Université de Lausanne

L’Université de Lausanne (UNIL) est une université située à Lausanne, en Suisse. Environ 2 300 enseignants et chercheurs ainsi que 950 collaborateurs administratifs et techniques assurent la bonne marche de l'institution qui compte plus de 14 000 étudiants provenant de plus de 86 pays.

Pour les articles homonymes, voir UNIL (homonymie).

Depuis la rentrée 2005, l'université a rejoint l'espace européen de l'enseignement supérieur par le passage de toutes les facultés au processus de Bologne, les nouveaux grades universitaires sont donc baccalauréat universitaire (bachelor), maîtrise universitaire (master), maîtrise d'études avancées et doctorat.

Au début du XXIe siècle, l'école de pharmacie a été transférée à l'Université de Genève pour devenir l'école de pharmacie Genève-Lausanne, alors que la chimie, les mathématiques et la physique ont été reprises par l'école polytechnique fédérale de Lausanne.

En 2013, l'UNIL propose quinze cursus de bachelor et trente et un de master, dont quatorze sont conjoints avec d'autres universités ou institutions d'enseignement supérieur.

Historique

Le bâtiment Unithèque de l'université de Lausanne, qui abrite notamment un des trois sites de la bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne.
Le bâtiment Extranef, abritant notamment le centre universitaire lausannois en finance (UNIL-EPFL).
L'ancienne Académie (actuellement occupée par le Gymnase de la Cité), au centre-ville de Lausanne.
Le bâtiment Anthropole, sur le site de Dorigny.
Le passage entre l'Anthropole et l'Internef.
Le bâtiment Batochime héberge notamment l'école des sciences criminelles et l'Institut de police scientifique de l'UNIL.

En 1537, la Schola Lausannensis fondée par les autorités bernoises au lendemain de la conquête du Pays de Vaud. Composée d'un collège de six classes et d'une chaire de théologie, elle avait pour but la formation de pasteurs du pays et l'instruction de la jeunesse. De 1579 à 1587, l'ancienne Académie est construite, l'université quittera le bâtiment en 1987, il sera dès lors affecté au gymnase cantonal de la Cité. En 1708, une chaire de droit et d'histoire est ouverte, suivie, en 1788, par une chaire de physique théorique et expérimentale et une chaire d'histoire, chronologie et statistique.

En 1806, le Grand Conseil vaudois vote une loi organisant l'Académie en quatorze chaires : trois de théologie, trois de lettres (voir l'historique spécifique de la faculté des Lettres), quatre de sciences, deux de droit et deux de médecine, mais en 1837, l'Académie est à nouveau profondément transformée par une nouvelle loi qui organise les enseignements en trois facultés (lettres et sciences, théologie, droit) et 17 chaires. Dès 1869, l'Académie décerne le grade de docteur.

En 1869, l'École spéciale de Lausanne (future École d'ingénieurs), fondée en 1853, est rattachée à l'Académie en qualité de faculté technique et en 1873, l'école de pharmacie est créée. Ce n'est qu'en 1890 que l'Académie de Lausanne est réorganisée et acquiert le statut d'université. En même temps la faculté technique change son nom en École d'ingénieurs de l'université de Lausanne.

XXe siècle

Au tournant du XXe siècle et à la suite de la réorganisation, l'université de Lausanne voit son offre de formations se développer. En 1901 sont créées l'école de français moderne et l’école des sciences sociales et politiques. En 1909, Rodolphe Archibald Reiss fonde l'Institut de police scientifique : la première école de police scientifique au monde, suivie en 1911 par la faculté des hautes études commerciales. Entretemps, l'institution change de bâtiment en 1907, lorsque le palais de Rumine est inauguré.

