Ranville

Ranville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 856 habitants[Note 1].

Ne doit pas être confondu avec Ranville-Breuillaud.

Ranville

Le clocher de l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Jean-Luc Adelaïde
2020-2026
Code postal 14860
Code commune 14530
Démographie
Gentilé Ranvillais
Population
municipale
1 856 hab. (2018 )
Densité 220 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 55″ nord, 0° 15′ 23″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 49 m
Superficie 8,42 km2
Unité urbaine Ranville
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Ranville
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Ranville
Géolocalisation sur la carte : France
Ranville
Géolocalisation sur la carte : France
Ranville
Liens
Site web www.ranville.fr

    Géographie

    Ranville se situe à km au nord-est de Caen à 49° 13′ 55″ N, 0° 15′ 23″ O .

    Bien que la commune fasse partie de l'aire urbaine de Caen et qu'elle soit limitrophe de la communauté urbaine de Caen la Mer, elle ne fait pas partie de cette dernière. En 1997, elle est intégrée à la communauté de communes Campagne et Baie de l'Orne qui fusionne avec deux autres communauté de communes en 2017 pour former la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge.

    Le , la commune passe alors de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 664 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 15 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Ranville est une commune urbaine[Note 6],[15]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ranville, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 3 883 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,3 %), zones urbanisées (16 %), mines, décharges et chantiers (11,2 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), eaux continentales[Note 8] (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est cité sous les formes Ranvilla en 1066[28], Ranvilla au XIIe siècle (Recueil des actes de Henri II roi d'Angleterre et duc de Normandie), Ranville au XVIIIe siècle (carte de Cassini).

    Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Ran- représente sans doute un anthroponyme selon le cas le plus fréquent.

    Pour expliquer cet élément, Albert Dauzat propose le nom de personne germanique Rado sans citer de formes anciennes, explication abandonnée aujourd'hui, alors qu'Ernest Nègre et René Lepelley préfèrent Rando[29].

    Curieusement, le même Ernest Nègre qui mentionne, à propos de Ransart (Pas-de-Calais, Ransart 1169), le nom de personne Hramnus cité par Marie-Thérèse Morlet[30],[31], n'y songe pas en ce qui concerne Ranville, alors que cet anthroponyme conviendrait tout autant, puisqu'on a pas trace d'un [d].

    Remarque : Ces auteurs ne tiennent pas compte du fait que Ranville se situe dans l'aire de diffusion de la toponymie anglo-scandinave, qu'il est propre, du moins par ses formes anciennes, à la Normandie, et surtout, est appuyé par des microtoponymes régionaux tels que Rantot (Manche, Digulleville, Derantot 1825 - 1866, c'est-à-dire « la ferme de Rantot »[32]) et Randal (Manche, le Vrétot, Bois de Randal 1456[33], sans doute apparenté au Randal norvégien, Sogn og Fjordane) qui contiennent également un élément Ran-, mais il est associé à des appellatifs toponymiques d'origine norroise. Il s'agit de -tot issu du vieux norrois topt, toft « propriété, ferme » et -dal de dalr « vallée ». L'association de Ran- avec un élément scandinave suggère une explication par le nom de personne norrois Randr (ou vieux danois Rand)[34] ou par le nom de personne féminin vieux norrois Rán[35], ce qui est plus simple. En Normandie, les noms en -tot ont souvent leur équivalent en -ville (cf. Cidetot / Cideville ; Chiffretot / Chiffreville ; Épretot / Épreville, etc.), voire en un autre élément d'origine scandinave. Si l'assimilation probable de [d] de Rand avec le [t] de -tot et le [d] de -dal va de soi, en revanche il faut supposer que [d] ait pu s'amuïr aussi tôt dans Ranville sans laisser de trace. Cela se vérifie pour Branville (Eure) attesté sous la forme Branville dès le XIe siècle et Branmesnil (Seine-Maritime, hameau disparu autour de La Poterie-Cap-d'Antifer, Branmaisnil vers 1040 chez Jean Adigard des Gautries, 1956 p. 230) qui présentent un contexte phonétique analogue /ran/ et qu'on compare avec Branville (Seine-Maritime, Saint-Aubin-Épinay) désigné Brant villa en 1025. Bran- s'explique en effet par le nom de personne scandinave Brandr[36].

