Labarthe-sur-Lèze

Labarthe-sur-Lèze est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Labarthe.

Labarthe-sur-Lèze

La mairie et l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Le Muretain Agglo
Maire
Mandat
Yves Cadas
2020-2026
Code postal 31860
Code commune 31248
Démographie
Gentilé Labarthais
Population
municipale
6 275 hab. (2018 )
Densité 602 hab./km2
Population
agglomération
1 218 166 hab. (2009)
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 10″ nord, 1° 24′ 03″ est
Altitude Min. 151 m
Max. 173 m
Superficie 10,43 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Portet-sur-Garonne
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Labarthe-sur-Lèze
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Labarthe-sur-Lèze
Géolocalisation sur la carte : France
Labarthe-sur-Lèze
Géolocalisation sur la carte : France
Labarthe-sur-Lèze
Liens
Site web Site officiel de la commune

    Ses habitants sont appelés les Labarthais, Labarthaises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Labarthe-sur-Lèze se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à km de Muret[3], sous-préfecture, et à km de Portet-sur-Garonne[4], bureau centralisateur du canton de Portet-sur-Garonne dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Villate (2,6 km), Clermont-le-Fort (2,7 km), Vernet (3,3 km), Pins-Justaret (3,4 km), Venerque (4,1 km), Goyrans (4,2 km), Lagardelle-sur-Lèze (4,5 km), Eaunes (5,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Labarthe-sur-Lèze fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[6].

    Labarthe-sur-Lèze est limitrophe de sept autres communes.

    Communes voisines.

    Hydrographie

    La rivière la Lèze se jette dans l'Ariège sur le territoire de la commune. La rive labarthaise de l'Ariège fait partie des sites Natura 2000[8]. Le ruisseau l'Ayguière, affluent de l'Ariège, traverse le centre de la ville.

    Géologie

    La commune de Labarthe-sur-Lèze est établie dans les plaines de l'Ariège et de la Lèze à leur confluence.

    La superficie de la commune de est de 1 043 hectares ; son altitude varie de 151 à 173 mètres[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 710 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[15] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[17], à 14,1 °C pour 1981-2010[18], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[26], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[27].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[28] : le « cours de l'Ariège » (1 341 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[28] : « l'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Labarthe-sur-Lèze est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[34] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[35],[36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), zones urbanisées (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), forêts (2,4 %)[39].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits

    Labarthette, Ponchou, Cailhabat.

    Voies de communication et transports

    La ligne 316 du réseau Tisséo relie la gare de Muret à la gare de Portet-Saint-Simon, toutes deux desservies par la ligne D en direction de Toulouse-Matabiau, en desservant le centre de la commune, la ligne 318 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Mazères, la ligne 319 relie la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Saverdun et la ligne 358 relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Saint-Ybars.

    Toponymie

    Le nom de Labarthe sur Lèze n'apparaît que très tard sous sa forme actuelle, son nom occitan, bien que peu utilisé tel quel, est indéniablement : Barta de Lesa.

    La variété des sols est grande dans l'espace défini par l'aire languedocienne. Il est courant que les noms de lieux soient liés à la végétation générée par le substrat et l'environnement immédiat. La commune doit son nom aux vastes forêts qui recouvraient la quasi-totalité de son territoire. Ainsi « barta », qui signifie en occitan « broussaille », « buisson », « hallier », désigne une terre défrichée gagnée sur la forêt et difficile à cultiver.

    Les communes du même nom sont très nombreuses dans cette région, c'est pourquoi, en 1899, on les distinguera par une indication supplémentaire, ici la situation sur la rivière Lèze, lesa en occitan, qui désigne un cours d'eau capricieux.

    L'article « la » marque la « francisation » des noms des lieux par les cartographes français du XIXe siècle.

    Histoire

    Labarthe fait partie de ces hameaux ruraux qui s’inscrivaient dans le tissu socio-économique gallo-romain autour de Toulouse. Des vestiges retrouvés dans la terre attestent de l'existence de Labarthe à cette époque.

