Montady

Montady [mɔ̃.ta.di] (de l'occitan Montadin [mun.ta.'di]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Montady

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes la Domitienne
Maire
Mandat
Alain Castan
2020-2026
Code postal 34310
Code commune 34161
Démographie
Gentilé Montadynois
Population
municipale
3 939 hab. (2018 )
Densité 396 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 53″ nord, 3° 07′ 18″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 113 m
Superficie 9,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montady
(ville isolée)
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazouls-lès-Béziers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montady
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Montady
Géolocalisation sur la carte : France
Montady
Géolocalisation sur la carte : France
Montady

    Ses habitants sont appelés les Montadynois.

    Géographie

    Carte.

    Communes limitrophes

    Entourée par les communes de Colombiers, Nissan, Maureilhan, Capestang et Poilhes, Montady est située à 8 km au sud-ouest de Béziers, la plus grande ville à proximité.

    Relief et géologie

    La colline de Montady se compose de deux formations géologiques. La partie inférieure, la molasse helvétienne, bien visible le long de la route nationale, se compose de grès marin formé durant le Miocène moyen. Au sommet de la colline est visible le poudingue de Montady et d'Ensérune, une formation qui semble avoir une origine fluviatile et est aussi datée du Miocène.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 596 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazouls-les-Beziers », sur la commune de Cazouls-lès-Béziers, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 691,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 47 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[13] : la « colline de l'Oppidum d'Ensérune » (71 ha), couvrant 3 communes du département[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Montady est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montady, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 935 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,4 %), terres arables (19,9 %), zones urbanisées (13,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Raimondi Petri de Montadino(1097), Arnaldus de Montadia (1129), Monteadino (1155), Montadi (1643), puis Montady (1771)...

    Mont + nom d'homme germanique Atinus[24].

    Cadastre napoléonien : plan des sections A et B de l'étang (1808).

    Histoire

    Faits historiques

    Tour de Montady, XIIe siècle.
    Étang de Montady.

    Une inscription latine (Corpus inscriptionum Latinorum XII 4311) atteste qu'en 455, le prêtre Othia fonda à Montady une basilique sous la triple invocation des saints Vincent, Agnès et Eulalie, martyrs tous célébrés cinquante ans plus tôt par le poète latin Prudence.

    La colline située au cœur du village est surplombée par une tour féodale du XIIe siècle (tour de Montady, vestige d'un château aujourd'hui disparu).

    L’étang de Montady était autrefois "un marais saumâtre en eaux stagnantes, cause de nombreuses épidémies" c'est ce qui était écrit dans la charte de 1247 (aujourd'hui disparue mais dont il reste la retranscription aux Archives départementales de Montpellier). Cependant, des travaux effectués par le professeur Jean-Loup Abbé de Toulouse ont montré que cet étang avait une vie très active : pêche, chasse, cueillette des roseaux, etc. Son équipe a même trouvé un quai fait de coquillages concassés au pied de la colline d'Enserune. En 1247, l’archevêque de Narbonne donna toutes facilités à quatre propriétaires pour entreprendre les travaux nécessaires à l’assainissement de l’étang.

    Dès 1270 était mis en place un réseau de fossés à la forme originale, en soleil, qui permit un assainissement local et rendit exploitables 420 hectares de terre. Diverses cultures s’y succédèrent sur les parcelles triangulaires appelées « pointes ». Les cultures se faisaient en bordure et le centre était laissé au pacage des bêtes. Le réseau de canaux permet le drainage des eaux du pourtour vers le centre. De là, un fossé creusé à contre-pente, prolongé par la galerie creusée sous la montagne d’Enserune – longue de 1 300 mètres, c’est un chef-d’œuvre des artisans du Moyen Âge – conduit les eaux jusqu’au ruisseau de Clavilongue.

    La crise du phylloxera (vers 1870) détermine la vocation viticole de Montady. Sa forme naturelle en bassin fermé permet une immersion des vignes, moyen de lutte efficace contre ce fléau. Un réseau d’irrigation gravitaire est mis en place, tirant l’eau du canal du Midi. L’introduction de nouvelles cultures, notamment fourragères et légumières, plus exigeantes en eau, impose l’installation d’un second réseau d’irrigation après 1960. Il s’agit de conduites souterraines d’eau sous pression, permettant l’arrosage par aspersion.

