Sainte-Croix-du-Verdon

Sainte-Croix-du-Verdon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Croix.

Sainte-Croix-du-Verdon

Vue générale du village

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Marie Bourjac
2020-2026
Code postal 04500
Code commune 04176
Démographie
Gentilé Saint-Cruxiens
Population
municipale
119 hab. (2018 )
Densité 8,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 35″ nord, 6° 09′ 07″ est
Altitude Min. 443 m
Max. 669 m
Superficie 13,7 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valensole
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Sainte-Croix-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Sainte-Croix-du-Verdon
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Sainte-Croix-du-Verdon
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Sainte-Croix-du-Verdon

    Géographie

    Sainte-Croix-du-Verdon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le nom de ses habitants est Saint-Cruxiens[1]. Les communes limitrophes de Sainte-Croix-du-Verdon sont Roumoules, Moustiers-Sainte-Marie, Les Salles-sur-Verdon, Bauduen, Baudinard-sur-Verdon et Montagnac-Montpezat.

    La géographie du lieu est marquée par le vaste lac de Sainte-Croix (2200 ha), que le village domine à 513 m d’altitude[2]. L’entrée des gorges de Baudinard est située sur la commune.

    Le village était situé dans la plaine, avant de se déplacer sur un site en hauteur au XVIe siècle[3]. Il se trouve actuellement au bord du lac de Sainte-Croix, l’ancien site ayant été noyé.

    Géologie

    Relief

    La commune occupe l’extrémité est du plateau de Valensole et se situe aux portes des gorges de Baudinard-sur-Verdon[4].

    Hydrographie

    Barrage sur le Verdon
    Le village de Sainte Croix du Verdon depuis le lac.
    • Surveillance des eaux de surface, des eaux souterraines, des eaux destinées à la consommation, Pollution et prélèvements sur la commune, Caractéristiques des masses d'eau impactées par la commune[5] :
      • Eau superficielle : Pompage dans le lac de Sainte Croix du Verdon.
      • Eau souterraine : Sources Les Fures
    • Un "contrat de rivière Verdon" a été élaboré et mis en œuvre[6].

    Environnement

    La commune compte 484 ha de bois et forêts[1].

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Sainte-Croix-du-Verdon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Sainte-Croix-du-Verdon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forêt,
    • mouvement de terrain : le secteur central de la commune est concernée par un aléa moyen à fort[9].

    La commune est également exposée à deux risques de type technologique[10] :

    • risque de rupture du barrage de Castillon : Sainte-Croix-du-Verdon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[11],[12]. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne[13], et parcourrait les 45 kilomètres qui séparent le barrage de Castillon du pont du Galetas en un peu moins d’une heure[14]. L’onde arriverait déjà considérablement affaiblie, mais submergerait tout de même le pont du Galetas et entrerait dans la commune sept minutes après avoir passé le pont[15]. Le PPI prévoit que le barrage de Sainte-Croix contiendrait l’eau du lac de Castillon environ vingt-trois minutes, qui monterait jusqu’à la cote 500, avant de le déborder et de continuer jusqu'à Quinson[15]. À cette cote, le lac de Sainte-Croix aurait monté de vingt mètres : les eaux lècheraient les premières maisons du village, recouvrant le pont de la D111 avant le barrage[15] ;
    • l’autre risque de nature technologique est lié au transport de matières dangereuses empruntant la route départementale RD 11 qui passe en bordure de commune[16].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas[17].

    Toponymie

    Le nom du village apparaît pour la première fois en 1097 (villa Santa Crucis), d’après une église qui prétendait conserver une relique de la Vraie Croix, sous une forme occitane, qui a été francisée par la suite[18].

    Sainte-Croix-du-Verdon portait précédemment, jusqu'au , le nom de Sainte-Croix-de-Verdon[19]. La commune se nomme Santa Crotz de Verdon en provençal selon la norme classique et Santo-Crous dòu Verdoun selon la norme mistralienne.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Croix-du-Verdon est une commune rurale[Note 1],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Sainte-Croix, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (35,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (35,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 2] (32 %), terres arables (27,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,9 %), forêts (11 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Histoire

    Le territoire de la commune est fréquenté pendant la Préhistoire, notamment deux grottes où l’on a retrouvé des outils (paléolithique à la grotte du Figuier, Âge du bronze dans la grotte du Capitole)[2]. Le village a été créé sur un point de passage du Verdon, emprunté par une voie romaine. Cette voie romaine a été construite à flanc de montagne sous Auguste, entaillée sur plusieurs sections ; la route était parfois assisse sur un mur de remblai. Elle prenait la direction du col de la Fare[30].

    Au Moyen Âge, les évêques de Riez sont seigneurs du lieu[31]. La communauté est alors appelée Sancta Crux de Salleta[31] en référence à la commune voisine des Salles. La paroisse relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille qui nommait le prêtre et percevait les redevances attachées à l’église[32]. L’évêque de Riez était seigneur laïc de Sainte-Croix : le fief, une partie des terres et le village lui appartenaient[32]. La communauté relevait de la viguerie de Moustiers[32].

    Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, la famille de Forbin est la famille seigneuriale de Sainte Croix. Une branche de ce nom, les Forbin-Sainte Croix, a existé avant la Révolution.

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[33]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Montpeiret[34], ou Peiron-sans-Culottes, selon les sources[35].

    Au moment du coup d’État du 2 décembre 1851, la commune se soulève pour défendre la République et c’est le curé Chassan qui mène les insurgés de la commune en direction de la préfecture[36]. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 9 habitants de Sainte-Croix sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[37].

    Comme de nombreuses communes du département, Sainte-Croix se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[38]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[39]. Si la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants ne concerne pas Sainte-Croix, la commune décide néanmoins d’ouvrir une école de filles[40].

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la commune est libérée le en fin de journée, lorsqu’une colonne de l’US Army traverse le village, en venant de Salernes[41] via Bauduen et se dirigeant vers Riez. Cette colonne progresse sans rencontrer de résistance, et arrive à Riez dans la nuit[42].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Sainte-Croix. Le vin produit, de qualité médiocre, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[43].

    Lors de la mise en eau du lac de Sainte-Croix, la commune a perdu 627 des 1997 hectares qu’elle comptait auparavant[32].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à une croix potencée de gueules, cantonnées de quatre croisettes du même (croix de Jérusalem).[44],[45]

    Politique et administration

    Mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Robert Rouvier[46]    
             
    avant 2005 novembre 2006 Émile Rouvier    
    novembre 2006 mars 2008 Jean-Marie Bourjac    
    mars 2008 mars 2011 Jean-Marie Fouque[47]    
    mars 2011 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Jean-Marie Bourjac[48],[49],[50] DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Sainte-Croix-du-Verdon était, en 2011, l'une des treize communes du département à n'être rattachée à aucun établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. À la suite du schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 établi par la préfecture, prévoyant « la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre »[51], la commune fait partie, depuis 2013 et jusqu'en 2016, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ; et à partir du , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :

    • total des produits de fonctionnement : 648 000 , soit 5 267  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 476 000 , soit 3 873  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 26 000 , soit 211  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 113 000 , soit 922  par habitant.
    • endettement : 9 000 , soit 70  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 9,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,00 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 27,94 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

    En 2018, la commune comptait 119 habitants[Note 3], en diminution de 2,46 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    333388417422482521496472486
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    456483469465414387411366359
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    311256253260208192161158124
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009
    126106107617787102138124
    2014 2018 - - - - - - -
    121119-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    61 feux25 feux

    L’histoire démographique de Sainte-Croix-du-Verdon, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1821 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[57]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1970. Depuis, la population de la commune a doublé.

    Économie

    Agriculture

    La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres. Actuellement, l’oliveraie communale compte moins de 1000 pieds[58].

    Lieux et monuments

    Point de vue sur Sainte-Croix et son lac

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Les sites externes font toujours référence à Sainte-Croix-de-Verdon, la nouvelle dénomination pouvant tarder à être prise en compte.

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Riez », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013.
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    3. Sainte-Croix-Du-Verdon, par Daniel Thiery : L’ancienne église Sainte-Croix
    4. Gorges et grottes de Baudinard
    5. L'eau dans la commune
    6. Contrat de rivière Verdon
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 14 août 2012.
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97.
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
    12. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne, version du 4 juillet 2012, p. 14.
    13. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
    14. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 23.
    15. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 25.
    16. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
    17. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 14 août 2012.
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 27320, p. 1511-1512
    19. La nouvelle dénomination a été officialisée par le décret no 2005-1155 du 12 septembre 2005 portant changement de nom de communes (NOR : INTA0500236D) publié au Journal officiel no 215 du 15 septembre 2005 page 14945
    20. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 402.
    31. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 198-199
    32. Daniel Thiery, « Sainte-Croix-du-Verdon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 14 août 2012.
    33. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298
    34. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113
    35. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008.
    36. Maxime Amiel, « Les Riézois dans l’insurrection de décembre 1851 », p. 196-200 de Provence 1851 : une insurrection pour la République, Actes des journées de 1997 à Château-Arnoux et de 1998 à Toulon, Association pour le 150e anniversaire de la résistance au coup d’État du 2 décembre 1851, Les Mées, 2000, p. 196.
    37. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
    38. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    39. Labadie, op. cit., p. 16.
    40. Labadie, op. cit., p. 18.
    41. Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126.
    42. Henri Julien, op. cit., p. 125.
    43. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
    44. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
    45. Asse Bléone Verdon : Sainte-Croix-du-Verdon, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    46. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    47. Site de la préfecture des AHP
    48. La Provence du 14 mars 2011.
    49. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013.
    50. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    51. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (consulté le ).
    52. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive)
    53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    57. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    58. Réparaz, op. cit., p. 58.
    59. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 121
    60. Notice no PM04002803, base Palissy, ministère français de la Culture deux cloches
    61. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 380
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