Châtenay-Malabry

Châtenay-Malabry est une commune française dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. Jusqu'en 1968, Châtenay-Malabry faisait partie du département de la Seine.

Pour les articles homonymes, voir Châtenay.

Châtenay-Malabry

L'église Saint-Germain-l'Auxerrois.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Antony
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Vallée Sud Grand Paris
Maire
Mandat
Carl Segaud
2020-2026
Code postal 92290
Code commune 92019
Démographie
Gentilé Châtenaisiens
Population
municipale
34 170 hab. (2018 )
Densité 5 381 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 55″ nord, 2° 16′ 41″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 172 m
Superficie 6,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Châtenay-Malabry
(bureau centralisateur)
Législatives Treizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : France
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : France
Châtenay-Malabry
Liens
Site web chatenay-malabry.fr

    Géographie

    Localisation

    Vue de la commune de Châtenay-Malabry en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

    Châtenay-Malabry, surnommée La Ville-Parc avec ses 50 % d'espaces verts classés, est située près du Parc de Sceaux.

    La commune est limitrophe du département de l’Essonne (bois de Verrières) et du département des Yvelines, limitée par les communes de Sceaux, Antony, Bièvres, le Plessis-Robinson et Verrières-le-Buisson.

    Elle est traversée par la Coulée verte du sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Les deux principales entrées de ville sont situées à l'ouest et à l'est de l’avenue de la Division-Leclerc, principale artère de la ville, dont le nom honore la 2e DB. Côté forêt de Verrières, l'entrée de ville est un grand rond-point qui apparaît comme une clairière dans la forêt avant de plonger dans le paysage urbain. Côté Antony, c'est un simple rond-point situé à l'angle sud-est du Parc de Sceaux. Pour ce qui est des entrées nord et sud, elles sont pour le moins discrètes, s’inscrivant dans le tissu urbain.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 638 hectares ; l'altitude varie de 65 à 172 mètres[1].

    Le profil général de la commune est un plateau à l’ouest, suivi d’une déclivité accentuée dans son premier tiers pour se poursuivre en pente douce jusqu’à Sceaux. Une ligne de rupture en zigzag délimite la zone du plateau de celle des vallées.

    La déclivité se partage en deux vallons, l’un se développant en partie sud, l’autre en partie nord.

    Au creux de chacun de ces deux vallons, s’inscrit une ligne de plus forte pente, réceptacle de petits cours d’eau. Au nord, coule le ru d’Aulnay en partie recouvert qui parcourt à l'air libre le parc de la Vallée-aux-Loups et l'arboretum, au sud, le ru de Châtenay entièrement souterrain. Une crête entre les deux vallons nord et sud se dégage, qui a vu s’établir dans sa partie la plus à l’est le vieux centre de Châtenay.

    Climat

    Le climat de Châtenay-Malabry est de type océanique dégradé. Les stations d'observation les plus utilisées pour la météorologie à Châtenay-Malabry sont celles de l'aéroport d'Orly et de la base militaire aérienne 107 de Villacoublay situées près de Châtenay-Malabry. Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat de la commune de Châtenay-Malabry avec celui de quelques grandes villes françaises :

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Orly[2] (Châtenay-Malabry) 1 669616162326
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169

    Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Orly recueillies sur la période 1961-1990 :

    Relevés météorologiques de la station d'Orly 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,3 3 5,3 8,8 11,9 13,8 13,4 11,2 7,9 3,8 1,6 6,9
    Température moyenne (°C) 3,3 4,4 6,8 9,8 13,5 16,7 18,9 18,6 16 11,9 6,8 4,1 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 5,8 7,5 10,7 14,2 18,1 21,5 24 23,8 20,9 15,9 9,8 6,6 14,9
    Humidité relative (%) 86 80 76 72 72 71 70 71 77 83 86 86 78
    Source : Infoclimat[3]
    Relevés météorologiques de la station d'Orly 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Nombre de jours avec gel 12,4 10,3 7 1,6 0 0 0 0 0 0,2 5,4 11,6 48,6
    Source : Infoclimat[3]
    Relevé météorologique des records climatiques de la station d’Orly
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Record de froid (°C)
    date du record
    −16,8
    1985
    −15
    1956
    −9,4
    2005
    −4,3
    1921
    −1,3
    1957
    3,2
    1975
    6,7
    1922
    5,6
    1923
    1,7
    1952
    −3,9
    1955
    −9,6
    1921
    −13,3
    1964
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,5
    2003
    20
    1990
    24,5
    1955
    29,4
    1949
    35
    1922
    37
    1947
    39,2
    1947
    40
    2003
    33
    1949
    31,3
    1921
    20,1
    1993
    17,3
    1989
    Source : JournalduNet[2]

