Culan (Cher)

Culan est une commune française située à l'extrémité sud du département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Culan.

Culan

Château de Culan.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Berry Grand Sud
Maire
Mandat
Nicolas Nauleau
2020-2026
Code postal 18270
Code commune 18083
Démographie
Gentilé Culanais
Population
municipale
732 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 54″ nord, 2° 21′ 00″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 332 m
Superficie 20,23 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteaumeillant
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Culan
Géolocalisation sur la carte : Cher
Culan
Géolocalisation sur la carte : France
Culan
Géolocalisation sur la carte : France
Culan

    Géographie

    Description

    La commune de Culan est située à l'extrême pointe sud du département du Cher au nord de la région naturelle de la Châtaigneraie. C'est un pays vallonné, de bocage, encore que les « bouchures » (haies) et les « têteaux » (chênes étêtés aux branches taillées près du tronc, leur donnant une allure de poteau) sont souvent sacrifiés pour agrandir les champs et faciliter la culture.

    Le village est traversé par la D 943, qui relie Montluçon à Châteauroux, et la D 997 qui relie Saint-Amand-Montrond à Boussac. Deux routes secondaires relient Culan aux localités avoisinantes : la D 4 vers Meaulne et la D 65 vers Le Châtelet.

    Il est desservie par la ligne F du Réseau de mobilité interurbaine[1].

    L'aérodrome le plus proche est celui de Montluçon - Domérat situé à une trentaine de kilomètres.

    Culan est située sur le GR 41.

    Localisation

    Hydrographie

    La commune est baignée par l'Arnon. En amont, a été construit un barrage au lieu-dit les Chetz, sur la commune de Sidiailles, dont la retenue de 90 hectares alimente en eau potable 20 000 habitants répartis sur une quarantaine de communes.

    Urbanisme

    Typologie

    Culan est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,2 %), terres arables (39 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Prahas, à 1,5 km à l'est du chef-lieu, ancien siège de la paroisse jusqu'au début du XVIIe siècle. Aujourd'hui chapelle Saint-Vincent, à proximité de laquelle se trouve toujours le cimetière de la commune. Ce lieu de culte donnait lieu à un pèlerinage[9]. Prahas était anciennement le siège d'une seigneurie, qui appartenait, à la veille de la Révolution, à Jean Baptiste Desjobert, notaire royal, bailli de la justice de Culan, anobli par une charge de secrétaire du roi. L'un de ses fils, Jean Baptiste Desjobert de Prahas (1752-1836), qui fut maire de Culan, en prit le nom. La petite-fille de celui-ci, Ombeline (1834-1898), hérita du domaine de Prahas et le transmit à la famille Duchier de Jupille ; il est encore entre les mains de ses descendants.

    Histoire

    Moyen Âge

    La paroisse était située à l’origine à Prahas, jusqu’à la construction du château de Culan. Le château a créé un pôle d’attraction, et le village s’est petit à petit presque entièrement déplacé, jusqu’à ce que le village d’origine ne soit qu’un simple hameau[10].

    Époque contemporaine

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d'Arnon-Libre[11].

    Culan était située sur la ligne de Châteauroux à La Ville-Gozet (et à Montluçon-Ville) aujourd'hui déferrée entre La Châtre et La Ville-Gozet. Le bâtiment voyageur de l'ancienne gare et le viaduc en perpétuent le souvenir de cette ligne ouverte en 1884 et fermée à tout trafic en 1987.

    Seconde Guerre mondiale

    Pont de Culan, dynamité en juin 1944.

    Lors des combats de la Libération de la France, afin de retarder les troupes allemandes du sud-ouest qui remontaient vers la Normandie ou qui se repliaient vers l’Allemagne, les réseaux de la Résistance ont fait sauter des ponts routiers. Celui de Culan, qui permet à la RN 143 d'enjamber l'Arnon devant la forteresse, a été dynamité une nuit de juin 1944. Une arche s’est écroulée, empêchant tout passage. En amont de l’Arnon, à 500 mètres à vol d’oiseau, le pont « romain » a également été dynamité. En revanche le viaduc, situé à 200 mètres en aval, n'a pas été saboté, la ligne de train ne présentant pas d'intérêt stratégique[réf. nécessaire].

