Paron (Yonne)
Paron est une commune française située dans le département de l'Yonne (89) en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle appartient au canton de Sens-Ouest et à l'arrondissement de Sens. La ville fait partie de la Communauté d'agglomération du Grand Sénonais. Sa superficie est de 10,6 km2. Elle se situe géographiquement à une altitude de 80 mètres environ.
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Paron | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Sens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Sénonais | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Givord 2020-2026 |
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Code postal | 89100 | ||||
Code commune | 89287 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 841 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 461 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 11′ 36″ nord, 3° 15′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 179 m |
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Superficie | 10,51 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Sens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Sens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sens-2 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.paron.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Paronnais.
Géographie
Localisation
Paron est une commune de la rive gauche de l’Yonne. La partie est se situe dans la vallée de l’Yonne alors que la partie ouest s’étend en bordure du plateau du Gâtinais. Son territoire s'étend sur 1 051 ha et son altitude va de 62 m à 179 m[1].
Administrativement, elle fait partie de la Communauté d'agglomération du Grand Sénonais, dont elle est la troisième commune, s'agissant de la population, après Sens et Villeneuve-sur-Yonne. Située au nord de la région Bourgogne-Franche-Comté et du département de l'Yonne, elle est limitrophe à l'ouest de la ville de Sens, chef-lieu de l'arrondissement, avec laquelle elle ne forme qu'une seule agglomération[2].
La ville compte plusieurs hameaux : les Provendiers, les Fleuris, les Puits, les Galops, l’Univers, les Croissants et les Dauges.
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Espaces protégés
Sur les falaises crayeuses séparant les parties hautes et basses, des pelouses sèches, thermophiles, sont classées parmi les sites Natura 2000[3]. Ce site fait aussi partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) des coteaux de Paron à Saint-Martin-du-Tertre[4] où pousse notamment le lin français (Linum leonii), espèce endémique française, très rare[5]. D'anciennes carrières abritent plusieurs espèces de chauves-souris.
La roselière de Paron est une zone marécageuse au bord de l'Yonne, lieu d'habitats pour une faune et une flore de milieux aquatiques, répertoriée comme ZNIEFF[6].
Transports urbains
Quatre lignes de transports en commun du réseau Intercom du Grand Sénonais[7] desservent Paron :
- Ligne 1 : Sens (Centre commercial sud) ↔ Paron (Mairie) ;
- Ligne 5 : Sens( Zone industrielle) ↔ Saint-Martin-du-Tertre (Louise Michel) ;
- Ligne 6 : Paron (Collège) ↔ Gron (Les Épenards) ;
- Ligne 7 : Sens Garibaldi ↔ Courtois-sur-Yonne (Les Bordes).
Voies routières
Paron se situe au point de rencontre de deux voies romaines : Sens à Gien et Auxerre à Sens[8].
L'ancienne route impériale Nancy-Orléans, devenue la route nationale 60 puis la D 660, traverse la commune d'est en ouest. Paron est aussi sur l'itinéraire Sens-Nemours (D 81). Des routes permettent de rejoindre Villeneuve-sur-Yonne et Auxerre vers le sud et Pont-sur-Yonne vers le nord.
L’accès à l'autoroute A19 est distant de 7 km. Cette autoroute permet d'aller à Paris, Lyon, Orléans ou Troyes.
Voies ferrées
La ligne Paris-Dijon-Lyon (ex PLM) passe sur la commune de Paron qui ne possède pas de gare mais celle de Sens est située à 400m de la limite nord-est de la commune. Paron est aussi traversée par l'ancienne ligne Sens-Montargis. Pour son passage, il a été nécessaire de creuser un tunnel de 180m sous les côtes de Paron.
Chemins de randonnée
Le GR213 de Pont-sur-Yonne à Saint-Georges-sur-Baulche passe par Paron[9].
Voies fluviales
L’Yonne est une voie navigable pour le transport fluvial vers la région parisienne et au-delà vers Le Havre. Le port fluvial de Gron[10], est un port de marchandises situé à 4km de Paron. L’Yonne est aussi fréquentée par les bateaux de plaisance qui peuvent rejoindre le canal de Bourgogne ou le canal du Nivernais[11].
Urbanisme
Typologie
Paron est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sens, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[15] et 37 810 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sens dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (48,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,7 %), forêts (27,9 %), zones urbanisées (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %), eaux continentales[Note 3] (1,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Histoire
L'Homme semble s'être installé sur le site dès le Paléolithique inférieur à la période acheuléenne avec la découverte d'outils bifaces datant de cette période[22].
