Louis Delluc
Louis Delluc est un écrivain, scénariste, éditeur, photographe[1], critique de cinéma et réalisateur français, né le à Cadouin en Dordogne et mort le à Paris.
Pour les articles homonymes, voir Delluc.
Ne doit pas être confondu avec Louis Delluc (auteur occitan).
Naissance |
Cadouin, Dordogne |
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Nationalité | Français |
Décès |
Paris |
Profession | Réalisateur |
Films notables |
Fièvre (film, 1921) La Femme de nulle part |
Le prix Louis-Delluc récompense chaque année le meilleur film français.
Biographie
Installé à Paris depuis 1903, Louis Delluc suit des études classiques au Lycée Charlemagne et écrit un premier recueil de poésies en 1906.
En 1908, il s'inscrit au lycée Henri-IV[2] en cours de rhétorique et prépare le concours d'entrée à l'École normale supérieure. Il y rencontre Marcel Jouhandeau et se tourne alors vers le journalisme. Il écrit des critiques de pièces de théâtres pour la revue Comœdia[3] et pour Le Courrier de Paris-Province[4]. Il participe à l'occasion à des concours littéraires[5].
En 1910, il entre au Comœdia Illustré[6] dont il deviendra le secrétaire de rédaction[7]. Il participe régulièrement à la Revue Française politique et littéraire[8] dont le format lui permet d'approfondir ses premières réflexions sur le monde du théâtre, ainsi qu'à Le Monde et le Théâtre[9] et à Gil Blas[10].
Louis Delluc écrit du théâtre en vers, des comédies fantaisistes, des romans, des poèmes et des chansons et il dessine à l'occasion des caricatures. Il s'intéresse de près à la mise en scène et au cinéma.
Il confie à l'occasion l'interprétation de son œuvre à des amis proches comme Georges Pitoëff rencontré à Paris et qui crée depuis Genève, en prévision de tournées françaises à venir, plusieurs œuvres de Delluc. Il est également très proche de l'acteur Edouard de Max[11] - dit M. de Max - à qui il confie de nombreux textes et créations et au sujet duquel il écrira plusieurs articles[12]. Il publiera ses confidences, Chez de Max, en 1918.
En 1914, Jean Hervé lui présente l'actrice Ève Francis[13] qui va lui faire découvrir le cinéma américain. Il l'épouse le 21 janvier 1918.
En 1917, Louis Delluc intègre la revue Le Film créée par Diamant-Berger en tant que rédacteur en chef[14] et publie très régulièrement dans des journaux comme Le Siècle, L'Action ou L'Événement des critiques cinématographiques, ainsi que des analyses dans des revues spécialisées qu'il édite avec son ami Arcady Roumanoff au 10 rue de l'Élysée, comme Le Journal du Ciné-club ou Cinéa. Il continue à écrire des pièces et des romans et rédige plusieurs ouvrages majeurs d'analyse du Cinéma.
Avec son ami d'enfance Léon Moussinac, il est l'un des premiers critiques indépendants et théoriciens du cinéma en France.
Il généralise le principe du ciné-club[15] cher à Edmond Benoit-Lévy.
L'intérêt que Louis Delluc porte au Cinéma n'est pas restrictif : s'il s'interroge avant tout sur la transposition au cinéma des contraintes de la mise en scène de théâtre, il n'en apprécie pas moins les innovations techniques - les effets spéciaux, les prises de vues macroscopiques, les images accélérées - ou les aspects documentaires, pédagogiques et naturalistes[16].
Sans forcément les opposer, il compare souvent les productions cinématographiques française et américaine. Il juge le cinéma français léger, récréatif et il souhaite qu'il se façonne une identité propre[17] en limitant le texte et la gestuelle à l'essentiel, en cherchant à conserver la maîtrise de la composition de l'image, etc.
À partir de 1920, Louis Delluc met en pratique ses analyses et écrit et réalise sept films innovants. La presse le qualifie de cinégraphe, parfois d'écraniste, ce à quoi il rétorque "cinéaste"[18]. Deux de ses films ont particulièrement marqué l'histoire du cinéma français : Fièvre, réalisé en 1921, et La Femme de nulle part qu'il réalise en 1922.
Il fonde en février 1920 la société de production Parisia-Film dont il devient le directeur artistique, rapidement transformée en société de production Films Louis Delluc, puis en la Société d'Editions Cinématographiques Alhambra-Film créée en juin 1921[19].
