Vallery

Vallery est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants sont appelés les Vallériais.

Ne pas confondre avec la commune de Valleiry (Haute-Savoie), que l'on trouve parfois sous la forme Vallery.

Pour les articles homonymes, voir Vallery (homonymie).

Vallery

L'église.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne
Maire
Mandat
Jean-François Chabolle
2020-2026
Code postal 89150
Code commune 89428
Démographie
Population
municipale
560 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 30″ nord, 3° 02′ 52″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 164 m
Superficie 12,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gâtinais en Bourgogne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Vallery
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Vallery
Géolocalisation sur la carte : France
Vallery
Géolocalisation sur la carte : France
Vallery

    Géographie

    Situation

    Vallery, commune d'environ 500 habitants, est située au nord-ouest du département de l'Yonne, dans le Gâtinais et la vallée de l'Orvanne. Elle est limitrophe de la région Île-de-France. Son altitude est comprise entre 120 et 160 mètres.

    Rue de l'église

    Vallery est une commune avant tout rurale où les champs cultivés constituent l'essentiel de la superficie. Les bois et sous-bois diversifiés occupent une place moins importante, mais toutefois notable dans la superficie totale, comme ceux des Vallée et de la Fontaine.

    Communes limitrophes

    Vallery est limitrophe de cinq autres communes[1].

    Hameaux et lieux-dits

    La Justice, à mi-chemin entre Chéroy et le village de Vallery, les Servantières, Bichot, La Margottière, Le Bois-Blanchon, Bapaume et la ferme de la Fosse sont les principaux lieux-dits de la commune, ils n'excèdent pas, exception faite de La Justice, une vingtaine de résidents.

    Hydrographie

    Le bourg est édifié sur les rives de l'Orvanne, rivière qui prend sa source non loin de Saint-Valérien.

    Urbanisme

    Typologie

    Vallery est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,2 %), forêts (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), zones urbanisées (4,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Moyen Âge

    Vallery est inclus au XIIe siècle dans les domaines des vicomtes de Sens régentant alors 42 villages[9]. Il est hautement probable que Vallery ait été le siège de leur puissance. Bien entendu, les vicomtes se sont gardés de faire peser sur leur terre de Vallery tout signe de dépendance, ce qui a contrario rend la lisibilité de la situation locale difficile. En conséquence, le vicomte Salo († )[10], son fils Garin († avant 1180) et sa fille Ermensent († , après 1204/1205) n'apparaissent pas à Vallery[11].

    L'origine du lignage pourrait être locale. Un chevalier Salo, vassal du comte de Blois, intervient à Montereau entre 1015 et 1034. Les liens avec le Braytois restent très forts jusqu'au XIVe siècle.

    Le patrimoine des vicomtes n'est pas exclusivement Sénonais. Il comprend des éléments importants relevant de la châtellenie (champenoise) de Bray-sur-Seine, tels Chaumont et Villeneuve-la-Guyard probablement hérités d'Ermensent de Monthléry, sœur du sire de Bray assassiné en 1118; et du comté du Gâtinais (plus spécifiquement le Bas-Gâtinais), tels Nanteau-sur-Lunain, Montigny-sur-Loing et Sorques. Vallery forme le cœur de la puissance, s'entourant de Villethierry et de Blennes. Les vicomtes irritent Louis VII qui multiplie tout autour de leurs domaines des pariages pour cantonner leurs activités à partir de 1155 (Chéry, Lixy, Voulx, Lorrez-le-Bocage, Flagy-Bichereau. Premiers cas connus en France) avant que Philippe Auguste ne porte une attaque plus décisive. Le contrôle de Vallery est d'autant plus souhaitable que le domaine royal de Sens, isolé géographiquement jusqu'en 1284, y dispose de l'unique lien hors d'atteinte des comtes de Champagnes et des sires de Courtenay.

    Ermensent est la dernière vicomtesse de Sens. Peu après 1202, son héritage est divisé entre ses descendants issus de ses deux mariages : le premier avec le Champenois Laurent de Vendeuvre ; le second contracté avant 1175 avec Galeran, qui tiendra du chef de son épouse la vicomté de 1175 à 1180[12]. C'est ainsi que son fils Bouchard de Vendeuvre, décédé entre 1208 et 1213, reçoit le lot de 17 villages centré sur Vallery[13].

