Couzeix

Couzeix [kuzɛks] (Cosés en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Couzeix

Église Sainte-Marie-Madeleine.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Sébastien Larcher (SE)
2020-2026
Code postal 87270
Code commune 87050
Démographie
Gentilé Couzeixois
Population
municipale
9 349 hab. (2018 )
Densité 305 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 37″ nord, 1° 14′ 20″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 440 m
Superficie 30,69 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Limoges
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Couzeix
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Couzeix
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Couzeix
Géolocalisation sur la carte : France
Couzeix
Géolocalisation sur la carte : France
Couzeix
Liens
Site web couzeix.fr

    Ses habitants sont appelés les Couzeixois[1].

    Géographie

    Ville de l'agglomération de Limoges, séparée de la capitale régionale par le cours de l'Aurence, Couzeix est caractérisée par une démographie très dynamique, un habitat assez récent et un plan urbain suivant la D 947 (ex-RN 147). Ainsi, la zone bâtie de la ville s'étend le long de l'avenue de Limoges sur plus de 4,8 km entre la route nationale 520) et le Mas-de-l'Age.

    Couzeix tend également à se rapprocher de Limoges par l'est, la zone industrielle nord étant située à quelques centaines de mètres à peine.

    D'après des calculs de l'IGN publiés en 2016, le centre géographique du département de la Haute-Vienne est situé dans la commune[2].

    Communes limitrophes

    Couzeix est limitrophe de quatre autres communes.

    Carte de la commune de Couzeix et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Couzeix[3]
    Nieul Chaptelat
    Saint-Gence
    Limoges

    Histoire

    Au XIe siècle déjà, on trouve trace de cette prévôté établie par les abbés de Saint-Martial à Limoges et autour de laquelle quelques habitations se développèrent assez vite. Au cours des siècles suivant son installation, le nom changea plusieurs fois : Coseis, Cozei, Cosaï, Coseium, Cozez, Couzeilz pour aboutir à l'orthographe actuelle vers la fin du XVe .

    Il semblerait que ce nom tirerait son origine du mot celtique Coz ou Cos qui signifie « pierre très dure » selon certains chartistes, d'autres pencheraient plutôt pour une autre signification, celtique également : Cot ou Coss, synonyme du mot breton Coat qui veut dire bois ou forêt. À ce sujet, rappelons que le Mas-de-l'Age signifie « Maison de la forêt » du mot barbare agia, introduit en Gaule au Ve siècle et signifiant haute futaie.

    Surnommé « le petit Limoges » déjà au XIIIe, cette proximité et cette dépendance lui valurent certains honneurs puisque c'est ici que l'on venait accueillir les personnages importants : ainsi la ville a-t-elle vu séjourner pour une nuit le roi Charles VII et le dauphin, le futur Louis XI en 1438, avant leur entrée à Limoges.

    D'autres célébrités passèrent par Couzeix, dont Henri IV en 1605.

    En 1631, Couzeix fut épargnée par la peste qui sévit à Limoges et les carmélites de cette ville se réfugièrent au château du Mas-de-l'Age. Le territoire de Couzeix était à cette époque encore, très ecclésiastique jusqu'à la révolution de 1789, même si les événements politiques de cette période n'ont pas provoqué de graves soubresauts dans le bourg d'alors.

    Avec le Premier Empire se met en place l'organisation des premières municipalités dont celle de Couzeix et à la même époque vint s'établir dans le bourg un percepteur des finances.

    À la fin du XVIIIe, Couzeix comptait environ 900 habitants et en 1848, à la fin du règne de Louis-Philippe, il y avait 125 électeurs (à l'époque le suffrage universel n'existait pas, mais le régime censitaire : seuls ceux qui payaient un certain chiffre d'impôts pouvaient être électeurs).

    Le festival rock Lost in Limoges y était organisé en 2016 et 2017.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 octobre 1947 Henri Rousseau    
    octobre 1947 juillet 1951 Marcellin Couvidou    
    juillet 1951 mai 1953 Marcel Titout    
    mai 1953 mars 1971 Jean-Albert Chauveau    
    mars 1971 mars 1977 Guy Labrux    
    mars 1977 1978
    (démission)
    Jacques Sertout PS puis DVG Médecin
    Conseiller général du canton de Limoges-Couzeix (1973 → 1979)
    1978 juin 1995 Jean Parreau PS Agent immobilier
    Conseiller général du canton de Limoges-Couzeix (1985 → 1992)
    juin 1995 octobre 2017[4]
    (démission)
    Jean-Marc Gabouty[5] UDF puis UMP
    puis UDI-PRV
    Chef d'entreprise
    Sénateur de la Haute-Vienne (2014 → )
    Conseiller général du canton de Limoges-Couzeix (1992 → 1998 puis 2004 → 2014)
    octobre 2017 [6] juin 2020 Michel David DVD-MRSL Retraité du secteur bancaire
    juin 2020 [7] En cours Sébastien Larcher DVD Responsable technique, conseiller départemental