    La ressemblance avec Ranville (Charente, Aranvilla 1254) et avec Rainville (Vosges, Rainovilla Xe siècle) est fortuite[37].

    Histoire

    Une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux passait sur le territoire de la commune ; les voyageurs devaient emprunter un bac à Ranville afin de traverser l'Orne jusqu'au port de Bénouville et poursuivre leur route. L'Orne ne suivait toutefois pas son cours actuel. Jusqu'à l'époque moderne, le cours de l'Orne effectuait de nombreux méandres. En 1679, l'Orne fut redressée entre les carrières de Ranville et Clopée à Mondeville[38]. Lors de la construction du canal de Caen à la mer, ouvert à la navigation en 1857, l'Orne fut redressée entre Ranville et le corps de garde de Sallenelles ; l'ancien lit du fleuve fut en partie repris par le canal (entre Pegasus Bridge et le déversoir du Maresquier)[39],[40],[Note 9]. De ce fait, l'ancien bac se trouvait à proximité de l'actuel pont de Bénouville, connu également sous le nom de Pegasus Bridge[41].

    Un domaine agricole (« ville » cf. vilain) s'est sans doute développé avant l'existence de la commune. Au cours des siècles, l'économie de la commune repose sur trois activités principales :

    • l'extraction de la pierre de Caen qui était ensuite acheminée, vers l'Angleterre notamment, par l'Orne (la rue des Carrières à Longueval rappelle ce passé),
    • l'exploitation des ressources fluviales à Longueval (pratiquée par les sablonniers et les pêcheurs) et qui périclita avec l'ouverture du canal de Caen à la mer,
    • l'agriculture, notamment sur les marais asséchés aux XIXe et XXe siècles.

    Comme souvent dans la plaine de Caen, l'habitat ne s'organisait pas autour de l'église paroissiale (église Notre-Dame-des-Prés de Mondeville, église Saint-Hilaire de Cairon par exemple). La commune était éclatée entre plusieurs hameaux plus ou moins regroupés[42] :

    1. l'église,
    2. le Bas de Ranville,
    3. le Hom,
    4. le Mariquet,
    5. Longueville,
    6. la Basse-Écarde,
    7. Longueval.

    En 1860, les Ranvillais décidèrent de démolir leur église, jugée vétuste et trop exiguë. Ils conservèrent seulement le clocher des XIe et XIIe siècles qui subsiste encore aujourd'hui à côté de la nouvelle église.

    Après le percement du canal et le redressement de l'Orne, un bac fut établi sur le nouveau cours du fleuve[39]. En 1869-1870, il fut remplacé par un pont-tournant[43]. Ce pont tournant était l'œuvre des ateliers Gustave Eiffel[réf. nécessaire]. En 1892, le pont fut renforcé lors de la construction de la ligne des chemins de fer du Calvados entre Bénouville et la gare de Dives - Cabourg. Celle ligne disposait de plusieurs arrêts sur la commune : pont de Ranville, Ranville et ferme de l'Écarde[43]. Le service est interrompu le .

    Lors de l'opération Tonga, le , le nom de code de la capture du pont de Ranville, nommé Horsa bridge, était Euston 2 (Euston 1 était la prise du pont de Bénouville, ou Pegasus Bridge, sur le canal de l'Orne). Ranville a été le premier village de France libéré le par le 13e bataillon parachutiste britannique (13th Parachute Battalion) commandé par le lieutenant-colonel Peter Luard. Le clocher médiéval de l'église a été le théâtre d'un fait tragique : un tireur allemand embusqué au sommet a abattu trois parachutistes britanniques, avant d'être lui-même tué. Il repose aujourd'hui auprès de ses victimes dans le cimetière paroissial à quelques mètres du clocher.

