Piffonds

Piffonds est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Piffonds

Le château de Piffonds

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne
Maire
Mandat
Liliane Lavaux
2020-2026
Code postal 89330
Code commune 89298
Démographie
Gentilé Puifondins
Population
municipale
625 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 23″ nord, 3° 08′ 50″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 196 m
Superficie 24,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-sur-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Piffonds
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Piffonds
Géolocalisation sur la carte : France
Piffonds
Géolocalisation sur la carte : France
Piffonds

    Géographie

    Situation

    Piffonds est dans le nord-ouest de l'Yonne, limitrophe au Loiret à l'ouest. Paris est à 125 km au nord-ouest (par l'Autoroute A6), sa préfecture Auxerre à 52 km au sud-est, sa sous-préfecture Sens à 23 km au nord-est et son chef-lieu de canton Villeneuve-sur-Yonne à 13 km à l'est. La ville la plus proche est Courtenay à km à l'ouest. [1].

    Un étang de 1,8 ha se trouve à 300 m au nord-ouest du château de Piffonds.

    Routes et transports

    La plus grosse partie des voies de liaison de l'échangeur de Courtenay entre l'autoroute A6 et l'autoroute A19, sont dans l'ouest de la commune. Les deux péages de cet échangeur, n° 17 pour l'A6 et n° 3 pour l'A19, sont sur Savigny pour le premier et commun à Savigny et à Courtenay pour le deuxième[2].

    La D15 traverse la commune d'est en ouest, reliant Villeneuve-sur-Yonne à Courtenay. La D193 la traverse, reliant Saint-Valérien (15 km au nord) à Saint-Martin-d'Ordon (km au sud). La D72, qui commence à Piffonds, mène à Rousson (11 km au nord-est)[1].

    Gares de train les plus proches :

    Aéroports et aérodromes les plus proches :

    Communes limitrophes


    Hameaux de la commune de Piffonds

    Dans la liste ci-dessous, les hameaux suivis d'une astérisque sont indiqués sur la carte de Cassini (établie vers 1745) ; le cas échéant, l'orthographe passée différente est indiquée entre parenthèses. Les hameaux disparus depuis sont entre crochets : [(hameau)]*.

    • les Arabis ("les Arabies")
    • les Augis*
    • la Bazonnière* ("la Baronière")
    • Beau Luisant-
    • Bel Air-
    • les Bénards*
    • les Biguereaux-
    • les Bourassiers-
    • les Bretons*
    • les Buttins-
    • [la Butte]*
    • la Bruyère- ("la Brière")
    • le Caron-
    • les Chétifs*
    • les Chevalliers-
    • les Chèvres*
    • la Coudre*
    • les Élus*
    • les Étubies* ("les Estubis")
    • [la Finance]* (lieu-dit éponyme actuel)
    • les Gauguins* ("les Gaugeins")
    • les Gauthiers*
    • les Glimonières* (la Grimonière")
    • la Grenouillerie*
    • les Guinebeaux* ("les Guinebauts")
    • les Hameaux*
    • les Heulins* ("les Eulins")
    • Grand Launay-
    • le Petit Launay-
    • les Grands Lucas* ("les Lucas")
    • les Petits Lucas-
    • les Lancelins* ("les Ancelins")
    • Maison de Brique-
    • [le Grand Marchais]* (lieu-dit éponyme actuel)
    • le Petit Marchais-
    • la Marerie-
    • les Marions*
    • les Maugeries
    • les Moriers*
    • l'Orme*
    • la Paruche-
    • la Picauderie-
    • les Potages*
    • [la Poterie]* (lieu-dit la Parlicoterie)
    • les Ratorets* ("les Returés")
    • la Regaillarderie-
    • les Relins*
    • les Rousseaux*
    • les Sabats*
    • les Souchers* ("Souchet")
    • les Vincents*

    Entre la Bazonnière et les Philippières sur xxx, se tenait un château déjà en ruines au milieu du XVIIIe siècle.

