Larressingle

Larressingle (Larressingla en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Larressingle

Mairie de Larressingle.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Ténarèze
Maire
Mandat
Xavier Fernandez
2020-2026
Code postal 32100
Code commune 32194
Démographie
Gentilé Larressingloises, Larressinglois
Population
municipale
211 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 45″ nord, 0° 18′ 40″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 177 m
Superficie 8,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Condom
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armagnac-Ténarèze
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Larressingle
Géolocalisation sur la carte : Gers
Larressingle
Géolocalisation sur la carte : France
Larressingle
Géolocalisation sur la carte : France
Larressingle

    Ses habitants sont appelés les Larressingloises, Larressinglois.

    Géographie

    Localisation

    Le village de Larressingle est situé à km à l'ouest de Condom dans la vallée de l'Osse. Il surgit au-dessus de vignes qui produisent de l'armagnac. Elle fait partie de l'Aire urbaine de Condom.

    Représentation cartographique de la commune

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Larressingle[1]
    Larroque-sur-l'Osse
    Beaumont Condom
    Mouchan Cassaigne

    Géologie et relief

    Larressingle se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 782 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montreal », sur la commune de Montréal, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 692 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Larressingle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Condom, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,9 %), terres arables (43 %), cultures permanentes (2,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    D'après la légende, ce village fortifié du XIIIe siècle tirerait son nom de l'époque gallo-romaine. Une légion romaine trouvant résistance face à la population locale aurait eu pour ordre de leur lieutenant «RETRO SINGULI» en arrière un par un. Une autre étymologie aurait ses racines du latin « Cingulum », enceinte de donjon féodal et de la syllabe « re », réfection, reconstruction pour devenir aujourd'hui Larressingle[21].

    Histoire

    Larressingle entre dans l'histoire au début du XIe siècle. L'abbé Hugues de Gascogne, fondateur de l'abbaye de Condom, est héritier de son père Gombaud, duc de Gascogne et évêque de Gascogne, descendant des Ducs de Gascogne. Devenu évêque d'Agen et de Bazas, il laisse sa charge abbatiale de Condom et fait don à son successeur de ses terres de Larressingle et de l'église Saint-Sigismond. La possession de l'église et de la villa est confirmée en 1163 et 1245 par les bulles des papes Alexandre III et Innocent IV. C'est ainsi que les abbés puis les évêques de Condom sont devenus les seigneurs des lieux.

    Au XIIe siècle, on remplace l'église primitive par une église à l'ouvrage défensif. Au XIIIe siècle, la couronne de France et d'Angleterre se disputent l'Aquitaine. On voit alors dans la région, les bourgs se fortifier (Sauvetés, Bastides). Ce sont les abbés de Condom qui font réaliser cette forteresse. Le cartulaire attribue la fin de la construction des tours à l'avant-dernier abbé de Condom, Arnaud Othon de Lomagne, dans la seconde moitié du XIIIe siècle, qui a aussi construit une partie du château de Cassaigne.

    Le , son successeur, Auger d'Anduran, abbé de Condom entre 1285 et 1305, conclut un acte de paréage et le roi d'Angleterre, Édouard Ier dans lequel il est traité du castrum de Retrosingula. L'abbé fit exhausser les tours de l'enceinte. La construction du château avait probablement comme but de protéger Condom des agressions pouvant venir de l'ouest, mais il pouvait aussi servir aux abbés à se protéger des habitants de Condom qui étaient souvent en opposition avec eux pour leurs droits. Dans cet acte de paréage, l'abbé fait participer le roi d'Angleterre pour rendre la justice dans la ville de Condom, le château de Larressingle et leurs dépendances.

    Le roi fait de même avec l'abbé pour le château de Goalard et ses dépendances. Deux baillis, l'un nommé par le roi, l'autre par l'abbé, sont chargés de rendre la justice dans l'ensemble de ce bailliage. L'abbé partage avec le roi le droit de créer des consuls, jurats et notaires, et de recevoir de nouveaux habitants à Condom et à Larressingle. Le roi s'engage à protéger l'abbé de toute rébellion des habitants de Condom. La garnison de Larressingle a dû être fournie par le roi d'Angleterre à partir de cette date. Cet acte de paréage n'a pas mis fin aux oppositions entre les abbés, puis les évêques qui leur succèdent, avec les consuls.

