Soultz-les-Bains

Soultz-les-Bains est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Ne pas confondre avec Soultzbach-les-Bains, commune du Haut-Rhin

Pour les articles homonymes, voir Soultz.

Soultz-les-Bains

Vue générale de Soultz.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Molsheim-Mutzig
Maire
Mandat
Guy Schmitt
2020-2026
Code postal 67120
Code commune 67473
Démographie
Gentilé Soultzois(es)
Population
municipale
954 hab. (2018 )
Densité 269 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 20″ nord, 7° 29′ 18″ est
Altitude Min. 166 m
Max. 359 m
Superficie 3,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Molsheim
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Molsheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Soultz-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Soultz-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : France
Soultz-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : France
Soultz-les-Bains
Liens
Site web www.soultz-les-bains.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. C'est une station thermale.

    Géographie

    Soultz-les-Bains est située à 4 km au nord de Molsheim, au pied des collines sous-vosgiennes. Coincée dans un goulot d'étranglement entre le Jesselberg (363 m) au sud-ouest et le Sulzberg (293 m) au nord-est, la Mossig arrose la commune avant de se jeter dans la Bruche au sud du village.

    La commune est traversée par la RD 422 reliant Molsheim à Marlenheim, qui forme la route des vins d'Alsace et donne accès, au-delà de Molsheim, à l'A352 par l'échangeur de Dorlisheim. Elle dessert également Dangolsheim par la RD 275 et Wolxheim (jusqu’à Strasbourg) par la RD 45.

    Soultz disposait également d'un arrêt sur la ligne ferroviaire Molsheim-Saverne (fermée en 1965 et remplacée depuis par une piste cyclable). Cette liaison est actuellement desservie par bus.

    La véloroute du canal de la Bruche (EuroVelo 5) en provenance de Strasbourg rejoint la véloroute du vignoble d'Alsace (EuroVelo 5) au pied de l'ancienne gare. Vers le nord, cette véloroute mène à Marlenheim, vers le sud vers Thann.

    Le village disparu de Biblenheim (Bubilenheim au IXe siècle) se situait au nord-est de Soultz. Il reste actuellement le hameau du Biblenhof. Les communes limitrophes sont Scharrachbergheim-Irmstett au nord, Dahlenheim au nord-est, Wolxheim à l'est, Avolsheim au sud-est, Dangolsheim et Bergbieten à l'ouest.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Urbanisme

    Typologie

    Soultz-les-Bains est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Molsheim, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[4] et 26 925 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,9 %), forêts (28,2 %), terres arables (21,7 %), zones urbanisées (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Le nom de Soultz, dérivé de Salz (sel en allemand), est lié à la source minérale et aux bains adjacents. Des tombes mérovingiennes furent exhumées lors de la construction de la ligne de chemin de fer Molsheim-Saverne en 1864. La dénomination du village, au travers des chartes et inventaires de biens, varie de Sulcia (737) à Sulze (XIIe siècle) ou Sulcen. À partir de cette époque, le nom de Soultz apparaît.

    Appartenant en indivision à l'empereur et à l'évêque de Strasbourg au XIIe siècle, le village devint un bailliage épiscopal de Dachstein au XVe siècle. Il fut incendié par les Strasbourgeois en 1262 lors de la guerre des Évêques, puis en 1444 et 1622 lors de la guerre de Trente Ans.

    Des fortifications, démantelées en 1333, ont laissé une trace dans la toponymie locale (Biblentor, Molsheimertor, ... - tor signifie porte en allemand). La conformation du bâti ancien accrédite une localité fortifiée de manière sommaire. La commune est réunie à Biblenheim (Biblenhof sur les cartes topographiques IGN) depuis 1556.

    En 1682, Vauban mit en exploitation trois carrières près de Soultz, sur le ban de Wolxheim, pour édifier la citadelle de Strasbourg et celle de Fort-Louis. Afin d'acheminer les pierres, il fit construire le canal de la Bruche au sud du village. Cette voie de communication a transformé un temps Soultz en centre d'approvisionnement de Strasbourg en matériaux divers (pierre, bois, ...).

    Localité à dominante catholique, Soultz-les-Bains comptait depuis le XVe siècle une communauté juive bien structurée.

    Les habitants sont surnommés Trapphiaenle (outardes).

    Les bains de Soultz

    Le Sulzbad. On peut voir au fond la carrière de grès rose de Wolxheim.

