Jean-Pierre Léaud

Jean-Pierre Léaud est un acteur français, né le à Paris.

Pour les articles homonymes, voir Léaud (homonymie).

Jean-Pierre Léaud
Jean-Pierre Léaud recevant un César d'honneur à la 25e cérémonie des César en 2000.
Naissance
Paris (France)
Nationalité  Français
Profession Acteur
Films notables Les Quatre Cents Coups
Masculin féminin
Baisers volés
La Maman et la Putain
La Nuit américaine
L'Amour en fuite
Les Keufs
J'ai engagé un tueur
Le Pornographe
La Mort de Louis XIV

À l'âge de quatorze ans, il est révélé par François Truffaut qui lui confie le rôle d'Antoine Doinel, le héros turbulent du film Les Quatre Cents Coups. À la suite de ce film, il fait sensation au festival de Cannes 1959 et Jean Cocteau, son président d'honneur, l'engage aussitôt pour Le Testament d'Orphée.

L’accomplissement du personnage Antoine Doinel viendra avec la trilogie à suivre[1], trois étapes de la vie (amoureuse) d’Antoine avec Christine Darbon (Claude Jade) de leur amour à leur mariage puis leur divorce : Baisers volés (1968), Domicile conjugal (1970) et L'Amour en fuite (1979).

Grâce à Truffaut, Jean-Pierre fait la connaissance d'autres cinéastes de la Nouvelle Vague, dont il devient l'un des acteurs fétiches. Ainsi Jean-Luc Godard l'engage pour des rôles plus ou moins importants dans la plupart de ses films entre 1965 et 1969, dans Masculin féminin (1966) et La Chinoise (1967) notamment.

Durant cette période il est également assistant réalisateur sur plusieurs films de Truffaut et Godard, et s'essaie lui-même à la réalisation en 1974. Il apparaît dans de nombreux films d'auteur, parfois exigeants, voire confidentiels. Sa carrière trouve la consécration avec La Maman et la Putain de Jean Eustache en 1973. La même année, il tient l'un des rôles majeurs de La Nuit américaine de François Truffaut.

Il connaît par la suite une relative éclipse. Il apparaît en 1985 dans Détective, de Godard, mais c'est le Finlandais Aki Kaurismäki, spécialiste de l'humour distancié et de l'expression minimale, qui lui permet de retrouver une véritable seconde carrière, en lui offrant le premier rôle dans J'ai engagé un tueur (1990). Jean-Pierre Léaud redevient alors un acteur récurrent du cinéma d'auteur ; on le voit ainsi chez Philippe Garrel ou dans les films d'une nouvelle génération de réalisateurs, parmi lesquels Olivier Assayas ou Bertrand Bonello.

Biographie

Jean-Pierre Léaud naît le à Paris[2],[note 1]. Il est le fils de la comédienne Jacqueline Pierreux et du scénariste Pierre Léaud[3],[4].

François Truffaut le rencontre au moment de l'audition pour Les Quatre Cents Coups en . À ce moment-là, Léaud a déjà fait une apparition au cinéma dans La Tour, prends garde ! (1957) de Georges Lampin. Truffaut tombe sous le charme du garçon et retrouve en lui le sentiment de révolte qu'il a éprouvé en tant qu'enfant[3]. Léaud est élève en pension en classe de 4e à Pontigny dans l'Yonne. Il est réputé pour être un élève turbulent[5]. Bien que Léaud soit un peu plus âgé que le personnage  il a alors 14 ans, tandis qu'Antoine Doinel, dans le scénario, en a 12  Truffaut le choisit, parmi cent autres candidats. Le réalisateur modifie ensuite le scénario pour adapter le rôle à sa personnalité. En 1979, dans un entretien avec Maurice Terrail, Truffaut raconte :

« Je crois qu'au départ, il y avait beaucoup de moi-même dans le personnage d'Antoine. Mais dès que Jean-Pierre Léaud est arrivé, sa personnalité qui était très forte m'a amené à modifier souvent le scénario. Je considère donc qu'Antoine est un personnage imaginaire qui emprunte un peu à nous deux[5]. »

Le tournage commence le et s'achève le [6]. Le film triomphe lors de sa projection au festival de Cannes le et Léaud devient à 14 ans une vedette[7].