Louis Delluc et Ève Francis se séparent au cours de l'été 1922[20]. Très attaché, il continue de lui dédier la majeure partie de son œuvre et compose pour elle son dernier film en 1923, L'Inondation.
Lors du tournage en extérieur, dans la vallée du Rhône et dans des conditions climatiques très mauvaises, il aggrave la tuberculose dont il souffre depuis l'adolescence.
Au début de l'année suivante, de retour d'Hendaye, il est atteint d'une pneumonie et succombe en quelques semaines à une phtisie galopante à seulement trente-trois ans.
Il est inhumé au cimetière parisien de Bagneux (Hauts-de-Seine). Ses amis le décrivent tourmenté à la fin de sa vie[21] et Abel Gance lui rend un dernier hommage dans une courte nécrologie A la mémoire de mon ami Louis Delluc[22].
L'Inondation est présenté pour la première fois au public la semaine suivante au cours d'une projection commémorative qui est organisée au Colisée.[23]
Au n°5 rue de Beaune (7e arrondissement de Paris) où il habitait, une plaque a été apposée.
Le travail de Louis Delluc, résolument prospectif et constitué autant d'œuvres cinématographiques que d'écrits théoriques, constitue un corpus cohérent qui propose une vision pragmatique du Cinéma, partagée avec une nouvelle génération de réalisateurs avant-gardistes qui vont incarner le cinéma des années 1920 et où l'on trouve entre autres Abel Gance, Germaine Dulac, Marcel L'Herbier, Jean Epstein ou encore René Clair, sous le nom de la première avant-garde.
Filmographie partielle
Louis Delluc considère que La Femme de nulle part est son premier vrai film[24].
Co-réalisations
- 1920 : La Fête espagnole de Germaine Dulac[25], adapté du roman Le train sans yeux
Comme réalisateur
- 1920 : Le Silence, premier essai[26]
- 1920 : Fumée noire, mise en scène de René Coiffard[27]
- 1920 : Le Chemin d'Ernoa ou L'Américain, mise en scène de René Coiffard[28]
- 1921 : Fièvre, censuré à sa sortie en mai sous le nom La Boue[29]
- 1921 : Le Tonnerre
- 1922 : La Femme de nulle part
- 1924 : L'Inondation
Comme acteur
Projets
- 1916 : Le Train sans yeux, scénario non-tourné dont Louis Delluc tirera le roman du même nom[30].
- 1921 : Paris[31], fresque, (non-tourné?)
- 1921 : Série de bandes comiques avec Foottit[32],[33]
- 1924 : Nachalo, d'après la pièce en 3 actes d'André Salmon et René Saunier créée au Théâtre des Arts et 1921[34],[35], qu'il adapte dans le courant de l'année 1923[36], prévue à la suite de L'Inondation par contrat avec Cinegraphic.
- 1924 : Choc en retour, d'après un texte de Pierre Mac Orlan[37]
- 1924 : Un Homme à la mer d'après François Duhourcau
- 1924 : Un Fou, d'après sa pièce "Histoire d'un Fou" ou bien d'après le roman "Un fou" de 1895 de Hélène de Monbart sous son pseudonyme de Hans Von Kahlenberg
Théâtre
- 1911 :Comme la plume au vent, conte rimé, créé le 10 juin au Théâtre sous-bois de Marnes-la-Coquette[38]
- 1911 :Aux parisiennes, prologue récité au Théâtre de verdure du pré Catelan[39].
- 1911 :Francesca, pièce en vers en 3 actes, adaptée de Comme la plume au vent[40] et créée le 6 juillet au Théâtre de verdure du pré Catelan[41].
- 1911 :Lazare le ressuscité, pièce en vers en 1 acte, écrite pour Edouard de Max[42] et qui ne sera mise en scène qu'en 1920[43] avec Ève Francis dans le rôle de Lazare[44]
- 1911 :Le geste, pièce en 3 actes, réécrite et mise en scène après la mort de Louis Dullac par Maurice Donnay et Henri Duvernois les 26, 27 et 29 septembre 1924 au Théâtre de la Renaissance[45]. La pièce est jouée à la radio en juin 1933 au Poste Parisien[46]
- 1911 :La débutante
- 1911 :L'homme de peine et la fille de joie, créé en août au Théâtre de la Renaissance par Abel Tarride
- 1913 :La Petite sera Tragédienne, pièce montée au palais du Trocadéro à l'occasion d'un gala de bienfaisance, le 31 mai[47]
- 1913 :La Frangine, chanson co-écrite avec Léo Daniderff et créée au Théâtre de la Gaîté-Rochechouart en juin par Gaby Montbreuse[48].