    Les troupes allemandes, qui arrivaient de Montluçon, ont donc été obligées de traverser à gué la rivière, réquisitionnant des chevaux pour tirer leurs matériels. Elles ont séjourné à Culan moins de 24 heures, sans commettre d’autres exactions que de menus vols de nourriture. Une deuxième arche du pont devait s’écrouler par la suite. Il a été reconstruit à l’identique dès la fin de la guerre[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 mai 1945
    Louis Brunet
       
    mai 1945 octobre 1947
    Louis Petitjean
       
    octobre 1947 1950
    Albert Duranton
       
    1950 mars 1965
    René Charles
       
    mars 1965 mars 1971
    Marcel Laventure
       
    mars 1971 mars 1977
    Alphonse Tillier
       
    mars 1977 mars 1983
    Michel Auvity
       
    mars 1983 1985
    Georges Canonne
       
    1985 mars 1989
    Alphonse Tillier
       
    mars 1977 mars 1983 Michel Auvity PS médecin
    mars 1989 1990 Marie-Reine Derouet    
    1990 juin 1995 Michel Auvity PS médecin retraité
    juin 1995 mars 2011[12] Guy Courzadet DVD Secrétaire de mairie
    Décédé en fonction
    mai 2011 avril 2014[13] Jean-Claude Gross[14]   Électricien puis d'adjoint administratif à Nanterre puis à la sous-préfecture de Montluçon
    avril 2014 En cours
    (au 24 juillet 2020)
    Nicolas Nauleau   Pompier professionnel
    Réélu pour le mandat 2020-2026[15],[16]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2018, la commune comptait 732 habitants[Note 2], en diminution de 4,94 % par rapport à 2013 (Cher : −2,64 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9168575889871 1691 2101 1391 2821 286
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2481 1811 1921 2921 4021 8201 6001 6071 529
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5341 5331 5101 3091 2661 2731 2541 2851 212
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 3591 3101 1641 055932822829791728
    2018 - - - - - - - -
    732--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Culan dispose[Quand ?] d'une école maternelle, d'une école primaire et d'une cantine.

    Pour le collège, les enfants sont scolarisés à Châteaumeillant ; pour le lycée avec internat à Saint-Amand-Montrond ou à Montluçon à 33 kilomètres. Les villes universitaires les plus proches sont, dans l'ordre, Clermont-Ferrand, Limoges, Orléans, Poitiers et Tours.

    Sports

    Le saut à l'élastique est une activité sportive qui se pratique depuis le viaduc, dans un cadre exceptionnel, face au château de Culan[21]. Le saut s'effectue depuis l'arche la plus haute du viaduc, d'une hauteur de 55 mètres[22],[23].

    Vie associative

    Divers clubs et associations : football, cyclisme, club du troisième âge, bibliothèque, société philatélique…

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête du pont » le 1er dimanche de septembre, suivie le lendemain par le « grand prix cycliste des deux ponts ». Autres fêtes de la région : les « Grattons » à Châteaumeillant et plus tard dans la saison « les Orval » (les foires d'Orval) qui animent Saint-Amand-Montrond.

