Billy-Chevannes

Billy-Chevannes est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Billy et Chevannes.

Billy-Chevannes

L'église Saint-Antoine de Billy-Chevannes.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Nevers
Intercommunalité Communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais
Maire
Mandat
Alain Vallet
2020-2026
Code postal 58270
Code commune 58031
Démographie
Population
municipale
304 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 55″ nord, 3° 27′ 17″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 428 m
Superficie 23,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guérigny
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Billy-Chevannes
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Billy-Chevannes
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Billy-Chevannes
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Billy-Chevannes

    Géographie

    La commune de Billy-Chevannes, à 24 km à l’est de Nevers, fait partie de la Communauté de communes des Amognes. La commune s’étend sur 23 km², avec une densité de 15,1 habitants par km² (INSEE 2010). Son altitude varie entre un minimum de 234 mètres et un maximum de 428 mètres (colline du Bois-Château) pour une altitude moyenne de 331 mètres. Deux kilomètres séparent les deux bourgs constituant la commune (bourg de Billy, Chevannes), qui comprend également de nombreux hameaux.

    Pays d'élevage, la commune offre des paysages très variés, alternant de grandes étendues forestières (Bois de Billy - zone Natura 2000 des Bocages, Forêts et Milieux humides des Amognes et du Bassin de La Machine[1]), des coteaux abrupts (Pranté, Dumphlun, Le Mont) et un vaste paysage de bocages.

    Hydrographie

    L'Andarge prend sa source à Billy-Chevannes (Le Bourg). D'une longueur totale de 26,5 km, cette rivière se jette dans l'Aron à Champvert, avant que celui-ci ne rejoigne la Loire entre Decize et Saint-Léger des Vignes. Cette rivière présente des fluctuations saisonnières de débit marquées. Les hautes eaux se déroulent en fin d'automne et, en hiver, se caractérisent par des débits mensuels moyens allant de 0,83 à 1,64 m3/s, de novembre à avril inclus (avec un maximum très net en janvier et surtout février). À partir du mois de mars, le débit baisse cependant progressivement, ce qui mène aux basses eaux d'été qui ont lieu de juillet à septembre inclus, s'accompagnant d'une baisse du débit mensuel moyen jusqu'au plancher de 0,078 m3/s au mois d'août (données de la station hydrologique de Diennes-Aubigny).

    Billy-Chevannes compte de nombreux lavoirs d'intérêt patrimonial, notamment à Chevannes, Billy, Criens, Nanteuil, Bourguerault, Dumphlun et Semelin, pour lesquels la commune a engagé une importante action de restauration et de valorisation.

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    • Bois-Rétif
    • Bourguerault
    • Chevannes
    • Criens
    • Dumphlun
    • Le Mont
    • Mussier
    • Nanteuil
    • Patry
    • Playnes
    • Prante
    • Semelin

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Billy-Chevannes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), prairies (32,4 %), forêts (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Billy : le nom (Bylliacum) pourrait provenir du gallo-romain bilia (bille de bois)

    Chevannes : du bas-latin capanna, désignant une hutte et qui a donné le mot « cabane ».

    Histoire

    Billy-Chevannes s'élève sur un site occupé dès l'époque protohistorique, comme en témoignent certains sites identifiés au XIXe siècle (butte avec trace de défense d'occupation à Nanteuil[9], tumulus voisin dans la commune de Cizely au lieu-dit la Segangeotte[10]) ainsi que certains toponymes d'origine celte[11].

    L’origine de la commune se trouve dans la motte située non loin de la route nationale, dans le pré dit du "Vieux Château", où s'élevait au Moyen-Âge un château fort occupé par les seigneurs de Billy, probablement de la même famille que les Billy, vicomtes de Clamecy. Ils relevaient du seigneur de Châtillon-en-Bazois. Au XIVe siècle, Jean de Billy participe à la lutte contre l'invasion des Anglais contre lesquels il semble protéger les seigneurs alentour, notamment celui de Cizely, qui lui rend hommage à cette époque. Son fils, Philibert de Billy, marié à Jeanne de Saint-Aubin, fille du chambellan du roi et du duc de Bourgogne, fut un grand seigneur, qui répondit à l'appel du duc Jean sans Peur et participa à la reprise de Château-Chinon que les Armagnacs avaient envahi (1412).

