Arielle Dombasle

Arielle Dombasle est une actrice, chanteuse, réalisatrice, scénariste et meneuse de revue franco-américaine, née le à Hartford (Connecticut).

Pour les articles homonymes, voir Sonnery, Dombasle et Fromental.

Arielle Dombasle
Arielle Dombasle en 2013.
Nom de naissance Arielle Laure Maxime Sonnery[1]
Surnom Arielle Dombasle
Naissance
Hartford, Connecticut,
États-Unis
Nationalité Française
Américaine
Profession Actrice
Chanteuse
Réalisatrice
Scénariste
Meneuse de revue
Films notables Amazone
Pauline à la plage
L’Ennui
Un Indien dans la ville
Astérix et Obélix contre César
Lovely Rita, sainte patronne des cas désespérés
Site internet www.arielle-dombasle.com

Elle se fait connaître du public français grâce aux films d'Éric Rohmer (Perceval le Gallois, Pauline à la plage), des séries télévisées comme Miami Vice ou Lace, ou encore des films grand public comme Un Indien dans la ville ou Astérix et Obélix contre César. Elle a travaillé sous la direction de cinéastes aussi divers qu'Alain Robbe-Grillet (La Belle Captive), Werner Schroeter (Deux), Philippe de Broca (Amazone), Roman Polanski (Tess), Jean-Pierre Mocky (Crédit pour tous) ou Raoul Ruiz (Les Âmes fortes).

À partir de l'an 2000, Arielle Dombasle entame une carrière de chanteuse avec l'album Liberta, suivi en 2002 d’Extase (tous deux disques d'or) puis, en 2004, d’Amor Amor (disque de platine) suivi de l'album C'est si bon en 2006 et Glamour à mort en 2009 tous deux disques d'or.

Mariée à Bernard-Henri Lévy depuis 1993, elle joue sous la direction de celui-ci dans la pièce Le Jugement dernier en 1992, puis dans le film Le Jour et la Nuit en 1997.

Biographie

Enfance, famille et formation

Extrait de l'acte de naissance
d'Arielle Sonnery.

Arielle Laure Maxime Sonnery[1], dite Arielle Dombasle, est née le à Hartford dans le Connecticut[2],[3],[alpha 1] ; ce qui reste contesté[5].

Franco-américaine[6], elle est la troisième enfant (après un fils Gilbert né en 1951 et une fille morte à sa naissance) de Jean-Louis-Melchior Sonnery, dit Sonnery de Fromental[7], fils d'un industriel lyonnais[alpha 2], archéologue et collectionneur d'art précolombien, et de Francion Garreau-Dombasle[8].

Son grand-père maternel, Maurice Garreau-Dombasle[9], est consul de France à Calcutta (Empire des Indes) dans les années 1920. Il y épouse en secondes noces en 1926 Germaine-Alice Masset dite Man'ha Garreau-Dombasle (1898-1999)[10],[11], écrivain et poète, qui s'initie à la culture indienne durant les cinq ans passés au consulat de Calcutta. Elle traduit en français Les Amours de Radha et de Krishna de Rabindranath Tagore. Elle a également traduit en français le roman Fahrenheit 451 de l'écrivain de science-fiction Ray Bradbury, avec qui elle était très liée. Bradbury lui a dédié son roman The Halloween Tree (1972). Elle était l'amie de nombreux artistes, dont Paul Claudel, Octavio Paz, Benjamin Peret, Rufino Tamayo, Marie Laurencin ou Tamara de Lempicka.

Par la suite attaché commercial à l’ambassade française à Washington, Maurice est le premier diplomate français aux États-Unis à rejoindre le général de Gaulle exilé à Londres en 1940. Conseiller du général, il fonde la représentation de la France libre aux États-Unis la même année[12] et est ensuite le représentant spécial du général de Gaulle en Amérique latine, délégué du gouvernement provisoire d’Alger puis envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire au Mexique du au .