    Larressingle a pu avoir un bailli spécial, comme en 1324, Arnaud de Floris qui est bailli de Larressingle.

    Le château de Larressingle ne semble pas avoir joué de rôle militaire pendant la Guerre de Cent Ans. Le compte consulaire de Montréal signale pour l'année 1412, en juin, le passage de la compagnie de routiers du capitaine "Nicolo lo Basquo", avant de camper devant Montréal.

    À partir de 1587, la ville de Condom va entretenir à Larressingle une modeste garnison de trois hommes. Le village ne sera pas attaquée avant 1589. Année durant laquelle la petite garnison ne put empêcher les Ligueurs de s'emparer par surprise de Larressingle. Antoine-Arnaud de Pardaillan de Gondrin, seigneur de Montespan, s'en rend dès lors maître. Les ligueurs vont alors utiliser Larressingle comme base afin de réaliser leurs razzias et méfaits jusqu'en 1596. Les consuls de Condom et le sénéchal d'Agenais ne purent arriver à les déloger.

    En juin 1590 les consuls condomois entreprirent de discuter avec le sieur de Montespan pour lui faire quitter la place. Celui-ci accepta pour 2000 écus. Le maréchal de Matignon valida cet accord et envoya des commissaires pour faire démanteler Larressingle, Vic et Nogaro mais Montespan changea d'avis. En juillet 1590, il demanda 2000 écus supplémentaires à payer par le pays d'Armagnac ; ce que refusa le maréchal de Matignon. Montespan demanda ensuite 3000 écus pour ne pas inquiéter les habitants de Condom et de la juridiction, et s'engageait à démanteler Larressingle après le démantèlement de Vic et Nogaro, puis, finalement, refusa de discuter de la reddition de Larressingle, en s'engageant, en décembre 1590, de procurer "le soulagement du peuble, du laboureur et de son bestailh".

    Le , le marquis de Villars qui commande les ligueurs du pays signe un traité "pour la liberté du laboureur, son bestail, et pour toutz ceulx qui de portent point les armes que pour la deffence des villes et maisons d'où ilz sont domiciliés". Le maréchal de Matignon refusa cet accord qui ne concernait que le Condomois et l'Armagnac.

    En 1594, Montespan est encore à Larressingle, Valence et Mirande. Mais en juillet 1594, il fait savoir qu'il voulait "se rendre serviteur de Sa Majesté". Finalement Montespan n'évacua Larressingle qu'en 1596. Il fait la même année sa soumission au roi Henri IV. Le , Montespan prêtait serment aux consuls de Condom en sa qualité de sénéchal d'Agenais. Larressingle n'a plus joué de rôle militaire, même pendant la Fronde.

    Dès le XVIIe siècle, le château est délaissé par les évêques au profit de celui de Cassaigne plus moderne. Et c'est à la fin du XVIIIe siècle que Mgr d'Anterroches, dernier évêque de Condom, fait démonter la toiture et transporter les bois de charpente à Cassaigne. Vendu comme bien national, il est dépecé et vidé. C'est alors que le village lui-même tombe dans l'oubli. Petit et peu commode, on habite plus facilement à l'extérieur.

    Au début du XXe siècle, la forteresse est vouée à disparaître. Seules trois maisons sont habitées, les autres transformées en grange ou abandonnées, perdent toitures et pierres. Le village doit sa restauration à l'initiative du duc de Trévise qui fonde un comité de sauvegarde auprès de financiers de Boston qui alimenteront les caisses jusqu'en 1938.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? François Brach PS  
    2001 2008 Maurice Papelorey DVD Négociant en Armagnac
    2008 En cours Xavier Fernandez[22] DVD Employé en Assurances
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 211 habitants[Note 5], en diminution de 1,86 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    292327305317306322305312355
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    303307270272284288278275263
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    246225203228247226223213187
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    170155138161200204216215211
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue d'ensemble.

    Larressingle est homologué comme un des « Plus Beaux villages de France » et accueille en moyenne chaque année 133 000 visiteurs.

