Last Action Hero

Last Action Hero ou Le Dernier des héros au Québec est un film américain de John McTiernan, sorti en 1993.

Last Action Hero
Titre québécois Le Dernier des héros
Réalisation John McTiernan
Scénario Shane Black
David Arnott
Musique Michael Kamen
Acteurs principaux
Sociétés de production Columbia Pictures
Oak Productions
Pays d’origine États-Unis
Genre Comédie policière, action, fantastique
Durée 130 minutes
Sortie 1993


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Avec notamment dans les rôles principaux Arnold Schwarzenegger, Austin O'Brien et Charles Dance, et avec la participation d'Anthony Quinn, le film raconte les péripéties d'une aventure policière loufoque qui est une satire du genre des films d'action et des clichés associés, traitée sur le thème de la parodie et sous la forme d'un film dans un film.

Last Action Hero a connu un échec au box-office aux États-Unis lors de sa sortie, réalisant toutefois de bons scores dans le reste du monde, et recueillant une recette totale de 137 millions de dollars. Au fil du temps, le film a acquis le statut de film culte, notamment en raison son humour décalé et ses clins d’œils à diverses œuvres et personnages de fiction populaires.

Synopsis

Danny Madigan, un jeune garçon new-yorkais, sèche régulièrement l'école pour aller au cinéma. Il est un grand fan de la série des Jack Slater, des films d'action qui mettent en scène son héros préféré, Jack Slater (incarné par Arnold Schwarzenegger), qui rappelle celui de l'inspecteur Harry.

Nick, le projectionniste du cinéma Pandora et seul ami de Danny, lui propose de venir un soir regarder en avant-première le nouvel opus de sa vedette favorite, Jack Slater IV. À cette occasion, le vieil homme lui remet un ticket d'entrée magique qui, dit-il à Danny, lui a été donné jadis par le grand magicien Harry Houdini. Mais, au cours de la projection, Danny, grâce au ticket, « entre » dans le film. Il se trouve alors mêlé à une sombre intrigue policière se passant à Los Angeles, dans laquelle bons et méchants s'aperçoivent assez vite qu'il en sait beaucoup trop sur eux (car il a vu le début du film).

L'affaire se complique lorsque Benedict, un tueur professionnel qui travaille pour le maffieux Tony Vivaldi (qui a chargé Benedict d'éliminer Slater), s'empare du ticket magique ; effectuant le trajet inverse, Benedict arrive dans le monde réel. Le poursuivant, Jack Slater découvre alors qu'il n'est plus invulnérable dans ce monde-ci et qu'il doit notamment penser à recharger son pistolet. Il comprend aussi qu'il doit protéger son alter-ego  à savoir Arnold Schwarzenegger  dont la mort le supprimerait simultanément.

Enfin, Slater doit protéger Danny d'un autre méchant, le tueur en série du début du film (que Benedict a amené avec lui dans le monde réel) quand celui-ci prend en otage le garçon pour rejouer avec lui la scène tragique qui finissait Jack Slater III, dans laquelle le fils de Slater trouvait la mort.

Fiche technique

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Distribution

Production

Genèse et développement

Le scénario original est écrit par Adam Leff et Zak Penn. Ils imaginent d'emblée Arnold Schwarzenegger dans le rôle principal. Le projet s'intitule alors Extremely Violent. Columbia acquiert le script et approche l'acteur. Ce dernier décide de rebaptiser le film Last Action Hero. Le script est ensuite réécrit par Shane Black et David Arnott pour accentuer les scènes d'action. Des réécritures sont ensuite faites par William Goldman pour étoffer les personnages[1].

La réalisation du film est proposée à Steven Spielberg, mais celui-ci préfère se concentrer sur La Liste de Schindler. Le réalisateur Robert Zemeckis a également été envisagé[1].

Distribution des rôles

Alan Rickman est initialement choisi pour le rôle de Benedict, mais l'acteur demande un salaire trop important. Le rôle revient donc finalement à Charles Dance. Ce dernier révèle en interview qu'il a alors porté un t-shirt avec la mention « I'm cheaper than Alan Rickman! » (« je suis moins cher qu'Alan Rickman »). William Atherton et Timothy Dalton avaient également été envisagés[1].

