Les Maillys

Les Maillys est une commune française située dans le canton d'Auxonne du département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Les Maillys

Mairie des Maillys.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Dijon
Intercommunalité Communauté de communes Auxonne Pontailler Val de Saône
Maire
Mandat
Maximilien Aurousseau
2020-2026
Code postal 21130
Code commune 21371
Démographie
Gentilé Maillotin(s), Maillotine(s)
Population
municipale
814 hab. (2018 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 16″ nord, 5° 20′ 27″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 197 m
Superficie 29,79 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Dijon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Les Maillys
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Les Maillys
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Les Maillys
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Les Maillys

    Géographie

    Communes limitrophes

    Localisation et topographie

    La commune se situe au point de rencontre des plaines alluviales de la Saône et de la Tille, aux sols argileux et sableux. Son territoire est traversé par la Saône, la Tille, le Bief des Près Bas, le ruisseau des Sept Ponts, et est émaillé de nombreux autres rus saisonniers et noues, lui conférant un aspect paysager marécageux. La commune compte néanmoins un grand nombre de prairies et de parcelles de champs, attestant de sa vocation agricole et plus spécifiquement maraîchère. Les Bois Royaux et des Bas qui constituent sa masse boisée principale[1].

    Les villes les plus proches sont Auxonne (9,3 km), Damparis (13 km), Dole (14 km), Genlis (16 km).

    Accès

    Le village est accessible par les routes D20 (Beaune-Broye-Aubigney-Montseugny), D110C (Trouhans-Les Maillys), D31 (Soirans-Champvans) et D31B (Tillenay-Les Maillys), qui le traversent, mais aussi depuis l'A39 ( 5 Auxonne-Saint-Jean-de-Losne (11 km)), le rail (Gare d'Auxonne (7,5 km), Gare de Saint-Jean-de-Losne (km), Gare de Dole-Ville (14 km)), et les airs (Aéroport de Dole-Jura (20 km), Aéroport de Dijon Bourgogne - Longvic (43 km))[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Maillys est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,1 %), prairies (14,1 %), forêts (12,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones urbanisées (2,8 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le toponyme Les Maillys, déjà présent dans certains parchemins du XIVe siècle, est né de la réunion des quatre communautés villageoises qui composaient l'ancienne seigneurie de Mailly, à savoir Mailly-la-Ville, Mailly-l'Église, Mailly-le-Port et Mailly-le-Château, au sein d'une seule et même commune, entre 1790 et 1794.
    Le nom Mailly serait issu du latin Malliacum, nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -acum sur un nom de personne latin, sans doute Mallius.
    Selon l'époque et/ou le scribe, chaque mailly est désigné par de nombreuses variantes[10] :

    • Mailly-la-Ville : Mailleium (1268), Mayley (1338), Mailley la Ville (1366), Mailly la Ville (1574), Mailly la Velle (XVIIIe siècle), Mailly le Bas (Révolution).
    • Mailly-le-Château : Malliacense Castrum (XIe siècle), Malleio (1150), Malliaco (1170), Mallei (1174), Mailley (1193), Malleiacum (XIIe siècle), Malleyo (1200), Mailliaco (1248), Mailleio (1253), Maillé (1257), Maileium (1270), Malleium Castellum (1278), Mailleyo (1296), Mailliacum (1301), Mayley (1331), Mailley le Chastel, Mailli (1360), Mailley le Chausteaul (1372), Mailley Chastel, Mailly Chastel, Mailli Chastel (1445), Mailly le Chastel (1574), Mailly le Chasteau (1644), Mailly-les-Ormeaux (Révolution).
    • Mailly-l'Église : Malliaco (XIIe siècle), Mailleyum (1320), Mailleyum Curtilz (1350), Mailley Curtiz (1375), Mailley Curtilz (1431), Mailley Courtilz (1469), Mailly Cultil (1574), Mailly l'Eglise (1582), Mailly l'Esglise (1610), Esmailly l'Eglise (1767), Mailly-le-Mont (Révolution).
    • Mailly-le-Port : Portu (1290), Portus Mailleii (1311), le Port de Mailly, le Port de Mailly la Ville (1366), Mailley le Port (1376), Mailly le Port (à partir de 1445).
    • L'un, l'autre ou l'ensemble : Mailleium (1254), Malleium (1257), Mailley, Mailly près d'Auxonne (1445), Mailley sur soone (1452), Les Maillys lez Auxonne (1582), Les Mailly (1603), Les Maillys, Les Maillés (1662), Les Maillis (1664), Emailly (1699), Les Mallys (XVIIIe siècle).

    Histoire

    Les origines des Maillys demeurent méconnues. Il semble néanmoins que le site ait été habité dès le XIe siècle av. J.-C., comme en attestent les vestiges de la voie romaine, reliant Dijon aux salines de Franche-Comté, mis au jour à la fin du XIXe siècle[11], mais aussi les épées et le biberon, retrouvés, lors d'un dragage de la Saône, dans la deuxième moitié du XXe siècle[12], ou encore les champs réticulés de type "celtic fields" mis au jour par l'archéologie agraire au cours des années 1970-1980[13].