En 1946, l'École d'ingénieurs de l'université de Lausanne est rebaptisée École polytechnique de l'Université de Lausanne (EPUL). Elle est pourtant définitivement séparée du reste de l'université en 1969, pour devenir une institution fédérale sous son nom actuel : École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), rejoignant l'École polytechnique fédérale de Zurich au sein du Domaine des Écoles polytechniques de la Confédération.

Les années 1960 voient également les préparatifs du déplacement de l'université en périphérie et le début de la construction d'un nouveau campus. Ce déplacement s'explique par les besoins en infrastructure en nette progression : le centre de Lausanne ne permettait pas de s'équiper de suffisamment réfectoires, classes et logements pour les étudiants[1]. En , le Grand Conseil vaudois décide donc d'acheter la propriété de Dorigny pour 22 millions de francs, spécialement pour la construction de l'UNIL. Le premier bâtiment du nouveau campus, le collège propédeutique (bâtiment désormais nommé Amphipôle) est inauguré en 1970 et l'université commence son déplacement sur le site de Dorigny.

De nouveaux bâtiments sont construits à Dorigny : un bâtiment pour les sciences physiques (en 1973, actuellement nommé Cubotron), une salle omnisports (1980), un bâtiment pour la faculté des sciences humaines (en 1977, désormais nommé Internef), l'Institut suisse de droit comparé (ISDC) (1981), un bâtiment pour le rectorat et l'administration (1981, aujourd'hui nommé Unicentre), un bâtiment pour la bibliothèque universitaire centrale et des restaurants (1982, actuellement nommé Unithèque), un bâtiment de biologie (1983, portant désormais le nom Biophore), un deuxième bâtiment pour la faculté des sciences humaines (en 1987, désormais nommé Anthropole), un bâtiment pour l'École de pharmacie (1991, baptisé Génopode), une seconde salle omnisports (1993), le bâtiment de l'École de chimie (1994, Batochime), et la bibliothèque Édouard Fleuret (2000).

XXIe siècle

Un bâtiment comprenant de grands auditoires (2004, Amphimax) et un bâtiment supplémentaire pour la faculté des hautes études commerciales (2006, Extranef) sont construits sur le campus.

En 2001, l'université de Lausanne signe avec l'université de Genève et l'EPFL de la convention Sciences - Vie - Société, qui comprend des regroupements d'activités et de recherche entre les institutions dans le but de créer une dynamique scientifique commune.

En 2002, l'université compte plus de 10 000 étudiants.

En 2005, l'Université de Lausanne (UNIL) adopte un nouveau logo et change les noms des bâtiments.

Depuis 2006, dans le cadre du collège des sciences et du collège des humanités, les enseignements en sciences de bases (chimie, physique, mathématiques) sont données aux étudiants de l'UNIL par des professeurs de l'EPFL et l'université assure aux étudiants de l'EPFL un programme d'enseignement en sciences humaines et sociales.

Depuis 2009, les services de formation continue de l'université de Lausanne et de l'école polytechnique fédérale de Lausanne sont regroupés au sein de la fondation pour la formation continue universitaire lausannoise UNIL-EPFL[2].

À la rentrée 2009, l'université franchit le cap des 12 000 étudiants.

Dès le , la branche lausannoise de l'Institut Ludwig pour la recherche sur le cancer est intégrée à l'UNIL et devient le « centre Ludwig de l'université de Lausanne pour la recherche sur le cancer »[3],[4],[5]. La même année, l'université de Lausanne lance ALUMNIL, le réseau des diplômés de l'université[6],[7].

En , l'université de Lausanne et l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) annoncent que ce dernier prévoit d'intégrer l'UNIL[8]. En septembre, le bâtiment du centre de sport et santé (CSS) est inauguré. Le même mois, le déménagement des 320 collaborateurs de la faculté des géosciences et de l'environnement et des 460 collaborateurs de la faculté des sciences sociales et politiques dans le nouveau bâtiment Géopolis débute ; l'inauguration officielle a eu lieu au début du semestre d'automne 2013.