    On attribue la constitution du château de Montady au XIIe siècle bien que l’on ait prétendu que du IXe siècle au XIIe siècle, les Sarrasins avaient fait de celui-ci un lieu de refuge. Il semblerait que le château de Montady eut à souffrir des agressions des troupes de Simon de Montfort lors de la guerre contre les Cathares en 1209 après le sac de la ville de Béziers. La troupe des croisés se dirigeant sur Minerve et le seigneur, Bernard Pons, étant l'ami de Trencavel, le village de Vinacan qui se trouvait à l'emplacement du cimetière actuel fut brûlé et le château fortement endommagé côté nord-est mais il restait les trois tours, le donjon et les bâtiments. Il est à noter que le château de Montady faisait partie d'un co-seigneurage. Le deuxième château, celui de Saint-Jean-de-Tersan, se trouvant probablement vers le domaine du Bosc fut complètement démantelé et disparut. Seule est restée la chapelle qui depuis a également disparu.

    En 1226, Pierre de Montady est propriétaire du château. Jusqu’en 1600, il reste dans la famille des Cabrières puis retombe dans les mains du roi. Le sieur de la Ricardelle possède ensuite la seigneurie de Montady jusqu’en 1660. En 1661, le château est vendu au chapitre de Saint-Nazaire à l'exclusion de la tour qui, elle, est revendue comme bien communal en 1792. Le château, complètement détruit en 1846, ne laisse comme seule trace actuelle que la très belle tour sarrasine illuminée chaque nuit qui semble veiller sur le village de Montady.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971 mars 1989 Célestin Marty PS  
    mars 1989 mars 2008 Jean-Paul Sost PS  
    mars 2008 En cours Alain Castan DVG Cadre supérieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Économie

    Commerces

    Il y a quelques commerces : une supérette et un supermarché, deux boulangeries, une boucherie, un fleuriste, une blanchisserie-pressing, deux coiffeurs, etc.

    Population et société

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 3 939 habitants[Note 6], en diminution de 2,35 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    163174160205261266317320346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    313360366384408470515590648
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    703660651785700750725610620
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6959111 3101 6352 0702 5333 6813 9903 929
    2018 - - - - - - - -
    3 939--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Montady en 2007[29] en pourcentage.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    Avant 1917
    1,3 
    5,5 
    1918-1932
    6,6 
    14,3 
    1933–1947
    13,8 
    18,3 
    1948-1962
    20,0 
    23,3 
    1963-1977
    22,8 
    15,2 
    1978-1992
    14,4 
    22,9 
    1993-2007
    21,1 

    Sports

    Associations

    Il y a plusieurs types d'associations à Montady : - Le club de judo et ju-jitsu : Montady Arts Martiaux - Le club Taurin - La FCPE - L'A.P.E.M - Les donneurs de sang - Le LCM.

    Et plein d'autres.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'étang de Montady[30], classé depuis 1974, est une cuvette naturelle qui couvre plus de 400 hectares et fut asséchée au XIIIe siècle, entre 1248 et 1268, par les seigneurs de Montady et de Colombiers, associés à des bourgeois de Béziers. Chaque rayon est un drain qui conduit l'eau de la périphérie au centre vers un fossé circulaire, le redondèl[31]. Du centre part le fossé principal, la grande maïre[32], construit à contre-pente, qui évacue toutes les eaux. Le fossé se prolonge sous la colline de l'oppidum d'Ensérune par un aqueduc souterrain de 1 364 mètres de long, puis, de nouveau à ciel ouvert, il atteint l'étang de Poilhes et de là l'étang de Capestang[33].
    • Le château de la Tour, château viticole dit "pinardier" XIXe siècle (monuments historiques ) architecte Léopold Carlier. Portail, orangerie, et serre.
    • La tour de Montady, XIIe siècle (monuments historiques ) donjon vestige du château fort de Montady démoli en 1846 qui n'a rien à voir avec le château de la Tour cité précédemment.
    • Eglise Saint Genes de Montady, construite en 1906, vitraux remarquables.
    • Colline de Montady (ou Pech de Montady), panorama au sud sur l'étang de Montady et l'oppidum d'Ensérune, à l'est sur la ville de Béziers, et au nord et à l'ouest sur les contreforts du Massif Central avec le Mont Caroux appelé par les gens du Pays Biterrois "la femme allongée".

