Domrémy-la-Pucelle

Domrémy-la-Pucelle — ou Domremy-la-Pucelle[1] — est une commune française située dans le département des Vosges en Lorraine. La commune de l'arrondissement de Neufchâteau fait aujourd'hui partie de la région administrative Grand Est.

« Domrémy » redirige ici. Pour les autres significations, voir Domrémy (homonymie).

Domrémy-la-Pucelle
De haut en bas et de gauche à droite: la maison natale de Jeanne d'Arc, la Grande Rue, l'église Saint-Rémy, la basilique du Bois Chenu, le pont sur la Meuse, la mairie

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de l'Ouest Vosgien
Maire
Mandat
Véronique Thiot
2020-2026
Code postal 88630
Code commune 88154
Démographie
Gentilé Domrémois
Population
municipale
94 hab. (2018 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 35″ nord, 5° 40′ 33″ est
Altitude 270 m
Min. 268 m
Max. 407 m
Superficie 8,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Neufchâteau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâteau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Domrémy-la-Pucelle
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Domrémy-la-Pucelle
Géolocalisation sur la carte : France
Domrémy-la-Pucelle
Géolocalisation sur la carte : France
Domrémy-la-Pucelle

    Domremy-la-Pucelle est connue pour être la patrie de Jeanne d'Arc.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de cinq communes, dont une, Les Roises, est située dans le département voisin de la Meuse.

    Communes limitrophes de Domrémy-la-Pucelle
    Les Roises (Meuse) Greux
    Seraumont Maxey-sur-Meuse
    Coussey

    Hydrographie et relief

    La commune est située dans la vallée de la Meuse au nord de Coussey. Le territoire communal englobe vers l'ouest une éminence boisée culminant à 407 m (le bois de Domrémy) et qui domine Les Roises, une petite commune meusienne.

    Urbanisme

    Typologie

    Domrémy-la-Pucelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Neufchâteau dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,7 %), terres arables (12 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,8 %), prairies (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (1,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Anciennes mentions

    Le nom du village est mentionné sous les formes : Domnum Remigium (xie siècle), Donrumei (1215), Domnumremeium (1224), Domremi (1246), De Domno Remigio supra Mosam (1248), Doremei (1259), Domremei (1261), Donremi (1276), Donremey (1320), Donremay (1342), Dompremey (1353), Donremey sur Meuze (1370), Dompremy (1384), Dompremi (1423), Doremi (1445), Donremeiez (1462), Dampremo (xve siècle), Dampremé auprès de Vaucouleur (xvie siècle), Domremey (1530), Dompremy la Pucelle (1578), Domremy la Pucelle (1656), Dompremy la Poucelle (1731)[9].

    Étymologie et prononciation

    S'il existait un toponyme gaulois antérieur, il a disparu comme plusieurs milliers d'autres en Gaule sans laisser aucune trace. La formation de l'hagiotoponyme caché actuel date du Moyen Âge, il s'agit d’un composé en Dom-, élément fréquemment rencontré dans la toponymie médiévale et signifiant « saint » au sens de dédicace de la paroisse, suivi du nom de saint Remy auquel est d'ailleurs consacré la paroisse[10], d'où la forme latinisée Remigius qui est précisément le nom de Remi (Remy ou Rémy) en latin. Le terme masculin dom, issu du latin dom[i]nus a disparu de l'usage commun, alors que sa forme féminine Dame s'est perpétuée dans le français moderne. Le a de dame, vocable issu du latin dom[i]na, est lié au phénomène de l'haplologie. On trouve également en toponymie la forme altérée Dam- comme dans Dammartin par exemple.

    Domremy est un type toponymique fréquent puisqu'on trouve Domremy-Landéville (Haute-Marne, Domnus Remigius XIe siècle) ; Domremy-aux-Bois (Marne, Domnus Remigius en 1047) ; Domremy-la-Canne (Meuse, Domnus Remigius en 1064) ; ainsi que Dompremy (Marne, Damremigius en 1161)[10]. En outre Dom- se retrouve dans les nombreux Dommartin , Domjean, Domptail, Domprix, etc., tous formés avec un nom de saint[10].