Arielle passe son enfance à Mexico, Cuernavaca et Valle de Bravo au Mexique[13]. Enfant, elle fait deux voyages de Mexico à Paris en 1955 et 1957[14] et réside au château de Chaintré près de Mâcon, propriété de ses grands-parents paternels depuis 1906[15]. Après avoir perdu leur mère, âgée de 34 ans[8],[alpha 3], en 1964, elle et son frère aîné Gilbert sont élevés par leur grand-mère maternelle dans le Midi de la France durant un an[16]. Arielle entre à l’École supérieure de danse de Cannes Rosella Hightower. Les deux enfants rejoignent ensuite leur père et sa nouvelle épouse, Laurence de Chazournes, au Mexique[8]. Arielle pratique la danse classique et le théâtre dans une petite troupe qu'elle a montée à Mexico. En 1976, elle se rend à Paris pour suivre des cours de danse et de chant au Conservatoire international de musique de Paris[4],[17] ainsi que des cours d'art dramatique et de comédie d'abord au cours Simon, puis chez Andréas Voutsinas. Elle fréquente Le Palace et y rencontre ceux qui resteront ses amis tels le chausseur Christian Louboutin, le décorateur Vincent Darré, le mannequin Farida Khelfa, ou le duo de photographes Pierre et Gilles[4],[alpha 4].

Théâtre, cinéma et télévision

Arielle Dombasle apparait, en 1979, dans un premier rôle au théâtre dans La Petite Catherine de Heilbronn de Heinrich von Kleist, mis en scène par Éric Rohmer au Théâtre des Amandiers de Nanterre, où sa prestation est saluée, notamment par François Truffaut, qui écrit à propos d'elle : « La voix, les mouvements, les gestes, les regards, j'ai tout admiré dans votre création dans le spectacle de Kleist. […] Je voulais vous dire que vous êtes bien, très bien, quelqu'un de rare et de beau »[18].

Égérie d'Éric Rohmer, elle se fait connaître au cinéma en France avec Perceval le Gallois en 1979, et Le Beau Mariage en 1981. C'est également en 1981 qu'elle s'essaye au style érotique dans Les Fruits de la passion, film franco-japonais de Shūji Terayama avec Klaus Kinski et Isabelle Illiers. Mais c'est surtout le succès de Pauline à la plage, en 1982, qui lui donne sa notoriété auprès du public français. Toujours fidèle à Rohmer, elle joue dans L'Arbre, le Maire et la Médiathèque en 1993, et Les Rendez-vous de Paris en 1995. Elle mène parallèlement une carrière aux États-Unis ou en Angleterre. Elle se fait notamment remarquer dans Sins aux côtés de Joan Collins où elle est qualifiée d'« éblouissante » par Judy Flander[19] et joue également dans des séries télévisées américaines comme Miami Vice ou Lace. C'est notamment par ce biais qu'elle se fait connaître en France.

Elle joue sous la direction des cinéastes les plus différents, notamment avec Roman Polanski dans Tess (1979) ; Shuji Terayama dans Les Fruits de la passion[alpha 5] (1981) ; Alain Robbe-Grillet dans La Belle Captive (1982), Un bruit qui rend fou (1995) et Gradiva (2005) ; Raoul Ruiz dans Fado mineur et majeur (1993), Trois vies et une seule mort (1995), Le Temps retrouvé (1998) et Les Âmes fortes (2001) ; Patrick Mimouni dans Villa Mauresque (1993) et Quand je serai star (2005) ; Cédric Kahn dans L'Ennui (1998) ; Alejandro Pelayo dans Miroslava (2001) ; John Malkovich dans Hideous Man (2002) ; Anne Fontaine dans Nouvelle Chance (2006) ; Michel Houellebecq dans La Possibilité d'une île (2008) ; Jean-Pierre Mocky dans Crédit pour tous (2011) et À votre bon cœur, mesdames (2012).

Elle est également apparue dans des comédies populaires, comme Un Indien dans la ville (1994) aux côtés de Patrick Timsit et de Thierry Lhermitte, ou Astérix et Obélix contre César (1999) de Claude Zidi, dans lequel elle tient le rôle de Mme Agecanonix.

