Montech
Montech [mɔ̃tɛʃ] (en occitan Montuèg) est une commune française du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Montech | |||||
L'église paroissiale Notre-Dame-de-la-Visitation. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne | ||||
Maire Mandat |
Jacques Moignard 2020-2026 |
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Code postal | 82700 | ||||
Code commune | 82125 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montéchois | ||||
Population municipale |
6 406 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 128 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 57′ 28″ nord, 1° 13′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 133 m |
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Superficie | 50,14 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Montech (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Montauban (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montech (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie de Montech | ||||
Ses habitants sont appelés Montéchois et Montéchoises.
Géographie
Localisation
Commune du Quercy située dans pays Montalbanais en Bas-Montauban.
Communes limitrophes
Montech est limitrophe de sept autres communes.
Hydrographie
La commune est arrosée par la Garonne ses affluents le Ruisseau de Rafié, Ruisseau de Pantagnac et son affluent le Ruisseau de Verdié ainsi que le canal latéral à la Garonne et le canal de Montech et aussi le Ruisseau du Vergnet et le Ruisseau de Larone des affluents du Tarn.
Voies de communication et transports
Accès par l'autoroute A62 et les routes RN 113, D 928 et le réseau des voies navigables.
La ligne 933 du réseau liO relie la commune à Montauban et à Auch[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Corbarieu », sur la commune de Corbarieu, mise en service en 1993[9]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 12 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[13] à 14 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Montech est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montech, une unité urbaine monocommunale[18] de 6 406 habitants en 2018, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38 %), forêts (31 %), zones urbanisées (8,9 %), cultures permanentes (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), prairies (3,4 %), eaux continentales[Note 6] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), mines, décharges et chantiers (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Moyen Âge
En 1134, à l'initiative de Raymond Séradis et d'Alphonse Jourdain, comte de Toulouse, Montech devient un site fortifié, un "castrum", dont la fonction est de mieux protéger le Nord toulousain. 10 ans avant Montauban, est édifié un château comtal auprès duquel est fondée une ville neuve à laquelle aurait été octroyée une charte de coutumes dont la validité du texte évoqué par des érudits locaux reste suspecte aux médiévistes. Au sud-est, le château est intégré dans le système de fortifications qui sont entourées de profonds fossés. Le plan adopté pour cette ville neuve correspond à un plan de bastide-type (mais les bastides sont édifiées au XIIIe siècle) avec des rues se croisant à angle droit, une place centrale, des portes fortifiées avec pont-levis aux points cardinaux et devenues les seules voies d’accès. Des tours flanquaient ces portes et trois des ailes de l’enceinte. La porte du Terrier (au nord) est la porte principale. La ville devient royale en 1271, au temps de Philippe III le Hardi qui lui octroie une charte dont plusieurs copies anciennes, en latin, existent. À l'origine, l'église paroissiale Saint Étienne et son cimetière se situent au nord-est de la ville, à quelques centaines de mètres. Une chapelle est probablement édifiée près du château comtal, mais c'est au XIVe siècle qu'une nouvelle église dédiée à Notre Dame de la Visitation est construite. Le fond de la nef et le chœur empiètent sur la basse cour du château.
Les guerres de religion ont fait de Montech un bastion du catholicisme face à Montauban la protestante.
XVIIIe siècle
Au XVIIIe siècle, Montech a profité de la prospérité économique de Montauban, notamment avec l’industrie textile (tisserands, tailleurs, couturiers…).
Révolution
En 1781, avec l'apparition de tensions et des prémices de la Révolution, les portes ont été reconstruites plus hautes et plus larges afin de protéger les maisons à pans de bois de la grand-rue et des ruelles adjacentes. Contre toute attente, la période révolutionnaire a préservé ce bâti. Les portes et les fossés ont existé jusqu’en 1830 et il reste les piliers de deux des quatre portes (Lafargue au sud et du château à l’est).
Sous le Directoire, la forêt, vaste bois appartenant au domaine royal depuis 1271 et l’annexion du comté de Toulouse à la couronne de France, a intégré le domaine de l’État.
XIXe siècle
Au XIXe siècle, la ville s’est étendue. La route royale de Montauban à Auch a été construite, le tertre recouvrant l’ancienne promenade arasé et les fossés ont été comblés.
