Lataule

Lataule est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Lataule

Carte postale du village à l'issue de la guerre 14/18.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
René Mahet
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60351
Démographie
Population
municipale
118 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 27″ nord, 2° 40′ 51″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 133 m
Superficie 7,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Lataule
Géolocalisation sur la carte : Oise
Lataule
Géolocalisation sur la carte : France
Lataule
Géolocalisation sur la carte : France
Lataule

    Géographie

    Localisation

    Lataule est un village-rue rural picard est situé sur un ancien chemin allant à Gournay-sur-Aronde et sur le tracé de l'ancienne RN 38 (actuelle RD 938), à 43 km au nord-est de Beauvais, à 25 km à l'ouest de Noyon et à 18 km au nord-ouest de Compiègne..

    Elle est aisément accessible depuis l'Autoroute A1 ainsi que par le tracé initial de l'ex-RN 35 (actuelle RD 935), et est tangentée par l'ex-RN 17 (actuelle RD 1017) à l'est du territoire communal.

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    Dépendances et écarts en 1883 : le Moulin, la Garenne. Contenance territoriales, 737 hectares. Population 200 habitants.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 700 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Lataule est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

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    Blason des seigneurs de Lataule.

    Près de la ferme de Portes et du village de Lataule des haches en silex ont été recueillies ainsi qu'une grande quantité de médailles romaines.

    La paroisse de Lataule relevait du comté de Clermont ; elle était de la prévôté, de l'élection et du grenier à sel de Montdidier. Elle avait vingt feux en 1469 et quatre-vingt-deux en 1770 ; à cette dernière date elle payait trois cent quatre-vingt-quatre livres de capitation.

    La terre de Lataule était un fief qui relevait de la salle du roi[C'est-à-dire ?] et de la châtellenie de Montdidier.

    La seigneurie de Lataule appartenait en 1300, à Aubert de Hangest ; elle comprenait trente sept setiers de terre sis au Val-Foubert, douze journaux de prés et cent d'avoine, à prendre sur les terres situées entre les vignes des Planques et Sommes d'Or.

    Ce lieu-dit, Sommes d'Or, compte une source intermittente qui coule tous les sept ou huit ans, pendant six mois. Les villageois disent que la Somme-d'Or coule quand le blé est cher.

    Aubert de Hangest, comme seigneur de Lataule, fit un accord avec l'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp pour le champart des terres sises près du chemin de Lataule et tenant au Mont-d'Olivet. Aubert épousa Agnès de Beaugies dont il eut Mathieu.

    De Hangest Mathieu, chevalier, eut en partage les terres de Lataule et de Huquevile. Il épousa Marie de la Bove, qui lui donna entre autres enfants : Aubert II de Hangest, seigneur de Lataule ; il mourut à la bataille de Poitiers en 1356, laissant de sa femme Alix de Haucourt, Aubert de Hangest, chevalier, seigneur de Lataule, qui mourut sans enfants en 1399.

    Son frère Jean de Hangest lui succéda dans la seigneurie, il fut grand maître des arbalétriers de France et décéda célibataire en 1407.

    La seigneurie revint à Isabelle de Hangest sur laquelle elle fut saisie par le roi d'Angleterre parce que cette dame était du parti du roi de France.

    Cette terre fut sans doute rendue à la famille, car Jacques de Hangest, fut seigneur de Lataule, de Magny, etc., conseiller et Chambellan du roi ; Adrien de Hangest, frère puîné de Jacques fut seigneur de Genlis et de Lataule, il fut grand échanson de France et mourut en 1532, laissant de sa femme Claude du Mas.

    Jean III d'Hangest de Genlis (1506- 2 février 1577). Il succède à son oncle comme évêque-comte de Noyon, par dispense en 1525, du pape Clément VII. Il a fait l'objet d'une sentence de justice en 1535, consignée dans les Minutes de Jules Simon, notaire à Paris[21]. Il fut également abbé commendataire de l'abbaye Saint-Éloi de Noyon de 1507 à 1525 et de l'abbaye Sainte-Élisabeth de Genlis de 1545 à 1548. Il rend hommage au roi de France le pour Genlis, La Taule ou Lataule, Le Bac-d'Arblincourt, Gournay[22] , etc.. François d'Hangest de Genlis suivit le parti du prince de Condé ; le , les seigneuries de Genlis et de Lataule furent saisies sur lui au nom du roi, parce qu'il était de la religion réformée.

    La seigneurie de Lataule fut acquise en 1578 par Valentine des Ursins qui la donna sa nièce, épouse de Charles d'Ognies, comte de Chaulnes.