Son époux, Bernard-Henri Lévy, lui offre en 1996 le rôle féminin principal de son premier film, Le Jour et la Nuit, aux côtés d'Alain Delon, Lauren Bacall et Karl Zéro. Qualifié par Claude Chabrol de « film le plus con de l'année »[20], c'est un échec artistique et commercial retentissant[21].

Elle fait ses débuts de réalisatrice en 1982, avec Chassé-croisé. Suivront Les Pyramides bleues (1988), Opium (2013), une comédie musicale inspirée des amours de Jean Cocteau et de Raymond Radiguet, Alien Crystal Palace (2018), ainsi que les documentaires La Traversée du désir (2000), Barbie par Arielle (2010) et le court-métrage érotique Le Bijou indiscret dans la série X-Femmes (2008).

Arielle Dombasle photographiée en 2006 par le studio Harcourt.

Au théâtre, elle joue pour la compagnie Renault-Barraud, en 1984, dans Retour à Florence de Henry James, puis en 1988, dans L'Absolu naturel de Goffredo Parise, mis en scène, l'un et l'autre, par Simone Benmussa. En 2003, elle joue le rôle de la Belle dans la comédie musicale de Jérôme Savary, La Belle et la Toute Petite Bête, à l'Opéra-Comique, puis, en 2010, le rôle de l'Ange bleu dans Don Quichotte contre l'Ange bleu, toujours de Jérôme Savary au théâtre de Paris. Jérôme Savary dira d'Arielle Dombasle : « Cette fille fait tout ! Elle chante, elle danse ; elle n'hésite pas à se mettre en danger... C'est une vraie comédienne[22] ! » Du 17 décembre 2013 au 12 janvier 2014, elle joue le rôle Lana Turner dans El Tigre de Alfredo Arias, un opéra de Bruno Coulais, au théâtre du Rond-Point, à Paris[23]. À partir du 13 janvier et jusqu'au 22 janvier 2017, Arielle Dombasle jouait dans Folle Amanda aux côtés de Michèle Bernier et Patrick Braoudé sur la scène du théâtre de Paris. Une captation de la pièce a été faite et diffusée en direct sur TF1 le samedi 21 janvier 2017[24].

À la télévision, Arielle Dombasle incarne notamment, en 2004, Sissi dans Sissi, impératrice rebelle de Jean-Daniel Verhaeghe, et Milady dans le téléfilm éponyme de Josée Dayan en 2006. Elle joue dans le téléfilm Les Frangines de Laurence Katrian, avec Michèle Bernier et Guillaume Gallienne. Ce fut l'une des plus fortes audiences de l'année 2005 sur TF1.

Du 11 au 18 février 2007, le Crazy Horse accueille Arielle Dombasle pour une série de 17 représentations exceptionnelles où une succession de 6 tableaux sont créés par Vincent Darré et Ali Mahdavi[25].

En septembre 2013, elle est l'une des vedettes de la série quotidienne Y'a pas d'âge sur France 2 aux côtés de Claude Brasseur, Carmen Maura et Marthe Villalonga.

Arielle Dombasle participe au film Valentin Valentin de Pascal Thomas, où elle joue le rôle de la mère du personnage principal, sorti en salles le 7 janvier 2015[26].

À l'automne 2017, elle participe à la huitième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Maxime Dereymez[27],[28], et termine huitième de la compétition[29].

Après avoir collaboré avec Nicolas Ker sur l'album La Rivière Atlantique, Arielle Dombasle réalise son 4e long métrage, Alien Crystal Palace, dans lequel elle-même et Nicolas Ker ont les rôles principaux, et qui sort le 23 janvier 2019[30]. Elle y met également en scène des amis et acteurs dont Michel Fau, Asia Argento, Ali Mahdavi, Christian Louboutin, Thaddaeus Ropac ou Jean-Pierre Léaud.

Musique

Le chant a accompagné la carrière d'Arielle Dombasle dès son premier film, Perceval le Gallois (1978), dans lequel elle interprète des airs médiévaux[4].

