Barby (Savoie)

Barby est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Barby.

Barby

Vue de l'agglomération.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Christophe Pierreton
2020-2026
Code postal 73230
Code commune 73030
Démographie
Gentilé Barbysiens
Population
municipale
3 422 hab. (2018 )
Densité 1 380 hab./km2
Population
agglomération
120 118 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 20″ nord, 5° 58′ 42″ est
Altitude Min. 292 m
Max. 655 m
Superficie 2,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-Leysse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Barby
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Barby
Géolocalisation sur la carte : France
Barby
Géolocalisation sur la carte : France
Barby
Liens
Site web barby73.fr

    La commune fait partie de l'agglomération chambérienne et de Grand Chambéry.

    Géographie

    Situation

    La commune de Barby est située au sud-est de l'agglomération chambérienne, à l'ouest et au pied du massif des Bauges en direction de Curienne et des stations de ski du domaine Savoie Grand Revard.

    Son territoire est modeste, d'une superficie de 2,48 km2 (248 hectares), répartis sur un terrain plat à l'ouest et plus collineux à l'est en montant jusqu'à La Roche, premier sommet des Bauges. Son altitude répartie de 292 à 655 mètres induit ainsi un dénivelé de quelque 360 mètres.

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune, même si la Leysse passe à moins d'un kilomètre au nord-ouest, mais sur la commune de Saint-Alban-Leysse. Toutefois, cette dernière marque la séparation entre Barby et la commune de Saint-Jean-d'Arvey sur quelques centaines de mètres seulement, au niveau du lieu-dit du Bout du Monde.

    Communes limitrophes

    Barby possède plusieurs communes limitrophes, parmi lesquelles Saint-Jean-d'Arvey au nord, Curienne du nord-est au sud-est, Challes-les-Eaux au sud, la Ravoire à l'ouest - sud-ouest et Saint-Alban-Leysse à l'ouest - nord-ouest.

    Voies routières

    Barby n'accueille sur son territoire aucun axe routier majeur de type « itinéraire important ». La nationale 6 (devenue D 1006) passe toutefois à l'extrémité sud de la commune, mais joint la Ravoire à Challes-les-Eaux sans entrer dans la commune.

    La départementale 11 joignant Chambéry à Cruet via Curienne et la Thuile dans le massif des Bauges, débute toutefois l’ascension de La Roche à Barby (où celle-ci marque par ailleurs cinq virages en lacets).

    Niveau autoroutier, la nationale 201 (la voie rapide urbaine de Chambéry) permet de joindre Barby via ses sorties 18 vers les Bauges et 19 vers la Ravoire, situées à 2 ou 3 kilomètres. La V.R.U marque la continuité entre les autoroutes A41 et A43 permettant de rallier les villes de Lyon, Grenoble, Annecy et Turin en Italie, en plus des vallées alpines Tarentaise et Maurienne.

    Bus

    Un bus du réseau Synchro Bus, dans le centre-ville de Barby, en février 2017.

    Le territoire communal est desservi par trois lignes du réseau de bus Synchro Bus, géré conjointement par Chambéry Métropole - Cœur des Bauges et Transdev Chambéry. Les lignes concernées sont :

    • la ligne   B  , qui arrive sur le territoire depuis le sud-ouest et dispose de son terminus à proximité de la frontière est, relie la commune au parc-relais de la Maison Brûlée à Sonnaz via le centre-ville de Chambéry. Outre son terminus (“Roc Noir”), elle dessert six arrêts dans la commune (“Collège Jean Mermoz”, “Barby Centre”, “Monférine”, “Clos Dupuy”, “Rochettes” et “Chaffat”).
    • la ligne  6 , qui entre sur le territoire communal par le sud et en sort à l’ouest, relie Saint-Baldoph au centre commercial Gallion à Bassens. Elle dessert trois arrêts sur le territoire (“Barby Centre”, “Mairie Barby” et “Casselagnat”).
    • la ligne  13 , qui longe le territoire barbysien à l’ouest avant de le traverser pour rejoindre Curienne, relie le parc-relais de La Trousse, située à La Ravoire, à La Thuile. Cette ligne dessert trois arrêts dans la commune (“Panoramique”, “Côteau” et “Château de la Bâtie”). En heures creuses, cette ligne est assurée en transport à la demande, ce qui permet, en réservant son trajet jusqu’à deux heures avant l’heure souhaitée, d’être récupéré par un bus et déposé au parc-relais de La Trousse, d’où la ligne B assure des départs vers le centre-ville de Chambéry.

    Le dimanche et les jours fériés, seule la ligne   B   circule. Le réseau de nuit ayant été supprimé dans le cadre du nouveau réseau, la commune ne voit plus de bus traverser son territoire après 22 ou 23 heures, selon les jours.

    Transport ferroviaire

    Barby ne possède aucune ligne ni gare ferroviaire. La ligne la plus proche est la ligne de la Maurienne de Culoz à Modane passant à environ deux kilomètres plus à l'ouest. La gare la plus proche est pour sa part la gare de Chambéry-Challes-les-Eaux, située à environ km au nord-ouest. La gare permet un accès direct par TGV avec Paris, Turin et Milan, et par TER Rhône-Alpes avec Lyon, Grenoble, Annecy, Genève et les vallées alpines.

