Puy-Guillaume

Puy-Guillaume (Puei Guilhem[réf. nécessaire] en occitan) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes, près de Thiers.

Pour les articles homonymes, voir Guillaume.

Puy-Guillaume

Vue générale de Puy-Guillaume.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Thiers
Intercommunalité Communauté de communes Thiers Dore et Montagne
Maire
Mandat
Bernard Vignaud
2020-2026
Code postal 63290
Code commune 63291
Démographie
Gentilé Puy-Guillaumois
Population
municipale
2 772 hab. (2018 )
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 40″ nord, 3° 28′ 29″ est
Altitude Min. 265 m
Max. 590 m
Superficie 25,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Puy-Guillaume
(ville isolée)
Aire d'attraction Thiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maringues
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Puy-Guillaume
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Puy-Guillaume
Géolocalisation sur la carte : France
Puy-Guillaume
Géolocalisation sur la carte : France
Puy-Guillaume
Liens
Site web puy-guillaume.fr

    Les habitants de Puy-Guillaume, au nombre de 2 772 en 2018, sont appelés les Puy-Guillaumois.

    Géographie

    Localisation

    Puy-Guillaume se trouve au nord-est du département du Puy-de-Dôme[1], à environ 300 mètres au-dessus du niveau de la mer et s'étend sur 25 km2, dans une plaine de moyenne montagne. Elle est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.

    Six communes sont limitrophes[2] :

    Communes limitrophes de Puy-Guillaume
    Limons Châteldon, Ris
    Saint-Victor-Montvianeix
    Charnat Paslières
    Aigueperse
    22 km
    Vichy
    19 km
    Le Mayet-de-Montagne
    19 km
    Riom
    27 km
    N Roanne
    47 km
    O    Puy-Guillaume    E
    S
    Clermont-Ferrand
    37 km
    Thiers
    12 km
    Saint-Just-en-Chevalet
    30 km

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 502 hectares ; son altitude est comprise entre 265 et 590 mètres[3]. Le relief du centre-ville est quasiment plat. La ville n'est pas construite sur une butte ou sur une montagne mais est bâtie à une altitude supérieure de quelques mètres à celle de la Dore qui traverse la ville à l'ouest de la commune[4].

    L'altitude de la mairie de Puy-Guillaume est de 286 mètres environ[4].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Dore, dont le centre-ville est situé en rive droite, ainsi qu'un affluent, la Credogne[2]. Plusieurs ruisseaux traversent également la commune. Les flots de l'Allier coulent à proximité de la commune[5].

    Voies de communication et transports

    L'ancienne route nationale 106, devenue RD 906, en direction de Thiers.

    Voies routières

    Puy-Guillaume est traversée par l'ancienne route nationale 106 devenue route départementale 906, un axe routier important reliant Le Puy-en-Velay et Thiers au sud à Vichy au nord. L'autoroute A89 peut être empruntée à Thiers (échangeur 29) et l'autoroute A719 à Vichy.

    Les autres départementales assurent un maillage local voire intercommunal : la D 4 en direction de Charnat, la D 44 vers Noalhat et de Dorat, la D 59 reliant le lieu-dit la Féculerie à la commune voisine de Châteldon, la D 63 en direction de Maringues et Limons à l'ouest et de Châteldon à l'est, la D 85, qui relie le lieu-dit Montpeyroux à la commune voisine de Châteldon, la D 114, en direction de l'abbaye de Montpeyroux et de Saint-Victor-Montvianeix, la D 342, ainsi que la D 343 contournant la ville par le sud-ouest.

    Ligne ferroviaire

    Une gare (non ouverte au service des voyageurs) est implantée sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Darsac.

    Les gares les plus proches sont à Thiers, à Pont-de-Dore et à Vichy, et permettent de rejoindre Clermont-Ferrand en TER Auvergne-Rhône-Alpes.

    Transport en commun

    Des autocars TER Auvergne-Rhône-Alpes assurent des liaisons routières entre Arlanc, Pont-de-Dore, Thiers et Vichy (ligne 19)[6]. La gare de Vichy permet des correspondances pour Paris, Lyon ou Moulins (trains ayant tous pour origine Clermont-Ferrand via Riom).

    Elle est également desservie par trois lignes du réseau Cars Région Puy-de-Dôme :

    • la ligne P6 (Pont-de-Dore – Puy-Guillaume – Clermont-Ferrand)[7] ;
    • la ligne P55 (Puy-Guillaume – Châteldon – Vichy)[7] ;
    • la ligne P56 (Châteldon - Thiers)[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Puy-Guillaume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Puy-Guillaume, une unité urbaine monocommunale[12] de 2 752 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,9 %), forêts (31,2 %), terres arables (14 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Morphologie urbaine et quartiers

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (avril 2018). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    La commune est formée d'un centre-ville, d'une extension urbaine continue depuis l'ouverture de la verrerie en 1902 et de plusieurs lieux-dits à l'extérieur de l'agglomération. L'architecture de la ville ne présente que peu d'intérêt patrimonial du fait de son âge.