- 1914 :La Route, poésie dramatique, pièce en 1 acte adaptée du livret de 1910 et créée le 7 mai au théâtre Villiers[49]
- 1916 :Tout avance!, monté avec Albert Willemetz au théâtre des variétés sous la direction de René Danancier[50]
- 1916 :Edith Cavell, Martyre, pièce en 3 actes, refusée par le Théâtre Antoine par peur de la censure[51] et montée à Florence par Lyda Borelli en juin[52],[53].
- 1917 :La Semelle de ses Souliers, pièce annoncée initialement au Gymnase, puis aux Bouffes-Parisiennes[54] .
- 1917 :La princesse qui ne sourit plus, ballet parlé, présenté le 27 juin[55] à l'Opéra avec Ève Francis[56]
- 1917 :Le Cobzar, pièce en 1 acte créée le 27 juin et jouée lors d'une matinée de bienfaisance au bénéfice de la Roumanie, en compagnie de son ami M. de Max dont c'est la patrie de naissance[57]
- 1918 :Pomme se marie,
- 1918 :Le Filon, confié à une complète ré-écriture à André Mouëzy-Éon Par Gustave Quinson[58],[59] qui en achète les droits
- 1919 :Ma femme danseuse, comédie en 3 actes créée par la troupe du Théâtre Pitoëff à Genève et Lausanne[60].
- 1919 :Le temps est un songe,
- L'Homme-orchestre,
- Histoire d'un Fou,
- La Vivante,
- Un Mariage à Marseille,
- Trois Enfants dans une Étoile,
- Lapin et Zoiseau,
Publications
- Chansons du jeune temps", poèmes, (œuvre d'adolescence écrite en 1906[26]), Impr. St-Gervais, 1908[61].
- Les idées au Théâtre ou Le théâtre, feuillets, 1909 et 1910[62]
- La route, livret, poème dramatique en prose, 1910[63]
- L'Armoire aux Masques, galerie de portraits d'artistes[64]
- (Poèmes publiés) La Ronde d'Eté (1912), Rustique (1912), Montmartre[65] (1913), Le Miroir[66] (1914)
- Chanson de route d'un qui n'est pas parti, criée, à la suite de sa réforme de l'armée, par M. De Max lors d'une matinée à la Croix-Rouge, ainsi que par Mounet-Sully
- Monsieur de Berlin, roman, Fasquelle, 1916
- La guerre est morte, roman écrit en 1915[67], L'édition, 1917 - rééd. 1952
- Les Alexandrins fastueux, 1918[68]
- Chez de Max, L'édition, 1918
- Le Train sans yeux, roman, G. Crès, 1919
- Cinéma et Cie (Ecrits cinématographiques II), B. Grasset, 1919
- Drames de cinéma (Ecrits cinématographiques III)[69]
- La Danse du scalp, roman, B. Grasset, 1919, paru en feuilleton dans l'Humanité, Septembre
- Les Douze Chevaux du Cirque Page, nouvelle, Comoedia Illustré, 5 décembre 1919
- Photogénie, de Brunoff, 1920
- Charlot, de Brunoff, 1921, consacré à Charles Chaplin
- Les Cinéastes[69]
- La Jungle du cinéma, La Sirène, 1921
- Les Secrets du confessionnal, roman, Éditions du monde moderne, Septembre 1922, sorti initialement en février 1922 sous le titre Pia Solar
- L'Homme des bars, La pensée française, 1923
- Le Dernier Sourire de tête brûlée, Éditions du monde moderne, 1928
- Le Roman de la manucure, Éditions des Portiques, 1931
- Écrits cinématographiques, Cinémathèque française, vol. I à III, 1985-1990 (vol. I: compilation d'articles et de chroniques, vol. II: texte original de Cinéma et Cie, vol. III: texte original de Drames de cinéma)
- La Vie et les Aventures de Douglas Fairbanks (inachevé), roman co-écrit avec Robert Florey[70], 1923
Edition Delluc-Roumanoff
- Cinéa 1921
- Le journal du Ciné-club
Postérité
Créé en 1998 sur sa commune d'origine, le cinéma municipal du Buisson de Cadouin est nommé le Louis Delluc en son hommage. Il a une des meilleures fréquentations des cinéma Art et Essai en milieu rural français.