Le , le conseil de l'université de Lausanne élit la première rectrice de l'institution, Nouria Hernandez[9]. Sa nomination a été confirmée par le Conseil d'État en . Professeure et biologiste, elle prend ses fonctions le . Elle ne se représente pas pour un deuxième mandat. A partir d'août 2021, le recteur est Frédéric Herman, dont la nomination a été approuvée par le Conseil d'État en novembre 2020[10].

À l'heure actuelle, l'université de Lausanne est aussi un centre de recherche très actif et de réputation internationale, grâce aux projets réalisés par plus de 125 équipes pour plus de 100 millions de francs suisses par année.

Composantes

L'université de Lausanne est composée de sept facultés :

  • faculté de théologie et de sciences des religions (FTSR) ;
  • faculté de droit, des sciences criminelles et d'administration publique (FDCA) ;
  • faculté des lettres ;
  • faculté des sciences sociales et politiques (SSP), avec ses quatre filières de formation : science politique, sciences sociales, psychologie et sciences du sport et de l'éducation physique ;
  • faculté des hautes études commerciales (HEC) ;
  • faculté de biologie et de médecine (FBM), à laquelle est rattachée le CHUV ;
  • faculté des géosciences et de l'environnement (FGSE).

Enseignement et recherche

Formations

Avant 2005, les grades universitaires étaient la licence, le diplôme d'études approfondies (DEA) et le doctorat. Depuis la rentrée 2005, l'université a rejoint l'espace européen de l'enseignement supérieur par le passage de toutes les facultés au processus de Bologne, les nouveaux grades universitaires sont donc baccalauréat universitaire (bachelor), maîtrise universitaire (master) et doctorat.

Évolution du nombre d'étudiants[11],[12],[13],[14] :

Formation continue

L'université de Lausanne délivre également des certificats de formation continue (CAS), des diplômes de formation continue (DAS) et des maîtrises d'études avancées (MAS)[15].

La Formation Continue UNIL-EPFL est une fondation qui existe depuis 2009. Elle regroupe les services de formation continue de l'UNIL (université de Lausanne) et de l'EPFL (école polytechnique fédérale de Lausanne) qui ont été regroupés en une seule entité pour davantage de synergies.

Partenariats locaux

Vue aérienne (2009) de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), qui forme avec l'Université de Lausanne (UNIL) un vaste campus à proximité du lac Léman.

La fin du XXe siècle est témoin d'un important projet de coopération et de développement entre les universités de Lausanne, Genève, Neuchâtel et l'EPFL. En 2003, deux nouvelles facultés naissent d'une volonté de se centrer sur l'homme et le vivant : la faculté de biologie et médecine et celle des géosciences et de l'environnement.

Recherche

L'université de Lausanne compte plus de 140 unités d'enseignement et de recherche œuvrant dans des domaines aussi divers que la génomique, l'esthétique du cinéma, le droit de l'environnement ou la criminalistique.

Au sein des instituts, laboratoires et bibliothèques, 2 700 chercheurs, dont cinq cents professeurs, travaillent chaque jour sur des projets de recherche de portée nationale ou internationale, faisant ainsi progresser le capital scientifique de l'institution. L'UNIL vise notamment à encourager la rencontre des disciplines dans la recherche.

Dans le domaine des sciences sociales, le pôle de recherche national (PRN) fait appel à une coopération étroite de chercheuses et chercheurs des disciplines de psychologie, sociologie, psychologie sociale, socioéconomie et démographie, rattachés à différentes institutions des hautes écoles Suisses. Ils y étudient les effets de l'économie et de la société postindustrielle sur l'évolution de situations de vulnérabilité par le biais d'études longitudinales et comparatives.

L'UNIL promeut l'interdisciplinarité également en la partageant avec les sciences techniques. Le programme SHS (sciences humaines et sociales) de l'EPFL et le programme (Sciences)2 de l'UNIL sont destinés à converger au niveau du doctorat et de la recherche.

