Nieul

Nieul (Nuèlh en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Nieul (homonymie).

Nieul

Le château de Nieul.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Béatrice Tricard
2020-2026
Code postal 87510
Code commune 87107
Démographie
Gentilé Nieulois, Nieuloises
Population
municipale
1 640 hab. (2018 )
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 31″ nord, 1° 10′ 20″ est
Altitude Min. 282 m
Max. 432 m
Superficie 16,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Couzeix
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Nieul
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Nieul
Géolocalisation sur la carte : France
Nieul
Géolocalisation sur la carte : France
Nieul

    Ses habitants s'appellent les Nieulois, Nieuloises[1].

    Géographie

    La commune de Nieul a une superficie de 17 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, qui est située à 12 km au sud-est.

    Le territoire communal est traversé par la rivière la Glane.

    Communes limitrophes de Nieul
    Peyrilhac Saint-Jouvent
    Saint-Gence Chaptelat
    Couzeix

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 049 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantiat », sur la commune de Nantiat, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 122,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 10 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Nieul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33 %), forêts (32,3 %), prairies (25,4 %), zones urbanisées (4,8 %), terres arables (2,7 %), cultures permanentes (1,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Il s'agit d'un composé dont les deux parties sont d'origine gauloise : novio- (« nouveau ») et -ialo (« clairière »), mais plus tard -ialo prend aussi le sens d'« habitation », « village ».
    Nieul est donc une « nouvelle clairière » ou plus simplement un « nouveau village ».

    Histoire

    Le château de Nieul eut comme propriétaire Aymeric de Nieul, ce qui figure dans un acte de 1027 du cartulaire de Saint-Étienne. Sa signature se trouve auprès de celle de Aimery Ier de Rochechouart. Ce cadet de la famille des vicomtes de Limoges voire Liste des vicomtes de Limoges, a épousé la fille de Guillaume Ier, comte d'Angoulême.

    Le château, vendu comme bien national, fut la propriété du général Léonard Cacatte (1760-1837).

    La carrière militaire de Léonard Cacatte : Engagé volontaires nationaux pendant la Révolution dans le 2e bataillon du département de la Haute-Vienne, lieutenant le 18 octobre 1791, capitaine de la compagnie de canonnier le 17 septembre 1792, aide de camp le 30 septembre 1793, attaché au général Jean-Baptiste Jourdan (commandant l'armée de Sambre-et-Meuse), adjudant-général /chef de brigade à titre provisoire le 28 juillet 1794, confirmé adjudant-général / chef de brigade le 13 juin 1795, chef de brigade du 6e régiment de cavalerie le 2 janvier 1799, premier aide de camp du général en chef Jourdan le 16 mars 1804, chef de l’état-major du maréchal Jourdan (alors gouverneur de Naples) le 16 septembre 1807, commandant de la place de Naples en octobre 1807. Il passe au service du gouvernement espagnol, en vertu d’un ordre du ministre de la guerre de France du 4 mars 1809. Il est commandant de la place de Madrid le 19 mars 1809 puis maréchal de camp le 21 avril 1809. Il démissionne du service de l’Espagne pour rester Français le 19 mai 1812. Il rentre au service de la France le 8 janvier 1813 avec rang de colonel. Maréchal de camp par décision de Louis XVIII, datée du 31 octobre 1814, il est admis à la retraite le 31 mai 1815 après 40 ans, 5 mois et 12 jours de service.

    Le château est devenu propriété municipale suite a un arrêté d'expropriation en 1936.