Le rôle du cousin de Jack Slater, Frank, est incarné par Art Carney. Il s'agit d'un dernier rôle de l'acteur qui décède en 2003[1].

De nombreuses célébrités apparaissent brièvement, comme Little Richard, James Belushi et Jean-Claude Van Damme lors de la première de Jack Slater IV, on note également une petite apparition de Damon Wayans, future vedette des séries Ma famille d'abord et L'Arme fatale. Tori Spelling a également tourné un caméo, finalement coupé au montage, alors que Tony Curtis devait lui aussi participer[1].

L'intérieur de l'Orpheum Theatre de Los Angeles a servi de décor au film

Tournage

Le tournage a lieu de à . Il se déroule principalement en Californie : à Los Angeles (Downtown, Studio City, etc.), à Malibu (maison de Tony Vivaldi, le vidéo-club), à Long Beach (Hyatt Regency Hotel, Terrace Theatre, etc.), à San Diego ou encore à Culver City (Sony Pictures Studios)[3].

Quelques scènes sont tournées à New York, notamment l'avant-première de Jack Slater IV au RKO Twin Theatre sur Times Square[3].

Musique

Last Action Hero
Music from the Original Motion Picture

Bande originale de divers artistes
Sortie
Durée 54:19
Genre Hard rock, heavy metal, metal alternatif, grunge, rock alternatif
Label Columbia Records
Critique

La musique du film est composée par Michael Kamen. De prestigieux groupes de hard rock et de heavy metal participent également à l'album de la bande originale sorti en . La chanson Big Gun d'AC/DC a été écrite spécialement pour le film, à la demande d'Arnold Schwarzenegger[1].

Liste des titres
No TitreInterprètes Durée
1. Big GunAC/DC 4:24
2. What the Hell Have IAlice in Chains 3:58
3. Angry AgainMegadeth 3:47
4. Real WorldQueensrÿche & Michael Kamen 4:21
5. Two Steps BehindDef Leppard 4:19
6. Poison My EyesAnthrax 7:04
7. Dream On (Live)Aerosmith 5:42
8. A Little BitterAlice in Chains 3:53
9. Cock the HammerCypress Hill 4:11
10. SwimFishbone 4:13
11. Last Action HeroTesla 5:44
12. Jack and the RipperBuckethead, Los Angeles Rock and Roll Ensemble & Michael Kamen 3:43
54:19

Sortie

Promotion

Le studio Columbia Pictures a dépensé 500 000 dollars pour que le nom du film et celui d'Arnold Schwarzenegger soient peints sur le fuselage de la fusée Conestoga 1620, conçue par un consortium privé et la NASA lors de sa promotion, avançant ainsi que ce serait « la première fois dans l'histoire de la publicité qu'un véhicule spatial est utilisé »[5],[6].

Cependant, le décollage de la fusée a été retardé, n'ayant eu lieu que deux ans après la sortie du film, le , et s'est conclu par une explosion en vol[5],[7].

Accueil critique

Last Action Hero reçoit un accueil critique mitigé. Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient un score de 39 % d'avis favorables, sur la base de 49 critiques collectées et une note moyenne de 5/10 ; le consensus du site indique : « Last Action Hero a la plupart des bons ingrédients pour une parodie [de film] d'action à gros budget, mais son ton dispersé et sa structure inégale ne font qu'ajouter à un désordre confus et chaotique »[8]. Sur Metacritic, le film obtient une note moyenne pondérée de 44 sur 100, sur la base de 19 critiques collectées ; le consensus du site indique : « Avis mitigés ou moyens »[9].

