Pontis
Pontis est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Pontis | |||||
Pontis vu depuis la route du col de Pontis. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Barcelonnette | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Serre-Ponçon | ||||
Maire Mandat |
Georges Gambaudo 2020-2026 |
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Code postal | 05160 | ||||
Code commune | 04154 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
88 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 6,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 30′ 18″ nord, 6° 21′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 771 m Max. 2 320 m |
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Superficie | 14,11 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Embrun (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Barcelonnette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Le nom de ses habitants est Pontisois[1] ou Pontissois[2].
Géographie
Situation
Pontis est situé à l'extrémité ouest du massif de Parpaillon, sur les pentes du Pic de Morgon, ou Grand Morgon (altitude 2 326 mètres), qui en est le point le plus haut. La commune s'étale du nord au sud, à cheval sur un épaulement. Elle touche au nord et au sud le lac de Serre-Ponçon, et sépare le Sauze-du-Lac de son ancien chef-lieu de canton Savines-le-Lac, tous deux situés dans le département des Hautes-Alpes.
Le chef-lieu est situé à 1 000 mètres d’altitude[3], sur un replat dominant toute la partie ouest du lac de Serre-Ponçon. Plus au sud, la route passe le col de Pontis et redescend en direction de la vallée de l'Ubaye jusqu'au hameau dit l'Adroit de Pontis (adroit pour adret, versant bien exposé). De ce côté, la commune est limitrophe de l'ancienne commune d'Ubaye, fusionnée avec le Lauzet en 1959 lors de la mise en eau du barrage.
Les communes limitrophes de Pontis sont :
Seule la commune du Lauzet-Ubaye se trouve comme Pontis dans les Alpes-de-Haute-Provence ; les quatre autres communes sont dans les Hautes-Alpes. De plus la ligne de contact de Pontis avec Chorges et Prunières est située sur le lac de Serre-Ponçon ; aucun lien terrestre direct n'existe.
Relief
Hameaux
La commune n’a pas de village-centre, et les habitants sont éclatés entre huit hameaux[4] :
- l’Adroit de Pontis ;
- les Hugues ;
- les Chappas ;
- Fontbelle / Antelme ;
- les Notaires ;
- les Chevalliers ;
- les Sartres ;
- l’Église.
Environnement
La commune compte 554 ha de bois et forêts, soit 39 % de sa superficie[1].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton du Lauzet-Ubaye auquel appartient Pontis est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Pontis est également exposée à trois autres risques naturels[6] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain.
La commune de Pontis est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[7]. La départementale RD 954 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[8].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim n’existe pas non plus[9].
Dans la liste qui suit, figurent les tremblements de terre fortement ressentis dans la commune. Ils dépassent une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre[10] :
- le séisme du , d’une intensité ressentie à Pontis de V et demi et dont l’épicentre était situé à Guillestre[11],
- le séisme du , avec une intensité ressentie de V et Le Lauzet-Ubaye pour épicentre[12].
Urbanisme
Typologie
Pontis est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Embrun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Serre-Ponçon, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), eaux continentales[Note 3] (9,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,8 %), prairies (3,9 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 34 personnes, sans aucun chômeur[24]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (21 sur 34)[25] et travaillent majoritairement hors de la commune (22 actifs sur 34)[25].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait six établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et aucun emploi salarié[26].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de huit en 2010. Il était de sept en 2000[27], de 11 en 1988[28]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin[27]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de 210 à 547 ha[28]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, mais reste à un niveau élevé, à 516 ha[27].
Artisanat et industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait un seul établissement, employant un salarié[26].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait huit établissements (avec cinq emplois salariés), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), sans aucun salarié[26].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[29]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
- deux campings classés (un avec une seule étoile, l’autre avec deux étoiles) et avec une capacité de 140 emplacements[30], et une aire naturelle de camping[31] ;
- des meublés labellisés[32] ;
- un seul hébergement collectif, un gîte[33].
Les résidences secondaires apportent un complément intéressant à la capacité d’accueil[34] : au nombre de 51, elles représentent plus de la moitié des logements. Parmi les résidences secondaires, six possèdent plus d’un logement[30],[35].
Histoire
Pontis apparaît pour la première fois dans les chartes en 1147[3]. La seigneurie appartient à la famille de Pontis du XIIe au XVIIe siècle, puis passe aux Revillasc jusqu’à la Révolution[36]. Un péage était établi sur la route qui faisait communiquer la vallée de l’Ubaye avec la route d’Embrun[37]. La communauté relevait de la baillie de Seyne[38].
Au début du XVIIe siècle, Pontis était disputé entre le Dauphiné et la Provence, et ses habitants étaient soumis aux impositions de l'une et l'autre provinces. Le , Louis de Pontis, fils cadet de la famille seigneuriale, entré au service du roi Louis XIII, organisa un accueil solennel du roi lors de son passage au pont de Savines. Le roi, touché par cette sollicitude inattendue, délia la communauté de Pontis de ses obligations vis-à-vis du Dauphiné[39][réf. incomplète].
La départementalisation de 1790 entérina l'état de fait en plaçant la commune de Pontis dans les Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes-de-Haute-Provence), et ses voisines le Sauze et Savines dans les Hautes-Alpes.
Comme de nombreuses communes du département, Pontis se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, situées au village et à l’Adroit de Pontis[40]. Aucune école n’est ouverte pour les filles, la loi Falloux (1851) n’imposant l’ouverture d’une école de filles que dans les communes de plus de 800 habitants[41]. La deuxième loi Duruy (1877) permet à la municipalité, grâce aux subventions de l’État, de rénover l’école du chef-lieu[42].
