Centrale de Martigny : de sa création à nos jours », sur https://www.martigny.ch
    20. Olivier Rausis, « La fusion des communes de Martigny et Charrat acceptée à plus de 88 % par la population », sur https://www.lenouvelliste.ch, (consulté le )
    21. Les Caves du Manoir
    22. http://www.cabvmartigny.ch/02RubLeCABV/Presentation.aspx?Rub=Presentation.html
    23. Les échecs sont organisés comme le football en Suisse, et le jeu est reconnu comme discipline olympique par le CIO
    24. Site web de Fila
    25. http://www.cttmartigny.ch
    26. Le VBC Martigny se retire de LNA sur Rhône FM
    27. « Ville de Martigny :: Jumelages », sur www.martigny.ch (consulté le )
    28. « Vaison la Romaine, site officiel de la ville », sur www.vaison-la-romaine.com (consulté le )
    29. (de) « Stadt Sursee Online: Partnerstädte », sur www.sursee.ch (consulté le )

    Annexes

    Bibliographie

    • Farquet, Martigny : chroniques, sites et histoire, Ville de Martigny, , 405 p.
    • Édouard Morand, Martigny 1940-1990 : ce demi-siècle où tout a changé, Martigny, Pillet, .
    • François Wiblé, Martigny-la-Romaine, Martigny, Fondation Pierre-Gianadda, .

    Liens externes

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