En France, le site Allociné donne au film une note moyenne de 3,5/5, sur la base de 4 titres de presse[10]. Pour le quotidien La Croix : « Last action hero est un modèle du genre, [...] le tout dans un irrésistible déferlement d’humour et de références cinéphiliques ». Dans Le Journal du dimanche, le critique indique : « Schwarzenegger a toujours aimé introduire un peu d’humour dans ses films mais jamais il n’est allé aussi loin dans l’auto-parodie et le pastiche. [...] Les clins d’œil de Last Action Hero sont [...] savoureux ». La revue Positif émet cependant quelques réserves : « Schizophrène, le film reste écartelé entre ces tensions contradictoires, et oscille sans arrêt entre la parodie échevelée et le film d'action attendu dont le suspense, pour être efficace, ne peut supporter le second degré »[10].

Box-office

Le film a connu un échec aux États-Unis lors de sa sortie en 1993. Il ne récolte qu'environ 50 millions de dollars pour un budget de 85 millions[11]. Le film réalise toutefois de bons scores dans le reste du monde en recueillant 137 millions de dollars, ce qui reste décevant[5]. En France, il est le 10e meilleur film du box-office annuel. Cet échec relatif, notamment aux Etats-Unis, peut s’expliquer en partie par la sortie, une semaine plus tôt seulement, de Jurassic Park, en passe de devenir le plus gros phénomène cinématographique de l'époque.

Au fil du temps, le film a acquis le statut de film culte[12],[13],[14].

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
États-Unis
Canada
50 016 394 $[11] [15] 12[15]
France 1 844 301 entrées[16] 5

Total mondial 137 298 489 $[11] - -

Adaptation

  • 1993 : Last Action Hero, jeu vidéo adapté du film par Bits Studios et édité par Sony Imagesoft.

Édition DVD

La première édition DVD du film en France contenait par erreur le doublage québecois. Il fut vite rappelé pour corriger ce défaut, et toutes les éditions suivantes contiennent le doublage français.

Clins d’œil et références à d'autres œuvres dans le film

Le film est une sorte d'hommage au cinéma, faisant plusieurs références  parfois subtiles  au septième art. De nombreux films sont évoqués, mais également des acteurs et actrices comme Humphrey Bogart, Greta Garbo, Jean Harlow, Marilyn Monroe et Harrison Ford.

On peut voir des affiches et jaquettes de certains films, notamment dans la scène du vidéo-club, tels que : Blade Runner, Bugsy, Dracula, Le Roman d'Elvis, Calme blanc, Mad Max, Le Contrat, Hot Blood, The Camp on Blood Island (en), Apartment Zero (en), Screaming Mimi, La Veuve noire, Young Guns 2, Boyz N the Hood, Jason et les Argonautes, Chacal, The Doors, Fellini Roma, La Nuit des morts-vivants, Dealers (en) et À la poursuite d'Octobre rouge (du même réalisateur).

De nombreuses scènes sont en elles-mêmes des références plus ou moins évidentes à d'autres films. Citons la sortie du commissariat de Sharon Stone (comme si elle venait de subir le célèbre interrogatoire de Basic Instinct) et de Robert Patrick (habillé en policier T-1000 comme dans Terminator 2 : Le Jugement dernier) ou la référence visuelle à E.T. l'extra-terrestre lorsque Danny passe devant la lune avec son vélo[1].

Au tout début du film quand l'Eventreur est sur le toit de l'école, le chef de Jack Slater, le lieutenant Dekker, fait une référence à une épouvantable nuit pour un Noël. Il s'agit d'un clin d'oeil à Piège de cristal où l'action se déroule elle aussi durant un Réveillon.

Lorsque la maison de Frank explose, le vieux policier afro-américain dit « Two days to retirement » (« à deux jours de la retraite »). Il s'agit d'un clin d'oeil à Roger Murtaugh, incarné par Danny Glover dans la saga L'Arme fatale. On peut d'ailleurs entendre brièvement le thème musical du premier film à ce moment, composé par Michael Kamen (également à l'oeuvre sur Last Action Hero)[1].

Quand Danny insiste pour que Jack vérifie si Benedict est bien mort, il lui rappelle que dans Piège de cristal le pendu qu'on croyait mort, Karl Vreski, revient à la fin. On peut d'ailleurs entendre brièvement le thème musical du film à ce moment, également composé par Michael Kamen[1].

