Rougon

Rougon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Rougon (homonymie).

Rougon

Le Village

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Jacques Jean Audibert
2020-2026
Code postal 04120
Code commune 04171
Démographie
Population
municipale
116 hab. (2018 )
Densité 3,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 57″ nord, 6° 24′ 10″ est
Altitude Min. 568 m
Max. 1 900 m
Superficie 35,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Rougon
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Rougon
Géolocalisation sur la carte : France
Rougon
Géolocalisation sur la carte : France
Rougon
Liens
Site web http://www.rougon.fr/

    Le nom de ses habitants est Rougonnais[1].

    Géographie

    Localisation

    Rougon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Rougon est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

    Les communes limitrophes de Rougon sont Blieux, Castellane, Trigance (dans le département du Var) et La Palud-sur-Verdon.

    Géologie et relief

    Ruines du château fort et les Traverses en arrière-plan (1 075 m).

    Le village est perché à 930 m d’altitude[2], sur un éperon qui sert également de col, à proximité des gorges du Verdon.

    Le belvédère du Point Sublime (site inscrit) est sur le territoire de la commune[3]. L’éperon sur lequel est situé le château est un site classé[3]. Le point culminant est le Mourre de Chanier (1 930 m), dans le massif du Montdenier.

    On trouve des fossiles tithoniques sur la commune. L'essentiel du substrat est cependant composé des calcaires jurassiques, qui ont donné lieu à de nombreuses formations karstiques[3].

    La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

    • rivière le Verdon ;
    • rivière le Jabron ;
    • rivière l'Artuby ;
    • rivière le Bau ;
    • ravins du Riu, de Passerin, de Patarasse, de Cabroulet, de Saint-joseph, de Réquiran, des Conhets ;
    • torrent de Praux ;
    • vallon le grand.

    Voies routières

    La commune de Rougon est desservie par la route départementale RD 952 (ancienne route nationale 552), qui relie Castellane à Gréoux-les-Bains en empruntant la vallée du Verdon et le plateau de Valensole[5].

    Lignes régionales

    Riez est desservie par une ligne express régionale LER Provence-Alpes-Côte d'Azur[6] qui sont les suivantes :

    Ligne Tracé
    27MarseilleGréoux-les-BainsRiez ↔ Rougon ↔ Castellane[7]
    Lignes départementales

    Le village est aussi reliée par une ligne départementale[8] :

    Ligne Tracé
    BV3Les gorges du Verdon (Saint-André-les-Alpes ↔ Rougon ↔ La Palud-sur-Verdon)

    Végétation

    La commune compte 980 ha de bois et forêts, soit 27 % de sa superficie[1].

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Rougon est également exposée à trois risques naturels[9] : les feux de forêt, les inondations et les mouvements de terrain.

    La commune de Rougon est de plus exposée à deux risques d’origine technologique[10] :

    • celui de transport de matières dangereuses par route : la départementale RD 952 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[11] ;
    • celui de rupture de barrage. Rougon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[12],[13]. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne[14], et atteindrait la clue de Chasteuil en 17 à 18 minutes (où elle entre dans la commune de Rougon)[15], progressant à une vitesse moyenne de 60 km/h. Ensuite, elle ralentirait pour arriver à hauteur du village au bout de 28 minutes, ne dépassant pas toutefois la cote des 670 m (soit une hausse du cours du Verdon de plus de 60 m)[16].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] mais le Dicrim existe depuis 2011[17].

    La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011[9]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le . Il a été ressenti avec une intensité macro-sismique de VI et demi sur l’échelle MSK[18],[19]. Celui du avait son épicentre dans la commune, et une intensité de 4[20].

    Sismicité

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Rougon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[21], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9].

    Toponymie

    Le nom de la commune est ancien : outre villa Rovagonis 814, on connaît les formes Rovagonus (1056), de castro Rogone (1096), oppidi Ragonis (1114) et de Roagono (1200). Il fait l’objet de différentes interprétations :

    • selon Charles Rostaing, il est construit sur la racine *Rub-, désignant un rocher[22], et antérieure aux Gaulois[23] ;
    • selon Ernest Nègre, il est construit sur un nom propre préceltique, à l’origine et au sens incertains[24]. La commune se nomme Rogon en provençal selon la norme classique et Rougoun selon la norme mistralienne.

    Histoire

    Sur la barre de Catalan (1333 m d’altitude), une enceinte, peut-être protohistorique a été repérée par prospection aérienne : elle était défendue par deux murs concentriques, épais d’environ 1,5 m[25],[26],[27].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 814, avec la mention de villa Rovagonis dans le polyptyque de Wadalde. Cette villa est le siège d’une vaste exploitation appartenant à l’abbaye Saint-Victor de Marseille. Elle a aussi de nombreuses fermes sous sa dépendance à Rougon et La Palud[28],[29]. Un château fut construit au XIe siècle[30],[31]. La paroisse relevait de l’évêque de Riez, qui, à partir de 1096, partagea les dîmes avec l’abbaye de Montmajour[28].

