Saint-Perdoux (Lot)
Saint-Perdoux est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Perdoux.
Saint-Perdoux | |
L'église Saint-Perdoux. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Figeac |
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac |
Maire Mandat |
Benjamin Fraysse 2020-2026 |
Code postal | 46100 |
Code commune | 46288 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Perdoussiens |
Population municipale |
211 hab. (2018 ) |
Densité | 17 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 40′ 28″ nord, 2° 02′ 54″ est |
Altitude | 299 m Min. 260 m Max. 526 m |
Superficie | 12,53 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Figeac (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Figeac-2 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
Géographie
Accès
Saint-Perdoux est une commune située au nord-est du département du Lot, dans l'aire urbaine de Figeac. Vers le Sud, elle se trouve à 6,3 km par la D61 de l'axe N122 (Figeac - Aurillac) et à 10,3 km de la sous-préfecture Figeac.
Communes limitrophes
Relief
La commune de Saint Perdoux est située en zone de moyenne montagne, en Ségala, plus précisément dans la châtaigneraie figeacoise. Les terrains se rattachent aux premiers contreforts du massif central avec une prédominance de grès de couleurs variables. Son relief est marqué, qualifié par le terme de Serres figeacoises pour décrire ses paysages.
Si le village est juché sur un éperon rocheux en fond de vallée, la plupart des hameaux dispersés sont installées sur les hauteurs. Les "travers" au pentes marquées voire abruptes sont souvent colonisées par une forêt mêlant châtaigniers, chênes, bouleaux, frênes et autres essences de feuillus. Des parcelles de résineux sont visibles et dues aux plantations des années 1960. Par ailleurs des prairies, utilisées pour un élevage extensif principalement bovin, se trouvent en fond de vallons ou sur les hauteurs les moins accidentées.
Géologie
Les hauteurs du territoire de la commune sont constitués, selon le référentiel pédologique français, de sols bruns ou brunisols. Ce type de sol est défini comme « acides sableux à sablo-limoneux des pentes fortes d'occupation agricole et forestière sur schiste houiller du Ségala »[2].
Le fond des vallons des ruisseaux temporaires est occupé par des colluviosols : accumulation de débris venant des versants voisins, celui des deux vallées principales des ruisseaux de Saint-Perdoux et de la Burlande est de type fluviosol formé par des alluvions fluviatiles récentes[2].
Le bassin carbonifère de Saint-Perdoux a pour origine un synclinal généré par l'orogenèse varisque lors du paléozoïque. Des sédiments et des dépôts volcaniques, datés du Stéphanien ou de l'Autunien, se sont ensuite accumulés dans ce pli en creux. Les sédiments ont formé des roches sédimentaires : grès, poudingues, conglomérats avec quelques couches de houilles. Les matériaux émis par les volcans sont eux des trachytes, des andésites, des basaltes et des laves plus ou moins altérées[3]. Le dépôt du stéphanien à Saint-Perdoux qui contient la houille est considéré comme insignifiant[4].
Hydrographie
Les eaux du territoire de la commune sont collectées du Nord-Ouest vers le Sud-Est par trois cours d'eau qui coulent de l'est vers l'ouest.
- le ruisseau de Douzet affluent du ruisseau de Saint-Perdoux qui se jette en rive droite dans le Célé ;
- la Burlande qui marque la séparation avec la commune de Prendeignes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maurs », sur la commune de Maurs, mise en service en 1992[10]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 176,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 42 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 10,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[17] : les « zones humides de St Perdoux » (33 ha), couvrant 2 communes du département[18] et les « zones humides du ruisseau de Douzet » (8 ha)[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] : le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[20].
Urbanisme
Typologie
Saint-Perdoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,1 %), prairies (23 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Saint-Perdoux est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Pardulphe (Pardwulf en allemand) abbé de Guéret[27].
Histoire
Les premières exploitations
Au début du XVIIIe les mines de houille fournissent en combustibles les maîtres verriers et les fours à chaux[28]. Louis Cordier, ingénieur des mines écrit cependant en 1807 que « les mines de l'arrondissement de Figeac ne sauraient donner de grandes quantités à cause du petit nombre et du peu d'épaisseur des couches. »[29]. En 1809 les premiers mineurs professionnels de Saint-Perdoux sont mentionnés dans les registres d'État civil. Les conditions d'extraction sont difficiles et la houille sert au chauffage, aux forgerons et au fours à chaux[30].
Exploitation industrielle
De 1860 à 1910, 4 concessions sont instituées par décret : Le Soulié, Saint-Perdoux, Cardaillac, Bel-Air[31].
le , un armateur de Bordeaux, Pierre-Rodolphe Pozzi, acquiert la concession sud de Saint-Perdoux. Il investit 15 millions de francs dans la construction de l’usine de Buzac, à proximité de la ligne de chemin de fer d’Aurillac à Figeac et une voie ferrée de 2,8 km entre Buzac et les mines de Brethonel. Il fait faillite en 1877[32].