    Entre l'Orme et les Lucas se trouvait "la Poterie", disparue ; en reste le nom déformé du lieu-dit, la Parlicoterie. Ne pas confondre avec le hameau de la Poterie sur Courtenay à 200 m au nord de la route de Piffonds.

    La "Butte" (? orthographe incertaine) se trouvait à moins de 200 m de la Coudre, dans la pointe Est de la commune.

    Géologie

    Piffonds fait partie du Gâtinais médian. L'argile schisteuse est une roche dominante sur la commune[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Piffonds est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88 %), forêts (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (1,3 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    L'église de Piffonds.

    IXe siècle

    Au IXe siècle le Liber sacramentorum[Note 2] cite Puteumfontis dans la liste des lieux du diocèse de Sens, au même titre que Courtenay et Domats. En effet, du point de vue de la loi féodale Courtenay et Piffonds formaient une unité[12].

    XIIIe siècle

    Il existait un château à Piffonds en 1264, propriété des seigneurs de Courtenay. Il est cité à cette date lorsque l'empereur de Constantinople Baudouin II de Courtenay y a signé une charte en faveur du prieuré de Saint-Hilaire-les-Andrésis. Déjà en 1256 Beaudoin avait dû engager les bois de Piffonds pour payer les dettes de sa femme[12],[13].

    XIVe siècle

    Charles de Valois et sa 2° femme Catherine de Courtenay-Constantinople (Catherine de France) acquièrent les terres de Courtenay, Chantecoq et Piffonds en 1303. Après la mort de Catherine en 1307, leur fille Catherine de Valois-Courtenay devait en hériter. Mais lorsque son fils aîné Philippe de Valois (né du 1° mariage de Charles avec Marguerite d'Anjou) épouse Jeanne de Bourgogne en 1313, Charles de Valois fait passer ces trois terres à Jeanne en les donnant tout d'abord à Philippe, qui à son tour les assigne à sa femme par contrat de mariage - notant toutefois qu'elles sont sujettes à un droit de réversion, selon lequel il est dit que si le couple meurt sans enfant les terres reviendront aux héritiers de Philippe et non à ceux de Jeanne. Dans ce même contrat de mariage il est également dit que le prince de Tarente, Philippe Ier d'Anjou époux de Catherine de Valois-Courtenay, pourrait dans dix ans retirer cet héritage donné à Jeanne moyennant le paiement de 15 000 livres ; et parce que Catherine de Valois-Courtenay aurait dû hériter de ces terres, Charles de Valois fait ratifier à cette dernière une charte de la même année signée de Philippe le Bel attestant ce partage.
    Piffonds est donc jusqu'alors un domaine privé dont Jeanne de Bourgogne ne possède que l'usufruit, la nue-propriété restant à son époux. Mais Philippe de Valois accède au trône de France en 1328, et les terres de Courtenay, Chantecoq et Piffonds passent alors dans le domaine royal[14].

    En 1332 le roi acquiert plusieurs autres terres et fiefs pour agrandir ses domaines de Courtenay, Chantecoq et Piffonds. Ces trois terres sont ensuite cédées à Raymond de Mareuil "pour en jouir la vie durant" comme partie d'une rente de 12 000 livres annuelles - leur nue-propriété relevant toujours du domaine royal. Courtenay, Chantecoq et Piffonds passent dans le domaine public des rois de Navarre en 1404, par lettres patentes échangées dans le cadre d'un traité de paix entre Charles VI et Charles III de Navarre. Elles sont alors unies au duché de Nemours, cédé lui aussi en 1404 à Charles III. Le tout est toujours grevé d'un droit de réversion : si le tenant des terres meurt sans enfant, les terres reviennent à la Couronne. Leur cession est donc sous forme d'apanage[14]. Pour plus de détails sur les tenants successifs, voir l'article Courtenay (Loiret)#Histoire.

