Saint-Paul-de-Vence

Saint-Paul-de-Vence est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul.

Ne doit pas être confondu avec Saint-Pierre-sur-Vence.

Saint-Paul-de-Vence

Vue du village depuis la route de La Colle.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Jean-Pierre Camilla
2020-2026
Code postal 06570
Code commune 06128
Démographie
Gentilé Saint-Paulois
Population
municipale
3 324 hab. (2018 )
Densité 458 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 50″ nord, 7° 07′ 23″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 355 m
Superficie 7,26 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-Loubet
Législatives sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-de-Vence

    Ses habitants sont appelés les Saint-Paulois.

    Géographie

    Le village de Saint-Paul-de-Vence s'élève sur un éperon rocheux situé entre les Alpes et la Méditerranée, à l'ouest duquel coule le Malvan, un affluent de la Cagne.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul-de-Vence est une commune urbaine[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[4] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Toponymie

    En raison de sa proximité avec la commune de Vence et pour la distinguer des autres communes portant le nom de Saint-Paul, la commune a depuis longtemps été appelée officieusement « Saint-Paul de Vence » mais le nom de Saint-Paul-de-Vence n’est officiel que depuis 2011[9],[10]. Sous la Révolution, on écrivait Sainpaul.

    Sur le cadastre napoléonien de Vence, daté du , il est même fait mention d'une « route de Gréolière à Saint-Paul-du-Var » car Saint-Paul-de-Vence gardait l'ancienne frontière du département du Var avec le Royaume de Sardaigne jusqu'en 1860[11].

    Histoire

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    Moyen Âge

    C'est vraisemblablement entre le Xe et le XIIe siècle qu'un habitat se regroupe, autour de l'ancienne église Saint-Michel-du-Puy, au sud et à proximité du château sur la partie élevée de la colline[12].

    Au Moyen Âge, la région est administrée par les comtes de Provence. Au XIIIe siècle, le comte Charles II accorde plusieurs privilèges à Saint-Paul, parmi lesquels celui d’organiser un marché hebdomadaire (1285). Au début du XIVe siècle, Saint-Paul acquiert de plus en plus d’autonomie et devient une ville prospère de commerçants et de notables. La ville devient le chef-lieu d’un important bailliage[13] dont dépendent Tourrettes-sur-Loup, Villeneuve-Loubet, le Broc, Cagnes ou encore Bézaudun.

    En 1388, Nice et sa région se détachent de la Provence pour se rattacher aux États du comte de Savoie. La frontière orientale de la Provence est alors redessinée pour se matérialiser par le cours inférieur du Var. Ce nouveau contexte confère à Saint-Paul une position stratégique : la ville devient une place forte frontalière pendant cinq siècles. Saint-Paul connaît une première campagne de fortification dans la deuxième moitié du XIVe siècle : la porte Nord de la ville, dite « Porte de Vence », remonte à cette muraille médiévale.

    Le XVIe siècle

    À l'époque des guerres d'Italie, la Provence est envahie à deux reprises par les troupes de Charles Quint : en 1524 Saint-Paul est occupée, en 1536 la ville est une nouvelle fois assiégée. Considérant la faiblesse de la frontière côté provençal et l’obsolescence des fortifications médiévales de Saint-Paul, François Ier décide en 1538 de doter la ville de nouveaux remparts, capables de résister à la puissance de l’artillerie. Cette enceinte bastionnée, élevée entre 1543 et 1547, est conservée dans son intégralité. Sur ses fronts nord et sud, quatre solides bastions protègent les deux portes de la ville.

    Le XVIIe siècle

    Au XVIIe siècle, Saint-Paul connaît un rayonnement religieux grâce à l'influence d'Antoine Godeau, évêque de Vence. L'église, élevée au rang de collégiale, est agrandie et embellie. Saint-Paul connaît également un renouveau urbanistique grâce aux familles de nobles et notables qui construisent de somptueux hôtels particuliers, en particulier dans la rue Grande. Saint-Paul conserve sa vocation de place forte militaire, aussi Vauban vient-il inspecter les fortifications en 1693 et 1700.