    Héraldique

    Les armoiries de Montady se blasonnent ainsi :

    De sinople, au sautoir losangé d'or et de sinople [34]

    Personnalités liées à la commune

    • Alexandre Giniès : abbé de la paroisse Saint Genes de Montady qui a découvert en 1860 le site d'Ensérune.
    • Oswald Durand: (né le à Montady, mort le à Paris) est un administrateur colonial français, Gouverneur du Sénégal de 1946 à 1947 et Gouverneur de la Côte d'Ivoire de 1947 à 1948.
    • Marc Albert, Bertin Bousquet, Louis Huc, André Séguret et Henry Villeneuve: résistants contre l'occupation allemande, membres du maquis de Fontjun, arrêtés, torturés puis fusillés le au Champ de Mars à Béziers. André Séguret est mort au cours des combats contre les Allemands, le .
    • Marcelle Huc : (née le 30 octobre 1901 à Montady et morte 3 avril 1988 à Béziers) est une femme politique française, élue comme conseiller général dans le canton de Capestang de 1945 à 1955[35]. Née Marcelle Gazel, institutrice à Montady, puis à Capestang, militante du SNI et membre du SFIO, elle est élue au conseil général de l'Hérault pendant 10 ans avant de choisir de laisser sa place en 1955 à Louis Brenac, propriétaire viticulteur à Nissan-lez-Ensérune, et également membre du SFIO. Son mari, Louis Huc, a été fusillé le à Béziers. Né le à Montady (Hérault), Louis Huc fut ouvrier agricole puis petit viticulteur, syndicaliste de l’Hérault et résistant (AS) pendant la Seconde Guerre mondiale. Une rue est baptisée "Marcelle Huc et Résistants" dans la commune de Montady[36].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Cazouls-les-Beziers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Montady et Cazouls-lès-Béziers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Cazouls-les-Beziers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Montady et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montady », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « colline de l'Oppidum d'Ensérune » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Montady », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 244
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Pyramide des âges de Montady, Recensement 2007 sur le site de l'INSEE
    30. Jean-Loup Abbé, À la conquête des étangs. L’aménagement de l’espace dans le Languedoc méditerranéen (XIIe-XVe siècle) « Copie archivée » (version du 27 septembre 2007 sur l'Internet Archive), Presses Universitaires du Mirail, Toulouse, 2006, coll. Tempus, 331 p.
    31. En occitan, désigne un cercle concentrique.
    32. En occitan, désigne un canal de collecte des eaux.
    33. Photographies aériennes : 1 et 2
    34. Banque du Blason
    35. Archives départementales de l'Hérault, Conseillers généraux de l'Hérault. Dictionnaire biographique, , p. 25.
    36. Pennetier, Claude, (1947- ...).,, Belouet, Eric,, Besse, Jean-Pierre, (1949-2012), et Bouju, Marie-Cécile, (1970- ...).,, Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social période 1940-1968, de la seconde guerre mondiale à mai 1968. Tome 6, Gh-Je, vol. 50, Les Éditions de l'atelier-les Éditions ouvrières, dl 2010, cop. 2010 (ISBN 978-2-7082-4138-1, OCLC 708382216, lire en ligne).
    • Rémy Pech,"Entreprise viticole et capitalisme en Languedoc-Roussillon", publication de l'Université de Toulouse-Le Mirail, 1975.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Loup Abbé, A la conquête des étangs : l'aménagement de l'espace en Languedoc méditerranéen (du XIIe au XVe siècle), Toulouse, Presses universitaires du Mirail, , 331 p.
    • Brigitte Bonifas, « L'étang de Montady, sept siècles d'histoire », Le Courrier archéologique du Languedoc-Roussillon, no 39, , p. 2-19
    • Pierre Carrière, « Le dessèchement et l'aménagement hydraulique de l'étang de Montady (Hérault) », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, t. 14, nos 2-3, , p. 199-229
    • G. Delon, Contribution à l'histoire locale : Montady, vie d'un groupe rural au Moyen Age, S.l., s.n., ca 1950, 86 p.
    • Simone Garraud, Histoires d'eaux Montady, Capestang, Vendres : étangs et canaux, coll. « Mémoire d'Oc » (no 73), , 75 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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