    Voies routières

    La commune est traversée d’est en ouest par la RD 986, ancienne RN 186 (avenue de la Division-Leclerc), et du nord au sud par la D 128 (rues Vincent-Fayo et Jean-Longuet), la D 67 (avenue Sully-Prudhomme), la D 63 (avenue Roger-Salengro) et la D 75 (en bordure du territoire communal avec le Plessis-Robinson).

    Elle dispose d'un échangeur avec l'autoroute A86, qui longe la commune au sud. L’échangeur A86/D 63 Châtenay-Malabry – Verrières-le-Buisson a été ouvert en . Cette réalisation complète l’infrastructure existante par la création d’un demi-échangeur en direction de Versailles afin de renforcer l’accessibilité de la zone de haute technologie « Faculté de pharmacie – Technopôle » et de réduire le trafic de transit sur les deux communes.

    Pistes cyclables

    La commune est traversée par la Coulée verte, située sur la tranchée couverte de la ligne à grande vitesse. Une piste cyclable qui la parcourt de bout-en bout, permet de relier la gare Montparnasse et Massy.

    Une piste cyclable longe aussi la départementale 986 et une autre l'avenue Sully-Prudhomme.

    Transports en commun

    Châtenay-Malabry ne dispose pas de gare RER sur son territoire communal, mais est située à proximité immédiate de deux gares de la ligne B : Robinson (terminus de la branche B2), à Sceaux, et La Croix de Berny, à Antony.

    Plusieurs lignes de bus relient Châtenay-Malabry à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France :

    En 2023, la ligne de tramway T10[4] traversera la commune, permettant d'accéder très rapidement au RER B à la gare de La Croix de Berny.

    Urbanisme

    Typologie

    Châtenay-Malabry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 62,4 % 398
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,3 % 2
    Espaces verts urbains 13,2 % 84
    Forêts de feuillus 24,1 % 154
    Source : Corine Land Cover[13]

    Morphologie urbaine

    Rue Jean Longuet à Châtenay-Malabry en .
    Occupation des sols
    2003 2012
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 52,26 % 332,10 62,43 % 399,40
    Espace urbain non construit 18,91 % 120,19 13,03 % 82,90
    Espace rural 28,82 % 183,15 24,20 % 154
    Source : Iaurif[14] Source: CORINE[15]
    Petit Châtenay.

    L’Insee découpe la commune en quatorze îlots regroupés pour l'information statistique soit Malabry, Robinson, Aulnay, Houssières, Division Leclerc, Butte rouge 1, Butte rouge 2, Butte rouge 3, Petit Châtenay, Voltaire, Croix blanche, Seignelay, Faulotte, Colbert[16].

    Logement

    La ville fait figure de référence en matière de logement social avec sa cité-jardin de la Butte-Rouge, construite entre 1931 et 1965. Propriété de Hauts-de-Seine Habitat, la cité-jardin est reconnue pour ses qualités urbaines, paysagères et architecturales. Elle regroupe 4 000 logements sociaux répartis sur 70 hectares et accueille un quart de la population de Châtenay-Malabry.

    Projets d'aménagements

    Le Tramway T10, qui complètera le projet Croix du Sud en croisant le Tramway T6 au niveau de l'Hôpital Béclère, permettra de renforcer et d’accompagner le développement économique qui s’amorce le long de la RD 186 (avenue de la Division-Leclerc).

    Un écoquartier va remplacer l'École centrale, et un quartier d'affaires va remplacer la faculté de pharmacie.

    La piscine en plein air de La Grenouillère sera complétée par une piscine couverte, permettant ainsi aux Châtenaisiens de disposer d'un centre aquatique ouvert toute l'année.

    Toponymie

    Le nom Châtenay viendrait[17] du latin castellanum qui signifie petit château et camp romain, ce qui en ferait remonter l'origine au Ier ou IIe siècle. On a d'ailleurs retrouvé des objets gallo-romains, préhistoriques et gaulois. La mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.

