La Ferté-Gaucher

La Ferté-Gaucher (prononcé [la fɛʁ.ˈe gɔ.ˈʃe]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir La Ferté (homonymie).

La Ferté-Gaucher

L'église Saint-Romain.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Morin
(siège)
Maire
Mandat
Michel Jozon
2020-2026
Code postal 77320
Code commune 77182
Démographie
Gentilé Fertois
Population
municipale
4 902 hab. (2018 )
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 03″ nord, 3° 18′ 29″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 188 m
Superficie 17,32 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine La Ferté-Gaucher
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Ferté-Gaucher
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Liens
Site web la-ferte-gaucher.org

    Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 4 902 habitants.

    Géographie

    D'une superficie de 1 732 hectares[1], la commune se situe en Brie dans la vallée du Grand Morin, à 80 km à l'est de Paris, à 20 km de Coulommiers et 30 km de Provins[Carte 1].

    Elle est traversée par la route départementale 934 (ancienne route nationale 34). Une gare sur la ligne de Gretz-Armainvilliers à Sézanne la reliait à Coulommiers, puis Paris (gare de Paris-Est) via Tournan. Cette ligne n'est plus desservie et est désormais à l'état d'abandon.

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose de onze cours d'eau référencés :

    • la rivière le Grand Morin, longue de 118,2 km dont 2,71 km à la commune[2],[3], affluent en rive gauche de la Marne, ainsi que :
      • un bras de 0,4 km[4] ;
      • un bras de 0,4 km[5] ;
      • un bras de 0,4 km[6] ;
      • un bras de 0,2 km[7] ;
    • le ru de Chambrun (ou ru du Vallot), 7,1 km[8], affluent du Grand Morin ;
      • le ru de Chaudron, 3,7 km[9] affluent du ru de Chambrun ;
        • le ru de Trubart, 1,9 km[10] (dont 0,748 km à la commune) qui conflue avec le ru de Chaudron ;
    • le ru de Saint-Mars (ou ru de Vauvard ), 6,9 km[11], qui conflue avec un bras du Grand Morin (F6535101) ;
      • le fossé 01 du Bois Solvet, 1,5 km[12] qui conflue avec le ru de Saint-Mars ;
      • le ru des Granges, 1,5 km[13] qui conflue avec le ru de Saint-Mars.

    La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 16,04 km[14].

    Le , le ru des Cordelins[réf. nécessaire] a inondé le rez-de-chaussée des classes du collège Jean Campin (730 élèves en 2018)[15],[16]. Pire, le , le ru a détruit partiellement le pont rue Robert Legraverend à côté du collège[17] et inondé d'un mètre d'eau tout le collège[18]. Le collège se trouve sans internet ni téléphone[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    La Ferté-Gaucher est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Ferté-Gaucher, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[25] et 6 956 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 133 lieux-dits administratifs répertoriés[30].

    Occupation des sols

    En 2018[31], le territoire de la commune se répartit[Note 3] en 74,6 % de terres arables, 9 % de zones urbanisées, 4,3 % de prairies, 3,9 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 3,6 % de forêts, 2,6 % d’espaces verts artificialisés non agricoles et 2 % de zones agricoles hétérogènes[Note 4] -[14].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 2 359 dont 45,4 % de maisons et 53,5 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 85,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 12,3 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 40,2 % contre 58,5 % de locataires[32] -[Note 5], dont 25 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et 1,3 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Firmitas Galcherii en 1112[33] ; Firmitas Gauceri en 1170[34] ; Firmitas Galcheri en 1171[35] ; Feritas Gaucherii en 1177[36] ; Firmitas Walcherii en 1179[37] ; Firmitas Gaucheri en 1198[38] ; Feritas en 1201[39] ; La Ferté Gauchier vers 1222 (Livre des vassaux)[40] ; Firmitas Gauchier en 1228[41] ; Firmitas en 1255[42] ; La Fertey Gauchier en 1263[43] ; La Fermeté Gaucier en 1265[44] ; A. de Firmitate Walcheri au XIIIe siècle[45] ; La Fertel Gaulcher en 1508[38] ; La Ferté Gauché en 1736[46].

