Saint-Rémy-aux-Bois

Saint-Rémy-aux-Bois est une commune française située en région Grand Est, dans le département de Meurthe-et-Moselle ainsi que dans l'arrondissement de Lunéville et dans le canton de Lunéville-2.

Ne doit pas être confondu avec Saint-Rémy-au-Bois.

Saint-Rémy-aux-Bois

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes Meurthe, Mortagne, Moselle
Maire
Mandat
André Vigneron
2020-2026
Code postal 54290
Code commune 54487
Démographie
Population
municipale
66 hab. (2018 )
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 00″ nord, 6° 23′ 37″ est
Altitude Min. 263 m
Max. 341 m
Superficie 9,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Saint-Rémy-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Saint-Rémy-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Rémy-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Rémy-aux-Bois

    Géographie

    Le centre du village est à 283 mètres d'altitude. Le point le plus élevé est à 325 mètres dans la forêt communale. le point le plus bas est à 265 mètres, à l'entrée du Loro sur le territoire de Loromontzey[1].

    Saint-Rémy-aux-Bois est en bordure Nord du vaste massif forestier de Charmes. Ce massif est traversé par un chemin forestier dit de la Verrerie, lequel relie le village à la verrerie de Portieux dans les Vosges. La commune est entourée par la forêt. Pour se rendre dans le village, il faut soit longer, soit ou traverser un bois. Saint-Rémy-aux-Bois se situe à 12 km de Bayon, 27 km de Lunéville et km de Charmes.

    Toponymie

    L'orthographe officielle reflète mal l'histoire du toponyme car le prénom Remy ne prenait jamais d'accent aigu en Lorraine. La page Wikipedia de Domremy-la-Pucelle donne tous les détails nécessaires à la compréhension de ce régionalisme. Henri Lepage dont la rigueur de la graphie est légendaire ne place lui non plus aucun accent quand il parle de Saint-Remy-aux-Bois. La Monographie de 1888 ne place pas d'accent, pas plus que Paul Marichal dans le dictionnaire topographique du département des Vosges[2]. Lucien Adam qui cite Saint-Remy à de très nombreuses reprises dans « les patois lorrains » ne met pas non plus d'accent[3].

    Dans les anciens documents, on trouve les formes suivantes : Parochiatus sancti Remigii en 1176 ; Sainet Remey on Boix en 1421[4].

    Selon l'INSEE, Saint-Rémy devient Saint-Rémy-aux-Bois le 2 avril 1961. Encore aujourd'hui, en 2020, on prononce localement « Saint R'my »

    Écart

    Mattecourt se trouve à 2,5 kilomètres à l'Est du territoire. Il s'agit d'un ancien village ayant appartenu à l'abbaye de Beaupré dont les archives mentionnent « le vicus de Matricort » ainsi que son « ecclesia » (église) en 1173. Après sa destruction, le village de Mattecourt devint une métairie [4].

    Hydrographie

    Le territoire communal est drainé par plusieurs ruisseaux dont les eaux aboutissent toutes dans l'Euron. Les principaux cours d'eau sont le Loro qui prend sa source en amont de Mattecourt. Il traverse le territoire de Loromontzey, donne son nom au hameau de Loro, puis continue par Villacourt pour se jeter dans l'Euron à Froville. le Pratieux se jette dans Le ruisseau de la Fontaine St-Claude un peu en amont du village. Ce dernier prend sa source sur le territoire de Saint-Germain, passe tout près du village de Saint-Rémy et se jette dans le ruisseau de Viller. Ce dernier n'a qu'une petite partie de son cours sur le territoire communal. Il se jette dans le Loro à son entrée sur Loromontzey[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Rémy-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,3 %), prairies (37,9 %), forêts (18,4 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Selon les travaux d'Henri Lepage, on est tenté de dire que Mattecourt serait le village originel puisqu'une église est mentionnée en 1173 alors que Saint-Remy à la même période apparaît comme simple composant de paroisse ou territoire paroissial (Parochiatus).

    1157 : Hillin (Hillinus) archevêque de Trèves confirme les biens en possession de l'abbaye de Belchamp. La liste publiée comprend un alleu à Villare[12]. Il s'agit d'un domaine rural sur le territoire de Saint-Rémy-aux-bois, lieu-dit Villers.

    1171 : Pierre de Brixey, évêque de Toul, abandonne la dîme de Saint-Rémy au profit des religieux de Beaupré[13].

    1178 : Conon surnommé Mordan donne tout ce qu'il possède à Saint-Rémy à l'abbaye de Beaupré[13].

    1399, le , Mathieu de Saint-Rémy donne son dénombrement à Alix, comtesse de Vaudémont pour tout ce qu'il possède à Saint-Rémy[13].

    1400, le , les habitants obtiennent leurs affouages dans les forêts de Thermes et de Tilles[13].