    Cité nature se déployant sur un territoire verdoyant et vallonné de plus de 3 000 hectares, Couzeix est aussi un lieu résidentiel privilégié séparé de Limoges par l’Aurence et agrémenté de deux magnifiques vallées, celles du Champy et du Coyol qui enrichissent son patrimoine naturel. Au nord-ouest de l’agglomération, sur l’axe Limoges - Poitiers, la cité bénéficie d’une position avantageuse à moins de dix minutes du centre-ville de la capitale régionale et à proximité immédiate de la zone industrielle nord et de l’aéroport international de Limoges. L’ouverture sur la N 520 qui traverse la commune sur près de 10 km permet de relier très rapidement les grands axes de communication comme l’autoroute A20 (Paris - Toulouse) et l’axe ouest (RN 141) en direction d'Angoulême, Bordeaux et de la côte atlantique. Cette situation géographique privilégiée dans le cadre d’une mixité urbaine et rurale joue incontestablement un rôle attractif propice au développement de l’habitat et de l’économie locale.

    Structurée le long de la D 947 et autour de nombreux gros villages, Couzeix, présente la particularité d’avoir pu regrouper au cœur de la cité tous les principaux équipements scolaires, sociaux, sportifs et culturels. Construit à la fin des années 70 restructuré et agrandi en 1998 le collège Maurice-Genevoix accueille près de 700 élèves provenant de quatre communes (Couzeix, Chaptelat, Nieul et Saint-Gence).

    À quelques centaines de mètres, jouxtant la mairie, le groupe scolaire Jean-Moulin accueille près de 800 enfants dont 75 % fréquentent le nouveau restaurant scolaire mis en service en novembre 2007. L’école primaire élémentaire regroupe 18 classes et l’école maternelle 7 classes.

    À proximité de ces établissements scolaires s’étend le vaste parc des sports avec trois terrains de football, une piste d’athlétisme, deux courts de tennis, un pas de tir à l’arc, un terrain de boules et une piste de skateboard pour l’extérieur et trois halles aux sports avec un dojo et une salle de gymnastique pour les équipements couverts.

    À quelques kilomètres du bourg, un autre complexe sportif est composé d'un centre équestre, de l’hippodrome de Texonniéras, le plus ancien de France, et du Couzeix Country Club, le club de tennis municipal, un des plus importants de la région, qui compte dix courts couverts et quatre extérieurs, en dur et en terre battue, ainsi que deux terrains de squash.

    Le centre culturel municipal, construit à la fin des années 1980, dispose d’une vaste salle polyvalente (400m²) d’un hall d’exposition de 300 m2 et de plusieurs salles spécialisées (musique, danse) et de réunions. Cet ensemble a été complété par un équipement social construit en plein centre-bourg. Mis en service en 2000 ce centre social familial regroupe un multi-accueil, Le Jardin à Malices, d’une capacité de vingt places, l’aide et l’accompagnement aux devoirs, l’association pour les personnes âgées et toutes les permanences sociales.

    Le pôle petite enfance construit sur le site Dolto a permis l'ouverture d'une nouvelle école maternelle de trois classes, le transfert du relais assistantes maternelles et la création d’un deuxième multi-accueil, Le Manège Enchanté, de vingt places

    Couzeix dispose d’un tissu associatif particulièrement dense en matière d'animations, de culture et de sport. Côté sports et détente, si c’est le football qui tient le haut de l’affiche, en termes d’effectifs, l’ensemble des vingt associations fédérées au sein de l’ASCLC totalise 2 300 adhérents. L'Association Animation Culturelle de Couzeix (AACC) présente pour sa part un ensemble de manifestations à thème et d'expositions qui attirent bien au-delà de la commune.