En 1985, elle sort son premier 45 tours, la Cantate 78 de Jean-Sébastien Bach, en duo avec Octavian Loys.

Je te salue mari sort en 1986 (dans le cadre de la campagne publicitaire des robes de mariée Pronuptia dessinées par Jean-Paul Gaultier)[31]

Fin 1989, elle fait la rencontre de la chanteuse Emmanuelle. Celle-ci produit alors le single Amour Symphonique en 1990, chez Stiger Records (filiale d'AB Disques). Le clip de la chanson est réalisé par Éric Rohmer.

Devenant « soprano dramatique »[4], elle s'y consacre plus intensément à partir des années 2000. Ses cinq premiers albums mêlant pop et lyrique (Extase en 2000, Liberta en 2002, Amor, Amor en 2004, C’est si bon en 2006 et Glamour à Mort en 2009) ont été couronnés de quatre disques d'or don deux doubles disques d'or et un double disque de platine[alpha 6],[32].

Son album Glamour à mort, écrit et réalisé par Philippe Katerine, avec des arrangements de Gonzales et des mixes de Renaud Letang, a été salué par la presse à sa sortie[33].

En 2013, elle enregistre un album avec le groupe Era à Londres, inspiré à la fois par la musique sacrée, la musique de film et l'univers techno de la musique trance[34]. Deux ans plus tard, en 2015, elle sort un nouvel album French Kiss avec le groupe Hillbilly Moon Explosion[35].

De juin à , l'organisation « Opéra en plein air » choisit pour ses tournées en France la représentation de La traviata de Verdi sur une mise en scène d'Arielle Dombasle[36],[37] avec une chorégraphie signée Rémy Yadan et des costumes de Vincent Darré[38].

Pendant près de trois ans, Arielle Dombasle a collaboré avec Nicolas Ker pour donner naissance à un album intitulé La Rivière Atlantique paru le 14 octobre 2016 chez Pan European Recording[39].

Le , Laurent Ruquier annonce dans le quotidien Le Parisien qu'Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra reformeront le groupe yé-yé Les Parisiennes dans le cadre de la sortie d'un album, le , et d'une tournée française qui a débuté le aux Folies Bergère[40] et prendra fin le à l'Olympia[41].

En 2020, Arielle Dombasle annonce la sortie de son nouvel album avec Nicolas Ker intitulé Empire[42]. Après avoir annoncé une sortie le 24 avril 2020[43], la date est finalement repoussée au 19 juin 2020 à la suite de la crise sanitaire du coronavirus en France. Le premier single extrait de ce nouvel album s'intitule "Just Come Back Alive"[44].

Radio

Depuis le 22 janvier 2016[45], Arielle Dombasle fait partie des « sociétaires » de l'émission Les Grosses Têtes sur RTL, présentée par Laurent Ruquier[46].

Autres activités

Avec la collaboration de Mauboussin, Arielle Dombasle co-signe et lance en février 2016 son premier parfum Le Secret d'Arielle[47],[48], décliné en mai 2017 au format eau de parfum. La campagne promotionnelle a été réalisée par l'artiste Leonardo Marcos[49].

Engagement

Arielle Dombasle participe à des campagnes de sensibilisation, comme pour l'association PETA en septembre 2016. Pour cette association de défense des animaux, la comédienne, qui se dit végétarienne depuis ses vingt ans, apparaît nue avec le slogan suivant : « Il n'y a pas de fruit défendu, devenez végétarien »[50].

En 2020, Arielle Dombasle s'engage dans l'écologie en lançant, avec le soutien de la Fondation Nicolas Hulot, le défi #JeSauveUneSirène sur les réseaux sociaux pour sensibiliser les gens à ramasser le plastique sur les plages afin que la destruction des écosystèmes marins par le plastique prenne fin[51].

Vie privée

Mariée en premières noces le au dentiste Paul Albou (ce dernier étant âgé de 32 ans de plus qu'elle)[52] dont elle divorce en 1985, Arielle Dombasle épouse en secondes noces le Bernard-Henri Lévy, à Saint-Paul-de-Vence sur la Côte d’Azur[1].