    Probablement plus anciens, les bains de Soultz n'ont été évoqués qu'à partir de 1484. Bien que situés sur le ban communal de Wolxheim, ils ont donné son nom à Soultz.

    Une source dédiée à saint Amand, premier évêque de Strasbourg au IVe siècle ainsi que deux chapelles évoquent un lien entre le caractère religieux et les bains. Cultes païens et guérisons miraculeuses ont été évoquées par un médecin strasbourgeois, Melchior Sebitzius, en 1647. Les paysans se baignaient 24 heures durant dans la source dans l'espoir d'être épargnés par la maladie durant l'année à venir. En 1726, J. Schurer dans Disertio inaugularis de balneo Sulzensis signala des ex-voto, témoignages de guérisons miraculeuses de problèmes arthritiques.

    À partir du XVIe siècle, scientifiques et médecins s'intéressèrent aux vertus curatives des eaux recommandées pour le traitement des calculs rénaux, des maladies cutanées, des affections rhumatismales et syphilitiques, des névralgies. Les eaux sont classées parmi les eaux salines (NaCl), iodurées et bromurées.

    Les bains étant accompagnés de distractions diverses (casino, danse, etc.), ils ont attiré l'opprobre du clergé qui n'y voyait qu'un « lieu de perdition » et un « repaire de débauche ». Un incendie, le détruisit une grande partie des installations et mit un terme provisoire au thermalisme à Soultz.

    Durant le XXe siècle, quelques tentatives pour relancer l'exploitation de la source (vente d'eau en bouteille sous la marque Saint-Amand, publicités vantant sa teneur en radium) se soldèrent par des échecs. Un second puits fut creusé sur le ban de Soultz mais sans que le dynamisme économique ne soit au rendez-vous.

    Depuis 1999, le Sulzbad, un établissement de cure et de remise en forme tente de faire perdurer la vocation thermale de la commune.

    Les carrières de Soultz

    La carrière royale.

    Creusées dans le flanc sud-ouest du Silberberg sur la rive gauche de la Mossig, la carrière royale (Königsgrube) montre encore aujourd'hui un front de taille d'une vingtaine de mètres de haut. Composée de grès à Voltzia et de grès datant du Muschelkalk, la carrière vit son exploitation cesser au cours du XIXe siècle. Elle a fait l'objet d'études géologiques approfondies et de récoltes de nombreuses plantes fossiles par Philippe-Louis Voltz, Guillaume Philippe Schimper et Mougeot.

    Héraldique

    Les armes de Soultz-les-Bains se blasonnent ainsi :
    « D'or à la croix d'azur, cantonnée de quatre aigles de sable. »[11].

    Politique et administration

    Vue de la mairie de Soultz-les-Bains.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1958 Charles Marck    
    1958 1965 Georges Kauffer    
    1965 1977 Paul Dentz    
    1977 1980 André Bur    
    1980 1995 Lucien Salomon    
    1995 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Guy Schmitt[12],[13]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    DVD Fonctionnaire[14]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2018, la commune comptait 954 habitants[Note 3], en augmentation de 0,32 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    741750735898996979958918949
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    891826860814810823772740745
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    715644679627596600571573589
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    601618628696654693791913953
    2018 - - - - - - - -
    954--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le vignoble de Soultz-les-Bains, implanté à flanc de coteau sur des terrains argilo-calcaires, fait partie du « Vignoble de la Couronne d'or » et produit tous les cépages d'Alsace. Le riesling et le gewurztraminer y prédominent[19].

    De par sa situation sur la route des vins d'Alsace, Soultz-les-Bains bénéficie d'une activité touristique basée non seulement sur sa production vinicole mais aussi sur son patrimoine historique reconnu.

    Le site thermal « Sulzbad » propose non seulement des soins à vocation thérapeutiques mais également esthétiques à base de produits de la vigne ainsi que l'accès à sa piscine et à son vaporium[20].

    On trouve à proximité de Soultz-les-Bains un producteur de foie gras artisanal, Lucien Doriath, quatre fois médaillé au concours général agricole (2010 et 2011)[21].

    Soultz-les-Bains dispose également de quelques commerces de proximité et de restaurants.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Maurice

    Cette église paroissiale fait partie des premières églises de style néo-gothique alsaciennes. Son clocher est le reste de l'ancienne église du XVe siècle. Son chœur polygonal situé en retrait et sa nef unique se terminant par la façade à portail sculpté composent cette construction. Ce fut en 1888 que la nef se retrouva couverte d'une voûte en berceau lambrissée. L'église possède un orgue de tribune[22],[23],[24],[25]. Elle a été inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[26],[27],[28].

