La Riche

La Riche est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire. La ville est intégrée au sein de la métropole tourangelle, étant située à la frontière ouest de Tours. La Riche a dépassé les 10 000 habitants en 2011 et est la huitième plus grande ville de la métropole en 2015. Sa croissance démographique soutenue depuis les années 1960 a attiré une population mixte.

Pour les articles homonymes, voir Riche (homonymie).

La Riche

La mairie

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Tours Métropole Val de Loire
Maire
Mandat
Wilfried Schwartz
2014-2020-2026
Code postal 37520
Code commune 37195
Démographie
Gentilé Larichois
Population
municipale
10 331 hab. (2018 )
Densité 1 265 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 24″ nord, 0° 39′ 41″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 51 m
Superficie 8,17 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Ballan-Miré
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Riche
Géolocalisation sur la carte : France
La Riche
Liens
Site web ville-lariche.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 817 hectares. Son altitude varie entre 43 m et 51 m[1].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de La Riche.

    La commune est bordée sur son flanc nord par la Loire (0,507 km) et traversée par le Cher (0,237 km) qui coule d'est en ouest parallèlement à la Loire. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 6,27 km, comprend en outre trois petits cours d'eau[2],[3].

    Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[5],[6]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[7]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[8].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[9]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5],[10]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant [11],[12]. Sur le plan piscicole, le Cher est également classé en deuxième catégorie piscicole[8].

    Trois zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des Territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « Boire de la Sablière », « Boire de la Grande Maison » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[13],[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Riche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[18] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (23,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,7 %), eaux continentales[Note 6] (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), terres arables (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Histoire

    Origines

    Paroisse Sainte-Anne de La Riche

    La ville tient son nom de l'église Notre-Dame-la-Riche de Tours, ancien faubourg séparé de son noyau par la construction de l'enceinte de fortification moderne au milieu du XVIIe siècle ; la ville tire donc son nom d'un édifice religieux qui ne se trouve pas sur son territoire (le cas est identique à l'est de Tours avec Saint-Pierre-des-Corps et au nord avec Saint-Symphorien).

    Le ruisseau de Sainte-Anne traversait autrefois la ville, et celui-ci est canalisé au cours du XVe siècle afin de relier la Loire et le Cher. Celui-ci est toutefois comblé au cours du XIXe alors que le jardin botanique de Tours s'installe notamment sur son emplacement, et marque la frontière entre La Riche et Tours[25].

    Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Notre-Dame-la-Riche, porta provisoirement les noms de La Riche-Extra et de La Varenne-de-la-Riche et adopta le nom de La Riche au sortir de cette période[26].

    Au XIXe siècle on y cultive surtout le chanvre et les céréales, puis, profitant des qualités du sol, les cultures deviennent principalement maraîchères.

    La Riche fut occupée trois mois par les Prussiens en 1870.

    Époque contemporaine

    Friche et immeubles rue Saint-François.

    Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville fut également bombardée à neuf reprises entre juin et [27], notamment le [28]. Un local (rue du 8-Juin) rappelle cet événement.

    À partir des années 1950, la ville connait une forte croissance de sa population sous l'impulsion de la ville de Tours. Cette dernière connait une forte croissance aidée par une politique de grands travaux, sous la direction du maire Jean Royer. Alors que ce dernier tente d’agrandir son territoire et fusionne avec deux communes à Tours-Nord, La Riche refuse le de se faire absorber[29].

    Le développement de La Riche passe aussi notamment par la construction de plusieurs grands ensembles. La première cité sociale est bâtie entre 1954 et 1957 dans le sud-ouest de la commune. Baptisée « cité des Sables », elle est d'abord vue comme un logement d'urgence construit en préfabriqué. L'ensemble réuni jusqu'à 2 000 habitants dans les années 1970, avant d'être détruit entre 1992 et 1994 et remplacé par des zones pavillonnaires dans la zone du « Petit-Plessis »[29].

    Logements neufs rue Emile Aron (ZAC du Plessis).

    Les plus importants programmes sociaux sont les quartiers Niqueux Bruère et Marcel Pagnol, situés dans le centre-nord de la commune et construits principalement entre les années 1960 et 1970[29]. Ils réunissent aujourd'hui près de 2 000 habitants et sont classés en zone prioritaire de la politique de la ville[30]. Ainsi, le centre de la commune compte près de 50 % de logements sociaux. La population de La Riche est donc relativement mixte, la commune comptant au total près de 28 % de logements sociaux, soit un niveau comparable à celui de Tours[31],[32].

    Depuis la fin des années 2000, la ville continue son extension urbaine vers le sud et l'est, à la limite de Tours, avec l'aménagement des anciennes friches industrielles du Prieuré et du Plessis. Le projet prévoit l'implantation de 1 100 logements, la construction d'une nouvelle école primaire, des locaux pour l'Université de Tours et des commerces, avec des travaux s'étalant de 2011 à 2020[33].

    Économie et transports

    Depuis , la ville accueille le centre commercial La Riche Soleil, une galerie marchande de 45 boutiques et équipé d'un hypermarché Géant.

