Rouy

Rouy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle se situe à la limite de trois régions naturelles : le Bazois, le massif de Saint-Saulge et les Amognes.

Pour les articles homonymes, voir Rouy (homonymie).

Rouy

Église Saint-Germain-d'Auxerre de Rouy.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Nevers
Intercommunalité Communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais
Maire
Mandat
Thierry Gauthier
2020-2026
Code postal 58110
Code commune 58223
Démographie
Population
municipale
621 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 01′ 34″ nord, 3° 32′ 04″ est
Altitude Min. 229 m
Max. 336 m
Superficie 35,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guérigny
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Rouy
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Rouy
Géolocalisation sur la carte : France
Rouy
Géolocalisation sur la carte : France
Rouy

    Géographie

    Rouy est située au centre de la Nièvre, à 30 kilomètres environ de Nevers via la D 978, et à une dizaine de kilomètres de Saint-Saulge. Elle est entourée : au nord par les communes de Saint-Saulge et de Montapas ; à l'est par Alluy ; au sud par Tintury, Frasnay-Reugny et Billy-Chevannes ; et à l'ouest par Saxi-Bourdon.

    Géologie

    Son sous-sol est principalement composé d'argile et de calcaire, sauf la grande partie nord-ouest qui est le prolongement du massif granitique de Saint-Saulge, à l'est de ce massif, et où l'on trouve grès, arkoses, argiles et marnes. Dans la vallée du ruisseau de Trougny, on trouve alluvions et argiles limoneuses. À l'est, au sud et au centre de la partie ouest de la commune, on trouve marnes et calcaires argileux[1].

    Cours d'eau

    La rivière Canne traverse la commune du nord au sud. Elle prend sa source à Giverdy, au finage de Sainte-Marie, et se jette au sud dans l'Aron, à Cercy-la-Tour. Elle reçoit à l'ouest deux affluents : le ruisseau de Humes et, plus au sud, le ruisseau de Trougny. Elle reçoit également le Mussier, Les Fourmis et le Tramboulin.

    Étangs

    • Étang des Anguilles
    • Étang des Humes (voie romaine à proximité)
    • Étang de Rouy

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    (liste non exhaustive)

    Abrigny, la Barre, la Petite Barre, la Bobe ou la Boube, le Boulet, le Buchon, le Petit Châtenay, les Chagnes, la Chapelle, le Vieux Château, Conseuille, Cordas, Cras, les Creuilles, le Creuzet, le Crot du Lac, le Domaine Neuf, la Ducroterie, le Fromageot, la Garenne, Grandchamp, Gros Châtenay, le Bois des Humes, Joye, Machuré, Malnay, Méas, la Montagne, Moulin des Prés, Mussier, Narloup, Ouche Jean, Osseux, Perranges, Petit Jean, le Pont Rapine, Prémoisson, Rouy, Moulin de Rouy, Étang de Rouy, Saint-Clair, Servandet, le Petit Taillis, Taillis, Trougny, Vesvres…

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Rouy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,8 %), prairies (39 %), forêts (17,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), zones urbanisées (0,7 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Roy en 1209 et Royacum en 1287[9].

    Il s'agit d'un toponyme gallo-romain formé du nom d'homme latin Roius (porté par un autochtone), suivi du suffixe de propriété -acum[10], d'origine gauloise.

    Histoire

    L’occupation de la commune à l’époque gallo-romaine est attestée par la présence de vestiges et d’objets. De 1884 à 1886, G. Luquet conduit des fouilles archéologiques à Châtenay, au lieu-dit Petit Jean. Elles mettent au jour une demi-colonne figurée représentant des amours nus et ailés et des victoires ailées, des monnaies romaines et d'autres objets. C'est à proximité de l'étang de Humes qu'est découverte une voie romaine. Les traces de deux enceintes quadrangulaires apparaissent sur les photos aériennes, l'une à Prémoisson, l'autre à Méas (tumulus arasé). Les petits seigneurs locaux habitaient ces grandes villas.

    L'une d'elles se trouvait sur la voie romaine allant d'Alluy à Nevers, à proximité du hameau de Gros Châtenay. L'existence d'un temple à cet endroit est plus que probable, car ce lieu fut transformé en chapelle une fois le pays christianisé. On en a conservé le souvenir par l'appellation du lieu-dit la Chapelle. Une portion de voie romaine d'une centaine de mètres est encore visible, enfouie sous un peu de terre.