    Héraldique

    Blason
    D’azur à Saint-Paul de carnation chevelé, barbé auréolé et habillé d’argent, s’appuyant de sa main dextre sur une épée et tenant dans la senestre un livre ouvert le tout du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[réf. souhaitée]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1790 Paul Bernard    
    1790 1791 Scipion-Joseph Mougins    
    1791 1792 Cézar Layet    
    1792 1802 François Alziary    
    1802 1804 Bonnet    
    1804 1808 Layet    
    1808 1817 Jean Jacques Guevarre    
    1817 1821 Paul Gardenquy    
    1821 1822 Jean-Jacques Achard    
    1822 1825 Jacques Joseph Rapet    
    1825 1830 Casimir Bonnet Raymond Layet    
    1830 1831 Antoine-Paul Gazagnaire    
    1831 1835 Joseph-Jules-Hypolite Euzières de la Valette    
    1835 1843 Antoine-Paul Gazagnaire    
    1843 1849 Casimir Bonnet Raymond Layet    
    1849 1852 Honoré Léandre Fouque    
    1852 1855 Honoré-Joseph Bérard    
    1855 1857 Jean-Baptiste Layet    
    1857 1861 Gaspard Gardenquy    
    1861 1870 Henri Layet    
    1870 1871 Honoré-Léandre Fouque   Président de la Commission municipale
    1871 1874 Henri Layet    
    1874 1878 Joseph Louis Rapet    
    1878 1881 Théodore Lions    
    1881 1888 Antoine-Paul Fouque    
    1888 1888 Alfred Layet    
    1888 1888 André Raybaud    
    1888 1894 Alfred Layet    
    1894 1912 Gustave Patarrin    
    1912 1919 Victor Sénès    
    1919 1928 Josephin Verdet    
    1928 1944 Joseph Demargne    
    1944 1945 Général Paul Pouderoux   Président de la délégation spéciale
    1945 1995 Marius Issert DVD Juge au Tribunal de commerce d'Antibes
    1995 2014 René Buron    
    2014 2020 Joseph Le Chapelain DVD[14]  
    2020 En cours Jean-Pierre Camilla DVD[15]  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

    En 2018, la commune comptait 3 324 habitants[Note 3], en diminution de 5,14 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0571 0511 0661 0951 0431 023936936958
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    837810764732714689735691766
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7617587727501 0009981 0411 0731 250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 4161 5701 9172 5422 9032 8473 3363 4863 451
    2018 - - - - - - - -
    3 324--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Saint-Paul-de-Vence est un des hauts lieux du tourisme notamment pour ses très nombreuses galeries d'art ce qui a pour conséquence d'avoir vidé le village de ses commerces traditionnels.

    Saint-Paul-de-Vence abrite également sur ses hauteurs de nombreuses villas qui appartiennent à de nombreux millionnaires français et étrangers.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Les remparts : élevés sur l’ordre de François Ier comme réplique à la citadelle de Nice, de 1544 à 1547, ils n’ont guère subi d’altération. C'est une des premières fortifications bastionnées construites en France. Elle est l'œuvre de l'ingénieur militaire Jean de Renaud de Saint-Rémy. Vauban a inspecté ces remparts au cours d'une de ses tournées d'inspection des fortifications, en 1700.
    • L’auberge La Colombe d’or qui abrite des œuvres de Picasso, Matisse, Miró, Modigliani, Braque, Fernand Léger, Chagall (ne se visite pas)
    • La fondation Maeght : haut lieu de l’art moderne et contemporain, dirigée par Aimé puis Adrien Maeght. Elle abrite des expositions temporaires et des sculptures in situ dans le parc. On y retrouve les grands noms de l’art moderne, en parcourant les salles et les jardins de ce lieu d’exception, avec les œuvres de Miró, Giacometti, Chagall ou Léger, des liens qui ont uni la famille Maeght aux artistes de leur temps, ainsi que l'architecture des bâtiments conçus par Josep Luís Sert.
    • Le musée d’histoire locale offre un intéressant raccourci de l’histoire de la commune qui fut souvent aussi celle de l’histoire de la Provence.
    • Le cimetière de Saint-Paul-de-Vence comporte la tombe de Marc Chagall et la chapelle Saint-Michel.
    • Le pontis, passage au-dessus de la rue Grande, datant du XVe siècle.
    • La tour seigneuriale, à côté de l'église, servant aujourd'hui de mairie.
    • L'aqueduc des Moulins qui alimentait les moulins de la commune. En 1730, un inventaire mentionne à Saint-Paul cinq fours à pains, cinq moulins à huile et deux moulins à farine[20].

