Saint-Chinian
Saint-Chinian [sɛ̃.ʃi.ɲɑ̃] (en occitan Sanch Inhan [sanʃ‿i'njan]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Pour le vin, voir saint-chinian (AOC).
Saint-Chinian | |||||
![]() Un panorama sur le bourg | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sud-Hérault | ||||
Maire Mandat |
Catherine Combes 2020-2026 |
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Code postal | 34360 | ||||
Code commune | 34245 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Chinianais | ||||
Population municipale |
1 688 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 25′ 23″ nord, 2° 56′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 101 m Max. 631 m |
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Superficie | 23,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saintchinian.fr | ||||
Géographie
Localisation

Hydrographie
Saint-Chinian est arrosé par le ruisseau de Vernazobres.
Voies de communication et transports
Saint-Chinian est traversée par :
- la D 612, en provenance de Saint-Pons-de-Thomières au nord-ouest et en direction de Cébazan au sud-est ;
- la D 20, en provenance de Villespassans au sud-ouest et en direction de Pierrerue à l'est ;
- la D 177, en provenance d'Assignan à l'ouest et en direction de Pierrerue à l'est.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villespassans », sur la commune de Villespassans, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 729,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 54 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 14,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[12].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « Minervois »[14], d'une superficie de 24 820 ha, retenu pour la conservation de rapaces de l'annexe I de la directive oiseaux, en particulier l'Aigle de Bonelli et l'Aigle royal. Mais le Busard cendré, le Circaète Jean-le-Blanc et le Grand-Duc sont également des espèces à enjeu pour ce territoire[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[16] : le « maquis de St-Chinian » (561 ha), couvrant 2 communes du département[17] et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[16] :
Urbanisme
Typologie
Saint-Chinian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,2 %), forêts (18,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), zones urbanisées (3,9 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La forme la plus ancienne est monasterium S. Aniani, attestée dès 826, aussi dénommé Vernodubrus (le ruisseau des aulnes) dans l'Antiquité[27]. Elle dérive ensuite en occitan en Sanch Inhan puis avec mécoupure en Sant Chinhan. Ce toponyme reprend le nom de, Anianus au Ve siècle. À la mi-, les Huns ayant assiégé Orléans, l’évêque Anianus (Aignan), originaire de la vallée du Rhône, leur opposa une farouche résistance. Sa tactique était de faire passer une procession sur le chemin de ronde des fortifications. Au troisième assaut, le 23 juin, Ætius et ses légions arrivèrent et firent déguerpir les assaillants. En souvenir de cet exploit trente-deux communes françaises prirent le nom de Saint-Aignan[28].
Histoire
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Vernodure[29]. Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire des sans-culottes », puis « société régénérée des sans-culottes montagnards » et créée en 1791[30].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2018, la commune comptait 1 688 habitants[Note 7], en diminution de 6,84 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
De 1999 à 2007, Saint-Chinian a augmenté de 37 habitants soit une progression de 2,1 %. Les retraités ou préretraités représentent 38 % de la population, les chômeurs 5,2 %, les actifs 31,2 %, les élèves et étudiants 4,7 % et les autres inactifs 20,9 %[37].
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye Saint-Aignan de Saint-Chinian, abbaye de bénédictins fondée en 817 ;
- Orgue Peyssy-Micot de l'église Notre-Dame-de-la-Barthe de Saint-Chinian.
La communauté de commune dite "Canal Lirou-St Chiniannais" regroupe les villages d'Assignan, Babeau-Bouldoux, Capestang, Cazedarnes, Cebazan, Cessenon sur Orb, Creissan, Cruzy, Montels, Montouliers, Pierrerue, Poilhes, Prades-sur-Vernazobre, Puisserguier, Quarante, Saint Chinian et Villespassans.
- Notre-Dame-de-Nazareth.