Après le succès du film, Truffaut s'occupe de Jean-Pierre Léaud, lequel ne voulait pas retourner en pension. Truffaut lui trouve alors une place à l'institut de la Muette, rue Cortambert à Paris mais il est renvoyé de l'établissement après quelques semaines. Truffaut l'installe ensuite à Colombes chez un couple de retraités. Léaud fugue souvent. Finalement, Truffaut l'installe dans une chambre de bonne rue Quentin-Bauchart, puis rue Perdonnet, et s'occupe alors de lui comme un père[8],[9].

En 1961, Truffaut donne une suite aux Quatre Cents Coups avec le court métrage Antoine et Colette. Léaud retrouve à cette occasion le personnage d'Antoine Doinel. Le tournage commence le et dure une semaine[10].

Léaud rencontre Jean-Luc Godard en 1963 et travaille d'abord avec lui comme assistant sur Une femme mariée (1964), Alphaville (1965) et Pierrot le Fou (1965)[11].

Après lui avoir donné deux petits rôles dans Alphaville et Pierrot le fou, Godard propose à Léaud le rôle principal de Masculin féminin (1965). Il y interprète le rôle de Paul, un jeune militant engagé contre la guerre du Viêtnam[12]. Son personnage ressemble au personnage d'Antoine Doinel. C'est un amoureux transi qui peine à trouver sa place dans la société. Juste après le tournage de Masculin féminin, Léaud tourne Le père Noël a les yeux bleus (1965) de Jean Eustache à Narbonne[11].

Le cinéaste polonais Jerzy Skolimowski l'engage pour jouer le rôle principal dans Le Départ. Léaud y joue le rôle de Marc, un jeune garçon coiffeur amoureux de voitures de sport et amoureux d'une fille[13].

En 1967, Léaud commence aussi une carrière au théâtre dans la troupe d'Antoine Bourseiller et joue au festival d'Avignon dans Silence, l'arbre remue encore de François Billetdoux et La Baye de Philippe Adrien[14]. Cependant, il apprécie moins le théâtre que le cinéma. Dans l'entretien au magazine So Film (2012), il explique pourquoi il n'a pas fait plus de théâtre :

« Je vous l'ai dit : s'il n'y a pas de caméra, je perds mes repères. Moi, mon seul vrai partenaire, le grand Autre — comme dirait Lacan —, c'est la caméra[15]. »

François Truffaut reprend les aventures d'Antoine Doinel en 1968 avec Baisers volés. Le film est tourné en février et [16]. Après le tournage, l'actrice Delphine Seyrig fait part de son admiration pour le jeu de Léaud dans une lettre à François Truffaut : « Je suis désespérée de manquer si totalement d'invention, alors que Jean-Pierre Léaud exerçait sur moi, et je pense sur tout le monde, son charme, sa liberté de mouvement et de parole devant la caméra. Vous voyez, il a exactement les qualités que je voulais posséder. Son indépendance vis-à-vis des mots, son aisance dans l'improvisation, c'est ce que je souhaiterais le plus acquérir. Lui, il l'a d'emblée. J'aurais voulu être plus à la hauteur[17]. »

Jean-Pierre Léaud en 1969 dans Porcherie.

En 1969, il tourne dans Porcherie sous la direction de Pier Paolo Pasolini. Leur collaboration ne se passe pas bien. Léaud ne comprend pas les instructions de Pasolini. De plus, il est absent lors du doublage en français, Pasolini préférant à sa voix celle d'un autre acteur, Dominique Collignon-Maurin [18]. Léaud en garde un souvenir amer[15].

Après le succès de Baisers volés, il retrouve son personnage d'Antoine Doinel et encore sa partenaire de Baisers volés, Claude Jade, dans Domicile conjugal (1970). Le film raconte la vie conjugale d'Antoine et Christine Doinel. Le tournage a lieu entre le et le [19].

En 1970, il joue dans Out 1 : Noli me tangere, le film fleuve de Jacques Rivette, le rôle d'un personnage d'abord muet et qui retrouve la parole au cours du film[12].