    Alors que leur père Bouchard de Vendeuvre était resté très engagé en Champagne, ses deux fils Jean et Hugues font le choix de s'installer à Vallery dont ils prendront le nom de la terre. Ce changement de patronyme a fourvoyé les recherches jusque vers 1980. Le lignage de Vallery est donc champenois. Il poursuivra d'ailleurs cet ancrage lors des mariages (de Pougy) et des carrières religieuses (abbaye Notre-Dame-aux-Nonnains de Troyes).

    Jean de Vallery est seigneur de Vallery à partir de 1219. En 1233, il porte aussi le titre de seigneur de Marolles, du chef de son épouse Agnès de Pougy. Son frère Hugues porte lui aussi le titre de seigneur de Vallery en 1238 et lui aussi aura part à Marolles, pour la même raison que son frère (devenu son beau-frère). Jean de Vallery suit de très près le souverain. Il est présent à Montpensier lors de la mort du roi Louis VIII. Il meurt entre 1265 et 1269.

    Erard de Vallery, fils de Jean, est un entrepreneur de guerre célèbre sous le règne de saint Louis. Sous son nom, il embauche des chevaliers et les met au service des plus grands personnages européens. De 1257 à 1267, il est seigneur de Saint-Valérien, son père étant toujours en vie. Il n'entre en possession de la seigneurie de Vallery qu'en 1269. Erard de Vallery est sur les champs de bataille de Hollande, de Terre Sainte (où il sert le comte de Nevers), de Naples (où il sauve lors d'une bataille décisive Charles d'Anjou, frère de saint Louis), de Tunisie (où il est chargé d'exfiltrer l'armée française après la mort du saint roi), puis à nouveau en Terre Sainte. En conséquence, il est fait connétable de Champagne (1270-1276) et chambrier de France (1271). À son décès survenu en 1276 ou 1277, ses domaines de Vallery et de Marolles passent dans les mains de la famille nivernaise de Thianges.

    Le village de Vallery est dominé par ses deux châteaux : le premier date probablement du XIIIe siècle et fut édifié par les premiers seigneurs de Vallery; le second date du milieu du XVIe siècle et a été construit par Jacques d'Albon de Saint-André[14].

    Époque moderne

    Lors des guerres de religion, le maréchal de Saint-André est un des piliers du parti catholique. Ce groupe apparu tardivement et relativement faible[15] soutient les Valois aux prises à l'agitation, avec la conjuration d'Amboise en 1560 puis à la révolte des protestants deux ans plus tard. Il est tué à la bataille de Dreux la même année. Sa veuve, énamourée de Louis de Bourbon, prince de Condé, chef du parti réformé, donne à celui dont elle espère vainement se faire épouser, le château de Vallery[16].

    Le prince de Condé fait de Vallery une base pour ses opérations militaires dans toute la contrée et c'est sur son ordre que l'église du village est détruite. Il s'appuie sur Courtenay (propriété du huguenot Anne de Boulainvilliers, qui sera décapité pour ses cruautés envers les civils), Château-Renard et Châtillon (propriété de Gaspard II de Coligny, amiral, exécuté ou assassiné lors du massacre de la Saint-Barthélemy à Paris) et Piffonds (propriété d'Anne de Terrières, avocat à Paris, huguenot, assassiné à la Saint Barthélemy). Il vient s'y reposer après sa campagne de 1567 qui ruine Bray-sur-Seine et Montereau, terrorise Nogent-sur-Seine, Provins et Sens, fait disparaître dans un massacre la population de Courlon. Il est assassiné en se rendant lors de sa défaite de Jarnac en 1569.