    La Ferté-Gaucher a pris le nom de son fondateur. « Lieu fortifié », de l'oïl ferté (forteresse) et du nom germanique Galcherius[47], propriétaire de grands domaines en Brie.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de La Ferté sur Morin en l'an III[48],[49].

    Histoire

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    Antiquité

    Le territoire communal est un lieu de passage important depuis l'Antiquité. La voie gallo-romaine dite Chemin Paré reliant les anciennes cités d'Augustobona et de Iantinum passe sur le plateau au-dessus de la ville actuelle. Elle arrive du sud en passant à Saint-Mars-en-Brie, tourne vers l'ouest et franchit le ru de la Michée au pont des Romains. Elle suit ensuite le rebord sud de la vallée du Grand Morin vers l'ouest en reprenant en partie le tracé de la route départementale 934 à Jouy-sur-Morin et Saint-Rémy-la-Vanne puis en s'en écartant quelque peu au nord à Saint-Siméon et au sud à Chailly-en-Brie où elle rejoint la Via Agrippa de l'Océan. Ce Chemin Paré rejoint ensuite l'autre Chemin Paré venu de Melodunum à Saint-Augustin avant de franchir le Grand Morin à Pommeuse et rejoindre l'actuelle ville de Meaux.

    Fondation de la ville

    Un seigneur de la Cour, nommé Gaucher, devenu possesseur de grands domaines, fait bâtir une ville au milieu de ses terres et l'appelle Fort de Gaucher, actuellement La Ferté-Gaucher. La localité est aussi mentionnée par le nom de Firmitas Galcherii. Ce nom de Firmitas (du latin firmitas) se traduit par solidité, fermeté (en français, ce dernier remplace ferté qui restera limité aux noms de villes).

    Devenu, de par son acquisition, voisin du comte de Champagne, Gaucher se lie d'amitié avec ce puissant seigneur et épouse l'une de ses filles. Cette dernière apporte en dot la terre de Montmirail avec comme condition expresse que le premier fils né de ce mariage en porte le nom et lui rende foi et hommage. C'est pourquoi, durant plusieurs siècles, les seigneurs de La Ferté-Gaucher furent également seigneurs de Montmirail.

    Seigneurs de La Ferté-Gaucher

    La Ferté-Gaucher, comme Condé, est au départ une dépendance de la seigneurie de Montmirail.

    Jean de Montmirail (ou Jehan de Montmirel) (1165 - ) était baron de Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher, d'Oisy, de La Ferté-sous-Jouarre, de Tresmes (aujourd'hui Crouy-sur-Ourcq), de Crèvecœur, de Bellonne et/ou Bellot, de Gandelu, de Condé-en-Brie et de La Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai.

    Connétable de France, il sauva la vie de Philippe-Auguste à Gisors et participa à la quatrième croisade. Il se retira comme moine à l'abbaye de Longpont, et l'Église l'a élevé sur les autels comme bienheureux.

    Il était le fils d'André de Montmirail et d'Hildiarde d'Oisy (†1177), vicomtesse de Meaux, Dame d'Oisy (-le-Verger) et de Crèvecœur, châtelaine de Cambrai.

    Il épousa Helvide de Dampierre et eut pour descendants :

    • Guillaume, qui mourut avant son père et qui n’a laissé aucun souvenir,
    • Jean II de Montmirail, seigneur de Montmirail et d'Oisy,
    • Mathieu de Montmirail, seigneur de Montmirail et d'Oisy,
    • Élisabeth, religieuse,
    • Félicie, mariée à Hellin, seigneur de Wavrin et sénéchal de Flandre,
    • Marie de Montmirail, mariée à Enguerrand III de Coucy : d'où la succession ci-dessous[50],[51],
    • Renaud de Montmirail, mort en croisade.