    On a aussi autrefois évoqué une origine liée au mot châtaignier. Mais l'on pense aujourd'hui que la culture du châtaignier est relativement récente dans cette région ; toutefois Albert Dauzat et Charles Rostaing ont écrit, dans leur Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France[18] : « Ces toponymes montrent l'extension anc.[-ienne] du châtaignier dans des régions où il a disparu, par ex.[-emple] en Beauce ».

    Malabry, déformation du mot maladrerie ou de mal-abri (lieu de chasse battu par les vents), est à mettre en relation sans doute avec les nombreuses pentes et côtes du territoire de cette commune ou encore avec le nom d’un chanoine propriétaire de terres au début du XVe siècle.

    Durant la Révolution, la commune, alors nommée Châtenay-les-Bagneux[19], porte le nom de Châtenay-la-Montagne[20].

    En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry.

    Histoire

    Châtenay-Malabry en 1751.

    Le territoire communal est issu des délimitations établies à l’issue de la Révolution française sur la base du territoire rattaché à la seigneurie de Sceaux.

    Le site comprend trois pôles principaux :

    • le vieux centre du bourg de Châtenay (IXe siècle) ;
    • le hameau d’Aulnay (XVIIe siècle) ;
    • le plateau de Malabry (identifié dès le XVIIe siècle comme lieu-dit, mais pas urbanisé avant la fin du XIXe siècle).

    La découverte de « fonds de cabanes » au début du XXe siècle atteste l’implantation d’hommes à Châtenay-Malabry, aux lieux-dits les Porchères et la Cerisaie, dès la période néolithique (5000-5000-2000 av. J.-C.). Quelques fragments de poteries gauloises et de nombreux vestiges gallo-romains confirment la continuité d’une présence humaine sur ce site, recherché pour son ensoleillement, sa verdure et sa proximité de Lutèce.

    Néanmoins, la mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.

    Érigée en paroisse au siècle suivant, Châtenay, dont les terres appartiennent alors au chapitre de Notre-Dame de Paris, couvre un territoire considérable, englobant notamment toutes les terres des villes actuelles de Sceaux et du Plessis-Robinson.

    En 1266, les habitants de Châtenay s’affranchissent, grâce à la politique équitable de Louis IX, au prix de 1 400 livres payées au chapitre, afin d’abolir les pratiques du servage, en les remplaçant par une contribution financière.

    Au XIIe siècle, la ville du Plessis devient indépendante et au XIIIe siècle, la ville de Sceaux le devient aussi. La paroisse de Châtenay s’étend toujours sur une grande superficie, comprenant notamment Châtenay, les hameaux d’Aulnay, du Petit-Châtenay et de Malabry, auxquels s’ajoutent encore quelques parcelles de territoire. Des familles nobles ou bourgeoises vinrent ensuite s’y installer (XVIIIe et XIXe siècles). À noter que Voltaire y séjourna en exil à partir de 1719 (il est, par ailleurs, probable qu'il y soit né), de retour dans la maison paternelle (château de la Roseraie) et que Chateaubriand y vécut de 1807 à 1816, dans sa propriété de la Vallée-aux-Loups, située dans le Val d'Aulnay. La propriété fut vendue ensuite à Mathieu de Montmorency, puis passa, par succession, aux ducs de La Rochefoucauld-Doudeauville.

    Au XXe siècle, la vocation agricole de la commune s’estompe peu à peu et les grands propriétaires locaux deviennent pépiniéristes et arboriculteurs. De même, avec la proximité de Paris, Châtenay adopte petit à petit un caractère plus résidentiel.

    En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry. Châtenay-les-Bagneux devint donc Châtenay-Malabry.

    En 1936, l’installation d’une cité jardins, La Butte Rouge, en bordure de l’ancien village, bouleverse la démographie de la commune, qui passe alors de 4 000 habitants à cette date à plus de 32 000 aujourd’hui.

    Châtenay et sa commune voisine Antony ont procédé en 1936 à un échange important de terrains. Châtenay a cédé ses droits sur le parc de Sceaux au profit d'Antony qui a cédé une grande partie de son territoire au nord-ouest.