En 1084, il est fait mention d'une église paroissiale à l'emplacement de l'ermitage de Saint-Bond, sur une colline, lieu de pèlerinage en l'honneur de ce saint ermite du VIIe siècle qui s'y était installé. Appelé Parado en 1183, le village prend le nom de Paron au XIIIe siècle, attaché à une nouvelle église paroissiale située dans la vallée en contrebas de la colline Saint-Bond. La paroisse est mentionnée sous le nom latin de Perronum, xvie siècle[23].
Avant la Révolution française, les terres de Paron appartiennent à l'archevêché de Sens dont elles dépendent grâce à la baronnie archiépiscopale de Nailly, commune proche. En 1789, Monsieur de Blignac et le seigneur de Bourbonne y possèdent des domaines[24]. La seigneurie du Chesnoy, à l'ouest de la commune, appartient à la famille de Longueau, originaire du Gâtinais[25].
Jusqu'au XIXe siècle, Paron est un village de vignerons et d'agriculteurs de moins de 500 habitants. La vigne, réputée pour son Crève-Cœur, qui occupe 190 ha en 1787 et encore 130 ha en 1829[26] disparaît totalement au début du XXe siècle victime du phylloxéra[27], les vins locaux étant concurrencés par les vins des grandes régions viticoles françaises[28]. Les ressources du sous-sol sont exploitées pour fabriquer du blanc d'Espagne et de la chaux.
À la fin du XIXe siècle, Paron devient un lieu de promenade dominicale pour les habitants de Sens. Ils montent à la chapelle Saint-Bond et font une halte à la Galette Chicouet[29], maison fondée en 1861 par Luis Théodore Chicouet dont une galette feuilletée est la spécialité. Cet établissement ferme en 1974[30].
Au XXe siècle, des entreprises industrielles s'installent sur le territoire de la commune.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Paron est libérée de l'occupation allemande le par la 3e armée américaine du Général Patton en chemin de Montargis vers Sens[31].
La population augmente fortement durant la deuxième moitié du XXe siècle[32] avec la construction de lotissements dont les habitants viennent de la ville limitrophe de Sens et de la région Île-de-France proche[33].
Les années 2020 sont celles de la renaissance du vignoble dans la région sénonaise avec, en particulier, la plantation de nouvelles vignes sur les côtes calcaires exposées au sud, la transformation d'anciennes carrières de craie en caves et la construction d'un chai pour la vinification[34].
Économie
La ville dispose d'activités commerciales et industrielles en lien avec l'agglomération de Sens.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2018, la commune comptait 4 841 habitants[Note 4], en augmentation de 2,59 % par rapport à 2013 (Yonne : −1,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
- École Paul-Bert
- École Pierre Curie
- École Calmette
- Collège André Malraux
Sports
La complexe sportif Roger Treillé regroupe des salles polyvalentes et des terrains de sport (football, tennis...).
En , le club de football de Paron (le Paron FC) évoluant alors en Promotion de Ligue et entraîné par Fabien Cool, élimine le Football Club de Gueugnon (CFA2) et accède ainsi au 7e tour de la coupe de France[41]. Celui-ci évolue en Régional 1 de la Ligue de Bourgogne-Franche-Comté en 2020.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Sainte-Florence-Saint-Bond[42] (XIIIe - remaniée au XVIIIe),
- Église Notre-Dame au Chemin Neuf dont la construction débute en 1966,
- Château de Paron[Note 5] (XVIIIe) devenu École Théodore de Bèze dont le parc figure à l'inventaire général du patrimoine culturel[43],
- Manoir du Chesnoy (XVIIe - XVIIIe), ancien fief des seigneurs du Chesnoy à l'ouest de la commune.
- Fontaine Sainte-Florence (1996 - Sculpteur : Laurence Dardier[44]),
- Sculpture en granit rose de Pierre Székely : La vie (1999)[45]. Parking du stade de Saint-Bond.
Distinctions
Ville fleurie : trois fleurs[46].
Personnalités liées à la commune
- Saint Bond, dont l'ermitage se trouvait sur la colline qui porte maintenant son nom,
- Léonard Robin, mort en 1802 à Paron, homme politique français,
- Maurice Roy (1856-1932) : auteur français, membre de l'Institut,
- Michel Ponsich[réf. nécessaire] (1927-2010), archéologue français.
Héraldique
Blason | Taillé au premier d'azur à la fleur de lys d'or, au second d'argent semé de fleurs de lys d'or, à l'église de gueules ouverte et ajourée d'argent. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias |
Pour approfondir
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Ne pas confondre avec le Château de Paron à Verrières-le-Buisson dans le département de l'Essone en région Île-de-France.