    Aux côtés de la ville de Couzeix, la communauté de communes l’Aurence et Glane Développement à laquelle appartient Couzeix jusqu'en 2013 participe au développement économique avec notamment l’aménagement du parc d’activités économiques OCEALIM qui pourra accueillir sur 50 hectares plusieurs dizaines d’entreprises. Début 2011, 35 entreprises employant près de 400 salariés occupent une superficie de 14 ha. La communauté de communes l'Aurence et Glane Développement (AGD), créée en 1996 regroupe jusqu'au départ de Couzeix dix communes : Chamboret, Chaptelat, Couzeix, Le Buis, Nantiat, Nieul, Saint-Jouvent, Thouron, Breuilaufa et Vaulry. Elle est présidée par Stéphane Cambou, maire de Chaptelat.

    Bien qu'elle soit une des communes de la très proche banlieue de Limoges (l'entrée sud de Couzeix n'est qu'à 600 m de la sortie nord de Limoges), la commune a longtemps appartenu à la communauté de communes l'Aurence et Glane Développement, créée bien avant Limoges Métropole. Elle ne rejoint la Communauté d'agglomération Limoges Métropole qu'en 2014, en ce sens forcée par le schéma départemental de coopération intercommunale. La communauté d'agglomération devient communauté urbaine au 1er janvier 2019.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[8].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[10].

    En 2018, la commune comptait 9 349 habitants[Note 1], en augmentation de 6,69 % par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1751 0121 3081 2351 3551 3681 3951 4611 482
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4311 4211 4691 5131 6331 8191 9261 8961 889
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8531 9962 0531 8541 9752 0972 0862 1922 227
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 5403 0063 9585 0196 1516 6357 4187 5268 703
    2017 2018 - - - - - - -
    9 2689 349-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 059 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[19] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[21] à 11,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Couzeix est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[27] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].

    Maisons typiques du Limousin, notamment celles connues sous le nom de charternaises.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (30,9 %), zones urbanisées (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), forêts (15,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %), terres arables (1,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Madeleine, XIe siècle, Couzeix.
    Couzeix Chapelle Saint-Martin (Saint-Martin du Fault).

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    • Le roi Charles VII et le dauphin, le futur Louis XI en 1438, et Henri IV, en 1605 ont séjourné ici avant leur entrée à Limoges.
    • Pierre Joseph Benoit du Buis (1817-1897) homme politique français
    • Guillaume, dit William, Guérin-Lésé (Mas-de-L'Age à Couzeix 1838-1912) Fabrique de porcelaine fondée en 1872 à Limoges, prend la succession de Lebon & Cie, 54, Faubourg Montjovis. En 1877, il rachète la fabrique Léopold Dubois, rue du Petit-Tour. En 1903, ses deux fils William et André lui sont associés (William Guérin et Cie). En 1911, absorption de la maison Pouyat, et formation de la société Guérin et Cie (Anciens Ets J. Pouyat, W. Guérin & Cie). En 1920, la société est dissoute et les parts vendues à Bawo & Dotter Ltd. de Montréal (1921 : Guérin Pouyat Elite Ltd). En 1932, fermeture de la fabrique.
    • Jean-Marc Gabouty est un homme politique français

    Anaïs Bethomier, Miss Limousin 2017 et 11eme dans le classement final

    • En 1968, Jean-Antoine Zamora publie chez Julliard Une saison en Limousin qui se déroule à Couzeix.

    Héraldique

    Blason
    D'argent au cheval galopant de sable; à la champagne de sinople; au chef d'or chargé d'un buste d'évêque d'argent vêtu et mitré de gueules, accosté des lettres onciales S et M de sable entre deux clefs affrontées de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[16].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
    2. Jean-François Hangouët, « Quels sont les centres des 96 départements métropolitains ? », IGN Magazine, no 82, avril-mai-juin 2016, p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
    3. Carte IGN sur Géoportail
    4. http://www.politiquemania.com/forum/modification-f14/modifications-liees-cumul-des-mandats-2017-t5856-40.html
    5. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    6. « Michel David, nouveau maire de Couzeix dans la continuité de Jean-Marc Gabouty », Le Populaire du Centre, (lire en ligne).
    7. « Politique - Municipales : une page se tourne à Couzeix avec la victoire de Sébastien Larcher », Le Populaire du Centre, (lire en ligne).
    8. Site des villes et villages fleuris, consulté le 1er février 2021.
    9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    15. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    16. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    19. « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    20. « Orthodromie entre Couzeix et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    28. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    29. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. « Mérimée : Château du Mas de l'Age », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Mérimée : église paroissiale Sainte-Madeleine », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Mérimée : chapelle Saint-Martin », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
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