La construction du canal latéral à la Garonne, au milieu du XIXe siècle, a conforté les activités industrielles avec l’ouverture d’une papeterie (elle fermera en 1968).
L'ouverture à la circulation du pont de Bourret achève le grand axe routier traversant Montech par l’avenue André-Bonnet, les boulevards de la République et Lagal. Les quartiers extérieurs, le Couderc et Lafeuillade en particulier, prennent de l’importance. L’intérieur de la ville prend son aspect actuel. De nombreuses maisons sont construites de part et d’autre des grands boulevards : immeubles de briques roses semblables à de petits hôtels particuliers du XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle, ou maisons à colombages. Certains ont eu une fonction sociale et hospitalière importante, tels l’hôpital Saint-Esprit et l’orphelinat Larramet, qui ont laissé place à la mairie (installée à la fin du XIXe siècle). L’ancien hôpital civil, agrandi et réaménagé, abrite la maison de retraite « Le Parc » et un ancien hôtel particulier accueille la maison de retraite « La Maison ».
En ville et en campagne, la terre et les pans de bois sont associés à la brique crue ou cuite, parfois agrémentées de galets de Garonne ce qui confère aux maisons un ton coloré caractérisant l’architecture montéchoise. Le béton de chaux a été employé pendant plusieurs décennies jusqu’à la Première Guerre mondiale. L’église de Lafeuillade et nombre d’habitations du bas de ville sont construites ainsi.
Les années de guerre
En janvier 1943, les troupes allemandes arrivent à Montech. De nombreuses maisons sont réquisitionnées. Le château de Cadars est occupé par les officiers et la Kommandantur est installée place de la Mairie. La partie sud de la forêt est déclarée « zone interdite ». Le , des habitants, membres de la 10e Compagnie Armée secrète prennent le maquis. Le détachement de Montech était commandé par Pierre Fourcade, alias Fournier, MM. Granier et Rouaux, retraités de l’Armée, Pierre Delos, Armand Bonnet et René Clavel. Le groupe traverse la Garonne en barque car les ponts étaient gardés. Après trois nuits de marche, les Montéchois et les Finhanais rejoignent des Beaumontois. À Montech, la vie se poursuit. Le couvre-feu est décrété à 22 h. Le dépôt d’essence de Montbartier est bombardé à plusieurs reprises fin juillet. Deux résistants de Montricoux, André Jouany et Joseph Lespinet sont exécutés. Le , des explosions sont entendues en forêt. Les baraquements de la Cellulose, où logent les troupes allemandes, sautent. Le château de Cadars brûle. Un convoi allemand est intercepté à la Vitarelle. Le , au même endroit, Jean Lacaze, 20 ans, est tué lors d’un combat violent. (Voir article sur André Bonnet, dans les personnalités ayant marqué MONTECH).
Aujourd’hui
Au fil des ans, les principaux commerces se sont installés sur les larges rues et autour des places. En périphérie, avec les nouveaux axes de circulation, est apparu un habitat plus contemporain, parfois organisé en quartiers, dont les propriétaires et la commune veillent à préserver le cadre de vie.
Héraldique
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Son blasonnement est : De gueules à trois feuilles de fougère d'argent réunies à la base, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. |
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Politique et administration
L'hôtel de ville.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[24],[25].
En 2015, la ville de Montech comptait 6 246 habitants.
Liste | Tendance | Effectif | Statut | |
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Jacques MOIGNARD | DVG | 25 | Majorité | |
Eric LAGRANGE | DVD | 4 | Opposition |
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Garonne et Canal et du canton de Montech.
Liste des maires
- Le , pour la première fois une liste conduite par une femme, Valérie Rabassa, remporte les élections avec 48,91 % des voix face à celle du maire sortant, Robert Lagrèze, qui n'obtient que 38,29 % [26].
- En , 11 conseillers municipaux démissionnent, dénonçant « le comportement autoritaire et irrespectueux envers les élus et le personnel de la mairie »[27] de Valérie Rabassa. La vacance d'un tiers des sièges du Conseil municipal provoque des élections municipales anticipées[28] à l'issue desquelles Valérie Rabassa perd la mairie de Montech qui, détenue par la droite depuis plusieurs décennies, passe à gauche[29] le .