    1421, la moitié du village est engagée par le duc de Lorraine à Henri, son fils « bâtard de Belmont ». Parmi les impôts dû par les habitants à cette époque, il est intéressant de noter que chaque porc paiχonnal était taxé de trois deniers[14]. Un porc paiχonnal ou paihhonnal est un porc engraissé à la pâture forestière[15].

    1569, des lettres patentes en date du permettent aux habitants de prendre 100 jours (environ 20 ha) de bois dans la forêt de Thermes[13].

    1576, le , Jean du Chastellet seigneur de Thons, Gaspard de Marcossey seigneur de Coing, Harry de Savigny seigneur de Leymont, Jean du Chastellet et Georges de Nettancourt donnent leur dénombrement pour ce qu'ils possèdent à Saint-Rémy et à Villacourt[13].

    1615, le , Jean de Noilhan commandeur de Saint-Jean de Nancy consent un bail à Jean Connot tabellion à Châtel-sur-Moselle sur tous les droits qu'il a à Saint-Rémy[13].

    1627, selon les comptes du domaine de Rozière (Rosières-aux-Salines ?), les rentes d'argent de Saint-Rémy se lèvent sur les maisons[13].

    1710, le village compte 30 ménages[13].

    1713, le , Georges Guilbert conseiller au bailliage de Nancy fait ses fois et honneur pour la seigneurie du fief de Saint-Rémy. Dans le même acte, il est noté que le château est présentement ruiné[13].

    1857 : 27 personnes meurent du choléra[13].

    1874, le 24 mai : Joseph Banier garde habitant Saint-Remy, ancien combattant et prisonnier de guerre , décède à la fin de sa captivité. Il est inscrit au « tableau d'honneur de la Meurthe »[16].

    1891, Monsieur Gridel de Baccarat, propriétaire de la ferme de Mattecourt découvre dans celle-ci des documents historiques dont personne ne soupçonnait l'existence. Il s'agit d'une quinzaine de titres sur parchemin dont le plus ancien est de 1491 et le plus récent de 1607. Ils sont tous munis du grand sceau de l'abbaye de Beaupré. On suppose qu'ils avaient été cachés pendant la guerre de trente ans[17].

    Seconde Guerre mondiale

    Le village est incendié par les SS en septembre 1944, puis bombardé et complètement rasé. Le village sera totalement reconstruit. Le , le secrétaire d'État aux Forces armées, Max Lejeune a souligné le rôle important joué par le village dans la bataille pour la libération de la France. Le village a été cité à l'ordre de la division avec citation et attribution de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent.

    L'Alleu de Villers

    Sur la carte actuelle de l'IGN, il existe sur le territoire de St-Rémy en direction de Loromontzey un lieu-dit nommé corvée de Viller.

    Dans la liste de confirmation des biens de l'abbaye de Belchamp de 1157, on voit mentionner l'alleu de Villare (Villers)[18]. Dans un autre document, Henri Lepage situe ce domaine sur le territoire de Saint-Rémy-aux-Bois.

    Religion

    L'ancienne paroisse catholique de Saint-Remy-aux-Bois eut la particularité d'être à deux reprises dirigée par un prêtre dissident.

    Léopold est l'ainé des frères Baillard. Il est né à Borville le 10 octobre 1796.Il est ordonné prêtre le 7 avril 1821[19]. Il est immédiatement nommé à la cure de Flavigny-sur-Moselle ce qui est une belle promotion pour un jeune curé. Ses excès de zèle vont d'abord provoquer l'admiration du courant monarchiste et des catholiques conservateurs. Cependant, ils sont doublés de maladresses et de violence verbale qui vont aussi lui valoir des inimitiés qui se retourneront contre lui. le 17 juin 1827, il fait un prêche d'une incroyable férocité à l'égard de jeunes paroissiens et ne ménage pas les insultes jugées déplacées dans la bouche d'un prêtre dans l'exercice de son ministère. Les victimes de sa colère portent l'affaire en justice pour diffamation. Malgré une longue et complexe procédure, elles n'obtinrent pas de dommages et intérêts ; mais Baillard n'en sort pas indemne pour autant. Sa violence verbale et son engagement politicien ont fini par le discréditer. Lorsque survint la Révolution de 1830, sa hiérarchie fragilisée par les événements fut contrainte par les adversaires de Baillard de le renvoyer[20]. Léopold se réfugie alors chez ses parents à Borville. La cure de Saint-Remy étant vacante, Baillard la dessert pendant les deux ans de son exil forcé. De retour en grâce, il est nommé dans la paroisse plus prestigieuse et surtout plus rémunératrice de Favières[21]. Avec ses deux frères également prêtres, ils seront à l'origine d'un schisme religieux qui fit grand bruit à cette époque.