    Dès sa fondation au Ve siècle, Rouy est placée sous l'autorité de l'évêque de Nevers. Elle est du royaume des Burgondes jusqu'en 493, année où elle passe — par le mariage de Clotilde, fille du roi burgonde, avec Clovis — dans le royaume des Francs. Agglomération la plus importante de la région, Rouy n'est cependant pas une paroisse[11].

    Selon la Vie de saint Germain de Paris de Venance Fortunat, Rouy dépend alors du domaine de la famille de saint Germain. Celui-ci, à sa mort en 576, lègue sa terre de Rouy à son église Notre-Dame de Paris. Il est fort probable que c'est lui qui a fait construire la première église de Rouy.

    Il est fait mention de la fondation de la paroisse en 679 sous le vocable de Saint-Germain-d'Auxerre, ce qui en fait une des plus anciennes paroisses du Nivernais[12]. Venance Fortunat en parle pour la première fois sous le nom de Rottogiacum (terre rouge). Puis les comtes prennent le pas sur les évêques…

    La Bobe, ou La Boube

    La maison forte est située au lieu-dit le Vieux Château, au hameau de Taillis. Son seigneur est chargé de surveiller et de taxer les voyageurs empruntant l'ancienne voie romaine, près de l'étang de Humes. Déjà, en 1842, on ne distingue plus que l'emplacement des douves sur le cadastre. Ce fief est divisé par moitié : l'une revient à la maison de Pracomtal, l'autre est rattachée à la seigneurie d'Espeuilles.

    Vesvres

    Vesvres est la plus importante seigneurie de Rouy. Les seigneurs ont le droit de justice à la Barre, Cordas, les Creuilles, le Creuzet, la Garenne, le Bois des Humes, Joye, Narloup, Rouy, Moulin et Étang de Rouy, Vesvres. Quelques grandes familles vont s'y succéder. Au XIVe siècle, elle est la propriété de Jean de Billy. Confisquée par Louis XI en 1474, elle n'est restituée à son propriétaire, Jean de Rochefort, qu'après la mort en 1477 de Charles le Téméraire.

    Le Creuzet

    Il ne reste plus rien du château du Creuzet qu'une vieille tour tronquée, flanquée aujourd'hui de souille à cochons. Cette seigneurie était l'apanage de la maison Le Breton au XVIe siècle et, à partir de 1706, de la maison de Champs.

    Trougny

    Les limites de la seigneurie de Trougny sont mouvantes. On les trouve pour partie et alternativement sur les paroisses de Rouy et de Saxi-Bourdon. La seigneurie est aux mains de la maison Des Ulmes, qui y possède une maison forte, aujourd'hui disparue.

    Servandet

    Servandet est une seigneurie très ancienne, mais dont on ne trouve la trace qu'en 1476. Elle est possession de la maison Des Ulmes à partir de 1640. Par suite de soucis financiers, celle-ci la revend en 1746 à Pierre, seigneur de Saincy, dans la paroisse de Fertrève. Le fils de ce seigneur fortuné, Jacques Pierre, qui lui succède comme trésorier de France à Moulins, est guillotiné à Lyon en 1793[13], avec 32 autres personnes arrêtées dans l'Allier.

    La Révolution

    Au début de la Révolution, Rouy compte un millier d'habitants, principalement des agriculteurs. Le cahier de doléances est constitué en quelques heures par une soixantaine de personnes. Rouy relève désormais du district de Nevers, et devient chef-lieu de canton. Les premières élections municipales, en février 1790, portent Jean-Baptiste Bonde à la tête de la municipalité. Il est confronté à l'insurrection qui éclate dans tout le Nivernais central, faute de la mise en application de l'abolition des droits féodaux — notamment, pour ce qui concerne Rouy, de l'abolition de l'usage des bois (ramassage, coupe). Bonde meurt en novembre 1790, âgé de 62 ans.