    Comme Montmirail, La Ferté-Gaucher appartient ensuite aux Coucy, puis aux Roucy (Hugues de Pierrepont comte de Roucy et de Braine ayant épousé Blanche de Coucy-Montmirail à la fin du XIVe siècle ; Condé s'était séparé dans les années 1320 de Montmirail et La Ferté, passé comme La Ferté-sous-Jouarre à la branche cadette de Coucy-Meaux). En 1525, La Ferté-Gaucher se sépare de Montmirail, à la † d'Amé III de Roucy-Sarrebruck-Commercy : Guillemette, sœur d'Amé III, dame de Braine et de La Ferté-Gaucher, épouse Robert III de La Marck duc de Bouillon, alors que Montmirail et Commercy-Château-Haut vont à une autre sœur, Philippe/Philippine de Sarrebruck, et son mari Charles de Silly.

    Combien de temps les La Marck gardent-ils La Ferté-Gaucher ? Toujours est-il qu'on la trouve ensuite aux mains de François de Clermont de Montglat (fils d'Hardouin de Clermont qui épousa en 1598 Jeanne de Harlay-Sancy ; il est curieux de constater que Jeanne était cousine d'Achille de Harlay-Champvallon, marquis de Bréval, qui descendait, lui, des La Marck-Braine : peut-être un arrangement de famille a-t-il fait passer La Ferté des Harlay-Champvallon aux Harlay-Sancy ?), qui la vend le au futur chancelier Le Tellier, père de Louvois, contre 300 000 livres[52],[53].

    Ainsi, La Ferté-Gaucher va retrouver Montmirail, puisque le Louvois achète ce dernier fief. Ses descendants La Rochefoucauld-Doudeauville (cf. Ambroise-Polycarpe, 1765–1841) puis La Rochefoucauld-Liancourt (cf. Zénaïde de Chapt de Rastignac, 1798-1875) en hériteront.

    Politique et administration

    Mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[54],[55]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1870 1878 Louis Marie Auguste Crévot   Notaire
    Conseiller général du canton de La Ferté-Gaucher ( → )
    1878 1884 Ernest Pierre Julien Delbert   Docteur en médecine
    1884 1886
    (décès)
    Victor Plessier (1813-1886) Républicain Notaire
    Conseiller général du canton de La Ferté-Gaucher (1878 → 1880)
    Député de Seine-et-Marne (1876 → 1885)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1908
    (décès)
    Ernest Delbet (1831-1908) Rad. Docteur en médecine et sociologue
    Député de Seine-et-Marne (1893 → 1908)
    1909 1914 Paul Jules Cochot (1870-1948) Rad. Médecin
    Conseiller général du canton de La Ferté-Gaucher (1909 → 1940)
    1915 1917
    (décès)
    Louis Désiré Larrieux (1841-1917)   Cordier
    1917 1919 Paul Auguste Notte (1859-1936)   Propriétaire
    1919 1944 Paul Jules Cochot (1870-1948) Rad. Médecin
    Conseiller général du canton de La Ferté-Gaucher (1909 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 octobre 1947 Paul Jules Cochot (1870-1948) Rad. Médecin
    Conseiller général du canton de La Ferté-Gaucher (1909 → 1940 puis 1945 → 1948)
    octobre 1947 mai 1953 Albert Auguste Moret (1876-1962)   Imprimeur
    mai 1953 1960 Jean Campin (1899-1960)   Directeur d’école
    1960 mars 1965 Marc Lucas ( -2001)   Tuilier-briquetier
    mars 1965 mars 1989 Gérard Petitfrère (1923-1993)   Notaire
    mars 1989 juin 1995 Henri Forgeard (1917-1996) UDF Médecin
    juin 1995 mai 2020 Yves Jaunaux (1944- ) RPR
    puis
    UMPLR
    Médecin
    Conseiller général puis départemental de La Ferté Gaucher (1994 → )
    Vice-président du conseil départemental de Seine-et-Marne (2017 → )
    mai 2020[56] En cours Michel Jozon DVD  

    Jumelages

    Depuis les années 1990, La Ferté-Gaucher est jumelée avec la communauté de communes de Bedburg-Hau dans l'arrondissement de Clèves (Kreis Kleve).