    Les remparts[27]

    Le village est ceint d'un rempart polygonal de 270 m de tour presque intact sauf à l'est. L'enceinte s'ouvre à l'ouest par une haute porte fortifiée à brêtèche. Le pont-levis qui le précédait est aujourd'hui remplacé par un pont fixe encadré de deux piliers étroits. Les murs parfois encore entourés de courtines et de créneaux sont renforcés par des tours carrées.

    Entrée par le pont-levis.

    Le pont d'Artigues Situé à proximité de Larressingle, il est classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO en tant que point de passage des chemins de Compostelle en France. C'est un ouvrage néo-roman de quatre arches qui reste l'un des rares témoins contemporains du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. À proximité s'élevait un couvent qui a, aujourd'hui, disparu.

    Le château-donjon[28]

    Sa masse trapézoïdale à quatre niveaux, flanquée d'une tourelle hexagonale, est percée de fenêtres géminées ou à meneaux ; l'intérieur, ruiné, laisse voir en surplomb quelques cheminées monumentales.

    L'église Saint-Sigismond

    Le château possède une église romane dédiée à saint Sigismond.

    L'édifice datant du XIIe et XIIIe siècle est classé au titre objet des monuments historiques depuis 1988[29],[30].

    À noter que la statue de saint Sigismond, réalisée à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle par la fabrique toulousaine de François-Dominique Monna, est une réduction du Vercingétorix d'Aimé Millet érigé en 1865 à Alise-Sainte-Reine, site du siège d'Alésia[31].

    La cité des machines à Larressingle.
    • Le Camp de siège médiéval des machines du Moyen Âge :

    Un site touristique sous forme de reconstitution d'un camp médiéval s'est installé aux abords de la cité et accueille les visiteurs du au . Cette animation permet de découvrir et de s'initier aux techniques de l’art de la guerre de siège avec reconstitution et démonstration de tir des engins de siège.

    Une bastille en bois et une tour de siège protège le campement composé d'une palissade avec des machines de guerre. Sont ainsi présentés au public les machines de jet et l'artillerie à poudre ainsi que perrière, bricole, trébuchet, biffa ou couillard, bombardelle, couleuvrine, canon serpentine. Une catapulte est présentée au milieu du campement.

    Les visiteurs peuvent faire tourner grue médiévale, cage à écureuil ou treuil à tambour et, de même, s'initier au tir à l'arc, à l'arbalète, découvrir la frappe de monnaie médiévale, la taille du boulet de pierre, revêtir une cotte de mailles de chevalier ou une tenue de princesse du Moyen Âge.

    • Le musée de la Halte du pèlerin :

    Le musée permet une évocation historique de la vie au Moyen Âge avec 50 personnages de cire en costumes d'époque.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au lion d'or.
    Détails
    Adopté le 2 octobre 2015.

    Le Pèlerinage de Compostelle

    La commune de Larressingle est une des étapes du Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, hors du chemin de la Via Podiensis. Larressingle se situe, sur ce chemin, après Condom. La prochaine commune est Beaumont-sur-l'Osse et son Pont d'Artigues.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Les amis de Larressingles, Larressingle : histoire d'une cité médiévale, Les éditions Sud Ouest, , 32 p. (ISBN 978-2-8177--0434-0)
    • Renaud Camus, Le département du Gers, Pol, 1997, voir table : voir p. 331 (ISBN 2-86744-570-1)
    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)
    • Georges Tholin, Joseph Gardère, Larressingle en Condomois, description et histoire, Imprimerie de G. Foix, Auch, 1892 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Montreal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Larressingle et Montréal », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Montreal - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Larressingle et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Revue de Gascogne : Larressingle en Condomois, tome XXXII, 1891 Gallica BnF
    22. Site de la préfecture - Fiche de Larressingle
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Notice no PA00094829, base Mérimée, ministère français de la Culture : Enceinte fortifiée
    28. Notice no PA00094826, base Mérimée, ministère français de la Culture : Ruines du château.
    29. « Eglise Saint-Sigismond », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Église paroissiale Saint-Sigismond », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    31. Jacques Lapart, « Une statue de Vercingétorix à Larressingle », Bulletin de la Société archéologique du Gers, t. CIII, 2002, p. 256-259.
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