    Joseph Xaé, prêtre, est né à Laronxe le 21 novembre 1844[19]. Ceux qui l'ont connu le décrivent comme « un brave ecclésiastique, pur et illuminé, quoique un peu haltata (exalté) ». D'abord curé de Nonhigny, il est nommé à Saint-Remy le 30 mars 1911 où il décédera quelques années plus tard. Depuis Nonhigny, il rédige en 1893 une brochure intitulée « Compte rendu de la délivrance de sa sainteté Léon XIII, emprisonné dans les caves du Vatican ». Ce document servit de base au roman d'André Gide : les caves du Vatican. À cette époque, une rumeur affirme que le pape Léon XIII est retenu prisonnier par « un complot maçonnique » et remplacé par un sosie à la solde des « antes-Christ ». La brochure de Xaé prétend apporter les preuves de cette détention. La parution de ce document provoqua un vif émoi dans les milieux proches de l'église catholique. Le Vatican obtint sa censure et Xaé fut déplacé. Il rejoint alors le couvent de Loigny où il devint l’aumônier. Il s'enfonça dans le schisme et fut interdit par sa hiérarchie.

    Dans le même temps, d'habiles escrocs utilisèrent les arguments de Xaé et organisèrent une croisade pour délivrer le pape en levant des fonds qui semble-t-il, furent assez conséquents. Bien entendu, l'argent n'arriva jamais à destination ce qui ne manqua pas d'éclabousser Xaé, bien qu'il ne fut pas mêlé à cette manœuvre.

    Xaé finit par abjurer et se réconcilia avec l'église. Il est absous par Rome le 20 janvier 1900 puis nommé à la cure de Giriviller le 1er février 1900. Il est ensuite nommé à Saint-Remy le 30 mars 1911. Il fut alors comme frappé d'amnésie et prétendait ne pas se souvenir de démêlés avec sa hiérarchie. Il se fit encore remarquer en août 1914 pendant la bataille de Rozelieures. Il fit auprès d'un général, la prophétie que la guerre allait durer des années et s'étendre jusqu'à Jérusalem[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1852   Joseph Simon   nommé par le préfet ; loi du 7/7/1852 ; décret du prince-président du même jour[23]
             
    mai 1935   Eugène Chrétien    
             
    mars 2001 En cours
    (au 30 mai 2020)
    André Vigneron[24]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 66 habitants[Note 3], en diminution de 15,38 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    293360352362374463474505483
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    426451404408366346313293276
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    26425822921215916672125132
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    10796110786669697767
    2018 - - - - - - - -
    66--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Rémy (XVIIIe siècle)
    Restaurée après 1944. La tour latérale à étages possède un clocher court. Sa nef et son abside sont ogivales. Le maître-autel est remarquable et possède un retable à étages. Son tabernacle est richement doté. Des statuettes en bois sculptés ornent les côtés du retable et semblent s'en détacher. Cet ensemble est complétée par une statue représentant le Christ, dont les bras sont allongés. L'église de Saint-Rémy forme avec celle de Saint-Boingt et Saint-Germain, une trilogie artistique qui surprend et émerveille.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    Écartelé de sable et d'or, à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent brochant sur le tout, accompagnée au troisième d'un chat assis de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Blason populaire

    les habitants étaient surnommés en patois : « les chaittes de Saint-R'my[29] », les chats de Saint-Rémy en Français.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « carte IGN », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Ernest Leroux, , 553 p. (lire en ligne), p. 142.
    3. Lucien Adam, Les patois lorrains, Nancy, Grosjean-Maupin, , 453 p. (lire en ligne).
    4. Henri Lepage, Dictionnaire topographique de la Meurthe, Nancy, L. Wiener, , 313 p. (lire en ligne), p. 236.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 121
    13. M. Pierron, Monographie de Saint-Remy-aux-Bois, , 16 p. (lire en ligne), page 9.
    14. Henri Lepage, Le département de la Meurthe, statistique historique et administrative , deuxième partie, 725 p. (lire en ligne), p. 526.
    15. D. Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue et de ses dialectes ; volume 5 (lire en ligne), p. 700.
    16. Henri Lepage, Tableau d'honneur de la Meurthe, Nancy, N. Collin, , 109 p. (lire en ligne), p. 40.
    17. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du musée lorrain, Crépin-Leblond, , 301 p. (lire en ligne), p. 187.
    18. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 121
    19. Sylvie Straehli, « Dictionnaire biographique des prêtres du diocèse de Nancy et de Toul », sur bdnancy.fr (consulté le ).
    20. Jean Vartier, Sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Éditions de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0), p. 126-127.
    21. Quirin Baillard, Histoire des trois frères Baillard, Paris, J. Claye, , 53 p. (lire en ligne), p. 8.
    22. Fernand Rousselot, Chacun la sien, Nancy, Éditions arts et lettres, (lire en ligne), p. 23-27.
    23. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dz8v8x88kg7rkwtk/p3.item.r=seranville
    24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Vital Collet, Le Pays lorrain, Nancy, , 623 p. (lire en ligne), p. 505.
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