Son neveu, le préhistorien Gilles Delluc, lui a consacré une biographie : Louis Delluc, l'éveilleur du cinéma français, parue en 2003.
Le coffret des films de Louis Delluc, restaurés, a enfin été publié en par les Documents cinématographique, Paris. Il contient 3 DVD présentant les 4 films conservés (Fièvre, la Femme de nulle part, le Chemin d'Ernoa, l'Inondation) et un bonus copieux et passionnant.
Notes et références
- « Comoedia , 20 mai 1921 - page 4 - 4ème colonne - "KODAK" », sur Retronews
- « Les Lettres françaises, 31 mars 1949 - page 6 - 1ère colonne - dernière ligne », sur Retronews
- « Comoedia , 17 août 1908 - page 1 - 4ème colonne - "Profils de théâtre" », sur Retronews
- « Le Progrès de la Côte-d'Or, 8 septembre 1908 - page 5 - 6ème colonne milieu - "Lire chaque semaine..." », sur Retronews
- « Comoedia , 20 mai 1909 - page 2 - 4ème colonne bat - "Un vers... ou deux" - "bords gauche de la fin de la liste des envois" », sur Retronews
- « Comoedia illustré, 15 août 1910 - page 22 et 23 - "Le théâtre antique de la cité de Carcassonne" », sur Retronews
- « Comoedia illustré, 20 mars 1913 - page 70 - 2ème colonne - "Convalescence" », sur Retronews
- les numéro 10 à 16, décembre 1909, en ce qui concerne la publication originelle de la série "Les idées au théâtre" (référence pour le seul numéro 13), et d'autres articles dans la même revue« L'Univers, 26 décembre 1909 - page 3 - 2ème colonne bas - liste des publications et de leurs auteurs », sur Retronews
- « Comoedia , 17 juillet 1910 - page 2 - 3ème colonne 2ème tiers - "La revue hebdomadaire illustrée..." », sur Retronews
- « Gil Blas, 3 avril 1911 - page 1 - 5ème colonne - "Aux Jardies" - "Pour célébrer la mémoire de Gambetta" », sur Retronews
- Un faux courrier, publié le 4 septembre 1911 par "Comoedia" dans lequel il écrit, pour dénoncer l'attribution hâtive et peu rigoureuse par les journalistes de ses œuvres aux directeurs des salles qui les mettent en scène, comme Abel Tarride du théâtre de la Renaissance pour Francesca, témoigne de cette proximité entre les deux hommes« Comoedia , 4 septembre 1911 - page 3 - 5ème colonne - "Expressions de haine, Violences, Revendications" », sur Retronews
- « Comoedia , 13 février 1913 - page 2 - 3ème et 4ème colonne milieu- "M. de MAX, retour de New-York..."" », sur Retronews
- Louis Delluc, l'éveilleur du cinéma français par Brigitte et Gilles Delluc
- « Le Carnet de la semaine, 29 juillet 1917 - page 22 - 2ème colonne - "Le Film" », sur Retronews
- « Bonsoir, 16 mai 1920 - page 3 - 3ème colonne bas - "Notre excellent confrère..." », sur Retronews
- « - page 3 - "Cinégraphie" », sur Retronews
- « Bonsoir, 3 mai 1921 - page 4 - 1ère colonne - "Faisons des films français" », sur Retronews
- « Le Siècle, 18 août 1923 - page 1 - 5ème colonne bas », sur Retronews
- « La Journée industrielle, 11 juin 1921 - page 4 - 4ème colonne - 2ème tiers - "Alhambra-Film" », sur Retronews
- "...après les représentations de Natchalo au théâtre des Arts, le couple se sépara. ... son dernier livre ... porte en dédicace Pour la Même..." Nécrologie officielle non-signée publiée à la suite des nécrologies de Louis Delluc faites par ses collègues et amis "Aux écoutes" 30 mars 1924, page 15
- "... il promenait sa tristesse comme le bouleau argenté promène son front sur le ruisseau..."Abel Gance; "...Il était avant tout poête...un amant du silence." Marcel l'Herbier, etc. Nécrologie de Louis Delluc par ses collègues et amis "Aux écoutes" 30 mars 1924, page 15