    Charles V, ayant succédé à son père Jean le Bon (fils de Philippe VI) en 1364, devint seigneur de Courtenay et de Piffonds, qu'il donna en viager au comte Jean de Sarrebrück, bouteiller. Lors des guerres franco-anglaises, les Etats réunis à Compiègne en 1367 s'inquiétèrent de la quantité de forts où pouvaient s'établir les ennemis. Chaque bailliage fut visité par le bailli de l'endroit et deux chevaliers ; le bailli de Melun, dont dépendait Piffonds, y vint accompagné de Taupin du Plessis et de Charles de Bouville[15]. Son propriétaire du moment, fit détruire les tours du château de Piffonds pour que les armées ennemies ne s'y retranchassent. De ce château il ne reste que les soubassements sur lesquels est bâti le château existant de nos jours, qui date de la fin du XVe siècle.

    XVe siècle

    Le château est rebâti sur le même plan trapézoïdal que l'ancien. Les bâtiments, disposés à angle droit, sont encadrés de tours d'angle au nord et à l'est et des courtines les reliaient à la grosse tour d'angle du côté ouest, subséquemment transformée en colombier. Des archères en percent les murs de la salle basse au rez-de-chaussée. La date de 1472 apparaît sur une poutre du colombier, reste probable de l'ancienne aile sud subséquemment remaniée.

    Le château abritait alors une tuilerie, d'où proviennent les pots de terre cuite des niches du colombier. Il abritait également une chapelle, dite chapelle de Notre-Dame, dans son enceinte - ce dernier trait assez rare à l'époque puisque la plupart des chapelles de château étaient situées hors de l'enceinte de ces derniers, généralement accolées à l'extérieur des murailles. La chapelle est mentionnée dès le (Benoît, chapelain) et en janvier 1343 (Jean Godars, chapelain de la chapelle du château de Piffonds). Jusqu'en 1819 les jardins du château étaient prolongés par un grand parc de près de 340 hectares, une surface largement occupée par des bois qui furent vendus en 1844. Ce parc est mentionné dès le dans un compte de la terre de Courtenay, où l'on peut lire « au parc de Piffon 100 arpents de bois de 8 ans et tous les boissons ». Au Moyen Âge on appelait la seigneurie « Piffonds lès-le-Parc », ce qui indique l'importance dudit parc. La tour sud a été démolie par le nouveau propriétaire de 1844[12].

    XIXe siècle

    Oncle de Louis XVI, S.A.R. le prince de Saxe possédait des biens à Piffonds en 1771-1792 et 1802-1806. Il possédait également la moitié du département actuel jusqu'à ce que le département de l'Yonne soit formé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d'une partie des provinces de Bourgogne, de Champagne et de l'Orléanais.

    XXIe siècle

    Depuis 2002, des membres de l'association Le clos Crève-Cœur ainsi que des résidents du Centre d'Aide par le Travail, pratiquent des plantations de vigne à Piffonds[16].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1857   M. Poisson    
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Claudine Hennequin    
    mars 2008 En cours
    (au 15 juin 2020)
    Liliane Lavaux[17]    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2018, la commune comptait 625 habitants[Note 3], en augmentation de 0,48 % par rapport à 2013 (Yonne : −1,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9461 0498669019901 0531 0731 0171 034
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1071 0751 0719681 0089579761 010942
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    932943924790765747715705643
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    598514450397402557571591652
    2018 - - - - - - - -
    625--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Risques naturels, miniers et technologiques

    Une ligne électrique à très haute tension depuis Rousson jusqu'à Courtenay, traverse la commune dans le sens est-ouest[2]. Hormis ce risque technologique local, Piffonds ne semble pas être soumis à d'autres sources de risques[22].