    Édifices religieux

    • Église collégiale de la Conversion-de-Saint-Paul : (XIIe – XIIIe siècle) restaurée au XVIIe siècle. Érigée en collégiale en 1666. Dans la chapelle Saint-Clément, ornée de stucs, l’autel est formé d’un bas-relief représentant le martyre de saint Clément et deux tableaux, l’un de l’école italienne, l’autre de l’école de Murillo ; l’église contient aussi un tableau de sainte Catherine d’Alexandrie du Tintoret. Dans la sacristie, le trésor comprend des statues en argent et en vermeil (une Vierge noire), des reliquaires, des croix. Dans la chapelle des fonts baptismaux, gracieuse statuette de la Vierge, en albâtre, du XVe siècle. Le chœur est décoré de stalles sculptées. Le beau chemin de croix en noyer, peint selon une technique du XVIe siècle, la détrempe à la colle, est moderne.
    • Chapelle Sainte-Croix, chapelle des pénitents blancs (XVIIe siècle) : Jean-Michel Folon y a réalisé un vaste projet de décoration. Son étonnant clocher à trois faces complète l’harmonie de la partie culminante du village, entre la place de l’Église et la rue Cassette. Un travail nettement inspiré par l’esprit du lieu qu’il avait transcrit avec précision sur des dessins et aquarelles. Avant la décoration artistique, trois années de travaux de restauration ont permis de remettre en état la toiture, les voûtes intérieures, l’électricité et le chauffage.
      Il y a travaillé jusqu’à sa mort en 2005. Il compose 8 toiles, 4 vitraux, 2 sculptures et une mosaïque de 106 m2 aux lignes simples et douces.
      La chapelle, inaugurée en est aussi la dernière chapelle décorée du Sud méditerranéen.
    • Chapelle Sainte-Claire, route de Vence, XVe siècle
    • Chapelle Saint-Claude-et-Saint-Charles, chemin de Saint-Claire, XVIIe siècle
    • Chapelle Notre-Dame de la Gardette, dite Saint-Georges, chemin de Saint-Claire, XVIIIe siècle
    • Chapelle moderne Saint-Bernard, chemin de Sainte-Claire.
    • Chapelle Saint-Roch, chemin de saint-Roch.
    • Chapelle Saint-Michel, dans le cimetière
    • Chapelle, de 1885 rue Fontette, actuellement restaurant la petite chapelle.
    • Chapelle, rue Fontette.
    • Chapelle, des sœurs dominicaines, chemin de Saint-Claire.
    • Prieuré Sainte Claire, chemin des Gardettes.


    Saint-Paul-de-Vence et la philatélie

    Un timbre postal, d'une valeur de 0,15 franc représentant la ville, dessiné par Pierre Ambrogiani et gravé par Robert Cami, a été émis le , avec une oblitération Premier jour le 7 dans la ville[21].

    Un autre timbre de valeur permanente a été émis en 2009 valable pour le monde entier. Valeur à la date d'émission : 0,70 euro[22].