- « Aux écoutes, 30 mars 1924 - page 15 - "A la mémoire de mon ami Louis Delluc" », sur Retronews
- « Comoedia , 27 mars 1924 - page 1 - 5ème colonne bas - "A la mémoire de Louis Delluc" », sur Retronews
- « Excelsior, 2 juin 1922 - page 6 - 1ère colonne - "Les filmeurs de Paris" », sur Retronews
- La Cinémathèque française, « La Fête espagnole - Catalogue des restaurations et tirages », sur www.cinematheque.fr (consulté le )
- le Crapouillot du 16 avril 1924, page 17
- Sur de nombreuses Affiches promotionnelles, le film est présenté Réalisé par René Coiffard, avec l'aide de l'auteur, mais la presse accorde normalement la totalité du crédit du film à Louis Delluc, ce dont Coiffard s'offusque en revendiquant une paternité sur la mise en scène « L'Action (1903-1924), 21 octobre 1920 - page 2 - 4ème colonne - "Fumée noire" », sur Retronews
- D'après la BNF - fiche René Coiffard
- « Le Crapouillot, 1 mai 1921 - page 19 - 2ème colonne - "La Boue" », sur Retronews
- LE CINÉASTE LOUIS DELLUC,HOMME DE LETTRES OUBLIÉ(1890-1924) par Gikkes Delluc, avec la collaboration de Brigitte Delluc
- « Comoedia , 23 décembre 1920 - page 3 - 4ème colonne - "Les filmeurs de Paris" », sur Retronews
- « Comoedia , 1 septembre 1921 - page 3 - 5ème colonne bas - "Star Footitt" », sur Retronews
- Henri Lepage reprend les propos de Louis Delluc à propos de la nécessité pour le cinéma français de produire de bons films comiques« Comoedia , 31 décembre 1923 - page 2 - 5ème colonne - "Des artistes comiques" », sur Retronews
- Il est fait état de cette adaptation cinégraphique à de nombreuses reprises et pendant plusieurs mois dans la presse« Comoedia , 15 mai 1922 - page 3 - 5ème colonne bas - "On tourne" », sur Retronews
- « L'Écho de Paris (1884-1938), 18 août 1922 - page 5 - 4ème colonne haut - "Les beaux films de la saison prochaine" », sur Retronews
- « Le Quotidien, 8 décembre 1923 - page 6 - 1ère colonne milieu - "Cinéma" », sur Retronews
- « Le Crapouillot, 1 janvier 1924 - page 16 - 1ère colonne bas - "Pierre Mac-Orlan" », sur Retronews
- « Le Petit Parisien, 10 juin 1911 - page 5 - 2ème colonne haut - "Au théâtre sous bois..." », sur Retronews
- « Le Soleil (1873-1922), 8 juillet 1911 - page 5 - 1ère colonne - "Soirée parisienne" - "Théâtre du Pré-Catelan" », sur Retronews
- « Comoedia , 21 décembre 1911 - page 3 - 3ème colonne bas - "Francesca" », sur Retronews
- « Comoedia , 7 juillet 1911 - page 4 - 2ème colonne - dernier tiers - "Au théâtre de verdure..." », sur Retronews
- « Comoedia , 4 septembre 1911 - page 3 - 5ème colonne - "Expressions de haine, Violences, Revendications" », sur Retronews
- sans citation de l'auteur, une référence à son ami l'acteur De Max qui s'intéresse au projet« Aux écoutes, 7 juillet 1918 - page 17 - 2ème colonne - paragraphe "Il y a aussi parmi les projets..." », sur Retronews
- « Comoedia illustré, 15 juin 1920 - page 27 fin », sur Retronews
- « L'Intransigeant, 26 septembre 1924 - page 2 - 6ème colonne haut - "Renaissance" », sur Retronews
- « Le Temps, 28 juin 1933 - page 6 - 4ème colonne bas - "POSTE PARISIEN" », sur Retronews
- « Le Figaro (1854-), 27 mai 1913 - page 6 - 3ème colonne milieu - "L'Union des Sociétés régionales du Sud-Ouest..." », sur Retronews