    À l'extérieur du centre-ville s'est dessinée l'ancienne route nationale 106 avec très peu de courbes, voire rectiligne dans l'agglomération.

    Inondations entre la commune de Puy-Guillaume et de Limons.

    Risques naturels et technologiques

    Le territoire de la commune est classé dans la zone de sismicité de niveau 3[19].

    Puy-Guillaume est touchée par plusieurs risques[20]: feu de forêt, inondation, phénomène lié à l'atmosphère, rupture de barrage, séisme, transport de marchandises dangereuses.

    Histoire

    Le bourg

    La commune est issue du regroupement des paroisses de Saint-Alyre et de Montpeyroux[PG 1].

    Certains habitants vivaient de la batellerie, faisant de la commune un port actif de la Basse-Auvergne, jusqu'au milieu du XIXe siècle. Celui-ci assurait « le transit des bois, du charbon et du vin ». La Credogne, affluent de la Dore, « est doublée d'un bief qui alimente plus de douze moulins »[PG 1].

    Les mariniers disparaissent au début du XXe siècle. Une verrerie, implantée en 1902, « donne une nouvelle impulsion à la commune ». Cette usine, toujours ouverte, emploie 315 personnes en 2016[21].

    L'abbaye de Montpeyroux

    L'abbaye de Montpeyroux est une ancienne abbaye cistercienne située au village de Montpeyroux, au sud-est du centre-ville de Puy-Guillaume.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Puy-Guillaume est membre de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[22], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Thiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23]. De 2010 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[24].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Thiers, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[22]. Jusqu'en , elle faisait partie du canton de Châteldon[25].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Maringues pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[25].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Puy-Guillaume, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[26], pour un mandat de six ans renouvelable[27]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 23[28]. Les vingt-trois conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 41,20 %[29].

    Quatre sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[29].

    Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres, dont six adjoints et seize conseillers municipaux[PG 2].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    [30] Michel Charasse PS[Note 3]
    puis DVG
    (et RDSE[31],[30])
    Conseiller régional d'Auvergne (1979-1987, 1992)[30]
    Sénateur du Puy-de-Dôme (1981, 1983-1988, 1992-2010)[31]
    Conseiller général du canton de Châteldon (1988-2010)[30]
    Vice-président du conseil général (1998-2001)[30]
    Ancien ministre du Budget
    Président du SIVOM du canton de Châteldon (2009)[30]
    Nadine Chabrier PS Première adjointe de Michel Charasse, elle lui succéda lorsque celui-ci fut nommé au Conseil constitutionnel[32]
    Conseillère communautaire de la communauté de communes[33]

    (réélu en 2020)
    En cours
    (au )
    Bernard Vignaud[34],[PG 2] DVG[35] Retraité[36]
    Président de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[33] (2014-2016)

    Autres élections

    Michel Charasse, homme politique français, a été maire de Puy-Guillaume de 1977 à 2010.

    Aux élections municipales de 2014, la liste Union de la gauche de Nadine Chabrier, qui s'est représentée, a été battue au premier par la liste divers gauche de Bernard Vignaud, avec 51,37 % des suffrages exprimés. Ce dernier acquiert dix-huit sièges, dont huit au conseil communautaire. 76,85 % des électeurs ont voté (1 610 votants sur 2 095 inscrits)[35].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Puy-Guillaume dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école maternelle publique Fernand-Roux et l'école élémentaire publique François-Mitterrand[37].

    Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Condorcet, géré par le conseil départemental du Puy-de-Dôme, situé dans la commune[37].

    Les lycéens se rendent à Thiers, au lycée Montdory pour les filières générales et STMG ou au lycée Jean-Zay pour les filières générales[38], STL[39] et STI2D[38].

    Instances judiciaires

    Puy-Guillaume dépend de la cour d'appel de Riom, du tribunal de proximité de Thiers, des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[40].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

    En 2018, la commune comptait 2 772 habitants[Note 4], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +2,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9421 3391 1871 3351 5161 6391 6731 7541 809
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7361 7911 8451 8221 8401 8851 8011 7421 695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8442 1542 3502 1372 2512 6282 5742 3252 327
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 4132 4202 5952 7072 6342 6242 6682 6122 743
    2018 - - - - - - - -
    2 772--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports et loisirs

    Le ville de Puy-Guillaume dispose d'un grand nombre de clubs de sport : un club de football, de rugby, de basketball, de tennis, de judo, de gymnastique et de handball. La ville dispose d'une piscine municipale à l'ouest de la commune[réf. nécessaire].

    Plusieurs parcs avec des aires de jeux viennent compléter l'offre de la commune[PG 3].

    Économie

    La plus grande entreprise de Puy-Guillaume en termes d'emplois est la Verrerie. Elle emploie en 2016, plus de 300 employés[réf. nécessaire].