    Après la mort de Philibert de Billy (après 1418), sa fille Philiberte épouse Philibert de La Perrière, auquel elle apporte tous ses biens. Le château de Billy fut ensuite très endommagé au cours des combats qui reprirent à partir de l'assassinat de Jean sans Peur en 1419[12]. Le château est pris par les Anglais en 1428[13], sa ruine date probablement de cette époque (les derniers vestiges sont démantelés vers 1840). C'est désormais au château de Frasnay-le-Ravier que vivent les descendants de Philibert de La Perrière : son fils Claude et son petit-fils Gabriel de La Perrière (mort avant 1575), chevalier de l'ordre du roi, premier lieutenant-général en Nivernais, seigneur de Billy, Frasnay et Bazoches (par sa femme Charlotte de Montmorillon), aïeul du Maréchal de Vauban. Des cinq enfants de Gabriel de La Perrière, son fils Léonard reprend la seigneurie de Billy, qui passe ensuite à sa petite-fille, Chrétienne de La Perrière, épouse de Charles de Rémigny, baron de Joux, d'une ancienne famille de Bourgogne qui possédait la seigneurie de Joux-le-Châtel[12]

    Au XVe siècle, alors que l'ancien château de Billy a été détruit pendant la guerre de Cent Ans, un autre château est construit plus au sud, à partir d'une ancienne tour de guet, sur le promontoire de Dumphlun. Construit par Philibert d'Anlezy, écuyer, homme d’armes en 1467, maître d’hôtel de la Comtesse de Nevers en 1475, mort avant 1489, il passera ensuite à Imbert d'Anlezy, vétéran des guerres d'Italie, l'un des cent gentilshommes de la Maison du Roi, auteur d'un Livre sur la Fortune dédié au jeune duc d'Alençon. Le château de Dumphlun restera dans cette importante famille du Nivernais jusqu'à la fin du XVIe siècle pour revenir ensuite par alliance à la famille de Cossaye, qui le vendra en 1642 à Paul-Louis de Remigny, fils de Charles de Rémigny et de Chrétienne de La Perrière, seigneur de Billy, époux de Catherine de Chastellux (1640, décédée en 1641) puis de Jeanne Bolacre (1645).

    Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, la famille de Rémigny va considérablement agrandir le château de Dumphlun à partir de l'ancien corps de logis Renaissance. Jean-Baptiste François Angélique de Rémigny (1710-1787), également seigneur de Cigogne et de Saint-Franchy, élabore un grand projet architectural avec une nouvelle aile  Inscrit MH (1980) et des bâtiments de ferme aux grands volumes  Inscrit MH (2021), typiques des "fermes ornées" qui apparaissent alors en France. La famille de Rémigny disparaîtra peu après la Révolution française lors de laquelle plusieurs de ses membres seront guillotinés. Le marquis Angélique Louis Marie de Rémigny, inscrit sur la liste des émigrés, s'éteint en 1803, laissant un jeune fils qui mourra en 1821. Dumphlun est vendu en 1814 et sera ensuite la propriété des familles Boucher puis Guény.

    S'agissant de Chevannes, il s'agit d'une ancienne paroisse qui relevait de l'archiprêtré de Châtillon-en-Bazois. Cette seigneurie dépendait des familles de Pracomtal et Doreau[12].

    Vers 1791-1792, la commune de Chevannes-Gazeau est rattachée à celle de Billy. La nouvelle commune prend alors le nom de Billy-Chevannes et compte jusqu’à 1 107 habitants en 1861.

