Termignon
Termignon, ou Termignon-la-Vanoise, est une ancienne commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Termignon | |||||
Vue du village de Termignon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Saint-Jean-de-Maurienne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haute Maurienne-Vanoise | ||||
Maire délégué | Gérald Bourdon 2020 - Aujourd'hui |
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Code postal | 73500 | ||||
Code commune | 73290 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Termignonais | ||||
Population | 402 hab. (2014 ) | ||||
Densité | 2,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 16′ 42″ nord, 6° 49′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 1 277 m Max. 3 855 m |
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Superficie | 149,03 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Modane | ||||
Historique | |||||
Date de fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Val-Cenis | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Elle fusionne le avec les communes de Bramans, Lanslebourg-Mont-Cenis, Lanslevillard et Sollières-Sardières pour former la commune nouvelle de Val-Cenis.
Géographie
Localisation
La commune de Termignon est située en partie dans le parc national de la Vanoise, à 17 kilomètres au nord-est de Modane.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 14 903 hectares ; son altitude varie de 1 277 à 3 855 mètres[1].
Une partie importante du territoire de la commune (686,57 hectares) est située dans la zone centrale du parc[2].
Hydrographie
- La rivière l'Arc.
- Le Doron de Termignon, 22,9 kilomètres entièrement situé sur la commune.
Avion
- Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry (2 h) puis bus en hiver via Modane.
- Aéroport de Chambéry-Aix-les-Bains (1 h 15).
- Aéroport de Annecy-Meythet (1 h 45).
- Aéroport de Genève-Cointrin (2 h).
- Aéroport de Grenoble-Isère (2 h 10).
Train
Route
- Autoroute A43 entre Lyon et l'Italie via le tunnel du Fréjus sortir au Freney. Puis D 1006 (anciennement N 6) de Modane, prendre direction Haute-Maurienne-Vanoise (Lanslebourg) sur 17 km jusqu'à Termignon.
- Depuis Chambéry, prendre direction Turin / Maurienne, Saint-Jean-de-Maurienne et Modane. De Modane prendre direction Haute-Maurienne-Vanoise (Lanslebourg) sur 17 km jusqu'à Termignon.
Transports en commun
La commune a mis en service une navette gratuite depuis le centre du village, jusqu'au parking de Bellecombe. Le parking de Bellecombe est le départ de toutes les randonnées possibles : GR 5, tour des glaciers de la Vanoise, col de la Vanoise, six refuges sur la commune avec une charte environnementale, le choix d'un comportement éco-responsable.
Ligne gratuite pour rejoindre les stations de la vallée.
- Ligne Bramans - Bonneval-sur-Arc.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée de Terminione, lors de la mention de l'église, en 1127, d'après Besson (Ecclesia de Terminione)[4],[5],[6], plus tard on trouve Ecclesia de Termeinum en 1184[4],[6] et Termeinon au début XIIe siècle[6]. Un certain Audemarus de Termignono est également mentionné dans le cartulaire de l'abbaye d'Oulx en 1233[6],[4], Curatus Termignionis au XIVe siècle[4], Mistralia Termegnionis en 1450[4].
Le géographe Jules Blache cite le Mémorial du Docteur Marc de Lavis-Trafford (publié en 1962), pour qui le nom serait issu du terme latin terminus désignant la fin de la vallée de la Maurienne, la partie en amont ayant été pendant longtemps un district géographique administré par le versant piémontais[7]. Cette affirmation appelle plusieurs remarques : Il n'y a aucune analyse de la terminaison -on, ni de tentative pour comprendre pourquoi la seconde syllabe est -gnon. En outre, les toponymes ayant une valeur purement descriptive et géographique sont assez rares.
Les formes anciennes et l'évolution actuelle du toponyme s'explique sur la base d'un radical Termini- et non pas *Termin-, le suffixe étant -ONE (autrement noté en latin -onem), suffixe gaulois ou latin de signification générale et assez vague, bien identifié dans la toponymie[5],[6]. Le [i] final de Termini- ne peut en aucun cas être une désinence casuelle du génitif singulier masculin ou du pluriel. C'est pourquoi les linguistes et les toponymistes voient dans le premier élément Termini-, l'anthroponyme latin Terminius[5],[6]. Le sens global est donc « propriété de Terminius »[6]. Terminius est un gentilice latin bien attesté et basé sur le nom du dieu Terme, appelé Terminus dans la mythologie romaine. Un autre exemple de l'emploi de cet anthroponyme en Gaule est cité avec Terminiers (Eure-et-Loir)[5] qui remonte à *Terminiacum, dérivé avec le suffixe -acum d'origine gauloise principalement utilisé avec un nom de personne.
Certains avancent également qu'il pourrait s'agir également du nom de personne Termignon[6],[4], pris absolument selon un processus parfois observé dans la toponymie.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Trémyon (graphie de Conflans) ou Tèrmegnon (ORB)[8].
Histoire
La bulle pontificale de Lucius III, de l'année 1184, confirme la juridiction épiscopale de Maurienne sur dix-sept paroisses dont Termignon[9].