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des sites Natura 2000 - Commune : Paron », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Muséum national d'Histoire naturelle, « INPN, ZNIEFF 260008560 - Coteaux de Paron à Saint-Martin-du-Tertre », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Museum national d'Histoire naturelle, « Linum leonii F.W.Schultz, 1838 - Lin des Alpes, Lin français », sur Inventaire National du Patrimoine Naturel (consulté le ).
- Muséum national d'Histoire naturelle, « INPN, ZNIEFF 260014917 - Roselière de Paron », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Intercom - Les lignes régulières », sur www.bus-intercom.com (consulté le ).
- Jean-Paul Delor, Au long des voies romaines de l'Yonne, Auxerre, Musées d'Auxerre, , 64 p. (ISBN 2-909418-02-2), cartes pp.15,16, 18, 19.
- Fédération Française de la Randonnée Pédestre, « GR® : Sentiers de Grande Randonnée - Mon GR® », sur Mon GR® (consulté le ).
- « Port de Gron », sur www.yonne.cci.fr (consulté le ).
- Un canal... des canaux, Paris, Picard, , 415 p. (ISBN 978-2-7084-0298-0 et 2-7084-0298-6), p. 288-299.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Sens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- (Bataille 1992, p. 19).
- Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du département de l’Yonne, Paris, , 166 p. (lire en ligne), p. 96 (Paron).
- Maurice-Pignard-Peguet, Histoire des communes de l'Yonne, tome IV : Arrondissement de Sens, p.36
- François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse de l'Yonne, p.93
- Paron, d'un village rural à une commune moderne (tome 2), p. 87.
- Paron, d'un village rural à une commune moderne (tome 2), p. 92-96.
- Paron, d'un village rural à une commune moderne (tome 2), p. 97.
- « La galette de Paron - Archives départementales de l'Yonne », sur archivesenligne.yonne-archives.fr (consulté le ).
- Site officiel de la mairie de Paron
- Site officiel de la mairie de Paron
- Nora Gutting, « Infographies - Comment la démographie des communes les plus peuplées de l'Yonne a évolué entre 1968 et 2015 ? », sur www.lyonne.fr, (consulté le ).
- « L’Yonne une dynamique démographique encourageante mais contrastée » [PDF], sur side.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ), p. 3.
- Jacques Dupont, « Renaissance d'un vignoble qui a du Sens », sur Le Point, (consulté le ).
- Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 27 décembre 2013.
- Antoine Compigne, « Municipales 2020 - Jean-Luc Givord succède à Bernard Chatoux à la mairie de Paron », sur www.lyonne.fr, (consulté le ).
- « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Coupe de France (6e tour) : Paron fait chavirer Gueugnon (1-0) », sur lyonne.fr, L'Yonne républicaine, .
- « Église Sainte Florence - Mairie de PARON (89) », sur www.paron.fr (consulté le ).
- « Parc de l'école Théodore de Bèze », notice no IA89000488, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Ouvrage collectif, Paron, d'un village rural à une commune moderne - Tome 3, (ISBN 978-2-9537766-2-1), p. 95.
- Catalogue des œuvres de Pierre Székely
- « Tourisme et qualité de vie à Paron - Villes et villages fleuris », sur www.villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
- « Paron (Yonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Bibliographie
- Alain Bataille, Pascal Dibie, Jean-Pierre Fontaine, Jean-Charles Guillaume, Jean-Paul Moreau, Ferdinand Pavy, Line Skorka, Gérard Taverdet et Marcel Vigreux (préf. Henri de Raincourt), Yonne., Paris, Editions Bonneton, , 428 p. (ISBN 2-86253-124-3)
- Paron, d'un village rural à une commune moderne :
- Les municipalités, les écoles, la culture, les sports, t. 1, , 144 p. (ISBN 978-2-9537766-0-7)
- La vie économique : habitat, agriculture, industries, commerces, t. 2, , 384 p. (ISBN 978-2-9537766-1-4)
- Paron à travers l'histoire : familles, églises, châteaux et autres souvenirs historiques, t. 3, , 320 p. (ISBN 978-2-9537766-2-1)
- Pierre Glaizal et Étienne Dodet, L'ermitage Saint-Bond à Paron : la légende et l'histoire, Société archéologique de Sens, , 93 p.
- Maurice Roy, Le Chesnoy-lez-Sens, histoire d'un fief et de ses seigneurs, Sens, Paul Duchemin,