Scientométrie

Le Times Higher Education a classé l'université de Lausanne :

AnnéeEn SuisseEn EuropeDans le monde
2005 6e-133e
2006 5e-89e
2007 7e93e217e
2008 6e64e161e
2009[16] 6e-168e
2011[17] 6e44e136e
2012[18] 6e41e116e
2013 4e - 130e
2014 6e - 132e
2015 7e - 136e
2016 7e 69e 144e
2017 7e 68e 151e

Le Classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai (ARWU) a classé l'université de Lausanne :

AnnéeEn SuisseEn EuropeDans le monde
2003 --301e - 400e
2004 --302e - 403e
2005 7e124e - 168e301e - 400e
2006 7e79e - 122e201e - 300e
2007 7e81e - 123e203e - 304e
2008 7e80e - 124e201e - 302e
2009 7e80e - 125e201e - 302e
2010 7e75e - 123e201e - 300e
2011[19] 7e-201e - 300e
2012 7e - 201e - 300e
2013 7e - 201e - 300e
2014 6e - 7e - 151e - 200e
2015[20] 7e - 201e - 300e
2016 7e 201e - 300e

Le Leiden Ranking de l'université de Leyde en fonction de la proportion de publications dans les dix meilleurs pourcents en matière d'impact dans leur domaine :

AnnéesEn SuisseEn EuropeDans le monde
2006-2009 3e 7e 42e
2007-2010 2e 6e 38e
2008-2011 2e 5e 37e
2009-2012 3e 9e 43e
2010-2013 3e 7e 39e
2011-2014 5e 20e 59e

En 2016, le master en finance de la faculté des hautes études commerciales (HEC) est classé à la 21e place au niveau mondial dans le ranking du Financial Times.

En 2016 et pour la 4e année consécutive, son master en comptabilité, contrôle et finance remporte la 1re place dans le classement Eduniversal.

Dans le classement de Shanghai, la faculté des HEC figure également en 2015 à la 1re position au niveau suisse et à la 6e position au niveau européen pour la qualité de ses publications scientifiques. Elle a également reçu les accréditations AMBA et EQUIS pour la qualité de ses programmes, de sa recherche et de son enseignement.

Instituts et fondations associés

L'Institut suisse de droit comparé, situé sur le campus de l'UNIL

Sites

Le bâtiment hospitalier principal du centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV).
Le Bugnon 21, siège du Décanat de la faculté de biologie et de médecine de l'UNIL et de la direction générale du CHUV.
Le site d'Épalinges : le centre d'immunité et infection Lausanne (CIIL), UNIL-CHUV, comprend notamment le département de biochimie (UNIL), centre de l’OMS de recherches et de formation en immunologie et le centre Ludwig de l'Université de Lausanne pour la recherche sur le cancer.

Cette université pluriséculaire avait tout d'abord établi ses quartiers en plein cœur de Lausanne, dans le quartier médiéval de la cité, mais le manque de place a contraint les autorités cantonales à choisir un site plus grand dans les années 1980.

En 1970 l'université commence son déplacement sur le site de Dorigny, à Écublens, sur la côte lémanique. En 1971, l'école polytechnique fédérale de Lausanne commença la construction des nouveaux bâtiments (inaugurés en 1978) sur le même site de Dorigny, à côté de l'université de Lausanne. Le site est desservi par la ligne de métro M1 du réseau des Transports publics de la région lausannoise à travers les stations UNIL-Chamberonne, UNIL-Mouline et UNIL-Sorge depuis 1991.

L'UNIL et l'EPFL disposent d'un centre sportif et nautique commun, au bord du lac Léman, qui permet la pratique de nombreuses activités[28].