    Carrières royales (grès) à Wolxheim

    C'est dès le XVe siècle que la carrière fut exploitée ; elle fut ouverte sur ordre de Vauban en 1682 pour en extraire les matériaux de construction de la citadelle de Strasbourg. Lors d'études géologiques qu'elle subit au XIXe siècle, des fossiles animaux et végétaux y furent découverts.

    Ferme du Biblenhof

    C'est au nord-est du village que se situe la bâtisse. Son église était l'église mère de Molsheim-Biblenheim et fut détruite au XIXe siècle. La ferme constitue un ensemble de quadrilatère fermé par un mur de clôture qui comporte deux portes : une piétonne et l'autre cochère. Les bâtiments principaux datent du XVIIIe siècle et sont composés de logis, étables, écurie, hangar, grange, pressoir et cellier.

    Moulin "Kollenmuhle" (XVIe au XIXe siècle)

    Cette ancienne propriété de l'Œuvre Notre-Dame établie sur la Mossig moulinait les grains grâce à sa roue à eau. L'un des étages du bâtiment principal possède un pan en bois crépi. Sur l'une des pierres est lisible la date de 1812. Elle correspond à la date de l'agrandissement du moulin. Par la suite, on ajouta au moulin une exploitation agricole ; le tout resta en activité jusqu'en 1977[29].

    Ancien four à chaux

    Au XVIIe siècle, c'est au pied de la carrière que les fours à chaux furent construits. À la fin de la Première Guerre mondiale, une grande cimenterie fut installée sur les pentes du Soultzberg mais l'entreprise fit rapidement faillite. Depuis, les bâtiments de l'exploitation ont disparu mais on peut toujours voir le four à chaux sur le flanc de la colline ; il était alimenté par la carrière ouverte se trouvant plus haut dans les roches du calcaire coquillier[30].

    Colline du Jesselberg

    Située sur les bans communaux de Soultz-les-Bains, d'Avolsheim et de Molsheim, la colline calcaire du Jesselberg est un site naturel remarquable en partie géré par le Conservatoire des sites Alsaciens[31]. Outre une pelouse calcaire à orchidées, le site abrite une zone forestière, des vergers et des haies et des haies qui servent de refuge à des espèces protégées dans le Bas-Rhin (blaireau, chouette hulotte, chauves-souris arboricoles, huppe fasciée, coronelle lisse...)[32].

    Galerie photos

    Personnalités liées à la commune

    Une des personnalités connues, est l'Accompagnant d'Élèves en Situation de Handicap qui a travaillé à l'école élémentaire Les Pins, de à , où il a réussi deux missions sur quatre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Molsheim », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Raymond Moser, « Soultz-les-Bains, traditions et mutations d'un village au passé millénaire », sur http://mairie.soultz-les-bains.pagesperso-orange.fr/index.htm (consulté le ).
    12. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    13. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    14. « Résultats municipales 2020 à Soultz-les-Bains », sur Le Monde.fr (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Voir la page de Soultz-les-Bains sur vignoble-couronne-or.com, consulté le 19 mai 2011.
    20. Voir le site du Sulzbad, consulté le 19 mai 2011.
    21. Voir le site de Lucien Doriath, consulté le 19 mai 2011.
    22. Notice no PM67001093, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune orgue de tribune église paroissiale Saint-Maurice
    23. Notice no PM67000321, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue église paroissiale Saint-Maurice
    24. Notice no PM67000320, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue église paroissiale Saint-Maurice
    25. Notice no IM67009623, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue église paroissiale Saint-Maurice
    26. Notice no PA67000007, base Mérimée, ministère français de la Culture Eglise catholique Saint-Maurice
    27. Notice no IA67006055, base Mérimée, ministère français de la Culture église paroissiale Saint-Maurice
    28. Notice no IA67006056, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière
    29. Notice no IA67006078, base Mérimée, ministère français de la Culture moulin, ferme dit Biblenmuhle ou Kohlenmuhle
    30. Notice no IA67006076, base Mérimée, ministère français de la Culture four à chaux
    31. « La colline du Jesselberg - Herbier - Université de Strasbourg », sur herbier.unistra.fr (consulté le ).
    32. « LE JESSELSBERG, colline calcaire à Soultz-les-Bains en Alsace », sur www.soultz-les-bains.fr (consulté le ).
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