    Au début des années 1970, la commune accueille l’École centrale Paris et la Faculté de Pharmacie. Le visage de la ville se métamorphose ensuite par l’aménagement de la ZAC des Friches et des Houssières et de la Croix blanche ; de nombreux équipements sportifs, sociaux, administratifs et culturels sont créés ou modernisés pour rendre un meilleur service aux habitants.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune est le chef-lieu, puis, depuis le redécoupage cantonal de 2014 en France, le bureau centralisateur du canton de Chatenay-Malabry.

    Châtenay-Malabry relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[21].

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre créée en 2002.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[22].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du 11 décembre 2016[23].

    L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transféré aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :

    Administration municipale

    Depuis 2007, Châtenay-Malabry fait partie des communes[24] qui utilisent les machines à voter.

    Liste des maires

    Six maires se sont succédé depuis la Libération de la France :

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 Gaston Richet SFIO Maire depuis 1938
    1947 1965 Constant Mougard SFIO  
    14 mars 1965 1976 André Mignon PS  
    1976 1992 Jean Vons PS  
    1992 juin 1995 Jean-François Merle[26] PS Haut fonctionnaire
    juin 1995[27] mai 2020[28] Georges Siffredi[29] RPR,
    puis RPF
    puis UMPLR
    Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → )
    Vice-président de l'EPT Vallée Sud Grand Paris (2016 → 2020)
    Conseiller général puis départemental de Châtenay-Malabry (2011 → )
    Président du conseil départemental des Hauts-de-Seine (2020→ )
    Député des Hauts-de-Seine (2002 → 2005 et 2009 → 2010)
    mai 2020[28] En cours
    (au 28 mai 2020)
    Carl Segaud LR  

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[30].

    Jumelages

    Au 1er janvier 2010, Châtenay-Malabry est jumelée avec :

    Ces trois villes sont également jumelées entre elles depuis 1986[32].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 34 170 habitants[Note 4], en augmentation de 4,74 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +1,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    568573559526652545496525566
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6867549428259821 1121 1941 3391 561
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7061 8882 0192 3672 9663 6823 8939 17914 269
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    24 75627 48430 49728 58029 19730 62131 87332 08333 016
    2018 - - - - - - - -
    34 170--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,8 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,8 %, 15 à 29 ans = 26,3 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 17,8 %, plus de 60 ans = 14 %) ;
    • 51,8 % de femmes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 22,6 %, 30 à 44 ans = 21,8 %, 45 à 59 ans = 18,2 %, plus de 60 ans = 19,2 %).
    Pyramide des âges à Châtenay-Malabry en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,1 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,7 
    9,2 
    60 à 74 ans
    10,4 
    17,8 
    45 à 59 ans
    18,2 
    22,2 
    30 à 44 ans
    21,8 
    26,3 
    15 à 29 ans
    22,6 
    19,8 
    0 à 14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,0 
    4,8 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,0 
    18,5 
    45 à 59 ans
    18,9 
    24,7 
    30 à 44 ans
    23,3 
    21,0 
    15 à 29 ans
    19,9 
    20,6 
    0 à 14 ans
    18,1 

    Enseignement

    Châtenay-Malabry est située dans l'académie de Versailles.

    Établissements scolaires

    La ville administre sept écoles maternelles et sept écoles élémentaires communales :

    • les groupes scolaires Jean-Jaurès, Jules-Verne, Pierre-Brossolette, des Mouilleboeufs, Thomas-Masaryk et Pierre-Mendès-France accueillent chacun une école maternelle et une école élémentaire ;
    • l'école maternelle Suzanne-Buisson et l'école élémentaire Léonard-de-Vinci.

    Le département gère trois collèges :

    La région Île-de-France gère deux lycées :

    À ces établissements publics s'ajoute un établissement privé sous contrat, le groupe scolaire Sophie-Barat, qui propose une école primaire, un collège et un lycée[37].

    Vie universitaire

    Entrée de l'école CentraleSupélec en .

    Châtenay-Malabry abrite :

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque année, la mairie organise :

    • un village de Noël dans le parc du Souvenir français : une trentaine de chalets accueillent des artisans et une piste de luge et de ski est aménagée pour les plus jeunes. Une patinoire est aussi accessible pour les familles. Toutes les animations sont gratuites ;
    • le , la mairie organise une grande fête sur la coulée verte : kermesse, bal musette, spectacle de clowns, tombola, dîner dansant et grand feu d'artifice ;
    • le Forum des associations, le 1er samedi de septembre après la rentrée scolaire.