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2018, la commune comptait 6 406 habitants[Note 7], en augmentation de 5,5 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[34] | 1975[34] | 1982[34] | 1990[34] | 1999[34] | 2006[35] | 2009[36] | 2013[37] |
Rang de la commune dans le département | 10 | 8 | 8 | 8 | 8 | 6 | 5 | 5 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
Économie
Enseignement
- L'école maternelle Jean-Larramet ;
- L'école élémentaire Jean-Larramet ;
- L'école élémentaire Saragnac ;
- Le collège Vercingétorix inauguré le ;
- Le lycée Olympe de Gouges s'est construit sur la commune de Montech. Il a ouvert ses portes à la rentrée 2018.
Fait divers
Projet de parc éolien
Il existe un projet de parc éolien sur la commune[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le colombier de Saint-Cyr, en brique, datant du XVIIIe inscrit au titre des monuments historiques[39].
- Pente d'eau de Montech, ascenseur à bateaux unique au monde de ce modèle, sur le canal latéral de la Garonne qui traverse la commune.
- Le kiosque à musique restauré et enrichi d'un carillon en 2007.
- Église Notre-Dame-de-la-Visitation des XIVe et XVe. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1910[40]. L'orgue est référencé dans la base Palissy[40].
- L'église de Notre-Dame-de-la-Visitation présente plusieurs éléments remarquable dont de fonts baptismaux à godrons en marbre rouge, de forme ovale en deux parties du XVIIIe siècle. Le Christ en croix du maître-autel est une œuvre allemande du XIVe siècle. L'orgue de tribune est un Magen (1842 et 1858) - remanié par Puget (1950-1952) - puis Decavèle (2001). Il présente deux claviers de cinquante-six notes et pédalier de trente notes à transmissions mécaniques. Depuis 1992, l'orgue est classé monument historique[41]. Les stalles et les boiseries néogothique du chœur, une peinture murale par Louis Cazottes (1846 - 1934) datant de 1882 représentant l'apparition de la Vierge à Lourdes.
- Église Notre-Dame de la Feuillade (1872) du faubourg qui porte son nom.
- Elle mesure 35 m × 20 m pour une hauteur des clochers de 48 m.
- Le colombier de Saint-Cry.
- La pente d'eau de Montech.
- Le canal latéral à la Garonne, écluse des Peyrets.
- Le kiosque à musique.
- Le monument aux morts.
- Notre-Dame de la Feuillade.
- Notre-Dame-de-la-Visitation, la façade.
- Vue de l'intérieur.
- La chaire néogothique.
- Fonts baptimaux du XVIIIe.
- Orgue de tribune.
- Les stalles et les boiseries du chœur.
- Louis Cazottes : L'apparition de la Vierge.
Personnalités liées à la commune
- André Abbal.
- André Bonnet, héros de la résistance, membre du réseau Alliance. Arrêté en octobre 1941[42]. Fusillé le 30 novembre 1942 au fort de Romainville[43].
- Clément Michelin (1997), footballeur.
Pour approfondir
Bibliographie
- Association Amicale Alliance, Mémorial de « l'Alliance », Paris, Durassié et Cie, , 80 p. (lire en ligne [PDF]).
- Marie-Madeleine Fourcade, L'Arche de Noé, t. 1, Paris, éditions Fayard, coll. « Le Livre de poche » (no 3139), (réimpr. 1998) (1re éd. 1968), 414 p. (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Corbarieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montech et Corbarieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Corbarieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montech et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montech », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- Résultats municipales Montech 2008 sur le site de La Dépêche du Midi
- « Montech. Les raisons de toutes les démissions » La Dépêche du Midi 21/10/2010
- « Montech. Elections municipales avant fin janvier » La Dépêche du Midi 8/12/2010
- Élections municipales partielles de Montech Ministère de l'Intérieur
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Blog d'information sur le projet de parc éolien de Garonne et Canal (82) », sur http://www.parc-eolien-de-garonne-et-canal.fr/, (consulté le ).
- PA00095837
- « Eglise Notre-Dame de la Visitation », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- PM82000326
- Fourcade, tome 1, p. 156.
- Mémorial de l'Alliance, p. 16.
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