Le jeune Danny raconte à Jack Slater que l'ami de ce dernier, John Persévère (John Practice en VO), a tué « Moe » Zart. Il s'agit d'une référence au film Amadeus de Milos Forman sorti en 1984, dans lequel l'interprète de John Persévère, F. Murray Abraham, incarne Antonio Salieri, le rival de Wolfgang Amadeus Mozart.

De nombreuses références à la marque fictive de l'univers Looney Tunes, ACME, apparaissent également dans le film. Tout d'abord sur une caisse d'explosifs lors de la scène de poursuite, puis sur un camion de glaces (« ACME Ice Cream »), ainsi que sur une pile de cartons (« ACME Storage Center »). Plus tard, un club vidéo porte l'inscription « ACME Video » sur sa porte d'entrée, puis on peut lire « ACME Construction » sur la grue de chantier dans la scène sur le toit de l'hôtel. Enfin, chose étrange, une enseigne ACME apparaît dans le monde réel, lors de la scène où Danny est rattrapé par Jack après que l'éventreur l'a jeté du toit[1].

Lorsque le film Jack Slater IV démarre, on peut voir qu'il est réalisé par Franco Columbu. Franco Columbu est un bodybuilder italien, ami d'Arnold Schwarzenegger[1].

Dans le film, Ian McKellen incarne la Mort sortie du film Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman. C'est en réalité Bengt Ekerot qui l'incarnait dans ce film de 1957[1].

L'enseignante de Danny qui propose à sa classe Hamlet (1948) de et avec Laurence Olivier, est incarnée par Joan Plowright. Elle est la troisième et dernière femme de Laurence Olivier. Elle ironise en disant à ses élèves qu'ils connaissent peut-être l'acteur pour son rôle de Zeus dans Le Choc des Titans (1981) ou dans une publicité pour la Polaroid[1].

Pour prouver à Slater qu'ils sont dans un film, Danny emmène Jack Slater dans un vidéo-club. Il y découvre alors avec désarroi que Sylvester Stallone est sur une affiche de Terminator 2 : Le Jugement dernier à la place de Schwarzenegger, incarnant ainsi le célèbre Terminator à sa place. Sylvester Stallone fera à son tour un clin d’œil à Arnold Schwarzenegger en faisant de lui le président des États-Unis dans le futur du film Demolition Man[17].

Autour du film

Le film semble au premier abord comporter une incohérence : lorsque La Mort du Septième Sceau touche un passant dans une rue de New York, celui-ci agonise peu après. Plus tard, elle affirme que Danny figure sur une de ses listes. Or, si Jack Slater perd ses facultés dans le monde réel, il est donc impossible que La Mort puisse garder les siennes. C'est l'un des indices laissé par le film pour nous faire comprendre que la réalité de Danny est aussi un film et non notre monde réel. Comme le fait que Jack Slater arrive à arracher une porte de taxi, qu'il tombe par hasard sur le méchant Benedict qui a laissé un indice comme tout bon méchant qui se respecte (comme mentionné quelques secondes avant par Slater). On peut aussi voir la marque ACME dans le monde de Danny lorsqu'il est sauvé d'une chute par Slater. La fille de Jack Slater, Meredith, est montrée comme étant joué par Meredith Caprice dans le monde de Danny, or elle est en réalité jouée par Bridgette Wilson, prouvant encore une fois que le monde de Danny n'est pas notre réalité. Bien que ce monde soit plus sombre, il est l'archétype des films d'actions à l'ambiance glauque des années 1980, comme Terminator. Le monde de Slater serait lui une représentation des films d'actions des années 1990, plus rutilant, à la Terminator 2 : Le Jugement dernier (une des scènes de courses poursuite sautant d'un pont est reprise dans la réalité de Jack Slater). Ainsi, même dans le monde de Danny, les méchants ne peuvent pas gagner et ils font toujours de longs discours pour expliquer leur plan.