Dix habitants de Pontis sont tués durant la Première Guerre mondiale[43].
En , le camp de Fontbelle est établi à Pontis pour les 1re et 2e compagnies spéciales de travailleurs militaires. Y étaient internées les personnes de nationalité française jugées dangereuses pour la sécurité nationale, et elles étaient soumises au travail forcé. Le camp établi sous la Troisième République est fermé par le régime de Vichy qui ne libère pas les prisonniers mais les transfère au centre de séjour surveillé de Fort Barraux.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Pontis, uniquement pour l’autoconsommation[44].
Héraldique
Blasonnement : |
Politique et administration
Liste des maires
À la suite d’un épisode clochemerlesque, la maire élue en 2008 s’est retrouvée en minorité au bout d’un an de mandat. Malgré l’intervention d’un comité des sages, la situation est restée bloquée jusqu’à la dissolution du conseil municipal en conseil des ministres, le , et l’élection d’un nouveau conseil[2].
Intercommunalité
Pontis fait partie:
- de 1993 à 2016 de la communauté de communes Vallée de l'Ubaye ;
- à partir du , de la communauté de communes de Serre-Ponçon[53].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[55].
En 2018, la commune comptait 88 habitants[Note 4], en augmentation de 10 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
L'histoire démographique de Pontis, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1881. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. Dans les années 1930, la commune a perdu environ la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1881[58]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt que dans les années 1990.
Lieux et monuments
L’église paroissiale, placée sous la titulature de saint Jérôme et le patronnage de saint Pierre[38], date du XIXe siècle. Elle possède un plat de quête en cuivre, du XVIe siècle, classé monument historique au titre d'objet[59]. Elle est ornée de deux tableaux, l'un représentant saint Jérôme daté de 1665, l'autre la Vierge à l'Enfant daté du XVIIIe siècle. Elles ont été restaurées en 2013 et sont visibles dans le chœur[60]. Elle prend la lumière par une belle rosace-vitrail en façade. Elle porte en outre en façade un cadran solaire (récent), dont la devise est « Les sourires donnés nous reviennent toujours ».
- Façade de l’église avec un cadran solaire récent.
- Clocher cantonné de quatre pyramidions.
- Chœur.
Le terrain difficile a à une époque motivé la création d’une seconde paroisse, à l’Adroit de Pontis. Elle est sous le vocable de Saint-Claude[38].
La commune compte encore deux chapelles :
- Saint-Pierre aux Hugues[38] ;
- et la chapelle du hameau des Chappas.
L'ancien château-fort, partiellement restauré, est devenu un centre d'hébergement touristique.
Les « demoiselles coiffées », situées à cheval sur les communes de Pontis et du Sauze, ne sont pas accessibles depuis Pontis, et sont à peine visibles depuis la route du col de Pontis.
Un musée intercommunal de l’école d’autrefois est installé dans l’ancienne école de Pontis[61].
- L'église Saint-Claude de l'Adroit.
- Drapeau des anciens combattants du village de l’Adroit, conservé dans l’église.
- Le portail en bois est sculpté de façon à imiter des têtes de clous.
- Les demoiselles coiffées vues de la route du col
- La chapelle des Chappas.
Personnalités liées à la commune
- Louis de Pontis (1583-1670), chef militaire français au service de Louis XIII.
Voir aussi
Articles connexes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017)
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Roger Brunet, « Canton du Lauzet-Ubaye », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
- Luc Chaillot, « Le conseil municipal dissous en conseil des ministres », Le Dauphiné Libéré, publié le 16 septembre 2009, consulté le 9 mars 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- La Rédaction, « Pontis a voté en masse pour que la commune fonctionne à nouveau », Le Dauphiné Libéré, publié le 11 octobre 2010, consulté le 9 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 10 août 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 10 août 2012
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Pontis », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 10 août 2012
- BRGM, « fiche 50057 », Sisfrance, consultée le 10 août 2012
- BRGM, « fiche 40092 », Sisfrance, consultée le 10 août 2012
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 25539, p. 1374
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Insee, Dossier local - Commune : Pontis, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 15
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 22
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 30
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 190
- Lucien Stouff, « Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle », carte 12 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Daniel Thiery, « Pontis », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, consulté le 10 août 2012
- Bruno Heckmann, Pontis, entre Provence et Dauphiné, in L'almanach des Hautes-Alpes 2005, publication de l'Almanach des Alpes du sud, éditions Arthéma, Paris (ISSN 1632-8078).
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- S. A., « Sylvie Jaubert rend hommage aux disparus », La Provence, 10 janvier 2014, p. 11.
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 1er avril 2014.
- Charles Louison est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jacques Cheminade (Solidarité et progrès) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
- Charles Louison est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Corinne Lepage à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Sylvie Arnaud, « Georges Gambaudo élu maire dans un climat tendu », La Provence, 6 avril 2014, p. 9.
- Site de la préfecture des AHP
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Montfuron à Puimichel (liste 5), consulté le 8 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Direction des libertés publiques et des collectivités locales, « Création de la communauté de communes de Serre-Ponçon par fusion des communautés de communes de l'Embrunais et du Savinois Serre-Ponçon et extension aux communes de Chorges et Pontis » [PDF], Recueil des actes administratifs no 05-2016-015, Préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 1er décembre 2008
- Sylvie Arnaud, « Les deux toiles restaurées ont retrouvé l'église Saint-Jérôme », La Provence, 16 juin 2013, p. 11
- Labadie, op. cit., p. 54.
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