    Au Moyen Âge, Les Maillys sont le siège d'une seigneurie du bailliage de Dijon, dans le duché de Bourgogne, possédant son propre grenier à sel. Elle appartient à la famille de Mailly, qui possède alors de très nombreuses terres le long de la route Dole-Dijon et d'autres à Echenon[14]. Les neuf mottes castrales à Mailly-le-Port, Mailly-la-Ville et Mailly-le-Château atteste d'une vie militaire intense de ces territoires depuis le Haut Moyen Âge. Mais, si une première maison forte, dont on ignore la date de construction, à Mailly-le-Port, est léguée, au milieu du XIVe siècle, par Hugues d'Aligny à Richard de Gentey, le château de la famille de Mailly, aujourd'hui disparu, se situe à Mailly-le-Château, dans la partie est de la seigneurie (côté Tillenay)[15].

    Concernant les affaires religieuses, Les Maillys sont une paroisse, dépendant du doyenné d'Oscheret et du diocèse de Chalon, puis, après 1731, du diocèse de Dijon. Le curé des Maillys est désigné par l'archiprêtre Vivant de Vergy. L'Église des Maillys, construite au XIe siècle, est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Nativité[16].

    En 1259, Marteau III, endetté, vend Saint-Seine-en-Bâche, Laperrière-sur-Saône, Samerey, ainsi que ses terres de Echenon et de Foucherans, à Hugues d'Antigny, seigneur de Pagny, qui les vend à son tour, en 1267, au duc de Bourgogne, Hugues IV, qui acquiert aussi 1/4 de la seigneurie de Mailly, afin de constituer la châtellenie de Laperrière[14].

    En 1349 et 1445, les sires de Mailly vendent les 3/4 restants de la seigneurie à la Sainte-Chapelle de Dijon.
    En 1362-1363, le château de Mailly-le-Port et sa chapelle, ainsi que la chapelle de la Maladière (face au cimetière actuel), sont détruits par les Écorcheurs[15].

    En 1544, le laboureur Claude Drouel, finance la construction de la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, à Mailly-la-Ville.
    À la même période, un oratoire dédié à sainte Anne est érigé à Mailly-le-Port, où sont inhumés les pestiférés[15].

    Au début du XVIIe siècle, un nouveau château est construit à Mailly-l'Église. Le maître d'œuvre est Nicolas de Rouvrai[16]. Au cours de la Guerre de Dix Ans (1634-1644), les troupes de Matthias Gallas, détruisent plus de 100 maisons ainsi que le hameau de Champeigne et sa chapelle, situés entre les actuels barrage de la Tille et le moulin.

    En 1642, les Comtois pénètrent dans la chapelle du château de Mailly-le-Château, et y font quarante prisonniers. La chapelle est quant à elle reconstruite en 1687[15]. Au XVIIIe siècle, la famille Berbis rachète le quart de la seigneurie de Mailly, que possédait jusqu'alors le marquis de Laperrière[16]. En 1791, le Moulin est vendu comme bien national. En 1793, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié est transformée en prison et l'église paroissiale en temple de la Raison, puis de l'Être Suprême. En 1794, la chapelle Sainte-Anne est démolie et vendue pour la pierre. En 1797, la chapelle Notre-Dame-des-Ormaux, à l'emplacement de l'actuel cimetière, est démolie et vendue pour la pierre[15]. De la Révolution à 1814, Mailly-l'Église est renommé Mailly-le-Mont, Mailly-la-Ville devient Mailly-le-Bas, et Mailly-le-Château est appelé Mailly-les-Ormaux, conformément à l'esprit révolutionnaire désireux d'effacer toutes références à l'ordre et aux pouvoirs anciens[10].

    Entre 1808 et 1898, le moulin est exploité par la famille Toussaint-Jovignot. En 1839, la compagnie des sapeurs-pompiers des Maillys est fondée. En 1843, un grand incendie détruit une quarantaine de maisons à Mailly-le-Château. En 1848, les bois sont vendus et quasi tous défrichés par les agriculteurs. Un arbre de la liberté est planté (arraché dans les années 1920). En 1856, le conseil municipal vote en faveur de la construction du nouveau cimetière et Mme de Berbis cède un bâtiment, transformé en école publique. En 1863, un grand incendie détruit une soixantaine de maisons à Mailly-l'Église. En 1865, le conseil municipal vote en faveur de la reconstruction de l'église paroissiale. Entre 1898 et 1907, le moulin est exploité par la famille Aumaître. Entre 1907 et 1910, le moulin est exploité par la famille Jovignot. Entre 1910 et 1920, le moulin est exploité par la famille Laleur. En 1912, la fanfare des Maillys est fondée. Depuis 1920 le moulin est exploité par la famille Cêtre. En 1944, Les Maillys sont libérés.