On peut également observer trois faux raccords dans le film :

  • Lorsque Jack Slater allume un cigare, au moment où il est face à Benedict à l'entrée de la propriété de Vivaldi, celui-ci semble avoir été déjà entamé (le bout a une couche de cendre). Au changement de plan, le cigare ne comporte soudainement plus de cendres à son bout, ce qui prouverait qu'il n'a jamais été entamé.
  • Lorsque Jack est suspendu de ses fonctions et débarrasse son bureau, il a encore ses vêtements sales (des suites de l'explosion de la maison de son ex-femme). Quand il rentre chez lui avec Danny, peu après, il apparaît bien propre et bien coiffé.
  • Le premier plan des funérailles de Leo montre que le corps dépasse un peu du cercueil. Sur le plan panoramique suivant, le corps apparaît bien disposé dans le fond du cercueil.

Dans la version française, on peut entendre la voix du comédien Mario Santini sur pas moins de quatre personnages : l'agent de police mourant à deux jours de la retraite, l'homme de main de Benedict sortant les faux billets du tiroir, l'agent de police récupérant l'œil de verre piégé de Benedict et enfin l'agent de Tom Noonan.

James Belushi apparaît lors d'une scène où il affirme ne pas être fan de Schwarzenegger, les deux acteurs ont précédemment joué dans Double Détente et rejoueont dans le film La Course au jouet. Jean-Claude Van Damme fait aussi une brève apparition dans Last Action Hero, il rejouera avec Schwarzenegger dans Expendables 2 : Unité spéciale sans faire la moindre scène commune dans les deux films.

C'est à partir de ce film que Daniel Beretta double Schwarzenegger de façon ininterrompue jusqu'à aujourd'hui.

Projet de suite

En 2019, au moment de la sortie du film Terminator: Dark Fate, l'acteur Arnold Schwarzenegger exprime son envie de reprendre deux de ses rôles précédents : celui de Harry Tasker de True Lies (1994) et Jack Slater de Last Action Hero[18].

Notes et références

  1. (en) Trivia sur l’Internet Movie Database
  2. (en) Dates de sortie sur l’Internet Movie Database
  3. (en) Locations sur l’Internet Movie Database
  4. (en) review - AllMusic.com
  5. (en) Nick De Semlyen, « The Life And Death Of Last Action », sur empireonline.com, .
  6. (en) Martin J. Smith, « Action Film Will Get Boost From A Rocket », sur sun-sentinel.com, 4 mars 1993/.
  7. (en) Mark Wade, « Conestoga 1620 », sur astronautix.com (consulté le ).
  8. (en) « Last Action Hero (1993) », Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
  9. (en) « Last Action Hero Reviews », Metacritic.com (consulté le )
  10. « Last Action Hero - critiques presse », sur Allociné (consulté le )
  11. (en) « Last Action Hero », sur Box Office Mojo (consulté le )
  12. Last action hero film culte sur premiere.fr
  13. (en) Last Action Hero cult movie on www.tv Tropes.org
  14. (en) Last Action Hero on www.slashfilm.com
  15. (en) « Last Action Hero - weekly », sur Box Office Mojo (consulté le )
  16. « Last Action Hero », sur JP's Box-office (consulté le )
  17. Critique de Last Action Hero sur Devildead
  18. « Arnold Schwarzenegger partant pour Last Action Hero 2 et True Lies 2 », sur eklecty-city.fr, .

Annexes

Articles connexes

Œuvres similaires
  • Barbelune, un roman d'Aimé Blanc dans lequel un écrivain écrit un roman concernant les aventures d'un « garçon de mauvaise vie », Ernest, qui sort du roman et envisage de tuer son « père littéraire ».
  • Redshirts : Au mépris du danger, un roman de John Scalzi dans lequel des hommes d'équipages d'un vaisseau spatial du XXIVe siècle découvrent que leurs aventures spatiales sont en réalité liées à une série de science-fiction du XXIe siècle.
  • Galaxy Quest (1999), un film américain réalisé par Dean Parisot dans lequel des acteurs d'une série de science-fiction sont pris pour de vrais aventuriers de l’espace par des extraterrestres ; ce faisant, ils deviennent vraiment des aventuriers de l'espace.

Liens externes

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