    Au Xe siècle, la féodalité s’installe avec, notamment, les seigneurs de Clarmont et de Louzic, puis au XVe siècle la famille Ysalguier, viendront ensuite les Rochechouart, pour ne citer que les principaux.

    Le , quelques jours après la proclamation de la Première république, les citoyens de La Barthe procèdent à l’élection du premier conseil général républicain de la commune.

    Avec l'apparition des hippomobiles, puis des automobiles, de gros travaux de voiries sont entrepris, suivis, au XIXe siècle, par la construction de la voie ferrée Toulouse-Foix. La mise en place de nouveaux moyens de communication a ouvert bien des horizons à la classe rurale, souvent en surnombre. La baisse démographique enregistrée en 1901 est significative à cet égard : la commune cette année-là ne compte plus que 515 habitants.

    Héraldique

    Blason
    Taillé : au 1er mi-taillé d’azur à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'argent, au 2e mi-taillé d’argent à l'arbre d'azur posé sur une tierce ondée d’azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[40],[41].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Labarthe-sur-Lèze est une commune adhérente à la communauté d'agglomération du Muretain Agglo. La commune fait partie de la neuvième circonscription de la Haute-Garonne depuis le redécoupage électoral de 2010.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[42]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1959 1983 Aimé Paris    
    1983 1984 Robert Frémine    
    1984 1989 Pierre Perrier    
    1989 2014 Bernard Bérail PS  
    2014 En cours Yves Cadas PS Retraité Fonction publique

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44]. En 2018, la commune comptait 6 275 habitants[Note 9], en augmentation de 22,08 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    422426428563549575547609605
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    587584575523514531549544535
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    515538509500503507477460527
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5188101 6722 1103 7724 6324 7584 9495 838
    2018 - - - - - - - -
    6 275--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 99 54 50 34 35 39 42 43
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-André.

    Personnalités liées à la commune

    Plusieurs cyclistes professionnels ont résidé dans la commune au cours des années 2000[51] :

    Vie pratique

    Enseignement

    Labarthe-sur-Lèze fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune dans une école maternelle (école "Le Petit Ruisseau") et deux écoles élémentaires (écoles des "3 moulins" et "Ayguières") puis au collège Pierre Mendès-France, enfin sur la commune voisine de Pins-Justaret pour le lycée (lycée Jean-Pierre Vernant)[52].

    Santé

    Polyclinique médicale[53].

    Culture

    Médiathèque, espace culturel, centre Emmaüs,

    Activités sportives

    Rugby à XV : le RC Labarthe-sur-Lèze, finaliste du championnat de France de 3e série en 2015. Basket-Ball ASLB : Association Sportive Labarthaise Basket, créé en 1981. Terrains de tennis, gymnase, football.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération du Muretain[54].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Référence

    1. « Métadonnées de la commune de Labarthe-sur-Lèze », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Labarthe-sur-Lèze et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Labarthe-sur-Lèze et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Labarthe-sur-Lèze et Portet-sur-Garonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Labarthe-sur-Lèze », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Natura 2000 site 7301822
    9. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Labarthe-sur-Lèze et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « réserve naturelle Confluence Garonne-Ariège. », sur https://www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    24. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Labarthe-sur-Lèze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Labarthe-sur-Lèze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « cours de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF « l'Ariège et ripisylves » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    33. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    35. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    36. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    37. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    40. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    41. « Résultats des élections sénatoriales 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Senatoriales/elecresult__senatoriales-2020 (consulté le ).
    42. Mairie de Labarthe-sur-Lèze
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    48. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    49. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. « Jens Voigt n'a pas toujours été en veine ».
    52. http://www.mairie-pinsjustaret.fr/pages/enfance_jeunesse/enseignement.htm
    53. https://www.clinea.fr/polyclinique-medicale-de-la-leze
    54. http://www.agglo-muretain.fr/fr/habiter-vivre/environnement-dechets/l-actualite-dechetteries.html

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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