Le centre de Dorigny possède de nombreux espaces verts. Depuis les années 1990, le choix a été fait d'utiliser des moutons plutôt que des tondeuses pour couper l'herbe. Ces moutons sont devenus emblématiques de l'université : on les retrouve notamment dans des nombreux produits dérivés[29]. Depuis son déplacement sur ce site, l'emblème de l'université est le chêne de Napoléon, arbre planté sur le site à la fin du XVIIIe siècle par un membre de la famille de Loys[30],[31].

L'université de Lausanne occupe actuellement, en plus du campus principal de Dorigny, deux autres sites :

Ces deux sites sont desservis par la ligne de métro M2 (respectivement stations CHUV et Croisettes). Par ailleurs, la faculté de biologie et de médecine dispose d'un quatrième site, l'Hôpital de Cery (neurosciences psychiatriques, à Prilly)[33].

Le campus de Dorigny est depuis en évolution, et de nombreuses constructions sont venues se greffer sur le campus.

Bibliothèques et culture

La bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne (BCU) est une institution publique à vocation patrimoniale, culturelle et scientifique. Dépendant du service des affaires culturelles, elle est à la fois destinée à la communauté universitaire ainsi qu’au grand public vaudois. Elle détient la production documentaire touchant le canton de Vaud.

Presse

L'université de Lausanne publie Uniscope, le magazine mensuel gratuit du campus de l'UNIL, et Allez savoir !, le magazine grand public de l'université, publié trois fois par année.

En dehors de ces médias qui sont la voix de l'institution, L'auditoire est le journal des étudiants (de l'UNIL et de l'EPFL) ; rédigé par ceux-ci, le journal est tiré à quelque 19 000 exemplaires disponibles en libre accès.

Portes ouvertes

Depuis 2006[34], l'université de Lausanne organise annuellement les Mystères de l'UNIL[35], des journées de portes ouvertes gratuites permettent au grand public de visiter des laboratoires et de participer à de nombreuses animations sur le site de Dorigny.

Personnalités

Enseignants

Prix Nobel

Depuis 1901, date de sa création par Alfred Nobel, sept de ses lauréats peuvent être mis en relation avec l'université de Lausanne[36] :

Quelques anciens étudiants

Associations étudiantes

L'université de Lausanne compte en son sein de nombreuses associations d'étudiants[39]. Entre les années vingt et septante (1926-1971), les étudiants étaient organisés dans l'Association générale des étudiants de l'université de Lausanne[40].

Sports

Le développement du sport universitaire à Lausanne s’est fait de manière très progressive. Très tôt, déjà du temps de l’ancienne Académie de Lausanne, c’est-à-dire avant 1890, certaines activités telles que l’équitation, l’escrime et la gymnastique sont proposées aux étudiants mais les locaux sont encore externes à l'université. Une société de gymnastique des étudiants a par exemple été fondée en 1880. Dès 1886, existe un club nautique de l’université, et les sports de montagne font partie des activités estudiantines dès la Belle Époque. Si l’on donne parfois la date de 1912 comme véritable début des sports universitaires lausannois, attribuant ce développement au docteur Francis-Marius Messerli, il semble que le jubilé olympique de 1919 ait été une date charnière pour la reconnaissance du sport universitaire, toujours grâce à l’engagement du Dr Messerli[41].