Avec Les Deux Anglaises et le Continent (1971), François Truffaut donne pour la première fois à Jean-Pierre Léaud un vrai rôle de composition avec le personnage de Claude Roc. En lui proposant le rôle, Truffaut lui écrit : « Ce sera le personnage le plus difficile pour toi parce que tu devras jouer comme si tu étais né riche et grand[20]. »

En 1972, il interprète le rôle d'un réalisateur, représentant du cinéma de la Nouvelle Vague, dans Le Dernier Tango à Paris de Bernardo Bertolucci[12].

Léaud retrouve Truffaut dès 1972 avec La Nuit américaine. Truffaut lui confie le rôle d'Alphonse, un acteur romantique, capricieux et instable qui ressemble au vrai Jean-Pierre Léaud[21]. Après la sortie du film en , Godard envoie une lettre à Truffaut et souhaite faire parvenir une lettre à Léaud pour dénoncer le film. Truffaut ne transmet pas la lettre à Léaud et la renvoie à Godard avec une réponse incendiaire marquant leur séparation définitive[22].

En 1973, il présente à Cannes La Maman et la Putain de Jean Eustache. Le film reçoit le grand prix du jury[23].

Jean-Pierre Léaud retrouve une dernière fois le personnage d'Antoine Doinel avec L'Amour en fuite (1979)[24]. Alors que généralement les tournages de la série Doinel s'étaient bien passés, Truffaut éprouve des difficultés à faire ce film et décide que ce sera le dernier de la série. Léaud raconte que la rupture avec ce personnage qui l'a suivi depuis l'adolescence a été très douloureuse, « comme une rupture amoureuse »[9].

Dans Rue Fontaine (1984), Philippe Garrel lui donne le rôle de René, un personnage complètement désespéré[25].

Dans J'ai engagé un tueur (1991), Aki Kaurismäki lui donne le rôle d'un employé de bureau mis au chômage qui, n'ayant pas la force de se suicider décide d'engager un tueur. D'après le critique Gilles Anquetil, c'est l'un des plus beaux rôles de Léaud depuis La Maman et la Putain[26].

Après Rue Fontaine, Philippe Garrel lui donne un nouveau rôle dans La Naissance de l'amour (1993). Léaud y retrouve un personnage brillant et angoissé tel qu'il a pu l'incarner à l'époque de la Nouvelle Vague[27].

Bertrand Bonello lui confie le rôle d'un réalisateur de films X désabusé dans Le Pornographe (2001)[28]. La même année, Serge Le Péron rend hommage à l'acteur avec un documentaire intitulé Léaud l'unique dans lequel il a recueilli les témoignages de Jean-Luc Godard, André S. Labarthe, Olivier Assayas et Tsai Ming-liang[29].

En 2009, il revient au festival de Cannes, cinquante ans après la présentation des Quatre Cents Coups en 1959, pour le film Visages de Tsai Ming-liang[30].

En 2016, il interprète le rôle du roi de France dans La Mort de Louis XIV, réalisé par Albert Serra. La même année, il reçoit, pour l'ensemble de sa carrière, une palme d'honneur lors du 69e festival de Cannes[31].

Style de jeu

Jean-Pierre Léaud au festival de Cannes 2016.

Le style de jeu de Jean-Pierre Léaud est très particulier. En 1984, François Truffaut dit de lui :

« Jean-Pierre Léaud est un acteur antidocumentaire, même quand il dit bonjour, nous basculons dans la fiction, pour ne pas dire dans la science-fiction[32]. »

Truffaut le considère aussi comme le meilleur acteur de sa génération :

« J'ajoute simplement que Jean-Pierre Léaud est, selon moi, le meilleur acteur de sa génération et qu'il serait injuste d'oublier qu'Antoine Doinel n'est pour lui qu'un des personnages qu'il a joués, un des doigts de sa main, un des habits qu'il a portés, un des collèges de son enfance[33]. »

Les réalisateurs ont souvent confié à Léaud des rôles de bavard (La Maman et la Putain). Dans l'article qu'elle lui consacre dans Les Inrockuptibles en 2001, Catherine Millet remarque sa capacité à accompagner le texte de gestes qui lui sont propres et qui transforment son sens :