    Le festival du Val d'Aulnay se tient tous les mois de juin dans les différents lieux de la Vallée-aux-Loups.

    Le festival Paysages de cinéaste a lieu chaque année, à l'initiative du cinéma Le Rex[40].

    Le VIVI festival a lieu chaque année au profit de l'association ASMAE pour l'un de ses microprojets au Burkina Faso.

    Chaque année depuis 2008 ont lieu en avril les « Rencontres du livre Afrique - Caraïbes - Maghreb » sous la direction de l'écrivain Caya Makhélé.

    Sports

    Dans les années 1940 est créé le club omnisports de la Section Sportive Voltaire. Le footballeur international Robert Jonquet y évolue une saison à 16 ans pendant la guerre.

    Mais c’est principalement grâce au handball que la SS Voltaire s’est fait connaître[41]. Le club a en effet évolué en Championnat de France de première division lors des saisons 1964-1965, 1967-1968 puis quatre saisons entre 1975 et 1979. Plusieurs joueurs de qualité ont ainsi évolué à la SS Voltaire, tels Alfred Alexandre, Roland Indriliunas ou Lionel Nicolas, tous internationaux français.

    En 1985, à la demande de la municipalité, un changement d'appellation a été prononcé afin de faire clairement apparaître le nom de la ville : la Section Sportive Voltaire intègre alors l'Association sportive Voltaire de Châtenay-Malabry.

    Châtenay-Malabry abrite également le siège de l'Agence française de lutte contre le dopage, qui a notamment mis au point une méthode de détection du dopage à l'EPO grâce au test urinaire.

    Médias

    Chaque mois, le magazine d'informations municipales Les Nouvelles de Châtenay-Malabry est disponible. il est diffusé dans toutes les boîtes aux lettres de la ville.

    Cultes

    Les Châtenaisiens disposent de lieux de culte catholique, musulman, orthodoxe et protestant

    Culte catholique

    Église Sainte-Thérèse d'Avila.

    Depuis janvier 2010, la commune de Châtenay-Malabry fait partie du doyenné de la Pointe Sud, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[42].

    Il y a quatre paroisses catholiques à Châtenay-Malabry[43],[44]. Les lieux de culte correspondant sont :

    Culte musulman

    La ville dispose depuis peu, d'une mosquée, non loin du parc de la Vallée-aux-Loups.

    Culte orthodoxe

    L'église Sainte-Marie-et-Saint-Marc de l'Église copte orthodoxe.

    Deux lieux de culte chrétien de rite oriental :

    Culte protestant

    Quatre communautés protestantes sont implantées dans la commune :

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 764 , ce qui plaçait Châtenay-Malabry au 6 837e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[58].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cèdre de l'arboretum.
    Lavoir de Châtenay.

    La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[59].

    Les éléments historiques subsistant apparaissent comme relativement nombreux pour une commune de cette taille. Outre les traces allant du néolithique à l’époque mérovingienne, on peut retrouver des édifices historiques très marquants.

    Les grandes propriétés conventuelles ou nobiliaires, bien que disparues, ont façonné le tissu en réservant de grandes parcelles qui soit ont été partagées ou loties, soit constituent les domaines de grands parcs aménagés (le CREPS d'Île-de-France, le parc de la Vallée-aux-Loups, les pépinières Croux, etc.).

    L’ancienneté, la rareté et la qualité d’éléments végétaux nombreux apparaissent comme ayant une véritable valeur patrimoniale indissociable des éléments architecturaux ou urbains.