Photographies

Notes et références

  1. « Dorigny, un site exceptionnel », sur wp.unil.ch (consulté le ).
  2. Formation continue UNIL-EPFL, consulté le .
  3. Ludwig Center for Cancer Research of the UNIL, consulté le .
  4. « Accord international : l’UNIL s’agrandit et renforce la recherche lausannoise sur le cancer », communiqué de presse du , consulté le .
  5. Nadine Richon, « L’UNIL intègre l’institut Ludwig », L'Uniscope, no 558, p. 18, 2010, consulté le .
  6. ALUMNIL, consulté le .
  7. « L’UNIL lance son nouveau réseau d’alumni », communiqué de presse du mercredi , consulté le .
  8. « L’IDHEAP rejoint l’UNIL », communiqué de presse du jeudi , consulté le .
  9. Catherine Dubouloz, « Nouria Hernandez, une biologiste à la tête de l’Université de Lausanne en 2016 », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne)
  10. « Le choix d’un recteur belge pour l’UNIL a été validé », 24 Heures, (lire en ligne)
  11. http://voeux.unil.ch (consulté le ).
  12. « Le campus s'agrandit pour accueillir 12'500 étudiants », consulté le .
  13. Thèmes statistiques > Etudiants, consulté le .
  14. UNIL en chiffres, consulté le .
  15. Fondation pour la formation continue universitaire lausannoise - Type de formations, consulté le .
  16. Times Higher Education-QS World University Rankings 2009, consulté le .
  17. Times Higher Education – World University Rankings 2011-2012, consulté le .
  18. Times Higher Education – Top Universities by Reputation 2012, consulté le .
  19. Academic Ranking of World Universities - 2011, consulté le .
  20. (en) « ARWU World University Ranking », sur shanghairanking.com, (consulté le ).
  21. « The Department of Biochemistry (DB) at a glance » (page consultée le 1er octobre 2011).
  22. Swiss Vaccine Research Institute (page consultée le 14 avril 2012).
  23. Centre d'imagerie biomédicale (page consultée le 2 octobre 2011).
  24. CADMOS (page consultée le 20 février 2012).
  25. Institut universitaire romand de santé au travail – Qui sommes-nous ? (page consultée le 1er octobre 2011).
  26. Centre universitaire romand de médecine légale (page consultée le 3 juin 2012).
  27. [www.doping.chuv.ch Laboratoire suisse d'analyse du dopage] (page consultée le 3 juin 2012).
  28. Centre sportif universitaire de Dorigny, consulté le .
  29. [PDF] Sophie Badoux, Les folies bergères de l'Unil, l'unIscope 580, février 2013, p. 4-5.
  30. « Le chêne de Napoléon décoré » [html], Actualités de l'Université de Lausanne, sur unil.ch, Université de Lausanne, (consulté le )
  31. « Napoleome : le projet de séquençage du chêne de Napoléon, emblème vivant du campus de l'UNIL » [html], Actualités de l'Université de Lausanne, sur unil.ch, Université de Lausanne, (consulté le )
  32. CIIL, consulté le .
  33. Hôpital de Cery, consulté le .
  34. Page « Archives » du site des Mystères de l'UNIL de 2011, consulté le .
  35. Mystères de l'UNIL.
  36. Prix Nobel, université de Lausanne, consulté le .
  37. (en)« Press Release: The Nobel Prize in Chemistry 2017 », Fondation Nobel, , consulté le .
  38. Le Théâtre du crime - Institut de police scientifique de l'Université de Lausanne/Musée de l'Élysée
  39. UNIL, « Portail interne de l'Université de Lausanne - Les associations » (consulté le ).
  40. Fonds : Association générale des étudiants de l'Université de Lausanne (1926-1971) [4,10 mètres]. Cote : P Association générale des étudiants. Archives cantonales vaudoises (présentation en ligne)..
  41. Grégory Quin, « Du sport dans les murs de l’Alma Mater : est-ce bien raisonnable ? Regards sur les premiers temps de l’institutionnalisation des sports universitaires lausannois (années 1890- années 1930 », Revue historique vaudoise, vol. 127, , p. 59-72 (ISSN 1013-6924).
  42. Émilie Veillon, « Le Vortex, nouveau cercle vertueux pour étudiants », Le temps, (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Sources

  • Fonds : Université de Lausanne (1536-1987) [12.50 ml]. Cote : K XIII 369. Archives cantonales vaudoises (présentation en ligne).
  • Fonds : Université de Lausanne (1894-1945) [25.00 ml]. Cote : K XIII 371. Archives cantonales vaudoises (présentation en ligne).

Liens externes

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