    La ville a été confirmée comme l'un de deux terminus de la seconde ligne du tramway de Tours, qui devrait être réalisée courant 2025. Elle pourrait ainsi desservir le prieuré de Saint-Cosme, la mairie puis le nouveau quartier du Plessis avant de rejoindre Tours[34].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 mars 2014 Alain Michel PS Conseiller général (2008-2015)
    mars 2014 En cours
    (au 14 juillet 2020)
    Wilfried Schwartz PS puis DVG Ingénieur d'études
    Président de Tours Métropole Val de Loire (2020-2021 )
    Conseiller départemental depuis 2021

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[35].

    Dans son palmarès 2019, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une deuxième fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[36].

    Tendances et résultats politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 7]

    En 2018, la commune comptait 10 331 habitants[Note 8], en augmentation de 0,54 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0008568711 0111 2341 1311 1971 2331 372
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5081 5601 5681 6701 8292 0052 1602 3352 317
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4562 4192 5362 7303 0433 4154 0204 0454 407
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6 3246 3316 6707 2617 8388 5949 61210 08910 370
    2018 - - - - - - - -
    10 331--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    • population municipale en 2004 : 9 573

    Enseignement

    La Riche se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

    La commune compte plusieurs établissements :

    • L'école maternelle Henri Tamisier
    • L'école maternelle Marie Pellin
    • L'école élémentaire Ferdinand Buisson
    • L'école élémentaire Paul Bert

    Jumelages

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument le plus marquant de la commune est le château de Plessis-lèz-Tours. Plusieurs rois de France y séjournèrent – principalement Louis XI qui en fit sa demeure principale – et fut le théâtre de nombreux évènements historiques.

    Peu avant sa mort en 1483, Louis XI fera venir d'Italie François de Paule qui fonde le couvent des Minimes en 1489 et se développe durant les siècles qui suivent. Il ne reste toutefois que des vestiges de cette institution, surtout un corps de logis datant du XVIIIe siècle. François de Paule y est toutefois enterré et une chapelle est construite en 1877 autour de sa sépulture[44].

    Les communautés religieuses tourangelles possédaient une grande partie de la commune, dont le prieuré de Saint-Cosme appelé aussi prieuré de Ronsard. Bâti à l'origine sur l'île de la Loire, ce prieuré fut la dernière demeure de Ronsard qui y vécut de 1565 à sa mort en 1585.

    À l'intérieur de l'église Sainte-Anne, construite en 1856 (place du Maréchal-Leclerc), on peut trouver la statue de Saint François de Paule ainsi que deux scènes peintes évoquant la vie de l'ermite.

    Parmi les monuments historiques de la ville, on trouve aussi le manoir de la Rabaterie datant de la seconde moitié du XVe siècle et situé rue Saint-François. Il aurait été la demeure d'Olivier Le Daim, conseiller du roi[45]. Un autre monument marquant de la commune n'est pas classé, il s'agit de la « gentilhommière agricole des Pavillons » construite en 1640 et située au 34 rue Jules-Verne. Elle est constituée d'une tour centrale et de deux ailes[46].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de La Riche se blasonnent ainsi :

    Parti : au premier mi-parti d'or semé de fleurs de lys de gueules à l'aigle de sable, au second d'azur à Saint Côme et Saint Damien affrontés, vêtus de robes de docteur, sur une terrasse, l'un tenant un livre, l'autre une boite, le tout d'or [47].

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    3. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    3. « Carte hydrologique de La Riche », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    5. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    6. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    7. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
    8. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    10. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    11. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    13. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    14. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. L'étonnante histoire du ruau Sainte-Anne sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 20 août 2014
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « La Riche - Un peu d'histoire », sur www.ville-lariche.fr (consulté le ).
    28. « Tours - Les bombardements » (consulté le ).
    29. Présentation du patrimoine de la commune de La Riche sur patrimoine.regioncentre.fr
    30. Quartier Prioritaire : Niqueux Bruère - Marcel Pagnol sur sig.ville.gouv.fr
    31. Orientation d'aménagement et de programmation sur ville-lariche.fr
    32. La Riche sur kelquartier.com
    33. ZAC du Plessis Botanique sur centre.developpement-durable.gouv.fr
    34. Tramway : la deuxième ligne reliera La Riche à Chambray sur 37degres-mag.fr, le 24 octobre 2017
    35. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Riche, consultée le 26 octobre 2017
    36. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
    37. « Résultats de l’élection présidentielle de 2002 », sur Le site du ministère de l’Intérieur, Consulté le 07/05/2012.
    38. « Résultats de l’élection présidentielle de 2007 », sur Le site du ministère de l’Intérieur, Consulté le 07/05/2012.
    39. « Résultats de l’élection présidentielle de 2012 », sur Le site du ministère de l’Intérieur.
    40. « Résultats de l’élection présidentielle de 2017 », sur Le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2017.
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    44. Ancien couvent des Grands Minimes du Plessis-lès-Tours sur culture.gouv.fr
    45. Manoir de la Rabaterie sur culture.gouv.fr
    46. La gentilhommière agricole sur ville-lariche.fr
    47. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=4626

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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