    La prononciation rémoise parfaitement constante depuis des siècles est « Remi » (et non « Rémi »). Remy (rarement Remi) est par ailleurs un nom de baptême et un patronyme très fréquemment attesté depuis un millénaire. L'historien Jacques Berlioz écrit : « Il est inexact d’écrire « Domrémy » (avec un accent aigu). L'« e » initial de Remigius étant libre — c'est-à-dire suivi d'une seule consonne —, s'est affaibli en « e » sourd en français. On doit de même écrire Remi et non Rémi[11]. » En réalité, ce e intervocalique était devenu muet en français, d'où la prononciation ancienne « r'nard » pour renard, « s'cret » pour secret, « p'tit » pour petit. L'articulation du e [ø] est une réaction moderne, on devait dire « r'mi ». C'est pourquoi il faut écrire Remy comme renard ou secret sans accent aigu. Alain Litaize, de l’université de Nancy, pense que « la règle qui prévaut veut que l’on retienne la prononciation locale ». En la matière, les Domremois, à commencer par leur maire, Daniel Coince, et l’ancien recteur de la basilique Jean Mengin prononcent « dom-re-mi ».

    Le sénateur Albert Voilquin fit passer au pilon tous les timbres de la maison de Jeanne d’Arc édités en 1970 parce qu’il y avait un accent aigu sur le e[12].

    Histoire

    A Domrémy,dessin de 1894, La Lorraine artiste. Bibliothèque municipale de Nancy

    Le lieu était habité à l'époque celte comme le montrent certaines murailles et tumuli antiques[13].

    Au XVe siècle, du vivant de Jeanne d'Arc, la paroisse[14] était divisée en deux parties : l'une dépendait du comté de Champagne, française, l'autre du Barrois mouvant. La jeune Jeanne d'Arc aimait se rendre en la chapelle de Bermont, près de Greux, pour prier, comme à l'église de Domrémy où elle avait reçu le baptême. Ses voix, qui l'initièrent à sa mission et l'accompagnèrent dans son action – les saintes Catherine d'Alexandrie, Marguerite d'Antioche et saint Michel Archange – étaient pour elle des figures familières du voisinage, voire familiales, ce qui contribua à ouvrir la psychologie de la jeune adolescente à la vocation hors norme qui fut la sienne.

    Domrémy – ou du moins la partie dans laquelle se trouvait la maison de Jeanne d'Arc, à savoir la partie nord du village – fut exempté d'impôts par Charles VII après son couronnement lors de l'anoblissement de Jeanne d'Arc. En 1571, le village de Domrémy fut officiellement rattaché à la Lorraine et perdit le privilège (le duché de Lorraine relevait du Saint-Empire romain germanique). Il fut rattaché au royaume de France près de deux siècles plus tard sous Louis XV. En revanche, le village de Greux demeura territoire français et conserva le privilège jusqu'en 1766. La paroisse de Domrémy devint en 1578 Domrémy-la-Pucelle. Elle passa au statut de commune à la Révolution française.

    La commune a connu trois manifestations de masse en l'honneur de Jeanne d'Arc entre 1937 et 1939, organisées par le député Marcel Boucher et les Compagnons de Jeanne d'Arc.

    Politique et administration

    La Meuse grossie par les pluies d'automne.

    Budget et fiscalité 2014

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[15] :

    • total des produits de fonctionnement : 126 000 , soit 870  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 119 000 , soit 817  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 31 000 , soit 214  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 44 000 , soit 302  par habitant.
    • endettement : 3 220 000 , soit 2 219  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 19,59 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,82 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,07 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1995 Pierre Milési   Négociant en métaux
    mars 1995 mai 2020 Daniel Coince DVD  
    mai 2020 En cours Véronique Thiot    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2018, la commune comptait 94 habitants[Note 3], en diminution de 25,4 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    261291340304316324319320307
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    323311276263288300339308254
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    267278266279283275240210225
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018
    22219918216715615515312694
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Maison natale de Jeanne d'Arc, classée monument historique depuis la première liste en 1840[20],[21],[22].
    • Église Saint-Rémy classée au titre des monuments historiques par arrêté du [23]. Cette église a été « retournée » en 1824, c'est-à-dire que l'entrée actuelle se trouve à la place de l'ancien chœur et que le chœur actuel est à la place de l'ancienne entrée[24]. On peut y voir, sur un pilier, le martyre de saint Sébastien.
    • Basilique du Bois-Chenu ou basilique Sainte-Jeanne d'Arc (du nom du lieu où Jeanne entendit ses voix)[25]: d'abord inscrite en 2006 puis classée au titre des monuments historiques par arrêté du [26] et son orgue de Jacquot-Lavergne construit en 1944[27],[28].
    • Centre Johannique, musée. Appuyé sur les découvertes les plus récentes de la recherche, documenté par de nombreux extraits de textes d'historiens renommés et richement illustré de reproductions d'œuvres d'art médiévales ou plus récentes, le Centre d'Interprétation tente de replacer le personnage de Jeanne d'Arc et son épopée dans son contexte historique et, sans en percer totalement le mystère, de l'expliciter par l'étude des mentalités et de l'imaginaire médiéval. On peut y découvrir une vidéo courte résumant la vie de cette grande figure de l'histoire de France (quinze minutes), une plus longue – vision sensible du pays de Jeanne et de son histoire – (une heure) ainsi qu'un théâtre son et lumière, la Chambre des Rois, présentant la guerre de Cent Ans et ses acteurs principaux (dix ou vingt minutes).
    • Carmel de Domrémy construit par l'architecte Louis Sainte-Marie-Perrin. Maurice Barrès dans son livre Les Amitiés françaises[29] évoque ce bâtiment qu'il n'aime pas et y publie deux lettres de l'architecte.

