Capestang
Capestang [ka.pes.tɑ̃] est une commune française située dans le département français de l'Hérault, en région Occitanie.
Capestang | |||||
La collégiale Saint-Étienne de Capestang. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sud-Hérault | ||||
Maire Mandat |
Pierre Polard 2020-2026 |
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Code postal | 34310 | ||||
Code commune | 34052 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capestanais | ||||
Population municipale |
3 273 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 83 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 47″ nord, 3° 02′ 43″ est | ||||
Altitude | 12 m Min. 0 m Max. 120 m |
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Superficie | 39,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Capestang (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Capestanais et les Capestanaises.
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de l'Aude.
Au sud, le point d'intersection avec les communes de Montels et Nissan-lez-Enserune est un quinquepoint délimitant aussi les communes de Cuxac-d'Aude et Coursan, toutes deux dans le département de l'Aude[1].
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
- le Viala ;
- le Petit Saint Nazaire ;
- le Petit Saint Nazaire le Bas ;
- le Grand Saint-Nazaire ;
- La Bastide Vieille ;
- la Bastide Neuve ;
- Bel Air ;
- la Provenquière ;
- Baboulet ;
- Longuet ;
- l'Ale ;
- le Bosc ;
- Guéry ;
- Sibadiès ;
- Sélicate ;
- Aureille ;
- Pain de Sucre ;
- la Borie Blanche ;
- l'Espitalet ;
- la Fourcade ;
- Saint Julien.
Relief et Géologie
Hydrographie
Située à 20 mètres d'altitude, la rivière « la Quarante » est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Capestang. Elle est, avec les crues de l'Aude, la principale source d'approvisionnement en eau de l'étang.
L'étang de Capestang, dont le niveau varie selon les saisons, est une zone humide d'une grande qualité écologique, qui accueille notamment de nombreuses espèces d'oiseaux nicheurs. Il est classé Natura 2000 et ZPS (Zone de protection spéciale).
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazouls-les-Beziers », sur la commune de Cazouls-lès-Béziers, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 691,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 53 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].
Voies de communication et transports
La commune est située sur la route départementale 11 reliant Béziers à Carcassonne par l'intérieur, en dédoublement de la route nationale 113 et de l'autoroute A9. Des routes secondaires relient Capestang à Puisserguier au nord, Quarante au nord-ouest, Cuxac et Narbonne au sud, Maureilhan au nord-est, Nissan-lez-Ensérune au sud-est. L'échangeur de Béziers-sud, sur l'autoroute A9, est à 18 kilomètres.
La commune est traversée par le canal du Midi, qui, après de larges méandres à l'ouest, contourne le village par le nord. Il est navigable, et peut être suivi à pied ou à vélo par le chemin de halage.
L'ancienne ligne de chemin de fer reliant Capestang à Colombiers, sur la ligne de Béziers à Narbonne, est fermée à tout trafic. La gare la plus proche est celle de Nissan-lez-Ensérune, mais seuls quelques TER la desservent. La gare de Béziers est par contre largement desservie.
L'aéroport de Béziers - Vias, à 12 kilomètres à l'est de Béziers, est desservi par la compagnie Ryanair.
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : , d'un intérêt écologique exceptionnel notamment en ce qui concerne l'étang et sa phragmitaie (roseaux). L'avifaune est particulièrement riche et intéressante en raison du type de végétation en place (grande étendue de roseaux) et de l'isolement des lieux. Il accueille de très nombreuses espèces nicheuses dont certaines justifient plus particulièrement la proposition de ce site en tant que site d'intérêt communautaire : le Butor étoilé, le Rollier d'Europe[15], d'une superficie de 1 374 ha, d'un intérêt écologique exceptionnel notamment en ce qui concerne l'étang et sa phragmitaie (roseaux). L'avifaune est particulièrement riche et intéressante en raison du type de végétation en place (grande étendue de roseaux) et de l'isolement des lieux. Il accueille de très nombreuses espèces nicheuses dont certaines justifient plus particulièrement la proposition de ce site en tant que site d'intérêt communautaire : le Butor étoilé, le Rollier d'Europe[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : le « coteau de Cibadiès » (42 ha)[18] et les « étangs de Capestang et de Poilhes » (759 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans l'Hérault[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » (7 120 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans l'Hérault[20].
Urbanisme
Typologie
Capestang est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Capestang, une unité urbaine monocommunale[24] de 3 233 habitants en 2017, constituant une ville isolée[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (69,7 %), zones humides intérieures (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), terres arables (6 %), zones urbanisées (2,9 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Attestée sous la forme Caput stanio en 862.
Capestang tient son nom du latin caput stagni, soit « tête de l'étang », en raison de sa situation à la pointe nord d'un étang, aujourd'hui partiellement asséché, dénommé étang de Capestang. La forme languedocienne Cabestanh [ka.βes.'tan] correspond exactement au nord-occitan Chabestanh (Chabestan) et au catalan Cabestany.
Histoire
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire », créée en frimaire an II ; elle y est peu fréquentée (23 membres en l’an III)[30].
Héraldique
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Les armes de Capestang se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
Économie
L'économie du village est surtout basée sur l'agriculture, la viticulture, des oliviers et des champs. Vins du Pays des coteaux d'Ensérune, Sud de France. Son office du Tourisme sur le port canal, le canal du Midi, la collégiale Saint Etienne, château des Archevêques de Narbonne avec son plafond peint et son musée… Tous commerces, restaurants, hôtel, chambres d'hôtes, camping municipal avec mobile homes et gîte de groupe deux épis 19 places.