    Les Templiers possédaient un bien à Rougon[32]. Il s’agit du Prieuré Saint-Maxime, en limite de la commune de Trigance[28],[33]. Comme tout bien des Templiers, il était exempté de redevance envers l’évêque de Riez, et donc toutes les dîmes et redevances allaient intégralement aux Templiers. Le prieuré est passé à l’ordre des Hospitaliers au XIVe siècle[28].

    La seigneurie, d’abord aux Castellane (XIVe siècle), passe aux Glandevez (XVe siècle), puis aux Brun-Castellane (XVIe-XVIIe siècle) et est enfin achetée par l’abbaye de Lérins en 1732[34],[28]. Cette seigneurie comportait le château, les droits de justice et divers autres, le moulin banal, plusieurs bâtiments dont deux bastides, des terres, prés.

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Rougon, Guyard de La Garde, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[35].

    Durant la Révolution, la commune de Rougon compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[36].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1835 que le cadastre dit napoléonien de Rougon est achevé[37].

    Comme de nombreuses communes du département, Rougon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà son école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[38]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[39], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Rougon[40]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à un château donjonné de trois tours d'or maçonnées de sable sur une terrasse du même[41],[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Rougon[43].
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 juillet 1945 Édouard Carbonnel[44]    
    juillet 1945 avril 1995 Antoine Susini    
    mars 1995 mars 2008 Jean-Pierre Clair    
    mars 2008 2014 Michel Facchin[45]    
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Jacques Jean Audibert[46]   Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Rougon fait partie:

    Urbanisme

    Typologie

    Rougon est une commune rurale[Note 1],[47]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[48],[49]. La commune est en outre hors attraction des villes[50],[51].

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[52].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,2 %), forêts (30,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,5 %)[53].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[54].

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[55] :

    • total des produits de fonctionnement : 228 000 , soit 2 212  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 190 000 , soit 1 849  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 124 000 , soit 1 203  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 171 000 , soit 1 660  par habitant.
    • endettement : 56 000 , soit 539  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 9,75 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,84 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,88 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 16,52 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[56].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[58].

    En 2018, la commune comptait 116 habitants[Note 2], en augmentation de 12,62 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    484539506497505496548558560
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    485500484487478406357349309
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    31731933126518018015012693
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009
    90524140557785128104
    2014 2018 - - - - - - -
    103116-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Évolution démographique
    1315 1471
    54 feux16 feux
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[34].)

    En 1906, la population comprend 21 ouvriers présents temporairement pour la construction d'une conduite maçonnée devant amener l'eau du Verdon de Castellane à l'usine hydro-électrique du Galetas, qui ne fut jamais achevée[61].

    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Commerces

    Le café La Terrasse, qui porte le label Bistrot de Pays[62], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[63].

    Lieux et monuments

    Ruines du château fort accrochées au rocher.

    Le patrimoine naturel, la faune et la flore

    • Le site des gorges du Verdon traverse la commune, il est classé depuis 1990 et figure dans tous les guides touristiques consacrés à la région[3].
    • L'inventaire des espèces et infra-espèces sur la commune a permis de recenser 1 181 taxons terminaux[64]

    Le patrimoine civil

    • Le village est dominé par les ruines du château fort, perché sur une arête vertigineuse dominant l'entrée des gorges du Verdon[65]. Le site du château est lui aussi classé[3]). Une arche construite au-dessus d’une faille permettait d’agrandir la surface du château, accessible par un sentier malaisé. D’autres vestiges de fortifications sont visibles à la barre des Catelans[66]. Ce château défendait la route d’accès à Castellane[67].
    • La commune compte deux ponts anciens :
    • Les fontaines[72],[73],[74],[75], lavoirs[76],[77],[78], abreuvoirs[79],[80] et puits[81],[82].