    Patrimoine culturel

    Châtenay-Malabry et les arts

    • Des scènes du film Coup de tête (1979) de Jean-Jacques Annaud ont été tournées sur le territoire de la commune.
    • Tendre banlieue est le titre d'une série de bande dessinée créée en 1982 par Tito dont les histoires se déroulent essentiellement à Châtenay-Malabry[63].
    • Châtenay-Malabry (2002) est le titre d'une chanson de Vincent Delerm.
    • L'histoire du livre Les enfants sont rois (2021) de Delphine de Vigan se déroule dans la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Marguerite Syamour, Monument à Voltaire (1906).
    Buste de Voltaire ornant sa maison présumée natale au 1, place Voltaire.
    • Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), qui a acquis en 1670 la seigneurie de Sceaux ainsi que des terres à Châtenay pour capter les eaux destinées à alimenter le parc de Sceaux. Depuis cette époque, les armes des deux villes portent la couleuvre de la maison de Colbert (coluber en latin).
    • François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), a séjourné à Châtenay-Malabry. Il prétendait y être né.
    • François-René de Chateaubriand (1768-1848), qui y fit l'acquisition du domaine de la Vallée-aux-Loups.
    • Henri de Latouche (1785-1851), journaliste, poète et écrivain, inhumé au cimetière ancien de Châtenay-Malabry.
    • Sosthène II de La Rochefoucauld, 4e duc de Doudeauville (1825-1908), ambassadeur de France, député, président du Jockey Club, propriétaire de La Vallée aux Loups.
    • Jules Barbier (1825-1901), poète, dramaturge et librettiste, habitait Châtenay-Malabry.
    • Sully Prudhomme (1839-1907), poète français, premier écrivain à recevoir le prix Nobel de littérature (1901), mort à Châtenay-Malabry.
    • Félix Fénéon (1861-1944), critique d'art, journaliste et directeur de revues, mort à Châtenay-Malabry.
    • Henry Gerbault (1863-1930), né à Châtenay le 24 juin, dessinateur humoristique, illustrateur et affichiste.
    • Paul Léautaud (1872-1956), écrivain, habitant de Fontenay-aux-Roses, inhumé au cimetière ancien de Châtenay-Malabry.
    • Jean Longuet (1876-1938), homme politique français, fut maire de Châtenay-Malabry de 1925 à 1938.
    • Henri Le Savoureux (1881-1961), médecin psychiatre, fondateur de la Société Chateaubriand, premier-adjoint de Jean Longuet, résistant.
    • Louise Janin (1893-1997), peintre et poète américaine, morte à Châtenay-Malabry[64].
    • Jacques Rigaut (1898-1929) - Poète français, mort à Châtenay-Malabry.
    • Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe français, fondateur de la revue Esprit, mort à Châtenay-Malabry où il est inhumé.
    • André Martinet (1908-1999), linguiste, mort à Châtenay-Malabry.
    • Pierre George (1909-2006), géographe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, mort à Châtenay-Malabry.
    • Paul Ricœur (1913-2005), philosophe chrétien, membre de la communauté de Robinson (paroisse protestante), mort à Châtenay-Malabry. De 1999 à 2001, Emmanuel Macron se rendait chaque semaine aux Murs Blancs pour assister Ricœur sur son livre La Mémoire, l'histoire, l'oubli.
    • Claude Seignolle (1917-2018), écrivain et folkloriste, qui vécut à Châtenay-Malabry.
    • Armand Jammot (1922-1998), producteur de télévision, mort à Châtenay-Malabry.
    • René-Louis Lafforgue (1928-1967), auteur, compositeur et chanteur, habitait Châtenay-Malabry en 1957, jusqu'à sa mort.
    • Guy Hocquenghem (1946-1988), essayiste, romancier et militant homosexuel, habitait Châtenay-Malabry.
    • Marie-George Buffet (née en 1949), femme politique, adjointe au maire de Châtenay-Malabry en 1977.
    • Patricia Gozzi (née en 1950), actrice de cinéma.
    • Thierry Le Luron (1952-1986), imitateur, humoriste et chanteur, fut élève du lycée Emmanuel-Mounier.
    • Georges Siffredi (né en 1956), maire de Châtenay-Malabry de 1995 à 2020.
    • Marisol Touraine (née en 1959), ministre, habitait[Quand ?] Châtenay-Malabry.
    • Françoise Abraham (née en 1962), sculpteur et peintre née à Châtenay-Malabry.
    • Christophe Lambert (né en 1969), écrivain jeunesse, né à Châtenay-Malabry.
    • Manu Eveno (né en 1971), chanteur et guitariste français, membre du groupe Tryo, né à Châtenay-Malabry.
    • Laurent Chambon (né en 1972), sociologue et politologue, né à Châtenay-Malabry.
    • Fabrice Colin (né en 1972), écrivain, né à Châtenay-Malabry.
    • Grégoire Colin (né en 1975), acteur, né à Châtenay-Malabry.
    • Vincent Delerm (né en 1976), auteur-compositeur-interprète qui écrit et compose la chanson Châtenay-Malabry qui sort en 2002 sur son premier album Vincent Delerm.
    • Jérôme Rothen (né en 1978), footballeur français, né à Châtenay-Malabry.
    • Aurélia Aurita (née en 1980), autrice de bande dessinée, née à Châtenay-Malabry.
    • Habib Bamogo (né en 1982), footballeur français, habite[Quand ?] Châtenay-Malabry.
    • Clémence Poésy (née en 1982), actrice française, habite[Quand ?] Châtenay-Malabry.
    • Arnaud Marchois (né en 1983), joueur de rugby à XV, né à Châtenay-Malabry.
    • Aurélie Valognes (née en 1983), romancière, née à Châtenay-Malabry.
    • Hatem Ben Arfa (né en 1987), footballeur français, habite[Quand ?] Châtenay-Malabry.
    • Lise Stoufflet (née en 1989), artiste peintre, née à Châtenay-Malabry.
    • Allan Saint-Maximin (né en 1997), footballeur français né à Châtenay-Malabry.