Le , elle lance sa propre société de conseil et de prestation artistique baptisée AD Céleste[53] qui vient s'ajouter à ses autres activités, notamment artistiques (dans le cadre de la société « Dombasle Arielle » créée en 1994)[54]. Le même jour sont publiés sur son site officiel ses date et lieu de naissance, sujet que longtemps elle ne souhaita pas aborder publiquement[55]. Mais en 2011, Arielle Dombasle refuse de figurer dans le Who’s Who in France du fait d’un « désaccord avec le nombre d’années que veut lui attribuer la rédaction »[56].

Théâtre

Filmographie

Longs métrages

Courts métrages

Télévision

Réalisatrice-scénariste

Discographie

Albums

Distinctions

Arielle Dombasle en 2000 lors de la 25e cérémonie des César.

Décorations

Le , Arielle Dombasle est nommée chevalier de la Légion d'honneur des mains du ministre de la culture, Renaud Donnedieu de Vabres, qui « rend hommage à tous ces visages qu'elle a bien voulu offrir à la Grâce, à la Beauté et au Talent[57] ».

Récompenses et nominations

En 1999, Arielle Dombasle est nommée à la 24e cérémonie des César dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle pour L'Ennui de Cédric Kahn[58].

En 2001, elle reçoit au Festival du film de Cabourg le prix de l'actrice la plus romantique pour Les Âmes fortes de Raoul Ruiz[59].

Le 5 décembre 2009, elle préside le jury pour l'élection de Miss France qui comprend notamment son ami de longue date Jean-Paul Gaultier[60], Farida Khelfa, Mareva Galanter, Xavier Deluc, Jimmy Jean-Louis et Jean-Luc Reichmann.

Le 17 décembre 2016, à Montpellier, Arielle Dombasle préside le jury de l'élection Miss France aux côtés de d'Ingrid Chauvin, Michèle Bernier, Malika Ménard, Amir, Christophe Barratier et Tony Yoka[61]

Autres nominations

Arielle Dombasle a fait l'objet d'un gag récurrent lors de chacune des sept cérémonies des Gérard du cinéma, parodie des Césars qui eut lieu entre 2006 et 2012, où elle est quasiment systématiquement la seule nommée, dans une catégorie fictive brodant autour de la dénomination « plus mauvaise actrice bénéficiant des réseaux de son mari ». Elle n'a cependant jamais pris part à aucune des cérémonies.

Notes et références

Notes

  1. La date de naissance d'Arielle Dombasle a été longtemps sujette à caution et source, de ce fait, de très nombreuses polémiques, notamment sur Wikipédia. Lors d'une interview, Arielle Dombasle précise : « Moi-même j'ai trente-six mille dates de naissance… J'ai l'âge qu'on me donne et c'est parfait comme ça[4]. »
  2. René-Yvan-Marie Sonnery (1887-1966) ayant épousé Anne-Marie-Maxime Berthon du Fromental (1891-1966), leur fils adopta les deux patronymes. Arielle reçut comme second prénom celui de sa grand-mère.
  3. Ou 32 ans selon l'entretien avec Catherine Schwab, Paris Match no 2896, 24 novembre 2004, p. 84.
  4. La photographie de 2002, intitulée Extase mettant en scène Arielle Dombasle par Pierre et Gilles, ainsi que sa genèse apparaît dans Chloé Devis, Derrière l'objectif de Pierre et Gilles : Photos et propos, éditions Hoebeke, , 155 p. (ISBN 2842304683), p. 104 et 105.
  5. Film érotique produit par Anatole Dauman et inspiré du roman de Pauline Réage, Histoire d'O.
  6. Les arrangements d'Amor, Amor et de C'est si bon sont dus à Jean-Pascal Beintus, sous la direction de Marc di Domenico et Matthieu Tarot.

