Graves-Saint-Amant

Graves-Saint-Amant est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Graves et Saint-Amant.

Graves-Saint-Amant

L'église Saint-Martin de Graves.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Christian Jobit
2020-2026
Code postal 16120
Code commune 16297
Démographie
Gentilé Gravois
Population
municipale
332 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 40″ nord, 0° 05′ 34″ ouest
Altitude Min. 14 m
Max. 97 m
Superficie 8,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Graves-Saint-Amant
Géolocalisation sur la carte : Charente
Graves-Saint-Amant
Géolocalisation sur la carte : France
Graves-Saint-Amant
Géolocalisation sur la carte : France
Graves-Saint-Amant

    Ses habitants sont appelés les Gravois[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Graves-Saint-Amant est une commune de l'ouest de la Charente située à km au nord-ouest de Châteauneuf-sur-Charente, le chef-lieu de son canton, et km au sud-est de Jarnac, sur la rive gauche de la Charente.

    Elle est aussi à km à l'est de Saint-Même-les-Carrières, km au sud-ouest d'Hiersac, 19 km à l'est de Cognac, et 20 km à l'ouest d'Angoulême[2].

    La route principale de la commune est la D 10 qui va de Jarnac à Châteauneuf et qui passe à 1,5 km au sud du bourg de Saint-Amant. Un réseau de routes départementales secondaires irrigue la commune ; la D 54 qui longe la Charente et la D 155 qui la traverse se croisent près du bourg de Saint-Amant[3].

    La ligne Angoulême - Saintes traverse la commune, et la gare la plus proche est celle de Châteauneuf ou celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    Les villages qui ont donné leur nom à la commune sont Saint-Amant-de-Graves, qui en est le bourg principal, et Graves, situé plus à l'ouest et ne comprenant quasiment qu'une église.

    La commune comporte par ailleurs des hameaux : les Aireaux, la Natrie à l'ouest, chez Texier, la Groie, chez Brisson au sud, chez Jean Millaud à l'est, ainsi que de nombreuses fermes[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Graves-Saint-Amant
    Bassac Saint-Simon
    Saint-Même-les-Carrières Angeac-Charente
    Bouteville

    Géologie et relief

    La commune occupe le calcaire datant du Crétacé, comme les zones situées au sud et sur la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac.

    Le Jurassique supérieur occupe toutefois une étroite bande (de moins de 200 m) en bordure de la vallée de la Charente, entre la Natrie et chez Brisson. Il s'agit du Purbeckien, marne riche en argile et en gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et composant la zone du Pays Bas située plus au nord-ouest.

    Le Crétacé supérieur s'étage entre le Cénomanien dans les parties basses, le Turonien (ou Angoumien) au centre et le Coniacien sur les hauteurs au sud-ouest de la commune. Une cuesta, faiblement marquée dans la commune, sépare le Turonien inférieur du Turonien supérieur (calcaire plus dur, à rudistes), à la Garenne d'Anqueville. On retrouve cet escarpement plus nettement vers l'est en direction de Châteauneuf, La Couronne et le plateau d'Angoulême, et vers l'ouest en direction de Saint-Même.

    L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille souterraines, souvent reconverties en champignonnières, ou à ciel ouvert (la Garenne d'Anqueville).

    La vallée de la Charente est occupée par des alluvions du Quaternaire. Ces alluvions sont récentes pour la partie inondable, et plus anciennes sur une basse terrasse large d'un kilomètre. Ces dernières ont été exploitées pour leur sable[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est constitué en trois niveaux. Du nord au sud, le niveau le plus bas est constitué par la vallée de la Charente, d'une altitude de 20 m environ et où sont situés les bourgs de Saint-Amant et Graves, puis la cuesta délimite un palier d'une altitude de 60 m, couvert de vignobles; enfin, plus au sud, les hauteurs boisées culminent à 97 m. Le point le plus bas est à 14 m, situé dans la partie inondable de la Charente (la Prée)[3].