« Ses gestes, graphiques, abstraits, ont pour effet d'épurer le bavardage. Les paroles, même lorsqu'elles sont prononcées, comme c'est souvent le cas, d'une façon très appuyée, sont simultanément converties en une gestuelle qui ouvre ou déplace le sens. Soit que l'acteur, tout en parlant, marche et déplace le champ, soit qu'il pointe l'index et désigne un hors-champ que nous n'appréhendons pas, mental. Même lorsqu'il est filmé frontalement, en plan moyen, il écarte les doigts en éventail pour que ce soit ce dessin-là qui occupe l'espace et non pas seulement la parole[29]. »

Dans son entretien au magazine So Film (2012), Jean-Pierre Léaud explique qu'il essaie toujours de prendre la mise en scène à son compte, de « faire un film dans le film » et il ajoute que c'est justement la difficulté qu'il rencontre quand il tourne avec Jean-Luc Godard : « Avec Godard, c'est pas si facile : il voit bien que j'essaie de prendre les choses à mon compte, que je mets un petit peu en scène[15]. »

S'il fait l'admiration de certains, d'autres commentateurs apprécient moins le jeu de Jean-Pierre Léaud. Par exemple, dans sa critique de La Maman et la Putain, le critique Jean-Louis Bory jugeait le jeu de Léaud « exécrable ». Pour lui, « Jean-Pierre Léaud joue faux et reste faux[34]. »

Importance symbolique

Jean-Pierre Léaud est un acteur très important pour la Nouvelle Vague et pour cette génération. Après son film sur mai 68, le réalisateur Jean-Henri Roger, collaborateur de Godard en 1968, explique que Léaud incarne cette génération : « Godard incarne le pôle radical, mais Doinel incarne aussi Mai 68. Léaud est l'acteur de notre génération. Le corps de Léaud, c'est 68[35]. »

Charlotte Garson souligne dans le mensuel Études no 4232 de  revue de culture contemporaine , à propos du rôle incarné par Jean-Pierre Léaud dans La Mort de Louis XIV : « Serra a bel et bien trouvé la meilleure tête à placer sous la perruque mousseuse de l'agonisant : éternel Antoine Doinel, il confère à Louis XIV sa fraîcheur de puer senilis du cinéma français. »

Vie privée

Il est marié à Brigitte Duvivier[15].

Filmographie

Comme acteur

Comme assistant

Comme co-réalisateur

  • 1974 : De quoi s'agit-il ?, co-réalisé avec Michel Varésano

Comme scénariste

À la télévision

Théâtre

Distinctions

Notes et références

Notes

  1. D'autres sources comme les fiches de Monsieur Cinéma indiquent comme date de naissance le 5 mai 1944. Voir « Jean-Pierre Léaud », sur Les fiches de Monsieur Cinéma, Histoire Illustrée du Cinéma Mondial, Images & Loisirs(fiche 135/20)