    Économie

    • Bourg rural, Culan organisait deux grandes foires annuelles : celle de « la louée », à la fin du printemps, où les petites gens de la campagne venaient louer pour une année leurs services aux propriétaires (aujourd'hui on dirait : saisonniers). Et la principale, celle du « 10-de -Mai », lors de laquelle s'échangeaient sur le champ de foire les troupeaux de moutons, les porcs, les volailles et en général la production agricole du canton, ainsi que les produits issus de l'artisanat et du commerce local. Cette foire est restée très active jusqu'au milieu des années 1970. Une autre foire, sorte de seconde chance pour les « invendus », se déroulait dans les mêmes conditions le 25 mai. Ces rendez-vous ont progressivement perdu de leur importance. Aujourd'hui, seule subsiste la foire du « 10-de-Mai » qui se déroule en fait le dimanche le plus proche de cette date. Les bovins et les ovins se vendent désormais au "Cadran" de Châteaumeillant (il s'agit d'une sorte de vente aux enchères électronique : les animaux sont présentés sur un ring, les enchérisseurs appuient sur un bouton dissimulé sous leur pupitre, les prix s'affichent au cadran. Tous les lundis matin pour les bovins et un vendredi sur deux pour les ovins).
    • Dans les années 1980, il y avait encore à Culan deux chemiseries qui employaient plusieurs dizaines de mécaniciennes en confection. Ces fabriques travaillaient "à façon" (sur commande). Elles sont aujourd'hui fermées, victimes comme toute la branche textile de la concurrence mondiale et de la course aux bas prix.
    • Région d'élevage du mouton (un proverbe dit « 99 moutons et un Berrichon ça fait 100 bêtes ») et du bœuf charolais. Cultures également (blé, maïs, colza) amenées à la coopérative agricole. Depuis les années 1990, retour de l'élevage des chevaux et des ânes (le grand noir du Berry) : effet de mode ou phénomène durable ?
    • Depuis le début des années 2000, attirés par des prix immobiliers très accessibles et par la proximité de l'autoroute A 71 Clermont-Ferrand - Bourges - Vierzon (échangeurs à Saint-Amand-Montrond-Orval en venant du nord et à Vallon-en-Sully ou Montluçon en venant du sud), des Européens (Néerlandais, Britanniques) achètent dans les environs des maisons et fermettes pour en faire des résidences secondaires ou principales (pour la retraite). Car si cette région est très agréable avec de jolis paysages bocagers, les possibilités d'emploi y sont limitées, ce qui explique le lent et régulier déclin démographique de cette commune et de ses environs.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Château de Culan.
    • Le château de Culan est la principale attraction touristique qui draine chaque année des milliers de visiteurs. La forteresse (construite à partir du XIIe siècle) se dresse fièrement sur le rocher qui surplombe la rivière. Ses remarquables hourds d'époque constituent un grand intérêt tant au point de vue historique qu'architectural[24]. Le château est classé et partiellement inscrit au titre des monuments historiques en 1926 et 1956[25].
    • À proximité du château de Culan, dans des ruelles pentues, quelques belles maisons du Moyen Âge.
    • Le pont routier : au début du XIXe siècle l'État modernise la route nationale de Tours à Clermont-Ferrand. Dans la traversée de Culan, le pont enjambant l'Arnon est achevé en 1843, les expropriations des terrains ayant débuté en 1818. Avant cet ouvrage d'art, la route passait dans le faubourg en longeant les remparts au sud et en passant sur le pont "romain".
    Le pont « romain »
    • Le pont « romain » : il enjambe l'Arnon sur l'ancienne route La Châtre - Montluçon. D'origine médiévale, reconstruit au XVIIe siècle et restauré au XIXe siècle. Inscrit et classé aux Monuments historiques en 1986[26].
    • Le viaduc en pierre surplombe le château de Culan. Il offre une belle vue sur la vallée de l'Arnon, le village et la forteresse. Ce viaduc comporte deux tronçons, l'un de cinq arches, le second de onze, certains piliers s'enfoncent à cinquante mètres dans le sol. Il a été construit en 1883, la ligne ouverte l’année suivante desservait Châteauroux et Montluçon-Ville. Elle est fermée en 1987, ne recevant les dernières années de son exploitation que des trains de marchandise. Elle est aujourd'hui une propriété privée. Les rails ont été enlevés, les maisons de garde-barrière vendues, ainsi que le bâtiment voyageurs de la gare de Culan. L’emprise des voies est au fil du temps grignotée par les jardins, la campagne et les ronces.
    • L'église est dédiée à saint Vincent. C’était autrefois la chapelle du château, réservée aux seigneurs. Elle est citée dans une bulle papale de 1115. Y subsistent des chapiteaux du XIIe siècle. En 1624, construction du clocher pour le prince de Condé, seigneur de Culan. En 1630, elle devient église paroissiale. Les chapelles latérales sont des rajouts tardifs. D'importantes rénovations ont été menées à la fin du XIXe siècle. À l’intérieur, un harmonium sans intérêt dont les sonorités font offense aux tympans délicats.
    Chapelle du cimetière, à Prahas.
    • Il existait depuis le XIIe siècle un prieuré dépendant de l'abbaye de Déols au lieu-dit Prahas. Il a servi d'église paroissiale jusqu'en 1630. À cette date, le prince de Condé obtint de l'évêque que la chapelle du château devienne église paroissiale de Culan. Le prieuré de Prahas fut maintenu jusqu'à la Révolution, en 1714 ses cloches furent descendues et transportées dans l'église de Culan. Le prieuré a été démoli au début du XXe siècle et remplacé par une petite chapelle, à l'entrée du cimetière communal.
    • La gare (aujourd'hui maison privée), construite en 1884.
    • La mairie, place Saint-Ursin, construite en 1863.
    • La poste : construite route de Saint-Amand en 1894, est devenue une maison particulière. Le bureau actuel a été réalisé à la fin des années 1960 sur la place du Champ-de-Foire.
    • Camping. Un étang d'une dizaine d'hectares (baignade interdite, pêche autorisée), un camping municipal, un office de tourisme sur le foirail, un point accueil pour camping-car, tous commerces et professions médicales. À une dizaine de kilomètres, la retenue d'eau de Sidiailles dans un site pittoresque et protégé permet baignade et sports nautiques (pas de bateau à moteur). À 12 kilomètres, Châteaumeillant, le chef-lieu de canton, et son vin AOC (les rouges et rosés, dits gris), à 6 kilomètres, Vesdun, l'un des « centres de la France ».

