Clermont-le-Fort
Clermont le Fort est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle fait partie de la communauté d'agglomération du Sicoval.
Clermont le Fort | |||||
![]() Porte fortifiée de Clermont le Fort | |||||
Blason ville fr Clermont le Fort (Haute-Garonne).svg | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Sicoval | ||||
Maire Mandat |
Élisabeth Giachetto 2020-2026 |
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Code postal | 31810 | ||||
Code commune | 31148 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Clermontois, Clermontoises | ||||
Population municipale |
497 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 27′ 32″ nord, 1° 26′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 152 m Max. 282 m |
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Superficie | 10,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castanet-Tolosan | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Clermontois.
Géographie
Localisation
La commune de Clermont-le-Fort se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 16 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 8 km de Castanet-Tolosan[3], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Goyrans (2,6 km), Labarthe-sur-Lèze (2,7 km), Vernet (2,8 km), Venerque (2,9 km), Aureville (3,1 km), Villate (4,5 km), Espanès (4,6 km), Pins-Justaret (4,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Clermont-le-Fort fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].

Géologie
La superficie de la commune est de 1 004 hectares ; son altitude varie de 152 à 282 mètres[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[13] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[17].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[20] ;
- la réserve naturelle régionale Confluence Garonne-Ariège, classée en 2015, d'une superficie de 587 ha, qui constitue un lieu patrimonial d’exception en termes écologique et biologique, d’intérêt régional, voire national dans un contexte périurbain prononcé. Parmi les espèces floristiques remarquables, on trouve entre autre, l’utriculaire élevée et le jonc fleuri (espèces affiliées aux zones humides), le silène de France et le grand muflier (inféodées aux milieux prairiaux secs et pauvres), le peigne de Vénus et la nigelle de France (pour les espaces agricoles limitrophes)[21],[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[24], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26] :
- les « coteaux et falaises des bords de l'Ariège » (126 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
- le « cours de l'Ariège » (1 341 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[28],
- le « ruisseau et vallon de Notre-Dame » (113 ha)[29] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : « l'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[30].
Urbanisme
Typologie
Clermont-le-Fort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[34],[35].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), forêts (10,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones urbanisées (2,5 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La ligne TAD 119 du réseau Tisséo permet de rejoindre la station Ramonville du métro de Toulouse depuis la commune, et la ligne 318 du réseau Arc-en-Ciel la relie à la gare routière de Toulouse depuis Mazères.
Histoire
- Le site est habité dès le Néolithique, comme l'ont montré les fouilles de Jean-Baptiste Noulet.
- L'histoire connue de Clermont le Fort débute vers l'an mil, époque où les premiers seigneurs, les Clarmont, s'y installèrent, prenant le nom même de leur seigneurie. Mais les documents relatifs à cette époque sont hélas rares et fragmentaires.
- C'est au XIVe siècle que les Isalguier s’implantèrent à Clermont par le mariage de Pierre Isalguier avec Jeanne de Montaut qui lui apporta en dot la part de seigneurie que sa famille possédait en ce lieu. Le premier acte d'administration civile signé de son nom à Clermont est daté du 20 novembre 1370, et c'est en 1469 que fut libellé l'acte d'inféodation du fort par Odet Isalguier, seigneur de Clermont et d'Aureville. Son fils, Jacques Isalguier (aussi écrit Ysalguier), baron de Clermont et de Clermont-Dessous, s'est marié avec Agnès de Foix-Rabat en 1465[37], puis à Miramonde de Montaut dont il a eu Antoinette Isalguier, mariée à Blaise de Monluc. En 1564, la seigneurie revint à Jacques de Rochechouart par son mariage avec Marie Isalguier, alors veuve sans enfant[38]. Elle resta dans la famille jusqu'en 1786, année où Pierre de Buisson-Beauteville en devint propriétaire. Ce fut le dernier seigneur de Clermont.
- Chaque dynastie seigneuriale possédait ses propres armoiries, et c'est ainsi que Clermont-le-Fort est devenu, au cours des siècles, un village très blasonné.
Héraldique
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Son blasonnement est : De sinople à la fasce d'or, accompagnée de deux losanges du même, une en chef et une en pointe. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[39],[40].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43]. En 2018, la commune comptait 497 habitants[Note 9], en diminution de 6,23 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Enseignement
Clermont le Fort fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal pour les classes de la maternelle petite et moyenne sections sur la commune de Goyrans et grande section sur la commune d'Aureville et pour le primaire CP, CE1 à Aureville et CE2, CM1, CM2 à Clermont le Fort[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le vallon d'Infernet site du Châtelperronien qui a permis à Jean-Baptiste Noulet de prouver en 1853 l’existence de l'homme fossile.
- Site classé, ramier en bordure de l'Ariège, chemin botanique. Réserve naturelle régionale Confluence Garonne-Ariège.
- Porte fortifiée (XVe siècle).
- Motte castrale (XIe siècle).
- Oratoire Notre-Dame des Bois.
- Église Saint-Pierre : peintures de Bucaferrata du XIXe siècle, statues classées du XVIIe et du XIXe siècle, table d'autel romane sur chapiteau du XIe siècle.
- Vestiges gallo-romains.
- Croix des Rogations.
- Domaine Lauzi.
- L'église Saint-Pierre
- L'Ariège vue du village
Collection Noulet du Châtelperronien d'Infernet
Personnalités liées à la commune

- Jean-Baptiste Noulet, préhistorien auteur de fouilles importantes sur le territoire de la commune, directeur du Muséum de Toulouse.
- Marcel Sendrail, ancien maire et universitaire, figure tutélaire du village comme l'était son père Jean Sendrail.
- Jean Sendrail
- André Gasc, industriel et administrateur de l'Automobile Club du Midi .
- André Francino, employé à la cartoucherie et Résistant pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Pierre Vié (1926-2011), un Clermontois passionné d’archéologie et du patrimoine. Pendant de nombreuses années, il a aidé de nombreux archéologues à la restauration des objets ramenés des fouilles. Des fragments de poterie lui sont confiés pour qu'il reconstitue vases et amphores à destination du Musée Saint-Raymond.
Pour approfondir
Bibliographie
P.E Ousset et G.Labit, Clermont sur Ariège, Toulouse, 1934, 336 pages
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- « Métadonnées de la commune de Clermont-le-Fort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Clermont-le-Fort et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Clermont-le-Fort et Castanet-Tolosan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Clermont-le-Fort », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Clermont-le-Fort et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « réserve naturelle Confluence Garonne-Ariège. », sur https://www.reserves-naturelles.org (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Clermont-le-Fort », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Clermont-le-Fort », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux et falaises des bords de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « ruisseau et vallon de Notre-Dame » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « l'Ariège et ripisylves » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Anselme de Sainte-Marie, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume, Tome 3, p. 362, la compagnie des libraires, Paris, 1728 (lire en ligne)
- Antoine Marie d' Hozier de Serigny, Armorial general de la France, Volumes 1 à 2, p. 152, chez Prault Père, Paris, 1761 (lire en ligne)
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
- Émilie Lopes, « Le maire, Élisabeth Barral a démissionné », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- http://mairieclermontlefort.free.fr/primaire/index.html
- http://www.sicoval.fr/fr/mon-logement/dechets.html
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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