    Son fils, Louis d'Ognies vendit, en 1602, la seigneurie de Lataule à Saint-Julien Du Fos, chevalier, seigneur de Lataule et de Méry. Il fut maintenu dans l'état de noblesse et avait pour armoiries : de sable à un pal d'argent chargé d'une molette de sinople.

    La seigneurie de Lataule resta dans la maison du Fos jusqu'à la Révolution française.

    Les seigneurs de Lataule possédaient un château qui fut détruit en 1636 par les Espagnols ; il fut rebâti au XVIIe siècle, c'est une construction en brique avec chaînes de pierre, d'une riche élégance. Il est habité par M. le comte de Beaussier.

    Selon Louis Graves, les poissonniers qui autrefois suivaient l'ancien chemin de Montdidier à Compiègne, passant près de Lataule, étaient obligés de venir au château, et de laisser prendre ce qui convenait au seigneur. .

    L'église paroissiale n'était autrefois qu'une chapelle castrale, sous le vocable de Saint-Blaise, fondée par les seigneurs de Hangest. Elle fut ensuite érigée en succursale de la cure de Cuvilly, mise sous l'invocation de la Vierge et érigée en paroisse par l'évêque de Beauvais. Cette première église qui avait été détruite durant la Guerre de Trente Ans, lors de l'invasion espagnole en 1636 fut rebâtie deux années après. Cette seconde église a été remplacée en 1864/1865 par celle détruite lors de la Première Guerre mondiale[23],[24].

    Les Hospitaliers

    La cure de Lataule était à la nomination de l'évêque de Beauvais ; la dîme appartenait à la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Fontaines-sous-Montdidier. Elle était du doyenné de Ressons.

    Première Guerre mondiale

    Le village a été détruit le lors de la Bataille du Matz[23],[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise[27].

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ressons-sur-Matz[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis[27]

    Pour les élections législatives, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la Communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale 'EPCI) à fiscalité propre créé en 1997.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 9 septembre 2014)
    René Mahet LR Président de la CC du Pays des Sources (2001 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020[29]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 118 habitants[Note 7], en augmentation de 6,31 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    262283302311418297269258263
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    252246212201186200211220203
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    190183170146166172139137144
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    122108675470106121123112
    2017 2018 - - - - - - -
    117118-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 15 %, 15 à 29 ans = 21,7 %, 30 à 44 ans = 26,7 %, 45 à 59 ans = 16,7 %, plus de 60 ans = 20 %) ;
    • 51,2 % de femmes (0 à 14 ans = 22,2 %, 15 à 29 ans = 11,1 %, 30 à 44 ans = 27 %, 45 à 59 ans = 15,9 %, plus de 60 ans = 23,8 %).
    Pyramide des âges à Lataule en 2007 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,7 
    90 ans ou +
    0,0 
    5,0 
    75 à 89 ans
    12,7 
    13,3 
    60 à 74 ans
    11,1 
    16,7 
    45 à 59 ans
    15,9 
    26,7 
    30 à 44 ans
    27,0 
    21,7 
    15 à 29 ans
    11,1 
    15,0 
    0 à 14 ans
    22,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de Lataule, détruite pendant la Première Guerre mondiale, datait de 1864/1865. Reconstruite en 1922, elle a été réhabilitée par la commune en 2013[23].

    Son plan est simplement constitué d’un clocher formant porche et d’une nef unique couverte d’une belle charpente en carène. Une Vierge à l’Enfant du XVe siècle[35] et un buste- reliquaire du XVIIe siècle[36], tous deux en bois, proviennent de l’église précédente[24].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Lataule », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lataule et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lataule et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. France Archives
    22. Archives nationales de France, cote:P//15,
    23. « Après dix ans de travaux l'église est rouverte au culte : Une cérémonie était organisée samedi, pour marquer la réhabilitation de l'édifice religieux, bombardé en 1918, et du monument aux morts », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    24. Dominique Vermand, « Lataule, église Notre-Dame », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    27. « Commune de Lataule (60351) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2020), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. « LATAULE La commune prévoit de nouveaux locaux : René Mahet, le maire de Lataule et son équipe lancent la construction d’un atelier municipal. Il devrait être réalisé avant mai 2015. Budgété cette année, ce local de 140 m² prendra place dans la future extension du cimetière. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Évolution et structure de la population à Lataule en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    34. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Vierge à l'Enfant », notice no PM60003446, base Palissy, ministère français de la Culture.
    36. « Buste-reliquaire », notice no PM60004769, base Palissy, ministère français de la Culture.
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