    Le patrimoine religieux

    Personnalités liées à la commune

    • Le prêtre ouvrier Guy Gilbert (né en 1935) y possède une ferme dont il a fait un centre de rééducation, appelé La bergerie de Faucon.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    3. Direction régionale de l'environnement, « Les gorges du Verdon », Inventaire départemental des sites classés, DIREN, publié en octobre 2003, consulté le 4 août 2012.
    4. L'eau dans la commune
    5. Carte de Rougon sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 3 novembre 2016).
    6. Info LER PACA
    7. [PDF] Horaires et tarifs LER Ligne 27
    8. [PDF] Réseau départemental des lignes de transport des A.H.P
    9. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale « Copie archivée » (version du 21 février 2014 sur l'Internet Archive) sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 13 août 2012.
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97.
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
    12. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
    13. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne « Copie archivée » (version du 16 février 2008 sur l'Internet Archive), version du 4 juillet 2012, p. 14.
    14. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
    15. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 19.
    16. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 20.
    17. Document, base Dicrim, consultée le 13 août 2012.
    18. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Rougon », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 13 août 2012.
    19. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consultée le 13 août 2012.
    20. BRGM, « fiche 40103 », Sisfrance, consultée le 13 août 2012.
    21. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    22. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 237
    23. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 1176, p 56
    25. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 397.
    26. Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, no 2, 1985. p. 534.
    27. « mégalithe », notice no IA04001922, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. Daniel Thiery, « Rougon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012.
    29. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
    30. « village », notice no IA04001957, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. « bourg castral de Rougon », notice no IA04001951, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. « présentation de la commune de Rougon », notice no IA04001958, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Joseph-Antoine Durbec (préf. Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p. 109-110.
    34. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 193.
    35. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 412 (note 55).
    36. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    37. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    38. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    39. Labadie, op. cit., p. 16.
    40. Labadie, op. cit., p. 18.
    41. Banque du Blason
    42. Moyen Verdon 2 : Rougon, Vexillologie Provençale
    43. Notice no IM04002254, base Palissy, ministère français de la Culture horloge de la mairie
    44. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    45. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013.
    46. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires « Copie archivée » (version du 22 octobre 2014 sur l'Internet Archive) », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
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    56. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    61. Allain Collomp, La découverte des gorges du Verdon : histoire du tourisme et des travaux hydrauliques, Édisud, 2002, (ISBN 2-7449-0322-1), p. 49
    62. La charte Bistrot de Pays
    63. L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010
    64. Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
    65. Un nid d’aigle à Rougon
    66. Raymond Collier, op. cit., p 273
    67. Raymond Collier, op. cit., p 316
    68. « pont du Tusset », notice no IA04001637, base Mérimée, ministère français de la Culture
    69. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 107
    70. « pont de Carajuan », notice no IA04001638, base Mérimée, ministère français de la Culture
    71. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 106
    72. « fontaine-lavoir », notice no IA04001939, base Mérimée, ministère français de la Culture
    73. « fontaine », notice no IA04001940, base Mérimée, ministère français de la Culture
    74. « fontaine du T.C.F. », notice no IA04001935, base Mérimée, ministère français de la Culture
    75. « Fontaine Mantagière (la) », notice no IA04001934, base Mérimée, ministère français de la Culture
    76. « lavoir Sences (les) », notice no IA04001937, base Mérimée, ministère français de la Culture
    77. Le lavoir du jardinier
    78. La fontaine de Rougon
    79. « abreuvoir dit La Gourgette », notice no IA04001938, base Mérimée, ministère français de la Culture
    80. La gourgette des moutons
    81. « Puits lieu-dit Entreverges », notice no IA04001942, base Mérimée, ministère français de la Culture
    82. « Puits Entreverges », notice no IA04001941, base Mérimée, ministère français de la Culture
    83. « prieuré et église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IA04001844, base Mérimée, ministère français de la Culture
    84. « chapelle Saint-Christophe », notice no IA04001843, base Mérimée, ministère français de la Culture
    85. La chapelle des voyageurs
    86. Raymond Collier, op. cit., p. 224
    87. Raymond Collier, op. cit., p. 486
    88. Raymond Collier, op. cit., p. 513
    89. Arrêté du 8 janvier 1975, notice de la Base Palissy, consultée le 7 décembre 2008
    90. La bastide Saint-Maxime qui dépendait pour la période templière de la commanderie du Ruou.
    91. Le membre de Saint-Maime qui dépendait de la commanderie de Comps au sein du grand prieuré de Saint-Gilles.
    92. « oratoire Sainte-Rose », notice no IA04001946, base Mérimée, ministère français de la Culture
    93. « oratoire Sainte-Hélène », notice no IA04001945, base Mérimée, ministère français de la Culture
    94. « oratoire Sainte-Anne », notice no IA04001948, base Mérimée, ministère français de la Culture
    95. « oratoire Saint-Lucien », notice no IA04001947, base Mérimée, ministère français de la Culture
    96. « oratoire Saint-Antoine », notice no IA04001944, base Mérimée, ministère français de la Culture
    97. « oratoire Saint-Joseph », notice no IA04001943, base Mérimée, ministère français de la Culture
    98. Six oratoires au pays des vaubourg
    99. « monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA04001924, base Mérimée, ministère français de la Culture
    100. Monument aux morts : Historique
    101. Edmond Audibert
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