- Les Allées
- Gravure de l'abbaye Saint-Aignan (1869)
Personnalités liées à la commune
- Françoise du Saint-Esprit (1820-1882), religieuse et fondatrice d'ordre, vénérable de l'Église catholique, morte dans la commune ;
- François-Maximin Valentin (1821-1888), député de Isère (1887-1888), né dans la commune ;
- Auguste Affre dit Gustarello (1858-1931), chanteur lyrique, né sur la commune[38] ;
- Charles Trenet (1913-2001), chanteur. Il a passé sa jeune enfance et habité au notariat de son père[39]. L'habitation devient la maison des vins[40] ;
- Raoul Bayou (1914-1995), professeur au cours complémentaire de la commune[41].
Héraldique
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Les armes de Saint-Chinian se blasonnent ainsi : d'azur à une corne d'abondance d'or, déversant des fruits au naturel, sénestrée d'une croix cléchée et pommetée d'or remplie de gueules[42]. |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Villespassans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Chinian et Villespassans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Villespassans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Chinian et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Chinian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Chinian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « maquis de St-Chinian » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Haut Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Vignes du Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Fénié, B., & Fénié, J. J., Toponymie occitane, Rennes, Sud Ouest, , 124 p. (ISBN 978-2-87901-215-5), p. 42.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1902.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
- Abbé A. Delouvrier, Histoire de Saint-Chinian-de-la-Corne et de ses environs (Hérault), Marseille, Laffitte Reprints (réimpr. 1981) (1re éd. 1896) (lire en ligne), II - Livre III : Saint-Chinian sous la Révolution, chap. I (« La municipalité »).
- Bayou, née Georges, Marguerite, publié le par Olivier Dedieu, sur le site Le Maitron (consulté le 9 juillet 2019)
- « Résultats municipales 2020 à Saint-Chinian », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/resultats/chiffres-cles/n3/34/n3_34245.pdf
- Biographie d'Auguste Affre, publié le par Jean-Pierre Carreyre, sur le site appl-lachaise.net (consulté le 9 juillet 2019)
- Narbonne : la nouvelle pierre tombale de Charles Trenet dévoilée, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le 9 juillet 2019)
- Charles Trenet à Saint-Chinian (Fin), publié le sur le site charlestrenet.blog.lemonde.fr (consulté le 9 juillet 2019)
- Bayou Raoul, Camille, Joseph, publié le par Jean Sagnes, sur le site Le Maitron (consulté le 9 juillet 2019)
- Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p. 61.
Voir aussi
Bibliographie
- Annie Barthez, Religion à Saint-Chinian, Hérault : 1766-1812, S.l., s.n., , 129 p.
- Jean-Denis Bergasse, « Description du pays de Saint-Chinian au XVIIIe siècle vu par M. de Genssane inspecteur des Mines », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 9e série, no 8, 2003-2004, p. 67-69
- Alphonse Delouvrier, Histoire de Saint-Chinian-de-la-Corne et de ses environs, Hérault, Montpellier, L. Grollier père, (lire en ligne)
- Julien Duvaux, Archives départementales de l'Hérault, Saint-Chinian : répertoire numérique détaillé des archives communales anciennes, modernes et contemporaines (1592-2000), Montpellier, Archives départementales, , 242 p.
- André Fieu, Pages d'histoire Saint-Chinianaises des origines à la Révolution, Saint-Gély-du-Fesc, éd. Impact imprimerie, , 160 p.
- Mission archives 34, Répertoire méthodique des archives contemporaines de Saint-Chinian (1W-54W), Montpellier, Mission Archives, , 83 p.
- Jacques Rouanet et Henri Barthès, « La charte consulaire de Saint-Chinian-de-la-Corne (Diocèse de Saint-Pons-de-Thomières), 9 juin 1465 : sa version latine et sa traduction française de 1600 : édition critique des deux textes avec commentaires philologiques, juridiques et historiques. », Cahiers de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 3e série,
- Jacques Rouanet, « Compoix de Saint-Chinian (1620) », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 7e série, no 6, 1994-1995, p. 21-24
- Jean Michel Sauget et Catherine Ferras, Saint-Chinian : inventaire du patrimoine d'un village héraultais, Saint-Chinian, Syndicat mixte du Pays Haut Languedoc et Vignobles, , 151 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Saint-Chinian (1592-1986) [31 ml]. Cote : 245 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la commune
- Saint-Chinian sur le site d'histoire locale
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