Marché traditionnel tous les mercredis et dimanches matins, sur la Place Jean Jaurès.
Population et société
Évolution de la population
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2018, la commune comptait 3 273 habitants[Note 8], en augmentation de 4 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Enseignement
- École Maternelle ;
- École Primaire François Mitterrand ;
- Collège Paul-Bert de Capestang ;
- Lycée L.E.A.P Les Buissonnets ;
- École de Musique inter communale ;
- Harmonie municipale Capestang St Chinian.
Santé
- Un cabinet Municipal de Santé avec 3 médecins ;
- Un cabinet médical, où il y a des infirmiers(es), kinésithérapeute et podologue ;
- Deux médecins généralistes, un dentiste, un opticien et deux pharmacies.
Sports
- Club de rugby à XV l’Avenir Bleu et Blanc XV évoluant dans le Championnat de France de 3e division fédérale. Il remporte le championnat de France Cadets FFR C en 2000, 2002 et 2004. Sous le nom de Avenir Sportif Capestanais, il remporte le championnat de France Honneur en 1950 et 1983, le championnat de France 1re Série en 1982, le championnat de France Cadets C Ufolep en 1991 et le championnat de France Cadets FFR C en 1997[réf. nécessaire] ;
- Club de football de l'Association Sportive Midi Lirou Vernazobre, créé en juin 2008, englobant les communes suivantes : Capestang, Creissan, Montels, Poilhes, Puisserguier et Saint-Chinian avec ses communes limitrophes[réf. nécessaire] ;
- Hand ball ;
- Tennis ;
- Skate ;
- Pétanque ;
- Danse ;
- Judo ;
- Boxe ;
- Marche ;
- VTT.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La collégiale Saint-Étienne de Capestang, du XIIIe siècle, dont seul le chœur a été construit. La peste noire et le manque d'argent ont interrompu ce gigantesque chantier. Le clocher culmine à 43 mètres. Son architecte, Deschamps, était le même architecte que celui de la cathédrale de Narbonne ;
- Le canal du Midi, du XVIIe siècle, classé à l'UNESCO, avec halte nautique dans le village ;
- Le château des archevêques de Narbonne du XIVe siècle (Monument Historique). Ce château entre dans le domaine de l'archevêque de Narbonne au XIIIe siècle. Il a accueilli, en tant que palais épiscopal les États Généraux du Languedoc ainsi que d'illustres personnages : Gaston Fébus, François Ier et Louis XIV. Le château possède un magnifique plafond peint, constitué de 161 panneaux décorés, datant du XVe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Max Derruau (1920-2004), géomorphologue
- Jean Musy, né en 1947, compositeur et arrangeur ayant marqué tout l'univers de la Chanson française pendant 30 ans.
- Bernard Nayral (Maire, Député)
- Jean-Michel Benacloï, joueur de rugby, recordman des victoires en Challenge Yves du Manoir et champion de France en 1979 avec le Racing Club narbonnais.
- Jean-Baptiste Poux, né en 1979, joueur de rugby évoluant au Stade toulousain, 42 sélections en équipe de France depuis 2001.
- Nathalie Amiel, joueuse de rugby.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cazouls-les-Beziers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Capestang et Cazouls-lès-Béziers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cazouls-les-Beziers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Capestang et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Capestang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112016 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Capestang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « coteau de Cibadiès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « étangs de Capestang et de Poilhes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Capestang », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989, p. 414.
- Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 35.
- Un deuxième mandat pour Pierre Polard, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Pyramide des âges de Capestang, Recensement 2007 sur le site de l'INSEE
Voir aussi
Bibliographie
- Delphine Christophe et Thierry Dubessy, La restauration de la façade sud du château de Capestang, Hérault, Montpellier, Direction régionale des affaires culturelles du Languedoc-Roussillon, coll. « Duo », , 32 p.
- Catherine Ferras et Jean-Michel Sauget, Capestang : histoire et inventaire d'un village héraultais, Saint-Chinian, Syndicat mixte du Pays Haut Languedoc et Vignobles, , 199 p.
- Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Capestang, Montpellier, Mission Archives 34, , 184 p.
- Raymond Rey, « Capestang », dans Congrès archéologique de France : CVIIIe session tenue à Montpellier en 1950 par la société française d'archéologie, t. 108, Paris, Société française d'archéologie, , 233-240 p.
- Émile Viales, Histoire de Capestang (Hérault), Capestang, Mairie, , 98 p.
- Rémy Pech, Entreprise viticole et capitalisme en Languedoc-Roussillon, publications de l'Université de Toulouse-Le Mirail, 1975.
Fonds d'archives
- Série : Délibérations consulaires et municipales (1681-1984) [31 registes]. Fonds : Archives communales de Capestang; Cote : 1 MI 905. Capestang : Mairie de Capestang (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Ville de Capestang
- Office de tourisme intercommunal du canal du Midi (Capestang, Creissan, Cruzy, Montels, Montouliers, Poilhes, Puisserguier et Quarante)
- Aspects généalogiques de quelques familles de Capestang: Babret, Bringer, Brieussel, de Crozals, Falgas, Fiches, Givernis, Henric, Pezet, Peletan, Priou, Tiffy, Tournal et Vidal
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