En 1868, l'ingénieur Vaïsse démarre les travaux de prolongation de la voie ferrée sur environ 7 kilomètres, du Moulin de Cadiergues jusqu’au bas des plans inclinés des mines de Ténouzies. Ces travaux difficiles dureront jusqu'aux environ de 1885 et permettront collecter, plus au nord, le charbon des mines de la concession du Soulié. De 1910 à 1913, le tunnel-travers-banc de Mazet au Mas del Bos est creusė sur 640 mètres au nord. Il permet de faire franchir la colline au minerai. Il se situait sous l'actuelle route D89 et a permis d'exploiter les bancs de houille de cet endroit et une hausse immédiate de la production. Le minerai est acheminé à l'usine de Buzac par des plans inclinés, des treuils et des lignes de transport par câble aérien sur une distance d'environ 11 km dont 5 en site propre et 6 en accotement sur la route de Saint-Perdoux. Au départ, deux convois par jour de quatre à cinq wagonnets sont tirés par des chevaux ou des mulets. Un cinquième cheval fait deux voyages de nuit. Les 3 et deux locomotive à vapeur de fabrication Decauville sont mises en service et tractent des convois de 20 à 25 berlines de 2,5 tonnes de charbon chacune. Ce sont 120 berlines par jour qui sont transportées des mines du Soulié à l'usine de Buzac. En 1907, un trommel permet de cribler le minerai dans cette usine où une vingtaine de femmes était chargées d’examiner et trier les plus gros morceaux[32].
Production des mines
Au total, 195 000 tonnes de minerai sont extraites des concessions.
Valeurs en tonnes (t) |
Fin de l'activité et état actuel
En 1922, la société des charbonnages de Figeac fait faillite, la banque Figeacoise Certes-Marty dépose le bilan à son tour. Le , la mine du Farnay, dernière en activité, cessa d'être exploitée[30].
Pendant la Seconde Guerre mondiale une courte réouverture des mines permit de parer au manque de combustible et de cacher certains jeunes réfractaires au STO[28].
Un sentier d'interprétation balisé, d'une longueur de 3 km, fait découvrir les ruines des installations minières et du matériel d'époque : treuils, ventilateur, wagonnet. Il a été aménagé en 2015 et restauré 2020[28].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2018, la commune comptait 211 habitants[Note 7], en augmentation de 8,76 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Agriculture
Quelques vergers de châtaigniers sont encore bien entretenus et exploités.
Lieux et monuments
La commune compte un monument historique et des lieux qui rappellent son passé minier :
- L'église Saint-Perdoux, édifiée au XIIe siècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1926[38]. Une statue reliquaire de saint Roch est référencée dans la base Palissy[38].
- Un sentier d'interprétation balisé qui fait découvrir les ruines des installations minières et du matériel d'époque : treuils, ventilateur, wagonnet[28].
Voir aussi
Bibliographie
François Tayrac et Rémy Bouyssié, Histoire du Quercy minier : bassin de Saint-Perdoux-Viazac, Association des Collectionneurs de Figeac et ses Environs, , 268 p. (ISBN 9782950265241, lire en ligne)
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Maritxu GUIRESSE et al., Référentiel Régional Pédologique de Midi-Pyrénées : Département du Lot (Etude no 31802), CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique/EcoLab.
- Alain Turq, « Le cadre géographique et géologique », Paléo, Revue d'Archéologie Préhistorique, vol. 2, no 1, , p. 10–17 (DOI 10.3406/pal.2000.1257, lire en ligne, consulté le ).
- Jeanne Doubinger et Pierre Vetter, Dixième Congrès International de Stratigraphie et de Géologie du Carbonifère : Le Stéphanien en France, vol. 1, Madrid, ICC, , 367 p. (lire en ligne), p. 49.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Maurs - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Perdoux et Maurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maurs - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Perdoux et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Perdoux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « zones humides de St Perdoux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « zones humides du ruisseau de Douzet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 51.
- « Le sentier de Saint-Perdoux », sur Les sentiers retrouvés (consulté le ).
- Louis Cordier, « Suite de la Statistique du Département du Lot : Extrait d'un Compte rendu de l'état des Mines et Usines dans le Département du Lot. », Journal des Mines, vol. Seconde partie « État et ressources de l'industrie minérale », , p. 6, 34-39 (lire en ligne).
- « Commune de Saint-Perdoux », sur saint-perdoux.fr (consulté le ).
- Philippe Abraham, « Mission d’étude des sites miniers et métallurgiques en Midi-Pyrénées », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le ).
- IRSP, « Réseau du Bassin de Saint-Perdoux : Inventaire des Réseaux Spéciaux et Particuliers » [PDF], sur http://www.inventaires-ferroviaires.fr, (consulté le ).
- « Les maires de Saint-Perdoux », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA00095249, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Liens externes
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