    Hydrographie

    La Charente borde la commune au nord. Le ruisseau des Moulins d'Angeac et le canal de Terre-Neuve sont des bras de la Charente et délimite la prairie de Saint-Amant.

    Le ruisseau d'Anqueville traverse l'ouest de la commune. Des étangs occupent d'anciennes sablières entre Bois-Charente et le bourg de Saint-Amant, le long de la voie ferrée[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Graves-Saint-Amant est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,2 %), forêts (20,8 %), terres arables (11,5 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes pour Graves sont Gravia, Graverio en 1220[13], et pour Saint-Amant-de-Graves, Sanctus Amantius de Gravia (non daté, mais vers le XVe siècle)[14].

    Le bas latin gravia, issu du pré-latin grava (petite pierre), désigne un terrain plat couvert de sables et de graviers[15],[16].

    En Charente, les Saint-Amant se répartissent entre deux origines : Amandius était évêque de Bordeaux au Ve siècle. Amantius était aussi un saint, mais du VIIe siècle, né à Bordeaux puis ermite, célébré dans le diocèse d'Angoulême. D'après A.Dauzat, Saint-Amant-de-Graves ferait partie de la première catégorie, ce qu'infirme la forme ancienne qu'il ne mentionne pas, peut-être parce que cette paroisse était dans l'ancien diocèse de Saintes[17],[Note 2].

    Histoire

    Les Giraud d'Anqueville, seigneurs de Bois-Charente, ont construit le château au XVIe siècle.

    En 1680, le château passe par mariage à François Goulard, seigneur de la Faye, et il devient la propriété de Jean Thioulet, gentilhomme du roi, au début du XVIIIe siècle[18]. Bois-Charente a appartenu au début du XXe siècle à Jean Fougerat dit Élie, riche propriétaire et bienfaiteur, mort en 1932.

    Les plus anciens registres paroissiaux de Graves remontent à 1633[19].

    Comme sa voisine Angeac, la paroisse de Saint-Amant-de-Graves était une dépendance de la seigneurie de Vibrac.

    L'église de Saint-Amant avait été donnée en 1124 par l'évêque d'Angoulême, Girard II, à l'abbaye de Savigny, qui l'avait remise au prieuré de Bouteville. Ce dernier conserva la paroisse jusque vers la fin du XVe siècle. En 1460, Saint-Amant fut le siège d'un prieuré en propre. Hélas les guerres de religion lui furent préjudiciables, et il fut supprimé en 1580[20],[21].

    Plusieurs moulins ont existé mais ils avaient déjà disparu au XVIIe siècle; il ne restait au début du XXe siècle que le moulin de Courpeteau construit au XVIIIe siècle, sur le ruisseau d'Anqueville (sur Saint-Amant)[22].

    Pendant la Révolution, la commune de Saint-Amant-de-Graves s'est appelée provisoirement Amant-Charente[23].

    Au , la commune de Graves fusionne avec celle de Saint-Amant-de-Graves qui prend alors le nom de Graves-Saint-Amant[24].

    Administration

    La mairie, dans l'ancienne gare SNCF.

    Graves-Saint-Amant est une commune très jeune. Elle existe officiellement depuis l'article A17-12-1996 du journal officiel du .

    La commune est née de la fusion entre Saint-Amant-de-Graves (de code commune 16297) et de Graves (de code commune 16159), qui a été absorbée, aussi Graves-Saint-Amant conserve le code 16297.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 2014 Jean-Louis Brillet SE Viticulteur négociant
    2014 En cours Christian Jobit   Viticulteur

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2018, la commune comptait 332 habitants[Note 3], en diminution de 2,06 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    361348386357347322316336332
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    328300299287298305285250268
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    278267246227232147228244214
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    227217203259338326337338332
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Graves-Saint-Amant en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,3 
    7,5 
    75 à 89 ans
    13,0 
    9,9 
    60 à 74 ans
    14,9 
    27,8 
    45 à 59 ans
    29,9 
    20,9 
    30 à 44 ans
    20,8 
    18,8 
    15 à 29 ans
    9,1 
    15,1 
    0 à 14 ans
    11,1 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Saint-Amant-de-Graves a absorbé Graves en 1996[27].