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Fertois[1].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58]. En 2018, la commune comptait 4 902 habitants[Note 7], en augmentation de 2,77 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9241 7831 8951 8601 9302 1142 1092 1952 097
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1322 5472 2512 2032 1282 2872 3492 1362 189
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2442 2282 2941 9362 0492 0902 1122 1762 019
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 5853 2583 8213 8713 9244 1504 0574 5574 818
    2018 - - - - - - - -
    4 902--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Plusieurs événements sont dénombrés dans la commune. La Fête du chien d'août a lieu au mois d'août. L'étymologie du nom n'a pas de rapport direct avec les chiens, c'est une expression briarde pour dire fête des moissons ; traditionnellement, une fête et une foire se tenaient au centre du village. Lors du week-end de la mi-août briarde, se succèdent dans le centre-ville sur deux jours : repas de quartier, expositions et reconstitutions agricoles, feu d'artifice, présentations d'animaux, animations (records alimentaires), concert, stands de vie associative, dégustations de produits du terroir. La manifestation reçoit en moyenne six mille visiteurs, soit plus que la population résidente.

    La brocante de La Ferté-Gaucher propose quatre-vingts stands en plein centre-ville ainsi que de multiples animations (fête foraine, promenades à poney, défilé de majorettes, bonimenteurs). Elle a lieu tous les ans, le quatrième dimanche du mois d'avril.

    Il existe également dans la commune un certain nombre d'animations touristiques : le petit train touristique et le Vélorail du Val du Haut-Morin. Le vélo-rail est une activité unique en Ile-de-France (à une heure de Paris) au cœur de l'Espace naturel sensible départemental. Ce site donne l’occasion à toute la famille de découvrir, de façon ludique, les richesses de la faune et de la flore locales ainsi que l’arrière-pays fertois. Les touristes peuvent pédaler dans un univers verdoyant sur une ancienne voie ferrée (celle qui reliait autrefois Paris à Sézanne) sur 6,5 km (13 km aller-retour). Un train touristique les achemine vers la gare de départ du Vélo-Rail situé sur la commune de Lescherolles parcourant ainsi près de km à travers la campagne briarde. Une balade de km permet également de découvrir tout au long de la Coulée Verte plusieurs points d’intérêts tels que la commanderie de Coutran et le verger conservatoire de Saint-Martin-des-Champs planté par des écoliers. En gare de départ, les touristes y découvrent des expositions thématiques sur la nature, la vie du rail ou le sport et profitent d’une vente de produits de terroir[60].

    Sports

    Les sports incluent le basket-ball (JSFG), le handball, la course d'orientation (JSFG), le cyclisme (JSFG), la gymnastique - aquagym (JSFG), le judo (JSFG), le karaté (JSFG), la pétanque (JSFG), la randonnée pédestre (JSFG), le tennis (JSFG), le tennis de table (JSFG), le vovinam Viet Vo Dao (JSFG), le yoga, le football (EBE) et la majorette.

    Le CPS (Centre de Parachutisme Sportif) Paris Île-de-France était basé à l'aérodrome du au , au moment de la réorganisation des couloirs aériens[61]. L'intensification du trafic aérien des aéroports parisiens amenant de nouveaux axes d'approche, les activités furent alors transférées à Brienne-le-Château dans l'Aube (10). Il était réputé être l'un des plus importants centres de parachutisme civil d'Europe.[réf. souhaitée]

    Médias

    • Le Pays Briard, bi-hebdomadaire du groupe Publi-Hebdos paraissant le mardi et le vendredi.

    Culture locale et patrimoine

    Ancienne église du prieuré Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    • Vestiges de l'ancienne église du prieuré Saint-Martin, XIIe siècle inscrite en 2004 au titre des monuments historiques[62]. L'édifice sert de grange depuis le XIXe siècle.
    • Église paroissiale Saint-Romain.
    • Halle aux Veaux du XIXe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Télévision

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
    4. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de La Ferté-Gaucher » sur Géoportail (consulté le 20 août 2018)..