Références

  1. Marie-Dominique Lelièvre, « La vie à deux Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle. Une romance. », Libération, 9 août 1996. À noter que l'article indique comme année de naissance 1958, contredite depuis par d'autres sources.
  2. André Siscot, « Arielle Dombasle », Les Gens du cinéma, consulté le 3 mars 2010.
  3. Aurélie Raya, « Sacrée Arielle », Paris Match, no 3349, , p. 7 (ISSN 0397-1635).
  4. Le journaliste Luc Le Vaillant prétend dans un portrait publié dans Libération en janvier 2019 avoir vu la copie du passeport que l'actrice lui aurait fait parvenir. Elle serait née en 1958, ce que la journaliste Marie-Dominique Lelièvre avait déjà indiqué dans le même journal en 1996 (supra) - Portrait. Arielle Dombasle, super eros (consulté le 10 février 2021)
  5. « Deux Américaines à Paris », L'Express, 27 juin 2008.
  6. Généalogie sur geni.com.[source insuffisante]
  7. Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », Paris Match, 9 mai 2009.
  8. Acte de naissance no 350 (vue 280/374), registre des naissances pour les années 1881-1882, archives municipales de la ville d'Alès.
  9. Who’s Who in France, 1re édition, 1953-1954.
  10. Germaine-Alice Masset sur la base Pierfit, geneanet.org
  11. « Maurice Garreau Dombasle », sur francaislibres.net (consulté le ).
  12. Hélène Mathieu (Interview d'Arielle Dombasle), « Arielle Dombasle : “Mon seul accomplissement, c’est l’amour” », Culture, sur psychologies.com, Psychologies magazine, (consulté le ) : « Vous parlez souvent de votre enfance mexicaine. Pourquoi avez-vous vécu là-bas ? – Arielle Dombasle : Parce que mon grand-père maternel a été nommé ambassadeur par le général de Gaulle pour représenter la France libre en Amérique latine. Mon père, qui était d’une famille de soyeux de Lyon, a ouvert des usines de soie en Amérique et au Mexique quand il a rencontré ma mère. Il a adoré ce pays et s’y est installé. ».
  13. Liste des passagers des vols Air France des 5 mai 1955 et 7 mai 1957 sur familysearch.org.
  14. Un conte de femme : Arielle Dombasle, documentaire de Thierry Humbert (Makam), 2013.
  15. Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », sur parismatch.com, (consulté le ).
  16. « Insaisissable Arielle Dombasle », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  17. François Truffaut, cité par Victor Hache dans Arielle Dombasle, éditions du Collectionneur, 2002, p. 142.
  18. (en) Judy Flander, « Collins battles to save empire in Sins finale », Lakeland Ledger, , p. 3C (lire en ligne).
  19. François-Xavier Ajavon, « Symbolisme et temporalité bergsonnienne dans Le Jour et la Nuit de Bernard-Henri Lévy » sur nanarland.com.
  20. Interview de Bernard-Henri Lévy sur nouvelobs.com, 7 mai 2004.
  21. 19-20 édition nationale, France 3, « La Belle et la Toute Petite Bête », sur Ina.fr, (consulté le ).
  22. « El Tigre », sur theatredurondpoint.fr, (consulté le ).
  23. « Michèle Bernier est Folle Amanda avec Arielle Dombasle », sur purepeople.com, (consulté le ).
  24. « Arielle Dombasle chante et enchante ! », sur lecrazyhorseparis.com, (consulté le ).
  25. « Valentin Valentin », sur allocine.fr (consulté le ).
  26. Charlotte Moreau, « Danse avec les stars s’offre Arielle Dombasle », sur leparisien.fr, (consulté le )
  27. « Arielle Dombasle dans la prochaine saison de "Danse avec les stars" », sur Le Huffington Post (consulté le )
  28. Cyndelina Arnous, « Danse avec les stars : Arielle Dombasle éliminée se confie : "Je n’avais plus dansé depuis une chute de cheval !" », sur tf1.fr,
  29. « Découvrez la bande d’annonce d’Alien Crystal Palace ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le )