    Évolution démographique de Graves entre 1800 et 1990
    1800 1851 1901 1936 1962 1968
    267262201230196171
    1975 1982 1990 - - -
    141127111[27]---

    Économie

    Agriculture

    La viticulture est une activité importante de Graves-Saint-Amant, qui est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

    Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

    Industrie

    La carrière de pierre de Bois-Catineau, ouverte au XXe siècle employait 18 personnes en 1988[32].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Le bourg de Graves abrite une église paroissiale, l'église Saint-Martin, construite aux XIIe et XVe siècles. Cette dernière contient notamment une peinture murale (teintes principales rouge et jaune) datée approximativement du XVe siècle représentant apparemment une scène biblique (restaurée en 1977), qui est classée monument historique à titre objet[33]. L'église est classée monument historique depuis 1986[34].

    L'église paroissiale Saint-Amant, située au bourg de Saint-Amant-de-Graves, a été le siège d'un prieuré. Elle fut détruite par les protestants, puis reconstruite au XVIIe siècle[21].

    Patrimoine civil

    Le château de Bois-Charente a été construit au XVIe siècle et sur la tourelle d'escalier, on peut lire 15xx, une date dont les dizaines et les unités sont effacées. La tour hexagonale et la tourelle d'escalier, au centre de la façade antérieure, seraient donc du XVIe siècle alors que l'élévation serait postérieure et qu'il y a eu des restaurations au XIXe siècle[35].

    Le logis de Courpeteau daterait du XVIIe siècle[36] mais le moulin de Courpeteau (ruiné), sur le ruisseau d'Anqueville, ne daterait lui que du XVIIIe siècle[22].

    Il reste deux lavoirs, à la Natrie[37] et chez Renouard[38].

    Patrimoine environnemental

    La commune est bordée par la Charente et se trouve en zone Natura 2000 Charente amont.

    Près de l'écluse de Juac, le hameau de Juac (commune de Saint-Simon) est animé par le tourisme fluvial.

    Le fleuve offre aussi une halte fluviale à Graves.

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse passe au sud de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Fougerat (1863-1932). Pharmacien, viticulteur à Bois-Charente et bienfaiteur. Il a donné son nom à une rue d'Angoulême et une fondation est à son nom depuis 2000[39].

    Héraldique

    Blason
    De gueules à trois aigles d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La terminaison actuelle de Amant en t n'est pas non plus significative. D'après A.Dauzat, dériveraient de Amandius, évêque de Bordeaux : Saint-Amant-de-Montmoreau, Saint-Amant-de-Graves, Saint-Amant-de-Nouère. Dériveraient de saint Amant de Boixe : Saint-Amant-de-Boixe, Saint-Amant-de-Bonnieure. Mais Saint-Amant-de-Graves n'a aucune forme ancienne en Amandus.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 352
    14. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 137
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 330.
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 584.
    18. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 193
    19. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 194-195
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 315
    21. « Église Saint-Amant », notice no IA00041805, base Mérimée, ministère français de la Culture
    22. « Moulin de Courpeteau », notice no IA00041804, base Mérimée, ministère français de la Culture
    23. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    24. Code officiel géographique de Graves-Saint-Amant sur le site de l'Insee, consulté le 22 octobre 2014.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Evolution et structure de la population à Graves-Saint-Amant en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    32. « Carrière Robert Naudin », notice no IA00066374, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Graves-Saint-Amant », base Palissy, ministère français de la Culture
    34. « Église Saint-Martin de Graves », notice no IA00041727, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Château de Bois-Charente », notice no IA00041721, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Logis de Courpeteau », notice no IA00041803, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. « Lavoir », notice no IA00041726, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Lavoir », notice no IA00041725, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. Philippe Ménard, « Le phénix s'embrase », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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