    Le comte Antoine Charles de Pracomtal, qui ne réside pas à Rouy, sera guillotiné à Paris en , quatre jours avant la chute de Robespierre. C'est à Simon Perreault, nouveau maire élu en 1791 que revient la charge de planter le premier Arbre de la Liberté. L'abbé Cornibert ayant refusé de prêter le serment de la Constitution civile du clergé, il est destitué et remplacé par l'abbé Jean Coutant, en octobre 1791, qui prend possession de la cure sans que l'abbé Cornibert soit privé d'officier. Mais, le , l'abbé Cornibert qui vient pour sonner sa messe de 8 heures en est empêché manu militari par 10 jeunes gens. La municipalité prendra la décision d'interdire à Cornibert de sonner sa messe qu'il devra célébrer dans la chapelle Saint-Aubin (à droite dans l'église, le long de la sacristie) et non plus au maître-autel. L'abbé porte l'affaire au Conseil du district qui confirme l'interdiction de sonner les cloches, mais oblige la municipalité à lui fournir les vêtements sacerdotaux, ainsi que les vases sacrés. Bientôt les prêtres non assermentés ont 15 jours pour quitter le territoire, ce que va faire l'abbé Cornibert qui ne rentrera en France que lors du Concordat en 1802.

    La Garde révolutionnaire va procéder à des perquisitions et autres réquisitions pour les besoins de la guerre, mais en profitera pour se livrer au pillage. L'un d'eux, un dénommé Paumier, originaire de Rouy, se livrera à plusieurs actes de malveillance. C'est en décembre 1793 que décéda, âgé de 55 ans Claude Mathieu, un introducteur et développeur de la race charolaise en Nivernais.

    Première Guerre mondiale

    La guerre de 1914-1918 prend la vie de 65 habitants du village.

    Seconde Guerre mondiale

    Le dimanche , l'armée allemande fait son entrée à Rouy, et l'occupe. Elle réquisitionne plusieurs maisons pour loger ses officiers. L'école des garçons voit ses classes transformées en dortoir. La Kommandantur prend possession de la villa Goujat, face à l'école des filles. L'instituteur préparant 5 enfants au CEP, le maire, François Billoué, veut réquisitionner l'ancien couvent pour y assurer les cours. Mais les Allemands s'y opposent. Les classes ne rouvrent qu'en septembre 1941.

    Plusieurs maquis s'installent entre Moussy et Crux-la-Ville, venant s'approvisionner à Rouy. Le STO pousse un certain nombre de jeunes à rejoindre les maquis ou simplement à se cacher, pour y échapper. L'instituteur et secrétaire de mairie Raymond Frébault est un relais et un pourvoyeur de tickets d'alimentation et de faux papiers.

    Un grand nombre de réfugiés arrivent à Rouy. Le maire doit procéder à des réquisitions pour loger cet afflux de population. Il ouvre une nouvelle classe d'école, prise en charge par un couple d'instituteurs réfugiés, venant de Boulogne-sur-Mer.

    Les maquis intensifient leurs coups de main à partir de juin 1944, attaquant les troupes allemandes qui se replient par la route nationale 78. Le maquis Julien tend plusieurs embuscades entre Billy-Chevannes et Rouy, ainsi qu'entre Rouy et Châtillon-en-Bazois.

    Les plus jeunes, inconscients du danger, organisent en 1942 et 1943 des bals dans la nature ou dans une grange, au Moulin des Prés, à la Garenne, dans une maison appartenant à François Souverain[14].

    L'embuscade d'une section du maquis Julien le , aux abords de la Ducroterie, permet de détruire sept voitures et trois camions. On déplore de nombreux morts, dont le jeune FFI Émile Dagonneau, de Saint-Révérien.

    Politique et administration

    Administration religieuse

    (liste non exhaustive)