    Héraldique

    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    Parti, au 1er, de gueules à la branche de châtaignier d'or garnie de ses fruits d'argent, au 2e, d'or à la couleuvre ondoyante d'azur en pal (rappelant les armes de Colbert).[65]

    Armes parlantes (Châtaignier / châtaignes ⇒ Châtenay).

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Châtenay-Malabry : histoires et paysages, ouvrage édité par l'office de tourisme de Châtenay-Malabry, 1988, 333 pages (ISBN 2-95031-130-X)
    • Philippe Chambault et Fr. Guyard, Châtenay-Malabry, 1990.
    • Robert Dauvergne, Fouilles archéologiques à Châtenay-sous-Bagneux (Châtenay-Malabry en 1718-1729), sépultures mérovingiennes et médiévales, Paris et Ile-de-France, t. 16-17, 1965-1966, Paris, 1967, p. 241-270.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. « infoclimat », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    3. « Orly, Val-de-Marne(94), 89 m - [1961-1990] », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    4. http://www.chatenay-malabry.fr/pdf/PLU-diagnostic-mai-2010.pdf
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
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    23. Décret n° 2015-1655 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Antony sur Légifrance.
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    28. Ariane Riou, « Georges Siffredi passe le flambeau à Carl Ségaud à Châtenay-Malabry : Carl Ségaud a été élu maire avec 33 voix sur les 39 du conseil municipal, lors d’une séance teintée d’émotion, ce jeudi. Il doit son élection à celle de Georges Siffredi, maire sortant, à la tête du conseil départemental », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Le 15 mars dernier, Georges Siffredi, à la tête de sa liste, est élu dès le premier tour avec 65,37 % des voix. À l'époque, il compte bien renfiler l'écharpe de maire […] Deux semaines plus tard, le 28 mars, Patrick Devedjian, patron du département, est emporté par le Covid-19 à 75 ans. […] Georges Siffredi, « grand ami de 28 ans » de Patrick Devedjian et premier vice-président du conseil départemental, assure l'intérim quelque temps, malgré la « douleur » de cette disparition. Il finit par être élu en bonne et due forme, ce lundi, à la tête du conseil départemental ».
    29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Municipales à Châtenay-Malabry : Siffredi (UMP) réélu sur un score record », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne) « Réélu dès le premier tour, avec 66,67% des voix, soit près de 14 points de plus qu'en 2008: ce soir, l'UMP Georges Siffredi savourait sa large victoire ».
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    56. Site de la paroisse
    57. « Page d'accueil », sur le blog de l'Église Évangélique Luthérienne de Châtenay Malabry - Le Plessis Robinson (consulté le ).
    58. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    59. « Châtenay-Malabry », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Notice no PA00088089, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    61. Notice no PA00088086, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. Site officiel de la maison de Chateaubriand
    63. .
    64. « Louise Janin ou le musicalisme à haut rythme », in 88 notes pour piano solo, Jean-Pierre Thiollet, Neva Editions, 2015, pp. 82-86. (ISBN 978 2 3505 5192 0).
    65. GASO - Banque du blason - 92019.
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