    Des Waffen-SS allemands ont cantonné le 10 juin 1944 au soir à Nieul. Le bourg d'Oradour-sur-Glane se trouve sur le trajet de Saint-Junien à Nieul. « Le 10 juin 1944, vers 20 heures, peu après le massacre d'Oradour-sur-Glane j'ai vu et entendu des Waffen-SS chantant et jouant de l'accordéon ». Plusieurs autres témoins confirment d'ailleurs ce témoignage. Tous les habitants sont d'accord pour signaler qu'à leur arrivée à Nieul les Allemands étaient en proie à une excitation extraordinaire. Ils se répandirent dans les rues en poussant des cris. Ils ont déclaré avoir été surpris par le calme et la correction de l'accueil de la population qui ne savait encore rien de ce qui s'était passé à Oradour. Ils se sont montrés très méfiants. Les officiers décidèrent de ne pas se séparer et de coucher dans la même pièce. On rentre d'une dure expédition. On a eu chaud ! On boit, on boit beaucoup ! On passe une partie de la nuit à se laver dans les lavabos de l'école. Il y a des taches qui sont difficiles à enlever ! On gaspille vivres et vins. Et c'est la grande ripaille ! On boit, on mange, on hurle ! On profère des menaces de mort et d'incendie. De jeunes femmes sont obligées de prendre la fuite. M. Bouty, directeur d'école à Nieul, nous a fait, à ce sujet, la déclaration suivante « Les S. S. sont arrivés à Nieul, le samedi 10 juin 1944, vers 20 heures ; leurs camions, précédés d'une autochenille, se sont arrêtés sur la place devant le groupe scolaire. Aussitôt, les soldats allemands sont descendus de leurs véhicules et, peu après, un petit groupe de trois ou quatre hommes s'est dirigé vers l'école ». « L'un d'eux a donné de violents coups de botte dans la porte fermée de mon habitation. J'ai ouvert aussitôt et un soldat qui parlait un peu le français m'a demandé : « École pour 150 bonshommes ? » J'ai indiqué les classes qui avaient été réquisitionnées la veille par un détachement de soldats allemands en même temps que les deux chambres de mon logement personnel et de nombreuses autres chambres du bourg. Les soldats se sont installés dans les classes, et, durant toute la nuit, de nombreux camions ont évolué dans les cours de récréation. Les officiers qui devaient occuper les chambres de mon appartement ne sont pas venus. J'ai appris, plus tard, qu'ils s'étaient fait porter des matelas dans la salle d'un bâtiment communal où ils passèrent la nuit. » Le lendemain, dimanche, les soldats allemands se sont fait préparer des repas dans les maisons du bourg de Nieul, Ils reprirent la route le 11 juin direction Normandie direction le Débarquement de Normandie.

    La tempête du 27 décembre 1999 a causé des dégâts considérables dans le parc. Pour lui redonner sa beauté et son charme, la tâche de la municipalité en collaboration avec l'Office National des Forêts (O.N.F), sera longue et difficile. Déjà d'importants travaux ont pu permettre au public de circuler à nouveau dans les allées principales du parc. De nombreux bénévoles ont répondu présents et sont intervenus pour accélérer le dégagement des chablis ; le broyage des souches ou leur repositionnement ont permis de redonner un visage moins meurtri au parc ; la reconstruction du mur d'enceinte a été réalisée...

    Inauguré le 17 octobre 1998, l'espace Georges-Emmanuel Clancier comprend une salle pour enfants, « l'heure du comte », et une bibliothèque riche de 5 000 volumes. des ouvrages peuvent être empruntés moyennant une cotisation annuelle de trois euros pour une durée de trois semaines. Ainsi s'affirme la vocation culturelle du château.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 mars 1977 Edouard Mouratille    
    mars 1977 mai 1992 Jean Mahaut PCF Conseiller général du canton de Nieul (1967-2001)
    mai 1992 juin 1995 Jean Dufour PCF  
    juin 1995 mars 2001 Françoise Perot RPR  
    mars 2001 mars 2014 Claude Rebeyrotte[22] MRC  
    mars 2014 En cours Béatrice Tricard PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 1 640 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    656671655746730751831843819
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8108217867728019431 0041 0221 013
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0211 0181 032899838800830932948
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9249361 0011 1981 3481 3501 5211 5451 624
    2017 2018 - - - - - - -
    1 6471 640-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de l'Assomption-de-la-Vierge.
    Château de Nieul éclairé à la nuit tombée.
    • Église de l'Assomption-de-la-Vierge des XIIe et XIIIe siècles, avec chapelle du XVe siècle et deux oratoires en granit du XVIIe siècle.
    • Le centre émetteur-radio de Limoges-Nieul, avec une antenne de 90 m. Cette installation a été arrêtée dans la nuit du 8 au 9 juillet 2014, après plus de 70 ans de fonctionnement, quasi ininterrompu de services.
    • L'établissement La Chapelle Saint-Martin, un Relais & Châteaux quatre étoiles qui peut s'enorgueillir d'avoir accueilli des hôtes prestigieux, à commencer par le président Jacques Chirac et son épouse, ou Hillary Clinton. Fréquentée par des artistes comme Eddy Mitchell ou le groupe Indochine, La Chapelle Saint-Martin est aussi très prisée des acteurs du tissu industriel et des délégations étrangères en visite à Limoges.
    • Le château de Nieul, l'étang et le parc du château.
    • Pont de Puymaud (gallo-romain) sur la D 128 en direct de la nationale 147 Bellac - Limoges.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armoiries de Nieul se blasonnent ainsi :

    D’argent au lion de gueules, à la bordure d’azur chargée de onze besants d’argent.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Nantiat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Nieul et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Nantiat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Nieul et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    22. [PDF] Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    • Portail de la Haute-Vienne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.