    Culture et patrimoine

    Un air de musique porte le nom de Mazurka de Puy-Guillaume. Celui-ci a été collecté par Jean-François Chassaing (Docteur en ethnologie). Ces airs populaires, généralement sans titre et anonymes, ont souvent été rebaptisés lors de leurs collectes, soit du nom de leur interprète, soit du nom du lieu de collecte[réf. nécessaire].

    Lieux et monuments

    Le château de la Bâtisse.

    Puy-Guillaume compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[45] et vingt-six lieux et monuments (hors présentation communale) répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[46]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[47] et 41 objets (hors inventaire supplémentaire) répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[48].

    Figurent notamment à l'inventaire général, l'église paroissiale Saint-Barthélemy (XIXe et XXe siècles), remplaçant une chapelle du XVIIe siècle détruite[49], une école de garçons, au 58 rue Joseph-Claussat, construite en 1907[50], un cimetière, de la fin du XIXe siècle[51], un château (XVIe, 2e quart du XVIIIe siècle et XIXe siècle) au lieu-dit de la Mothe[52], le château de la Bâtisse (XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles) au lieu-dit de la Bâtisse[53], les pigeonniers sont inscrits aux monuments historiques en 1988[54], l'abbaye de cisterciens ou abbaye de Montpeyroux, fondée en 1126[55] et inscrite aux monuments historiques en 2000[56].

    Le prieuré Saint-Alyre-ès-Montagne a été détruit[57].

    Un autre édifice château des Audinots[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur à l'ancre de sable, cordée d'or à deux haches du même posées en sautoir.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Michel Charasse est exclu du PS en [30].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Site de la mairie

    1. « Découvrir Puy-Guillaume » (consulté le ).
    2. « Conseil municipal » (consulté le ).
    3. « Vie sportive » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Puy-Guillaume sur Lion 1906.
    2. Carte de Puy-Guillaume sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le ).
    3. Répertoire géographique des communes (IGN).
    4. « PLAN PUY-GUILLAUME - Plan, carte et relief de Puy-Guillaume 63290 », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
    5. Carte Google Maps de Puy-Guillaume, sur Google Maps (consulté le ).
    6. TER Auvergne-Rhône-Alpes/SNCF, Fiche horaire ligne 19 : Vichy – Thiers – Ambert [PDF], horaires valables du 9 décembre 2018 au 13 juillet 2019, version du 16 novembre 2018 (consulté le 9 décembre 2018).
    7. Liste des lignes desservies par le réseau Cars Région Puy-de-Dôme pour la commune de Puy-Guillaume, sur auvergnerhonealpes.fr, Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
    8. Fiche horaire de la ligne 56 Châteldon – Thiers [PDF], sur auvergnerhonealpes.fr, Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Puy-Guillaume », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français. Puy-Guillaume n’est pas mentionnée dans les exceptions.
    20. « Puy-Guillaume | Risques majeurs en Auvergne », sur risques.auvergne.pref.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Le savoir-faire reconnu des personnels verriers », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Commune de Puy-Guillaume (63291) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « CC Thiers Dore et Montagne (No SIREN : 200070712) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    24. « CC Entre Allier et Bois Noirs (No SIREN : 200023489) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    25. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
    26. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
    27. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
    28. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    30. « Michel CHARASSE », Conseil Constitutionnel (consulté le ).
    31. « CHARASSE Michel », Anciens sénateurs Ve République, Sénat (consulté le ).
    32. « Nadine Chabrier élue maire », La Montagne, , p. 6 (éditions du Puy-de-Dôme).
    33. « Les élus », Communauté de communes Entre Allier et Bois Noirs (consulté le ).
    34. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    36. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 32 (édition du Puy-de-Dôme).
    37. « Annuaire : Résultats de recherche », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    38. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 11.
    39. « BAC STL », sur lyceejeanzay.net, Lycée Jean-Zay de Thiers (consulté le ).
    40. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », Ministère de la Justice (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    45. « Liste des monuments historiques de Puy-Guillaume », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Liste des lieux et monuments de Puy-Guillaume répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Liste des monuments historiques de Puy-Guillaume », base Palissy, ministère français de la Culture.
    48. « Liste des objets à Puy-Guillaume répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
    49. « Eglise paroissiale Saint-Barthélemy », notice no IA00051133, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Ecole primaire (école de garçons) », notice no IA00051132, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « Cimetière », notice no IA00051138, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Château », notice no IA00051150, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Château », notice no IA00051142, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « Château de la Bâtisse », notice no PA00092255, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Abbaye de cisterciens ou abbaye de Montpeyroux », notice no IA00051149, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Abbaye cistercienne de Montpeyroux », notice no PA00092254, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Prieuré Saint-Alyre-ès-Montagne », notice no IA00051152, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail du Puy-de-Dôme
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.