- « Comoedia , 29 octobre 1913 - page 4 - 2ème colonne bas - "Music-hall, Café-concert, Cabaret,..." », sur Retronews
- « Comoedia , 23 avril 1914 - page 4 - 2ème colonne milieu - "Le prochain spectacle..." », sur Retronews
- « Le Carnet de la semaine, 17 septembre 1916 - page 19 - 1ère colonne - "Ca fait la R'vue Michel!" », sur Retronews
- « L'Heure, 24 juin 1916 - page 4 - 4ème colonne - "Petits échos de théâtre" », sur Retronews
- « La France (Paris), 26 juin 1916 - page 2 - 5ème colonne haut - "Théâtres et concerts" - "D'un peu partout" - "Le théâtre à Florence" », sur Retronews
- « Le Carnet de la semaine, 2 juillet 1916 - page 20 - 2ème colonne - "On vient de créer..." », sur Retronews
- « Le Carnet de la semaine, 16 septembre 1917 - page 16 - 2ème colonne - "Au théâtre Michel..." », sur Retronews
- « Excelsior, 28 juin 1917 - page 4 - 5ème colonne haut - "Théâtres" », sur Retronews
- « Le Carnet de la semaine, 8 juillet 1917 - page 18 - 2ème colonne - "La princesse qui ne sourit pas!" », sur Retronews
- « L'Intransigeant, 22 juin 1917 - page 2 - 4ème colonne bas - "Pour la Roumanie" », sur Retronews
- La référence suivante révèle la ré-écriture du texte "Le filon" de l'auteur de "Pomme se marie" par Mouëzy-Eon à la demande de Quinsson...« Aux écoutes, 1 septembre 1918 - page 15 - 2ème colonne - "Le Film et le Filon" », sur Retronews
- .... et celle-ci confirme l'identité de l'auteur de Pomme se marie comme étant Louis Delluc« Le Carnet de la semaine, 28 juillet 1918 - page 15 - 1ère colonne - Paragraphe "Projets" », sur Retronews
- « Comoedia illustré, 15 mars 1920 - page 27 », sur Retronews
- « Mercure de France (1890-1965), 1 novembre 1908 - page 188 - 1ère ligne », sur Retronews
- La Revue Française politique et littéraire, numéro 10 à 16, décembre 1909, référence donnée pour le seul numéro 13« L'Univers, 26 décembre 1909 - page 3 - 2ème colonne bas - liste des publications et de leurs auteurs », sur Retronews
- « Comoedia , 23 novembre 1910 - page 3 - 6ème colonne bas - "La Route" », sur Retronews
- « Le Crapouillot, 16 avril 1924 - page 16 - 2ème colonne », sur Retronews
- « Le Feu, 1 octobre 1913 - page 13 », sur Retronews
- « Comoedia , 1 février 1914 - page 4 - 4ème colonne milieu - "Matinée de poésie" », sur Retronews
- « Le Carnet de la semaine, 25 novembre 1917 - page 9 - 1ère colonne - "Scandales" », sur Retronews
- « La Vérité, 29 juin 1918 - page 1 - 2ème colonne - 3ème paragraphe - "De Max proféra..." », sur Retronews
- D'après sa nécrologie par son ami Léon Moussinac, le Crapouillot du 16 avril 1924, page 17
- « Bonsoir, 20 mai 1923 - page 4 - 1ère colonne - 2ème quart - "MM. Louis Delluc et Robert Florey..." », sur Retronews
Voir aussi
Bibliographie
- Ève Francis, Temps héroïques : théâtre, cinéma, préface de Paul Claudel, Paris, Denoël, 1949.
- Marcel Tariol, Louis Delluc, collection Cinéma d'aujourd'hui no 30, Éditions Seghers, 1965.
- Jean Mitry, Louis Delluc, Anthologie du cinéma, 1971.
- Gilles Delluc, Louis Delluc (1890-1924), l’éveilleur du cinéma français au temps des années folles, Pilote 24 et Les Indépendants du premier siècle, Périgueux, Paris, 2003 (ISBN 2912347238 et 978-2912347237)
- Pierre Lherminier, Léon Moussinac, Louis Delluc et le cinéma français, collection Ramsay Poche cinéma, Ramsay, 2008 (ISBN 978-2841149858 et 2841149854)
Voir aussi
Liens externes
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