    Le château du Heaume ou du Hom, un manoir à un étage, servit ensuite de quartier-général à la 6th Airborne Division.

    Dans les années 1970, le pont-tournant a été détruit pour être remplacé par l'actuel ouvrage fixe.

    Après la Seconde guerre mondiale, la commune, qui avait connu une population relativement stable au XIXe siècle et au début du XXe siècle, connait une forte croissance démographique (621 habitants en 1946 contre 1 896 habitants en 1999). L'habitat pavillonnaire se développe et les anciens hameaux se trouvent alors réunis dans un espace urbain peu dense. Seuls la ferme de la Basse-Écarde et le hameau de Longueval restent vraiment à l'écart de cet ensemble[44].

    Économie

    La ville abrite une cimenterie de Ciments français, filiale du groupe italien Italcementi[45].

    Politique et administration

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 2001 Georges Bouilly    
    mars 2001 En cours Jean-Luc Adélaïde[46] SE Technicien retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

    En 2018, la commune comptait 1 856 habitants[Note 10], en augmentation de 13,38 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    633640616640682774800820682
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    714720645626616600540488496
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    503508519600526553545621682
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    8831 0051 5191 6901 6811 8961 7751 6331 776
    2018 - - - - - - - -
    1 856--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (clocher du XIe-XIIe protégé par l'Association Sauvegarde du Patrimoine de Ranville et rénové en 2007-2008).
    • Le cimetière civil où reposent des militaires français et britanniques tombés pendant la bataille de Normandie.
    • Le cimetière militaire du Commonwealth où reposent notamment les premiers parachutistes britanniques et canadiens décédés à partir du .
    • Le château de Guernon-Ranville, dit aussi château de Ranville.
    • Le château du Hom.
    • Le château du Mariquet.
    • Le manoir du XVIe, rue de la Grange-aux-Dimes.
    • La grange aux dîmes qui dépendait de l'abbaye aux Dames.
    • Le moulin à vent, témoignage de l'importance de l'activité céréalière de la région.
    • Le lavoir sur l'Aiguillon.
    • Le Mémorial Pegasus, entre l'Orne et le canal, dans le parc duquel a été installé le pont historique.

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Ranville est jumelée avec :

    Héraldique

    Les armes de la commune de Ranville se blasonnent ainsi :

    d'azur au clocher du lieu d'argent, ajouré d'or et accompagné en chef senestre d'un écusson de gueules chargé de deux léopards d'or armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. L'ancien cours du fleuve se retrouve dans les limites administratives entre les communes de Ranville, Bénouville et Ouistreham.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[51].
    1. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Ranville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    11. « Orthodromie entre Ranville et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    29. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune de la Normandie, éditions Charles Corlet, Presses Universitaires de Caen, Caen, 1996
    30. Marie-Thérèse Morlet, NPAG I, p. 135a
    31. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    32. Dominique Fournier, « Élément -tot », Wikimanche (lire en ligne)
    33. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 47.
    34. Site de Nordic Names : nom de personne Randr (lire en anglais) .
    35. Site de Nordic Names : nom de personne Rán (lire en anglais)
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    37. Ernest Nègre, op. cit.
    38. Journal d'un bourgeois de Caen 1652-1733 [(fr) texte intégral (page consultée le 29 mai 2008)]
    39. Plan général de la rivière de l'Orne et du Canal entre Caen et la mer sur Gallica
    40. René Streiff, « Le port de Caen et le canal de Caen à la mer », Études Normandes, no 16, , p. 269-296 (lire en ligne)
    41. « Emplacement de l'ancien bac sur l'Orne » sur Géoportail.
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    43. H. Magron, Guide illustré du tramway de Caen à la mer. Caen, Ouistreham, Hermanville, Lion-sur-Mer, Luc-sur-Mer, Ranville, Sallenelles, Le Home-Varaville, Cabourg, Dives., Caen, impr. Ch. Valin, 1899, pp. 44-16 [lire en ligne]
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    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    51. « Ranville sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)

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