    En 1867-1868, l'église Saint-Marcel est construite en remplacement d'une précédente église beaucoup plus ancienne. Elle est consacrée le 17 septembre 1868 par Monseigneur Fourcade, évêque de Nevers.

    À Chevannes demeure la très pure église romane dédiée à saint Antoine,  Classé MH (1989). Endommagée par un incendie à la fin des années 1970, elle a depuis bénéficié de la mobilisation des habitants et de la commune pour sa restauration, avec la création de l'association "Chevannes dans le temps".

    Billy-Chevannes n'a pas été épargné pendant la Deuxième Guerre mondiale, avec notamment l'incendie et la destruction du château de Playnes (XIXe siècle) par les troupes allemandes.

    Politique et administration

    Billy-Chevannes appartient à la communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1932 1976 Robert Guény indépendant Président du Conseil général de la Nièvre 1949-1964
    1976 1995 Bernard Roy SE  
    1995 2001 Jean Commaille    
    2001 2014 Christian Caquard    
    mars 2014 en cours Alain Vallet SE Suppléant du conseiller départemental DVD Marc Gauthier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].

    En 2018, la commune comptait 304 habitants[Note 3], en diminution de 14,37 % par rapport à 2013 (Nièvre : −4,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8047637378458988651 0021 093990
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9721 1071 1021 0631 0461 054932900873
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    827769707601598489467463464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    402369361288271276341350353
    2017 2018 - - - - - - -
    308304-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17]. |recens-prem=200.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et œuvres notables

    • Église Saint-Antoine de Billy-Chevannes : très pure église romane à Chevannes, datant du XIe siècle. Elle présente une nef non voûtée, ainsi qu'une abside en cul de four étayée par des contreforts plats,  Classé MH (1989).
    • L'ancien cimetière n'a pas été déplacé et se trouve toujours autour de l'église, qui n'est plus consacrée au culte.
    • Église Saint-Marcel : actuelle église paroissiale qui date de la seconde moitié du XIXe siècle. De style roman, elle remplace un édifice beaucoup plus ancien à la construction contemporaine de celle de Chevannes. Elle renferme d'intéressantes œuvres d'art religieux :
      • Moine assis, en bois polychrome, qui provient de l'église Saint-Antoine de Chevannes où il se trouvait jusqu'en 1954. Il est  Classé MH (1913). Il a perdu sa main droite[18].
      • Vierge à l'Enfant, en bois polychrome, de style baroque, dans le goût espagnol provenant de l'église de Billy elle est exposée sur un autel à l'est du collatéral sud, elle est  Classé MH (1913)[19].
      • Saint-Antoine, statue en pierre calcaire de la fin du XVe siècle, qui provient de l'ancienne église Saint-Antoine et transférée ici en 1954, elle possède des traces de polychromie, elle est  Classé MH (1913)[20].
      • Saint Christophe, pierre du XVe siècle,  Classé MH (1913). Elle était jusqu'en 1954 dans la nef de l'église Saint-Antoine de Chevannes[21].
    • Château de Dumphlun : château construit entre le XIVe siècle et le XVIIIe siècle[22], ayant appartenu à plusieurs grandes familles du Nivernais, notamment les familles d'Anlezy et Rémigny ;  Inscrit MH (1980) Notice no PA00112808, base Mérimée, ministère français de la Culture ; vaste ferme-modèle adjacente des XVIIe siècle et XVIIIe siècle  Inscrit MH (2021)[23] ; longue allée d'accès bordée de platanes  Inscrit MH (2021) ; ouvert à la visite[24].
    Château de Dumphlun