    Administration civile

    La fonction de maire fut créée par l'Assemblée Constituante, en 1789. Le mode d'élection et la durée du mandat changèrent avec les régimes politiques. Élus sous la Révolution, ils furent nommés sous l'Empire. Les conseillers seront élus à partir de 1830, mais c'est le préfet qui désigne le maire, qu'il peut choisir en dehors des conseillers. Le mode de scrutin actuel sera l'œuvre de la Troisième République, mais la durée du mandat était de quatre ans.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1790 novembre 1790 Jean-Baptiste Bonde ... Médecin
    novembre 1790 novembre 1791 Joseph Bonde ... Médecin
    novembre 1791 décembre 1792 Simon Perreault dit Simon Laforet ... Juge de paix
    décembre 1792 décembre 1794 Charles Merland ... Marchand
    décembre 1794 novembre 1801 Charles Merland ... Notaire
    novembre 1801 1803 Timothée Raige Empereur Notaire
    1803 mai 1815 Emiland Roux Empereur Éleveur
    début juin 1815 mi-juillet 1815 Simon Perreault Bonapartiste Juge de paix
    juillet 1815 1824 Emiland Roux ... Éleveur
    1824 1838 Jean-François Meulle-Desjardins ... Régisseur
    1838 1848 François Lelong ... ancien militaire - Aubergiste
    1848 1852 Jean-Marie Poulet ... Agriculteur
    1852 1855 François Lelong ... ancien militaire - Aubergiste
    1855 1856 Joseph Giraudet ... ancien notaire
    1856 1857 Jean Colas ... Agriculteur
    1857 1876 Joseph Grandjean ...  
    1876 1882 François Poulet ... Fermier
    1882 1892 Louis-Didier Vérat ... Marchand d'étoffes et lingerie
    1892 1896 Jean-Baptiste Labonde ... Fermier
    1896 1908 Louis-Didier Vérat ... marchand d'étoffes et de lingerie
    1908 1919 Louis-Stanilas Vérat ... ...
    1919 1921 François Labonde ... ...
    1921 1925 Marie Comte ... Agriculteur
    mai 1925 août 1925 Louis-Stanislas Vérat ... ...
    1925 1929 Etienne Rouby ... ...
    1929 1938 Régis Comte ... ...
    1938 1945 François Billoué ... ...
    1945 1953 Edouard Novembre ... ...
    1953 1977 Henri Billoué ... ...
    1977 1995 Louis Billard ... ...
    1995 2014 Jean-Noël Guillaumot ... Vétérinaire retraité
    2014 En cours Thierry Gauthier ... ...
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2018, la commune comptait 621 habitants[Note 3], en augmentation de 0,81 % par rapport à 2013 (Nièvre : −4,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2431 1201 2421 4041 4971 4881 4471 5801 542
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5401 5741 6501 7041 6761 6101 6391 6041 562
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5171 4071 2861 066970910780818767
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    704644548532552585598620616
    2018 - - - - - - - -
    621--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Germain de Rouy. L'église romane a été édifiée au XIIe siècle. Elle fut prieurale avant de devenir paroissiale. Frappée par la foudre le , elle conserve son aspect d’origine malgré des détériorations causées par des rénovations, notamment celle entreprise en 1861[19]. Elle a été classée monument historique par arrêté du [20].  Classé MH (1884). Fresque du Christ en majesté. Très beau portail roman. Ouvert tous les jours de 9 h à 18 h[21]

    Patrimoine civil

    • Le château de Vesvres, inscrit monument historique par arrêté du [22].
    • Ancien four à chaux
    • Vieux puits du bourg
    • Puits encastré au centre bourg
    • Puits à margelles
    • Ferme de Prémoisson
    • Ferme Billoué au hameau du Creuzet
    • Pompes à chapelet
    • Linteaux de portes dans la grande rue

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Carte géologique de la Nièvre, source BRGM septembre 2011, cartographie Yasmine Abdelahak & Michel Lablé.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nevers », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 577b.
    10. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    11. « Rouy au cœur du Nivernais », Les Annales du Pays Nivernais, n° 149, association La Camosine, automne 2012, p. 5.
    12. Panneau d’information du conseil général.
    13. « Victimes Révolution - », sur ledinde.free.fr.
    14. « Rouy, les bals clandestins », témoignage de Louis Billar, Les Annales du Pays Nivernais, n° 149, La Camosine, p. 16.
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. http://bernard.duquesne.perso.cegetel.net/planssge/pages/histrouy.htm Historique de l'église de Rouy] par J-M Deguilloux.
    20. Notice no PA00112996, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme & Loisirs, 2013
    22. Notice no PA00112995, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Annexes

    Bibliographie

    • Abbé Autissier: Histoire de la paroisse de Rouy
    • Raymond Colas : Le Guide des Châteaux de France, Nièvre, éd.Hermé,1986, 102. p., ill, plan.
    • Collectif,préface de Jean-Noël Guillaumot (maire): Rouy au cœur du Nivernais, dans La Camosine, Les Annales du Pays Nivernais, n°149 Automne 2012, 52.p. ill & plans.

    Articles connexes

    Liens externes

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