    Plaque funéraire des Princes de Condé (Vallery)

    Les Condés sont inhumés dans l'église paroissiale dédiée à saint Thomas de Cantorbéry construite à partir de 1612 grâce aux libéralités d'Henri II de Bourbon-Condé, dont le grand-père avait fait détruire la précédente. Il fait creuser un caveau destiné à cet effet sous le maître-autel, où dès 1619, Éléonore de Bourbon-Condé, sa sœur, y est inhumée. Les restes de leur père Henri Ier, mort en 1588, sont ramenés à Vallery et enfin le corps de Louis Ier dit le Huguenot est inhumé dans le cimetière extérieur attenant à l'église. Henri II rejoindra les siens en 1646 et le Grand Condé son fils, après avoir élevé un monument, est à son tour inhumé en 1686. Le fils de ce dernier, Henri Jules de Bourbon-Condé et ses cinq enfants vont également reposer dans le caveau familial.

    Le prince de Condé reçoit en qualité d'engagiste le comté de Sens. Ce don complète habilement l'emprise princière sur la région. Des agents du prince (dont la famille Caillet) décident d'investir dans la contrée où réside leur maître, par l'achat des seigneuries de Champlost et de Theil. Le château de Vallery est activement utilisé jusqu'à l'issue de la Fronde. L'exil à Bruxelles du prince de Condé entre 1652 et 1659 fait entrer les lieux en sommeil. À son retour en France, le prince choisit de privilégier le château de Chantilly, provoquant de facto l'abandon de Vallery. La seigneurie se transmet dans sa descendance, notamment Louise-Anne de Bourbon-Condé (1695-1758), titrée Mademoiselle de Sens, aux mœurs dissolues la rendant impécunieuse, ne parvenant pas à tirer de plus grands profits du comté engagé de Sens, va utiliser le magnifique château en carrière de pierres. Elle supplie son cousin le roi de lui reprendre le comté pour en tirer encore quelque argent et vend Vallery en 1750[17].

    Révolution française

    En novembre 1792, informé des premières mutilations faites au mausolée, le conseil général du district de Sens nomme le peintre-sculpteur Pierson de Sens, afin d'établir un état des lieux. Pierson dresse un rapport notant la destruction d'écussons fleurdelisés, le vol de frises, chiffres et fleurs de lys, et une partie des guirlandes qui ornaient les tombeaux. Tous ces objets en cuivre sont retrouvés chez un horloger de Villeneuve-la-Guyard. À la suite de l’enquête menée par la commission des monuments veillant à la conservation des objets d'arts, il apparaît qu'un certain nombre d'habitants - y compris le maire de cette commune - avaient porté atteinte aux monuments et ôté ces ornements.

    Le , sur ordre du comité de salut public, une douzaine de cercueils furent remontés à l'aide de cordes, ouverts et profanés. Les dépouilles retirées de leurs bières sont traînées dans le cimetière voisin, jetées pèle-mêle dans des tranchées creusées près de la porte d'entrée, sous les yeux du maire Jambon et du procureur Bonnivet, selon le témoignage de Pierre Farneault, fossoyeur du cimetière.

    Seconde Guerre mondiale

    Le village est bombardé en juin 1940, tout comme la commune voisine de Villethierry[18].

    Politique et administration

    Administration territoriale

    Appartenant à l'arrondissement de Sens, Vallery fait partie du canton de Chéroy jusqu'aux élections départementales de , où elle rejoint le nouveau canton de Gâtinais en Bourgogne.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze[19].

    Liste des maires

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790        
    1794   Pierre Louis Edmé Jambon
    (1752-1827)
      Cordonnier à Moret-sur-Loing puis à Vallery
             
    1822 1847 Armand de Sade Mazan    
    mars 2001 2014 Annie Serdin[20] DVD[21]  
    mars 2014 juillet 2017 Jean-Baptiste Lemoyne UMP puis LR
    puis En Marche !
    Sénateur (2014-2017)
    Conseiller général (2008-2015)
    Conseiller départemental (depuis 2015)
    Secrétaire d'Etat depuis juin 2017
    juillet 2017 En cours Jean-Pierre Allemand    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne.