Un relais de la ligne Paris—Milan du télégraphe Chappe est construit à Termignon, sur la Turra[10].
La Route Napoléon
La construction de la route Napoléon dans les années 1800 attire bon nombre de voyageurs, un grand nombre d'habitants du village profitera du passage du col du Mont Cenis pour ouvrir des commerces tel qu'auberges, restaurants, maréchal-ferrant...
Guerre 1939-1945
Le , les Allemands incendient le village, 214 personnes sont sinistrées, la moitié du village est détruite par les flammes. Beaucoup de gens ne reviendront pas à Termignon et resteront en ville où ils auront bénéficié d'appartement en dommage de guerre.
Population et société
Ses habitants sont appelés les Termignonaises et les Termignonais[11]. Selon l'écrivain Joseph Dessaix, dans son ouvrage Nice et Savoie (1864)[12], les habitants étaient surnommés, à cette époque, les Fanfarons[13].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].
En 2014, la commune comptait 402 habitants[Note 1], en diminution de 4,96 % par rapport à 2009 (Savoie : +2,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Tourisme
Termignon la Vanoise | |
Une vue aérienne de la station serait la bienvenue. | |
Administration | |
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Pays | France |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 16′ 39″ nord, 6° 49′ 01″ est |
Massif | Alpes grées |
Termignon fait partie de la station de Val Cenis Vanoise qui compte 130 km de pistes de ski.
Termignon-la-Vanoise est aussi un domaine skiable de renom, relié depuis 2008[18] par le télésiège débrayable de la Turra aux domaines de Lanslebourg-Mont-Cenis et Lanslevillard (Val Cenis).
Front de neige
Situé à proximité directe de l'Arc[19], il est composé du télésiège débrayable 4 places de la Girarde[20]. On y trouve également les caisses de forfaits [réf. nécessaire] ainsi que l'École du ski français. Ce front de neige, le premier en arrivant depuis Modane est très attractif pour les locaux voulant skier à la journée sur le domaine skiable de Val Cenis Vanoise.
L'on y trouve un véritable espace débutant composé d'un tapis roulant ainsi que deux téléskis nommés Tannes et Marmottons[21] qui desservent deux pistes vertes et une piste bleue. Le deuxième devrait être remplacé courant automne 2013[22].
- Le village sous la neige.
- La gare aval du télésiège débrayable de la Girarde, appareil principal du front de neige de Termignon-la-Vanoise.
- L'espace débutant, desservi par un tapis roulant de montagne ainsi que deux téléskis : Marmottons et Tannes.
Secteur d'altitude
Le secteur d'altitude est accessible via la chaîne des appareils Girarde et Roches Blanches[23]. Quoiqu'un peu longue, elle est néanmoins très adaptée au niveau de la fréquentation de la station.
Au sommet du télésiège fixe Roches Blanches, il est possible d'atteindre le front de neige de Lanslebourg-Mont-Cenis via la piste bleue Flambeau enneigée artificiellement[24], puis soit en empruntant le télésiège débrayable de la Turra à la descente[25] soit en descendant la longue piste bleue Traverse.
Autrement, il est possible de skier sur le plateau de Sollières-Sardières à plus de 2 000 mètres d'altitude grâce aux deux téléskis Grand Coin et Lac qui desservent à eux deux 2 pistes bleues et 3 pistes rouges. Ils sont néanmoins classés difficiles par la SEM du Mont-Cenis qui exploite le domaine de Val Cenis Vanoise.
En outre, une partie du secteur du glacier de la Grande Motte, appartenant au domaine skiable de Tignes, se situe sur la commune de Termignon : télésiège de la Leisse et téléski de Termignon.
Enfin le refuge du Lac Blanc est situé à Termignon à 2 300 mètres d'altitude.
- Le secteur d'altitude est en partie desservi par le téléski débrayable Lac.
- Les pistes autour du téléski du Lac, en été.
- Le téléski du Grand Coin qui dessert en majorité des pistes rouges.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Termignon (XVe siècle, XVIIe siècle), de style baroque[26]. Inscrit MH (1986)[27]
- La chapelle Notre-Dame de la Visitation, appelée à l'origine Notre-Dame-du-Poivre car elle se trouvait sur la route des épices entre Lyon et Milan[28]. Fondation en 1536. Classé MH (1987)[29]
- La chapelle Saint-André du XVIIIe siècle au bord de l'Arc.
- La chapelle Saint-Roch, près de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, construite à la place de la chapelle Saint-Sébastien, qui était près du cimetière des pestiférés.
- La chapelle Saint-Colomban, située près du pont Saint Germain sur la rive gauche du Doron, elle fut fondée en 1514. Elle fut plus tard l'école des filles et finalement revendue à un particulier pour devenir un garage.
- Le monument aux morts et sa statue, « La Pleureuse », œuvre de Luc Jaggi-Couvert, sculpteur genevois d'origine termignonnaise (1887-1976)[30]. C'est un des monuments aux morts pacifistes élevés en France après la Première Guerre mondiale pour protester contre la guerre. Le monument fut inauguré le [31].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Visitation.
- Chapelle Saint-Roch.