    Saint-Paul-de-Vence dans la chanson

    Personnalités liées à la commune

    • Laurent Jean Baptiste Bérenger-Féraud, chirurgien de la marine, né à Saint-Paul-de-Vence en 1832, mort à Toulon en 1900.
    • De nombreux artistes et écrivains ont fréquenté le village, et notamment l'auberge de La Colombe d'or, parmi lesquels Matisse, Modigliani, Jean Giono, Jacques Prévert, Yves Montand, James Baldwin[23], Simone Signoret, Mylène Farmer, Norge, Patrick Raynal, Lino Ventura et Bernard Blier.
    • Roger Féral y passait ses vacances et réalisait des émissions de Télé-Paris à partir de la Colombe d'Or.
    • Marc Chagall y vécut pendant dix-neuf ans et repose au cimetière.
    • Jean Lurçat, 1892-1966, rénovateur de la tapisserie contemporaine, est mort à Saint-Paul-de-Vence.
    • Célestin Freinet enseigna à Saint-Paul-de-Vence de 1928 à 1933. Il entra en conflit avec la mairie qui refusait de faire les indispensables travaux d'entretien de son école. Le maire, ainsi que quelques notables locaux affiliés à l'extrême droite française, avec l'aide propagandiste du journal L'Éclaireur de Nice, demandait le déplacement de Freinet et de son épouse Élise, les accusant de faire en classe du « bolchévisme ». Ce conflit, qui prit rapidement l'ampleur d'une affaire nationale, amena Freinet à créer sa propre école à Vence (1935).
    • Norge, 1898-1990, poète belge de langue française, était antiquaire à Saint-Paul-de-Vence.
    • André Verdet, 1913-2004, poète, peintre, sculpteur et céramiste français, était habitant de Saint-Paul. Son buste, exécuté en par le sculpteur Cyril de La Patellière, se trouve au château-musée Grimaldi du Haut-de-Cagnes. Il faisait partie de son importante donation. Le musée de la maison du Grand Fauconnier de Cordes-sur-Ciel (Tarn) possède l'exemplaire original de ce buste.
    • Elie Bernadac (1913-1999), artiste-peintre, y exposait en permanence[24],[25].
    • Paul Frère, pilote automobile et journaliste belge, vécut à Saint-Paul de nombreuses années.
    • Pierre Laffitte (1925-2021), né dans la commune, élève de Célestin Freinet, sénateur des Alpes-Maritimes de 1985 à 2008, est conseiller municipal de Saint-Paul de 1968 à 2021.
    • Aldo Maccione vit actuellement dans la commune.
    • Georges Géret (1924-1996), acteur de théâtre et de cinéma, vécut à Saint-Paul-de-Vence et repose au cimetière.
    • Le chanteur Jon Anderson y vécut de 1980 à 1985.
    • L'écrivain américain James Baldwin y est mort en 1987.
    • L'acteur Donald Pleasence y est mort en 1995.
    • Le peintre néerlando-américain Albert Dolmans
    • Jacques Morali (1947-1991), auteur et compositeur de disco music (Village People, YMCA), vécut à Saint-Paul-de-Vence et repose au cimetière de Vence.
    • Théo Tobiasse, artiste-peintre, dessinateur, sculpteur, y vécut de 1976 à son décès en 2012. Il est l'auteur de la sculpture monumentale en bronze, La Vénus de Saint-Paul-de-Vence, installée à l'entrée du village en 2007.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Saint-Paul-de-Vence attend bientôt son baptême officiel…
    10. renommage de la commune par le décret no 2011-311 du 22 mars 2011
    11. Section G2 La Sine, à la cote : 25FI 157/1/G2/COM.
    12. Office de Tourisme de Saint-Paul de Vence.
    13. René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l'histoire, 1990.
    14. « Résultats des élections municipales 2014 : Saint-Paul (06570 - Alpes-Maritimes) », sur lexpress.fr/ (consulté le ).
    15. Jean-Pierre Camilla est l'ancien premier adjoint de Joseph Le Chapelain, maire divers droite de 2014 à 2020 (voir « Qui est Jean-Pierre Camilla, le nouveau maire de Saint-Paul-de-Vence pour seulement 8 voix? », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Saint-Paul-de-Vence : Le moulin à huile.
    21. Le timbre.
    22. N° YT AA336.
    23. Diane Lisarelli, « Yves, Simon, Nina, Miles et les autres », Vanity Fair n° 55, mars 2018, pages 48-50.
    24. Elie Bernadac sur artistes-cotes.com.
    25. Elie Bernadac sur la page du centre culturel Marius Hudry Moûtiers.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jeanne Faure, St Paul de Vence, ville royale, 1970
    • Nicolas Gavet, Saint Paul et ses fortifications, Éditions de la Commune, 2001
    • René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l’histoire, 1990
    • François 1er et Saint-Paul, Association des Amis du musée d’histoire
    • Marius Issert, Souvenirs d’un maire 1945-1995, éditions de la commune de Saint-Paul, 2000 (ISBN 978-2-95161400-0)
    • Eva Pollini, Saint-Paul-de-Vence et la Fondation Maeght, Bonechi, 1989 (ISBN 978-8-87009186-1)
    • Jacques Gantié, Saint-Paul de Vence, le village inspiré, Gilletta Nice-Matin, Nice, 2006 (ISBN 978-2-903574-70-3)

    Articles connexes

    Liens externes


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