    Références

    1. « Fiche signalétique de La Ferté Gaucher », sur Atome 77 (consulté le ).
    2. Sandre, « Le Grand Morin ».
    3. Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie sur le site sigessn.brgm.fr.
    4. Sandre, « Bras du grand Morin ».
    5. Sandre, « Bras du grand Morin ».
    6. Sandre, « Bras du grand Morin ».
    7. Sandre, « Bras du grand Morin ».
    8. Sandre, « Ru de Chambrun ».
    9. Sandre, « Ru de Chaudron ».
    10. Sandre, « Ru de Trubart ».
    11. Sandre, « Ru de Saint-Mars ».
    12. Sandre, « fossé 01 du Bois Solvet ».
    13. Sandre, « Ru des Granges ».
    14. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 20 août 2018.
    15. Collège Jean Campin sur le site ville-data.com.
    16. Communiqués du Conseil Départemental 77 qui gère le collège Jean Campin sur le site la-ferte-gaucher.org.
    17. Seine-et-Marne : inondations en Brie, un nouveau point en images sur les communes touchées sur le site actu.fr.
    18. La Ferté-Gaucher : recouvert de boue, le collège ne rouvrira pas avant septembre sur le site leparisien.fr.
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Ferté-Gaucher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Ferté-Gaucher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune de Ferté-Gaucher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de La Ferté-Gaucher », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. Site territoires-fr.fr consulté le 30 janvier 2020 sous le code commune 77182.
    31. Site Corine Land Cover Mises à jour.
    32. Statistiques officielles de l'Insee.
    33. Du Plessis, II, p. 21.
    34. Du Plessis, II, p. 59.
    35. Bibl. nat., Picardie 296, no 15.
    36. Du Plessis, II, p. 63.
    37. Du Plessis, II, p. 65.
    38. Archives nationales, S 5160.
    39. Longnon, I, p. 90.
    40. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 201.
    41. Archives nationales, S 5159.
    42. Cartulaire de La Maison-Dieu, p. 40.
    43. Cartulaire de La Maison-Dieu, p. 56.
    44. Longnon, I, p. 233.
    45. Obit. prov. Sens, IV, p. 11.
    46. Archives nationales, S 5180a.
    47. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1663, (ISBN 2600028846).
    48. Archives de la Seine-et-Marne, L 55 et 60.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    50. « Seigneurs de Coucy, notamment p. 5, 7 et 8 », sur Racine & Histoire.
    51. « Seigneurs de Roucy, notamment p. 7 et 15 », sur Racines & Histoire.
    52. Extrait du livre La formation de la société française moderne : la société et la monarchie absolue, t. 1er, p. 109, par Philippe Sagnac, PUF, 1945 : « [Le Tellier acheta] dans la Brie, la seigneurie de La Ferté-Gaucher, payée 300.000 livres à François de Clermont, marquis de Montglat... ».
    53. « La lutte de Colbert et de Louvois, p. 276 », sur Face à Colbert : les Le Tellier, Vauban, Turgot... et l'avènement du libéralisme, par Luc-Normand Tellier, Presses de l'Université du Québec, 1987.
    54. Les maires de La Ferté-Gaucher.
    55. Jean-Michel Rochet, « La Ferté-Gaucher honore ses anciens maires enterrés au cimetière », Le Pays Briard, (lire en ligne).
    56. Thomas Baron, « La Ferté-Gaucher : le nouveau maire Michel Jozon s’entoure de huit adjoints : Il n’y a pas eu de surprise lors du conseil municipal d’installation, lundi 25 mai. Michel Jozon est le nouveau maire et son équipe a obtenu les huit postes d’adjoints en jeu », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ) « Élu durant 37 ans, Yves Jaunaux a mis en garde ses pairs contre « un travail de tous les instants », mais a fait part de son « honneur d’avoir servi La Ferté-Gaucher », alors qu’il reste tout de même vice-président du Conseil départemental (...) Sans surprise, Michel Jozon obtient la majorité des voix (21), alors que Hervé Crapart, qui n’a obtenu que les 6 voix de l’opposition, attend toujours la suite que donnera le tribunal administratif à son recours pour faire annuler les résultats du premier tour ».
    57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    60. Vélo-rail du Haut-Morin. sur le site http://www.la-seine-et-marne.com/.
    61. MAGUET Jean-Pierre, « Rassemblement nostalgique 13 juin 2015 », sur symboles et traditions, section parachutisme sportif, (consulté le ).
    62. Notice no PA77000021, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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