- Bleu de Termignon.
Patrimoine rupestre
L'Art rupestre est très répandu dans la région, via l'important corpus des gravures rupestres du Grand roc noir, sur les communes de Termignon, Lanslebourg et Lanslevillard, ainsi que celles d'Aussois, au Parc des Lozes, et de Bessans, au Rocher du Château.
Gastronomie
La ville de Termignon a donné son nom au bleu de Termignon, un fromage à pâte persillée fabriqué avec du lait cru de vache.
Personnalités liées à la commune
- 1839 - décès du docteur Balthazard Claraz : médecin honoraire des papes Pie VII et Grégoire XVI et de la cour de Rome. Chevalier de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. Officier de santé des troupes impériales à l'hospice du Mont Cenis en 1812.
- Valentin Claraz, né à Termignon le , fils aîné du docteur Balthazard Claraz. Fut nommé par le pape Grégoire XVI chevalier de l'ordre de Saint-Sylvestre. En 1883 il est maire de Barby c'est dans cette commune qu'il meurt le .
- Jean-Pierre Duport, né le (fils de Laurent) à Termignon en Maurienne et mort à Lyon le 4 décembre 1820[1], est un négociant savoyard établi à Lyon, puis entrepreneur en Savoie. Il a créé à Annecy vers 1804, la manufacture de coton d'Annecy, qui emploie plus d'un millier d'ouvriers dès 1811. Son fils Saint-Clair Duport donnera la maison familiale pour financer le bourdon de l'église.
Annexes
Bibliographie
- Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 179-184. ([PDF] lire en ligne)
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie de Termignon-la-Vanoise
- « Bases de données : Commune de Termignon (73290), Département de la Savoie (73) », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté en ).
- [PDF] « Termignon (73290 - Commune), Chiffres clés - « Évolution et structure de la population » », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté en ), p. 18 (Chiffres de 2011, mise à jour le ).
- « Bases de données : Commune de Termignon (73290), Département de la Savoie (73) - « Chiffres clés Évolution et structure de la population » », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté en ) (Chiffres de 2009).
- (fr) Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Termignon (73290) », sur Site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2017, millésimée 2014, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2016, date de référence statistique : 1er janvier 2014.
Références
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- DDT Savoie 2014, p. Type de zone : Parc national de la Vanoise : « Parc national de la Vanoise (Zone Centrale) au 1er janvier 2011 : 15 523,39 ha ».
- TransDev Savoie
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 463.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 672b
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne), chap. 11466, p. 679
- Jules Blache, « L'ancienne voie du Cenis », publié dans la Revue de géographie alpine, 1963, vol. 51 Numéro 1, p. 171 (lire en ligne). Il cite le Mémorial du Docteur Marc de Lavis-Trafford (Marc-Antoine de Lavis-Trafford (1880-1960)), publié dans les Travaux de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, tome. XIV, 1962, p.129 (lire en ligne) et p.142 (lire en ligne).
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Alexis Billiet, Chartes du diocèse de Maurienne, vol. 1, Chambéry, imp. de Puthod fils, , 446 p. (lire en ligne), p. 32-34.
- Alain Peynichou, « Écrire dans l’air », Cochons et cochonnailles : la quête du saint gras, in L’Alpe, no 42, Automne 2008, p. 72
- « Termignon », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Joseph Dessaix, Nice et Savoie : sites pittoresques, monuments, description et histoire des départements de la Savoie, Haute-Savoie et des Alpes-Maritimes réunis à la France en 1860, 1864, p. 60.
- François Miquet, Sobriquets patois et dictons des communes et hameaux de l'ancien genevois et des localités limitrophes, Annecy, , 27 p. (lire en ligne), p. 7.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013 et 2014.
- Ministère des Transports et de l'Équipement (France), « extraction_FIRM.xls » sur STRMTG. Consulté le 18 août 2013
- Communauté d'OpenStreetMap, « Termignon » sur OpenStreetMap. Consulté le 20 août 2013
- remontees, « Reportage TSD4 Girarde - Termignon-la-Vanoise » sur Montagne-Câble Consulté le 20 août 2013
- remontees, « Termignon-la-Vanoise » sur Montagne-Câble (consulté le 24 août 2013)
- valcelouis, « Construction TKE1 des Terres Grasses et TKE1 des Marmottons (2013) » sur Remontées-mécaniques.net (consulté le 24 août 2013)
- remontées, « Reportage TSF4 Roches Blanches - Termignon-la-Vanoise » sur Montagne-Câble (consulté le 21 août 2013)
- Office du tourisme Val Cenis Vanoise, « Plan des pistes Val Cenis Vanoise » sur val-cenis.haute-maurienne-vanoise.com/. Consulté le 27 août 2013
- « TSD6 de la Turra » sur Remontées-mécaniques.net (consulté le 10 janvier 2009)
- Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 319 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 237-244.
- « Église », notice no PA00118311, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 190 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 245-250.
- « Chapelle de la Visitation », notice no PA00118310, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Page officielle de Termignon
- Résumé du conseil municipal de Termignon année 1931.
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