    Personnalités liées à la commune

    • Jeanne d'Arc (née à Domrémy vers 1412, brûlée à Rouen en 1431), en l'honneur de laquelle Domrémy fut rebaptisée Domrémy-la-Pucelle.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’azur à une épée d’argent garnie d’or mise en pal, surmontée d’une couronne et accostée de deux fleurs de lys le tout d’or.
    Commentaires : Ce sont les armes de Jeanne d’Arc. Pierre-Dié Mallet, oblat bénédictin, proposait d'ajouter à ce blason un chef de gueules à un saint Rémi d’argent mais la commune n’a pas retenu ce dessin[32].

    Pour approfondir

    Intérieur de la maison natale de Jeanne d'Arc.

    Bibliographie

    • Catherine Guyon (dir.) et Magali Delavenne (dir.), De Domrémy... à Tokyo : Jeanne d'Arc et la Lorraine : actes du colloque universitaire international, Domrémy et Vaucouleurs, 24-26 mai 2012, Nancy, Presses Universitaires de Nancy - Éditions universitaires de Lorraine, coll. « Archéologie, espaces, patrimoines », , 408 p. (ISBN 978-2-8143-0154-2, présentation en ligne).
    • Siméon Luce, Jeanne d'Arc à Domremy : recherches critiques sur les origines de la mission de la Pucelle, accompagnées de pièces justificatives, Paris, Honoré Champion, , CCCXIX-416 p., In-8 ° (lire en ligne).
    • Pierre Marot, Le pays de Jeanne d'Arc, Ingersheim, Éditions Alpina, (1re éd. 1951), 64 p.
    • Pierre Marot, Le culte de Jeanne d'Arc à Domremy : son origine et son développement, Nancy, Éditions du Pays lorrain, , 63 p.
    • Pierre Marot, Jeanne la bonne Lorraine à Domrémy : la marche de la Haute-Meuse, la mission de Jeanne d'Arc, souvenir et culte de l'héroïne dans son pays, Ingersheim, Éditions S.A.E.P., , 123 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. L'orthographe sans accent, qui correspond à la prononciation locale (/dɔ̃ʁ.mi/), n'est pas retenue par l'Insee contrairement aux autres Domremy  de France.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Neufchâteau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
    10. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 249-250.
    11. Jacques Berlioz, « Domremy, sur la Meuse », L'Histoire, no 210 « Jeanne d'Arc une passion française », , p. 31.
    12. Gérard Kopf, « Domremy : une question d’accent », Vosges Matin, (lire en ligne).
    13. Le passé celte de Domrémy.
    14. Domremy-la-Pucelle : paroisse Sainte-Jeanne-d'Arc-Saint-Élophe « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur l'Internet Archive).
    15. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur l'Internet Archive).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Notice no PA00107138, base Mérimée, ministère français de la Culture Maison de Jeanne d'Arc : classement par liste de 1840.
    21. (fr) Jeanne d'Arc à Domremy dans les Vosges.
    22. Visite à Domremy-la-Pucelle sur les traces de Jeanne D'arc.
    23. « Église Saint-Rémy », notice no PA00107137, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. Église natale de Jeanne d’Arc
    25. Basilique Sainte-Jeanne-d’Arc de Domremy
    26. « Basilique Sainte-Jeanne d'Arc ou du Bois-Chenu », notice no PA88000042, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 251 à 253
      Présentation de l'orgue de la Basilique
      .
    28. Orgue de l'église sainte-Jeanne d'Arc
    29. Paris, éditions Émile-Paul Frères, 1918, p. 162 et notes p. 282-285.
    30. Saint Eliphe (Élophe).
    31. Saint Élophe.
    32. U.C.G.L. les blasons des Vosges.
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