    Personnalités liées à la commune

    • Gabriel de La Perrière, seigneur de Billy, de Frasnay et de Bazoches, premier Lieutenant général du Nivernais (1568-1577?), sous Louis de Gonzague, duc de Nevers[25] ; sa fille, Françoise de La Perrière, épouse Jacques Le Prestre de Vauban en 1591, donnant naissance à Urbain Le Prestre, père de Vauban[26], maréchal de France (1633-1707).
    • Imbert d'Anlezy, seigneur de Dumphlun, l'un des cent gentilshommes de la Maison du Roi, vétéran des guerres d'Italie, appelé à la fin de sa vie au service du jeune duc d'Alençon auquel il dédia un livre sur la fortune, Liber Fortunae (1558), illustré par Jean Cousin le Jeune[27].
    • Luc-Angélique de Rémigny (1716-1779), fils cadet du marquis Paul-Louis de Rémigny et de Louise Thuillier, capitaine, chevalier de Saint-Louis (1759), combattant lors de la bataille des Plaines d'Abraham, revenu à Nevers en 1760[28].
    • Victor Gueneau (1835-1919), écrivain et historien français, consacra un important travail de recherche à l'histoire de Billy-Chevannes et de la seigneurie de Billy et Dumphlun.
    • Robert Guény, président du conseil départemental de la Nièvre de 1945 à 1964.
    • Chantal Jeux, pour sa participation à l'émission Strip-Tease[29].
    • La commune fournit plusieurs champions au cyclisme régional, dont :
      • Denis Finot (né en 1949) ;
      • André Duret (né en 1951) ;
      • Jean-François Finot (né en 1955) ;
      • Didier Finot (né en 1958).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. MNHN - INPN, « FR2601014 - BOCAGES, FORÊTS ET MILIEUX HUMIDES DES AMOGNES ET DU BASSIN DE LA MACHINE ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nevers », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Rachel Joly, Les enceintes protohistoriques, antiques et anhistoriques de la Nièvre : pré-inventaire et documentation, Clermont-Ferrand, Centre de recherche sur les civilisations antiques - Presses universitaires Blaise Pascal, (lire en ligne).
    10. Antoine Desforges, « Les Tumuli de la Nièvre », Bulletin de la Société préhistorique française, , p. 12-23 et p.307-310 (lire en ligne).
    11. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du Département de la Nièvre, Paris, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p.214.
    12. Victor Gueneau, Billy-Chevannes (Nièvre). Notice historique, Nevers, Société nivernaise des lettres, sciences et arts, .
    13. Paul, Jean et Henri Drouillet, Histoire de Saint-Benin d'Azy, Paris, Librairie Guénégaud, (lire en ligne), p. 57.
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. Anne-Sophie Blanchard, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 42, p. 61.
    19. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 16, p. 32.
    20. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 33, p. 52.
    21. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 45, p. 65.
    22. Marcel Charmant (préface de), Châteaux et Manoirs du Nivernais, Caisse des Monuments et des Sites de la Nièvre (Camosine), , p.49-50.
    23. « La ferme de Dumphlun, à Billy-Chevannes, vient d’être inscrite aux Monuments historiques », Le Journal du Centre, 27 mars 2021.
    24. « Site de l'Association de sauvegarde de Dumphlun », sur https://www.chateaudedumphlun.com/.
    25. Ariane Boltanski, Les ducs de Nevers et l'État royal : genèse d'un compromis (ca 1550 - ca 1600), Genève, Droz avec le soutien du Conseil général de la Nièvre, (lire en ligne).
    26. Léon-Paul Desvoyes, « Généalogie de la famille Le Prestre de Vauban », Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de Semur, , p.7 (lire en ligne).
    27. Ludovic Lalanne, Le Livre de Fortune, Recueil de deux cents Dessins inédits de Jean Cousin, Paris, Librairie de l'Art, (lire en ligne).
    28. Commission des champs de bataille nationaux, Gouvernement du Canada, « Luc-Angélique Remigny, De »
    29. « Strip-Tease ».

    Voir aussi

    Article connexe

    Bibliographie

    • Victor Gueneau, Billy-Chevannes (Nièvre). Notice historique, Nevers, 1879.

    Lien externe

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