    Économie

    Entreprises implantées sur la commune

    • Culture et production animale, chasse et services annexes (17)
    • Activités immobilières (11)
    • Travaux de construction spécialisés (3)
    • Activités créatives, artistiques et de spectacle (2)
    • Restauration (1)
    • Action sociale sans hébergement (1)
    • Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (1)
    • Activités des organisations associatives (1)
    • Génie civil (1)
    • Administration publique et défense ; sécurité sociale obligatoire (1)[3]
    • Garage et réparation (1)

    AOC, appellation et label présents sur le territoire de Piffonds

    Viandes (et abats) frais :

    Fromages :

    Pâte de moutarde :

    Vins :

    • Yonne blanc (IGP)
    • Yonne rosé (IGP)
    • Yonne rouge (IGP)

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château de Piffonds est inscrit aux Monuments Historiques depuis l'arrêté du [23].

    Le GR 132 traverse la commune d'est en ouest ; il passe par le bourg.

    Personnalités liées à la commune

    • Anne de Terrières, avocat en parlement à Paris. Cet Auvergnat monté à Paris, acquiert la seigneurie de Piffonds. Actif huguenot, il multiplie les provocations anti-catholiques et anti-royales lors de la vaste assemblée réunie au cloître des Jacobins de Sens en 1555 pour réviser et refonder la coutume du bailliage de Sens. Assassiné à Paris durant la saint Barthélémy.
    • Robert Simon, cordonnier à « Piffons » pendant la Révolution, est accusé le 5 Ventôse par le tribunal révolutionnaire de « fourniture infidèle de souliers ». Il est toutefois acquitté par le président du tribunal Dobsent, ce qui lui permet de reprendre son métier.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

      Notes Démographie
      1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. Liber sacramentorum : manuscrit ayant appartenu aux archevêques de Sens et dont ceux-ci se servaient comme pontificale, puis conservé à la Bibliothèque Royale de Stockholm. Il contient la liste des lieux inclus dans le diocèse de Sens. Voir également le compte-rendu de Léon De Bastard D'estang sur Recherches sur la géographie et la topographie de la cité d'Auxerre et du pagus de Sens par Maximilien Quantin, Bibliothèque de l'école des chartes, 1859, Volume 20, n° 20, pp. 444-446.
      3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

      Références

      1. « Piffonds », sur google.fr/maps.
        Les distances par route entre deux points donnés sont calculées via l'onglet en haut à gauche de la carte ; dans le cadre à gauche de l'écran, indiquer sur la ligne du haut la ville pour laquelle vous voulez connaître la distance depuis Piffonds.
      2. « Piffonds » sur Géoportail.
        Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran, une vue plus rapprochée fait apparaître la carte d'état-major), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche.
      3. Piffonds sur le site annuaire-mairie.fr.
      4. V. Raulin, Statistique géologique du département de l'Yonne : exécutée avec la direction de M. A. Leymerie, Auxerre, Perriquet & Rouillé, , 863 p. (lire en ligne), p. 543.
      5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      12. Abbé Jacques Léviste. Le château et la terre de Piffonds depuis le XIIIe siècle - Première partie : Description du château. Publié en 1997 par l'Association "Les Amis du Vieux Villeneuve sur Yonne" - Collection Terre d'Histoire. Description détaillée du château médiéval et de sa reconstruction.
      13. Archives de l'Yonne, H. 245. Voir Mémoires de la société archéologique et historique de l'Orléanais, t. 18, p. 213.
      14. Journal des principales audiences du Parlement, tome septième - 1718 - 1722. Michel Du Chemin, avocat au Parlement. 1754. pages 462 à 468.
      15. Procès-verbal de visite des places fortes du bailliage de Melun en 1367 par H. Moranvillé. Annales de la Société Historique et Archéologique du Gâtinais, tome XXI. 1903.
      16. Jean-Claude Salvinien, L'Yonne républicaine du 5 décembre 2011.
      17. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 27 décembre 2013.
      18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      22. Piffonds n'apparaît pas dans la liste des communes de l'Yonne soumises à un ou plusieurs risques naturels, miniers ou technologiques. Voir la liste de ces communes sur le site de la préfecture de l'Yonne.
      23. « Château de Piffonds », notice no PA00113781, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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