    En 1945, la mairie du 5e arrondissement de Paris achète le château de Mailly-l'Église et le transforme en colonie de vacances, avant de le revendre à un particulier, quelques décennies plus tard. En 1952, la reconstruction du pont-de-Saône est entamée. En 1961, le conseil municipal entame les travaux de construction de la nouvelle poste. Entre 1969 et 1974, l'eau courante fait son entrée dans les maisons.

    Entre 1976 et 2000, un réseau d'assainissement des eaux usées est construit. En 1985, le Foyer rural des Maillys est fondé. En 1990, la mairie s'installe dans l'ancienne école de filles, transforme la cure en logements et aménage le parc des Trois Maillets. En 1992, les travaux de réaménagement de la gravière sont entamés[15]. En 1997, le château de Mailly-l'Église est ravagé par les flammes[17], les pompiers s'installent dans l'ancien garage Perrin, laissant place à la bibliothèque municipale[15]. En 2011, une tornade dévaste une quarantaine de maisons, le long de la route principale[18].

    Héraldique

    À la fin du Haut Moyen Âge, alors que les nobles d'Europe se dotent d'armoiries, évoquant graphiquement leur maison, famille, ou leurs qualités, les sires de Mailly, qui n'ignorent pas la proximité phonétique qui existe entre le prénom Mallius et le nom commun malleus (maillet), décident, très subtilement, de confondre ces deux termes dans leur blason, en y apposant trois maillets évoquant, à la fois graphiquement et phonétiquement, leur patronyme.

    Blasonnement :
    «de Gueules à trois maillets d'or, posés deux et un»

    N.B. Les villages de Mailly-sur-Seille (54)[19], et de Feuquières-en-Vimeu (80)[20], ont les mêmes armoiries.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    vers 1856   Antoine Jovignot    
    vers 1920   M. Peltier    
    2001 2008 Philippe Sordel    
    2008 2014 Marie-France Sordel    
    2014 2020 Gérard Sturer SE Retraité
    2020 En cours Maximilien Aurousseau    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2018, la commune comptait 814 habitants[Note 4], en diminution de 6,97 % par rapport à 2013 (Côte-d'Or : +0,65 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1721 2631 3331 2761 3851 3751 3571 3831 429
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3561 3351 3041 2321 1581 0901 032990960
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 004910910786807766756720696
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    749709668774739764813819866
    2017 2018 - - - - - - -
    820814-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les deux piliers de l'économie maillotine sont l'agriculture (céréales et maraîchage) et les services, qui concentrent chacun plus d'un tiers des établissements actifs de la commune[25].

    Éducation

    La commune possède une école maternelle, une école primaire ainsi qu'une bibliothèque, rue Bizot.

    Lieux et monuments

    • Ruines du château (XVIIe s), Allée du Château (Mailly-l'Église);
    • Croix (XIXe s), Rue Grande (entrée Mailly-le-Château et cimetière) et Rue de Saint-Jean-de-Losne (Mailly-la-Ville);
    • École (XIXe s), Rue Bizot (Mailly-l'Église);
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité (XIXe s), Rue Bizot (Mailly-l'Église), dont le mobilier figure à l'IGPC depuis le 01/06/1990[26];
    • Fontaine (XIXe s), Rue Bizot (Mailly-l'Église);
    • Gravière (ancienne), à Mailly-le-Port;
    • Mairie (XIXe s), Rue Bizot (Mailly-l'Église);
    • Pont sur la Tille (XIXe s), Rue Bizot (Mailly-l'Église);
    • Bascule (XXe s), Rue Bizot (Mailly l'Église);
    • Monument aux morts (XXe s), Rue Bizot (Mailly l'Église).

    Personnalités liées à la commune

    • Famille seigneuriale de Mailly

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Foucault M, Dynamique d’un corridor « fluviaire » sur la commune des Maillys (Côte-d’Or) in Revue des Etudes Rurales n°167-168, EHESS, Paris, 2003
    2. Carte topographique mappy
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Roserot Alphonse, Dictionnaire topographique de la côte d’Or, imprimerie nationale, Paris, 1924
    11. Simonnet J, Foisset P, Voies romaines du département de la Côte-d'Or et répertoire archéologique des arrondissements de Dijon et de Beaune, commission des Antiquités du département de la Côte d'Or', Lamarche, Dijon, 1872
    12. Base Joconde du ministère de la Culture
    13. Chouquer G, La genèse des paysages du Centre-Est de la Gaule. Polymorphisme et production d'une identité rurale, in Dialogues d'histoire ancienne, n°9, ISTA, Besançon, 1983
    14. Chenevoy S, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I, imprimerie de la coopérative ouvrière, Dijon, 1982
    15. Jovignot P, Si Mailly m'était conté, 2006
    16. Courtépée C, Description du duché de Bourgogne, tome 3, Causse, Dijon, 1778 (1re édition)
    17. Le Bien Public, n° du 16 mars 1997
    18. Site de TF1
    19. Armorial des communes de Meurthe-et-Moselle
    20. Armorial des communes de la Somme
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Rapport INSEE 2010
    26. Base Palissy du ministère de la Culture

    Liens externes

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