Références

  1. Sans compter le court-métrage Antoine et Colette.
  2. « Extrait de naissance n° 1304/1944 », sur Les Gens du cinéma (consulté le ).
  3. de Baecque et Toubiana 2001, p. 258
  4. Hervé Aubron, « Nouvelle vague à l'âme », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  5. de Baecque et Toubiana 2001, p. 259
  6. de Baecque et Toubiana 2001, p. 261-264
  7. de Baecque et Toubiana 2001, p. 266
  8. de Baecque et Toubiana 2001, p. 291-292
  9. Antoine de Baecque et Didier Péron, « Retour à Doinel : Entretien avec Jean-Pierre Léaud », Libération, (lire en ligne) réédité dans Antoine de Baecque, Feu sur le quartier général ! : Le cinéma traversé : textes, entretiens, récits, Cahiers du cinéma, coll. « Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma », , 1re éd..
  10. de Baecque et Toubiana 2001, p. 360-363.
  11. Antoine de Baecque, Godard : Biographie, Paris, Fayard/Pluriel, coll. « Grand Pluriel », , 960 p. (ISBN 978-2-246-64781-2), p. 308-309.
  12. Serge Le Péron, « Le Paris de Jean-Pierre Léaud », Le Blog du Forum des images, (lire en ligne, consulté le ).
  13. Jean-Michel Frodon, « Skolimowski à fond la caisse », Slate, (lire en ligne).
  14. de Baecque et Toubiana 2001, p. 457.
  15. Aurélien Bellanger et Thierry Lounas, « Jean-Pierre Léaud », So Film, no 3, , p. 24-33.
  16. de Baecque et Toubiana 2001, p. 456-461.
  17. Antoine de Baecque et Serge Toubiana, François Truffaut, Gallimard, coll. « Folio », (1re éd. 1996), p. 461.
  18. http://www.cip-paris.fr/uploads/media/default/0002/17/6229937c28ef38249e8c46ad8967a1398e67cd1e.pdf
  19. de Baecque et Toubiana 2001, p. 519.
  20. de Baecque et Toubiana 2001, p. 558
  21. de Baecque et Toubiana 2001, p. 577.
  22. de Baecque et Toubiana 2001, p. 586.
  23. « Autour de La maman et la putain » [vidéo], sur ina.fr, Office national de radiodiffusion télévision française, (consulté le ).
  24. de Baecque et Toubiana 2001, p. 678-684.
  25. (en) Philippa Hawker, « Jean-Pierre Léaud : Unbearable Lightness », Senses of cinema, no 8, (lire en ligne).
  26. Gilles Anquetil, « Tu ne te tueras point », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne).
  27. Jacques Drillon, « Portrait du joueur », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne).
  28. Didier Péron, « Jean-Pierre Léaud, acteur hors de prise », Libération, (lire en ligne).
  29. Catherine Millet, « Jean-Pierre Léaud par Catherine Millet », Les Inrockuptibles, (lire en ligne).
  30. Serge Toubiana, « Jean-Pierre Léaud, le retour », Blog de Serge Toubiana, (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Cannes 2016 : Jean-Pierre Léaud, la palme de l'acteur cinéphile », Télérama, 22 mai 2016.
  32. François Truffaut, « Jean-Pierre Léaud : comédien halluciné », Studio 43, réédité dans François Truffaut, Le Plaisir des yeux, Flammarion, , p. 205-206.
  33. François Truffaut, « Préface », dans Les Aventures d'Antoine Doinel, Le Mercure de France, réédité dans Truffaut 1987, p. 18-26.
  34. Jean-Louis Bory, « Romance d'un jeune homme pauvre », Le Nouvel Observateur, , p. 79 (lire en ligne, consulté le )
  35. Juliette Cerf, « L'Esprit de mai : Entretien avec Jean-Henri Roger », Regards, (lire en ligne).
  36. « Légion d'honneur : 681 décorés, dont les militaires tués par Merah », Le Monde,
  37. Yannick Vély, « Jean-Pierre Léaud couronné de la Palme d'or d'honneur », sur Paris Match, (consulté le )

Annexes

Ouvrages

Articles

  • Marc Chevrie, « Jean-Pierre Léaud mime et médium », Cahiers du cinéma, no 351,
  • François Truffaut, « Jean-Pierre Léaud : comédien halluciné », Studio 43, , texte réédité dans François Truffaut, Le Plaisir des yeux, Flammarion, , p. 205-206
  • Marc Chevrie, « Doinel en raccourci », Cahiers du cinéma, no 366 Supplément,
  • Thierry Jousse, « Jean-Pierre Léaud », Cahiers du cinéma, no 15 Hors série,
  • Alain Philippon, « De Godard à Eustache, Léaud le passeur », Cahiers du cinéma, no 19 Hors série,
  • Jean-Marc Lalanne, « Léaud the first », Cahiers du cinéma, no 509,
  • Michèle Levieux, « Jean-Pierre Léaud, « Quelque part au milieu de nulle part » », L'Humanité, (lire en ligne)
  • Olivier Joyard, « Éloge de... Jean-Pierre Léaud », Cahiers du cinéma, no 558,
  • Jean-Baptiste Morain, « Êtes-vous libre ? », Les Inrockuptibles, (lire en ligne)
  • Jacques Morice, « Jean-Pierre Léaud - François Truffaut, l'histoire d'une longue complicité », Télérama, (lire en ligne)
  • Cécile Becker, « Qu'un avec elle », Novo, Chic Médias et Médiapop, Strasbourg et Mulhouse, , p. 56-59, (ISSN 1969-9514)

Filmographie sur Jean-Pierre Léaud

Liens externes

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