  30. « Histoire - Pronuptia », sur pronuptia.com (consulté le )
  31. « Arielle Dombasle : Amor, Amor… », sur festivaldesculturesjuives.org, (consulté le ).
  32. Jean-Marc Lalanne, « Arielle Dombasle : Glamour à mort », Les Inrocks, 27 avril 2009.
  33. « Arielle Dombasle by Era », sur universalmusic.fr, (consulté le ).
  34. « Arielle Dombasle revient en mode rock'n'roll avec French Kiss », sur universalmusic.fr, (consulté le ).
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  36. Judith Chaine, « Arielle Dombasle : “Une Traviata tendue, sensuelle et féroce” », sur Télérama.fr, (consulté le ).
  37. « Opéra en plein air : La traviata mise en scène par Arielle Dombasle », sur culturebox.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  38. Morane Aubert, « Le nouveau clip coup de foudre de Nicolas Ker et Arielle Dombasle », sur lesinrocks.com, (consulté le ).
  39. Éric Bureau, « Les Parisiennes, maintenant, ce sont elles ! », Le Parisien, , p. 28 (lire en ligne)
  40. « Les Parisiennes à l'Olympia ! », sur arielle-dombasle.com,
  41. « Arielle Dombasle / à la maison », sur franceinter.fr, (consulté le )
  42. Charlotte Marsal, « CONFINEMENT : COMMENT ARIELLE DOMBASLE ET NICOLAS KER GARDENT LE MORAL », sur cnews.fr, (consulté le )
  43. « « Just Come Back Alive » le premier single extrait d’Empire ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le )
  44. Thomas Martin, « Arielle Dombasle rejoint les Grosses Têtes », sur rtl.fr, (consulté le ).
  45. Thomas Martin, « Arielle Dombasle rejoint les Grosses Têtes », rtl.fr, 22 janvier 2016 (consulté le 31 janvier 2016).
  46. « Le Secret d'Arielle : Parfums Mauboussin », sur mauboussinparfums.com, (consulté le ).
  47. Caroline Rochmann, « La molécule de l'amour : le secret d'Arielle Dombasle », sur parismatch.com, (consulté le ).
  48. « Soirée Arielle Dombasle : le tout-Paris découvre son secret », sur parismatch.com, (consulté le )
  49. « Faites comme Arielle Dombasle et croquez le fruit défendu », sur petafrance.com (consulté le ).
  50. « #JeSauveUneSirène Arielle Dombasle lance le challenge Pick up the Plastic ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le )
  51. Gilles Médioni, « Orthodromie entre Behonne et Bar-le-Duc », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  52. Sophie Bernard, « Arielle Dombasle lance une société, et révèle un secret », News de stars, 20 août 2010.
  53. Fiche de la société sur societe.com. Les statuts de l'entreprise indiquent que l’artiste est née un 27 avril 1953, à Norwich dans le Connecticut.
  54. « Biographie », sur arielle-dombasle.com (consulté le ).
  55. Charles de Saint-Sauveur, « Le Who’s Who, de A à Z », Le Parisien no 20871, 21 octobre 2011, p. 34. Article repris partiellement en ligne sur RTL2.fr.
  56. Discours de réception d'Arielle Dombasle au grade de chevalier de la Légion d'honneur, 28 février 2007.
  57. « Meilleure actrice dans un second rôle », sur academie-cinema.org (consulté le ).
  58. Palmarès 2001 sur le site officiel du Festival du film de Cabourg.
  59. « Miss France 2010 : J.P. Gaultier membre du jury », sur melty.fr, (consulté le ).
  60. [vidéo] Élection miss France 2017 sur tf1.fr.

Voir aussi

Bibliographie

  • Erwan Chuberre, Et Dieu créa... Arielle Dombasle, Alphée-Jean-Paul Bertrand, 2010.
  • Gérard Guégan (texte), Maya Sachweh (photos), « Meurtre à l'Olympic », roman-photo, Playboy France, no 114, mai 1983, p. 61-67.
  • Victor Hache, Arielle Dombasle, Éditions du Collectionneur, 2002.
  • Patrick Mimouni, Arielle, Flammarion, 2006.

Liens externes

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