    Personnalités liées à la commune

    • Louis de Culant, baron de Châteauneuf-sur-Cher, seigneur de Culan et d'Ainay-le-Vieil, amiral de France, compagnon de Jeanne d'Arc et du roi Charles VII. Nommé amiral de France en 1421, dépossédé de ce titre en 1437 après avoir été accusé de concussion. Louis de Culant était chargé du commandement en second de l'armée du roi lors du siège d'Orléans et participa à plusieurs batailles contre les Anglais. Il fut l'un des quatre « otages de la Sainte Ampoule » lors du sacre à Reims.
    • François Maulmond (1772-1838), général des armées de la République et de l'Empire, né à Culan et décédé à Montargis.
    • Philippe-Ernest Legrand (1866-1953), helléniste, membre de l'Institut, mort à Culan où il s'était retiré.
    • Maurice Estève (1904 - 2001), artiste-peintre autodidacte. Homme discret, il partageait son temps entre Paris et Culan, où il est né et décédé. Il passe son enfance à Culan : [j'ai] « jusqu'à l'âge de quatorze ans, […] été élevé à Culan par mes grands parents qui étaient des paysans illettrés mais auxquels ne faisaient défaut ni la sensibilité, ni l'intelligence. Je faisais la lecture à ma grand-mère qui avait conscience de l'existence d'un univers auquel elle n'avait pas accès. »

    Anecdotes

    Culan se trouve sur la tracé de la Méridienne verte, un projet imaginé pour fêter l'an 2000 par l'architecte Paul Chemetov : des arbres ont été plantés sur le tracé du méridien de Paris (axe Dunkerque - Prats-de-Mollo dans les Pyrénées-Orientales).

    Héraldique

    Culan
    Blason
    D’azur semé de molettes d’or, au lion du même surmonté d’un lambel d’or.
    Détails
    Ce sont les armoiries des Barons de Culan.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Émile Chénon, « Histoire du prieuré de Prahas près Culan », Mémoires des Antiquaires du Centre, 1921, 81-109.
    10. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 54.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Culan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    12. « Guy Courzadet, le maire de Culan, est décédé : Guy Courzadet, le maire de Culan s'est éteint samedi matin à l'âge de 78 ans à l'hôpital de Montluçon », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Élu en 1995 et doyen des maires du canton, le maire qui en était à son troisième mandat, a beaucoup amélioré la vie de sa commune natale à laquelle il était particulièrement attaché ».
    13. « Jean-Claude Gross n’est pas candidat », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
    14. « Le maire Jean-Claude Gross a été médaillé », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « En 2001, tu vis à Culan où tu es élu adjoint jusqu'en mars 2011. Le décès du maire, notre ami Guy Courzadet te permet d'accéder à cette place grâce à la confiance des conseillers municipaux ».
    15. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    16. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. Antipodes sport nature. « C'est comme si on sautait dans une carte postale! ».
    22. « Saut à l'élastique - Culan » sur le site de Berry-province.
    23. Julien Garnault, « Du saut à l'élastique au viaduc de Culan », L'Écho du Berry, 21 avril 2010.
    24. « Le Cher remarquable ». Numéro spécial du Berry Républicain décembre 2011 p. 106-107. (ISSN 0988-8357).
    25. Notice no PA00096783, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. Notice no PA00096784, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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