    Urbanisme

    Typologie

    Barby est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[4] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,2 %), forêts (36 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est mentionné anciennement sous les formes Balbiacus dans un acte estimé vers 1010 (Villa que dicitur Balbiacus), puis Balbeio et Balbir au siècle suivant, Balbiaco et Barbie au XIVe siècle[10],[11].

    Le toponyme remonterait à un type gallo-roman *Balbiacus, basé peut-être sur l'anthroponyme Balbius avec le suffixe -acum, reprenant l'analyse du chanoine Adolphe Gros[10],[11].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Barbi, selon la graphie de Conflans[12].

    Histoire

    Ancien village, la commune s'est très fortement développée au cours des années 1960 et 70, avec de nombreux immeubles de logements sociaux (Clos Gaillard, Les Épinettes). Cela lui permet d'ailleurs de faire partie des seuls villages du département à dépasser les 30 % de logements sociaux.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Les électeurs de la commune de Barby portent leur suffrage traditionnellement à gauche sur l'échiquier politique.

    Résultats des derniers scrutins électoraux
    1er score 2e score Participation
    Élections européennes de 2014 19,16 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) 18,94 % pour Renaud Muselier (UMP) 49,66 %
    Élections municipales de 2014 61,49 % pour Catherine Chappuis (PS) 38,50 % pour Pascal Bouvier (SE) 63,56 %
    Élection présidentielle de 2012 55,58 % pour François Hollande (PS) 44,42 % pour Nicolas Sarkozy (UMP) 83,61 %
    Élections législatives de 2012 61,09 % pour Bernadette Laclais (PS) 38,91 % pour Christiane Brunet (DVD) 57,87 %
    Élections européennes de 2009 23,83 % pour Françoise Grossetête (UMP) 21,62 % pour Michèle Rivasi (EELV) 44,00 %
    Élections régionales de 2010 57,69 % pour Jean-Jack Queyranne (PS) 28,90 % pour Françoise Grossetête (UMP) 53,22 %
    Élections cantonales de 2008 57,78 % pour Jean-Pierre Burdin (PRG) (élu au 1er tour) 19,81 % pour Christiane Nantois (DVD) 60,16 %
    Référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe 50,30 % pour le Oui 49,70 % pour le Non 71,18 %

    Administration municipale

    Le conseil municipal de Barby se compose du maire, de six adjoints et de 16 conseillers municipaux.

    Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal :

    GroupeMaireEffectifStatut
    Barby Solidarité et AvenirCatherine Chappuis19Majorité
    Ensemble pour BarbyPascal Bouvier4Opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1883   Monsieur le Chevalier Valentin Claraz   Fils aîné du docteur Balthazard Claraz
    1912 1965 Marquis Jean-Baptiste Oncieu de la Bâthie
    (1885-1965)
       
    1965 mars 1989 Louis Besson DVG-PS Député, ministre, conseiller général
    mars 1989 mars 2008 Roland Tissot PS Instituteur retraité
    mars 2008 mars 2020 Catherine Chappuis PS Fille de l'ancien maire Louis Besson
    Conseillère départementale
    mars 2020 En cours
    (au juin 2020)
    Christophe Pierreton[13]   Ancien 1er ajoint

    Démographie

    La population de Barby s'accroit avec de nouveaux logements créés.

    Les habitants de la commune sont appelés les Barbysiens[14] bien que le terme de Barbysins soit parfois également utilisé[15].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2018, la commune comptait 3 422 habitants[Note 3], en augmentation de 3,1 % par rapport à 2013 (Savoie : +2,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    200224230219270292308290288
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    247252241260256263258246242
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    2492762722702903093285501 884
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    2 6723 0802 9583 2873 3043 3263 422--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[20],[21].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château de la Bâtie sur les hauteurs.
    • Parc Malatray
    Ancienne propriété privée, acquise par la commune, le parc Malatray est un petit havre de paix au pied de la colline des Chavonnes, avec son bassin et ses arbres centenaires. Il comporte un parcours botanique, des aires de pique-nique et des jeux pour enfants.
    Situé au pied du mont Peney, à km au nord, sur un éperon rocheux au-dessus de Barby, dominant un coude formée par la Leysse, le château de la Bâtie ou château de la Bâtie-Seyssel, est un ancien château fort du XIIIe siècle, restauré au XVIe siècle. Élevé sur les hauteurs de la ville, il reste toutefois le principal attrait de la commune. Le panorama qu'il offre sur la vallée de Chambéry y est pour quelque chose. Mais cette ancienne forteresse féodale est aussi l'une des mieux conservée de Savoie avec ses cinq tours et ses deux vestiges d'enceintes.
    Le château de la Bâtie, sa grande terrasse ainsi que la salle basse devenue le grand salon, la cheminée de la salle des gardes et la mosaïque gallo-romaine, fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le [22].
    • Base militaire du Roc Noir
    La commune accueille aussi le 13e bataillon de chasseurs alpins dans la base militaire du Roc Noir.

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[23].

    Personnalités liées à la commune

    Louis Besson a été député-maire de cette commune avant d'être élu maire de Chambéry.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey (vol. 1), Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 209-211. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. Henry Suter, « Barby », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
    11. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 48..
    12. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    13. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
    14. « Barby », sur chambery-metropole.fr (consulté le ).
    15. « Circuit de la Miat, chemin des Amoureux », sur barby73.fr (consulté le ), p. 2.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
    21. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    22. « Château de la Bâtie », notice no PA00118193, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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