    Population et société

    Démographie

    Le bourg jouit de la proximité des villes de Sens et de Montereau-Fault-Yonne. Le fait que Vallery soit à seulement 100 kilomètres de Paris, permet au village d'accueillir des personnes travaillant en région parisienne ; les années 1970-1980 ont vu une légère augmentation de la population de Vallery, atteignant à ce jour plus d'un demi-millier d'habitants[22].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2018, la commune comptait 560 habitants[Note 3], en augmentation de 0,36 % par rapport à 2013 (Yonne : −1,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    706703648644725686681721750
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    761835849745695729681654619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    640612623537484448456427418
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    390355343328384468473555557
    2018 - - - - - - - -
    560--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La ronde des 16 clochers est une animation sportive, voire une course sportive qui se déroule dans le Gâtinais où elle traverse seize villages.

    Économie

    Hormis le secteur primaire avec l'agriculture, le secteur secondaire est présent à Vallery, avec dans le sud du village, la présence de la zone d'activité de La Vieille Vigne et de quelques entrepôts industriels.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Vallery était considéré par Androuet du Cerceau comme un des plus excellents bastiments de France au XVIe siècle.
    • L'église de Vallery, dédiée à saint Thomas de Cantorbéry, construite en 1612 par l'architecte Colin, se situe sur un tertre au même niveau que le château. Son tympan représente le jugement dernier. Un des vitraux, réalisé vers 1843 par Joseph-Aventin Veissière de Seignelay, figure le martyre de saint Thomas[27]. Elle abrite le mausolée d'Henri II de Bourbon-Condé, œuvre du milieu du XVIIe siècle due au sculpteur Gilles Guérin, ainsi que celui du général de Laferrière, mort en 1834.
    • Les Jardins de Vallery, qui datent du XVIe siècle et ne sont pas ouverts au public, sont situés au bord de l'Orvanne.
    Bassin dans les jardins.
    • Le monument aux morts occupe l'ancienne place des marronniers, il rappelle la trentaine d'habitants morts au front durant la Première Guerre mondiale et les deux civils tués en 1940.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Vaast-Barthélemy Henry, Mémoires historiques sur la ville de Seignelay, département de l'Yonne, depuis sa fondation au VIIIe siècle, jusqu'en 1830 ; précédés de recherches sur l'état du pays au temps des Gaulois et des Romains ; et suivie d'une notice historique sur les communes environnantes, avec les principales pièces justificatives, vol. 1, Avallon, Éd. Comynet, , 369 p. (présentation en ligne), avec cartes, plans, blasons et lexique de mots en patois de Seignelay. Réédition 2004 chez Le Livre d'Histoire, Lorisse. Présentation des deux volumes à la suite sur la même page.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Vallery, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Étienne Meunier. Le patrimoine des vicomtes de Sens au Moyen Âge. Bulletin de la Société archéologique de Sens, no 31, 1989 (1990).
    10. (en) Charles Cawley, « Salon de Sens », dans « Champagne nobility - Sens & Joigny », ch. 1 : « Sens », section C : « Vicomtes de Sens », sur MedLands – Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
    11. Étienne Meunier. Les vicomtes de Sens, reconstitution d'un lignage noble médiéval. CSGY 2, 1984)
    12. Étienne Meunier. Apogée et déclin des vicomtes de Sens. Congrès de l'ABSS tenu à Villeneuve-sur-Yonne, 1985 (1986)
    13. Étienne Meunier. les chevaliers de Vendeuvre et de Vallery. Cahier de la Société généalogique de l'Yonne, XIX, 2013
    14. Histoire des Condés et du château de Vallery sur loisirsengatinais.com.
    15. Il ne doit pas être confondu avec la Ligue, apparu bien plus tard, et issu de l'exaspération de la bourgeoisie face aux louvoiements et renoncements de Catherine de Médicis
    16. La Henriade, publiée chez De Bure - 1836.
    17. François Huot. Vallery. BSAS
    18. Claude Delasselle, L'Yonne sous les bombes. Association pour la Recherche sur l'Occupation et la Résistance dans l'Yonne.
    19. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    20. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 3 janvier 2014.
    21. Annuaire des Mairies de l'Yonne (89), 168 p. (ISBN 978-2-35258-189-5, lire en ligne), p. 149.
    22. Populations légales 2013 de la commune sur insee.fr.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Henry 1833, p. 136, volume 2.
    28. Jean-Jacques Pauvert, Édouard Drumont ou l'Anticapitalisme national, 1968.
    29. il fit don de sa bannière à la fanfare municipale du village
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