La Chapelle-de-Guinchay
La Chapelle-de-Guinchay est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Pour les articles homonymes, voir La Chapelle.
La Chapelle-de-Guinchay | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Mâcon | ||||
Intercommunalité | Mâconnais Beaujolais Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Hervé Carreau 2020-2026 |
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Code postal | 71570 | ||||
Code commune | 71090 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capelins[1], Chapalons[2], Chapellois[1], Tsapalons[2] | ||||
Population municipale |
4 158 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 334 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 12′ 41″ nord, 4° 45′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 168 m Max. 295 m |
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Superficie | 12,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Mâcon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Mâcon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Chapelle-de-Guinchay (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | lachapelledeguinchay.fr | ||||
Géographie
La Chapelle-de-Guinchay fait partie du Beaujolais.
Communes limitrophes
Juliénas (Rhône) |
Saint-Amour-Bellevue, Chânes | Crêches-sur-Saône | ||
Chénas (Rhône) |
N | Garnerans (Ain) Saint-Didier-sur-Chalaronne (Ain) | ||
O La Chapelle-de-Guinchay E | ||||
S | ||||
Romanèche-Thorins | Saint-Symphorien-d'Ancelles |
Villages, hameaux, lieux-dits et écarts
le Bel-Avenir, Belleverne, Beauchamp, les Blémonts, les Boccards, les Bois de Loyse, le Bourg, les Broyers, les Bruyères, les Burriers, la Combe-Daroux, les Darroux, les Desroches, les Deschamps, les Gandelins, la Gare, les Jean-Loron, les Journets, Loize, Massonay, les Paquelets, Pontanevaux, le port Jean-Gras, les Potets.
Accès et transports
La gare de Pontanevaux est desservie par la SNCF.
Hydrographie
La commune est traversée par la Mauvaise, un cours d’eau de 18 kilomètres qui nait dans le cirque de Vauxrenard et se jette dans la Saône en amont de Saint-Romain-des-îles. Ses crues étaient impressionnantes, de type torrentiel, avant la régularisation de son cours. Elle reçoit sur sa rive gauche le ruisseau de Changis, issu de la Font-Martin, et le ruisseau de Jullié, qui nait de la fontaine de Rolland.
Climatologie
C'est un climat tempéré à légère tendance continentale.
Les valeurs sont celle de la ville de Mâcon (alt. 216 m) avec les valeurs climatiques de 1961 à 1990, dont La Chapelle-de-Guinchay est proche :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,6 | 0,7 | 2,5 | 5,2 | 8,9 | 12,3 | 12,4 | 13,9 | 11,1 | 7,5 | 2,9 | 0,1 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 2,1 | 4 | 6,8 | 10 | 13,9 | 17,5 | 20,1 | 19,4 | 16,4 | 11,7 | 6 | 2,7 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,9 | 7,3 | 11,1 | 14,8 | 18,9 | 22,8 | 25,7 | 24,9 | 21,7 | 15,9 | 9,1 | 5,3 | 15,2 |
Précipitations (mm) | 66,3 | 60,9 | 58,7 | 69,4 | 85,9 | 74,7 | 58,1 | 77,1 | 75,7 | 71,7 | 72,7 | 70,4 | 841,4 |
Urbanisme
Typologie
La Chapelle-de-Guinchay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mâcon, une agglomération inter-régionale regroupant 16 communes[8] et 60 022 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,7 %), prairies (23,6 %), zones urbanisées (23 %), terres arables (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Histoire
Selon l'historique, un seigneur romain du nom de Quintus créa une petite exploitation agricole cultivée par des colons. L'exploitation prit le nom de son propriétaire et la Villa Quintus (ou Quintio) devint par suite d'altérations Quincheys et Quinchay. Plus tard, une chapelle fut élevée : la chapelle Sainte-Marie de Quinchay ; et au fil du temps, cela devint La Chapelle-de-Guinchay[15].
Préhistoire
La découverte de grattoirs est mentionnée aux hameaux des Journets, aux Maisons–Rouges, et dans le lit de la Mauvaise.
Époque gallo–romaine
De nombreux restes gallo-romains au niveau du Bois de Loise, plusieurs statuettes de bronze (certaines sont visibles au musée de Saint-Germain-en-Laye). À la limite de Romanèche, au lieu-dit les Quériats : des poteries, des briques, des tuiles, une roue de meule, etc. Aux Perrières et aux Millettes, on trouve les traces d’un camp romain.[réf. nécessaire]
Un dépotoir de poterie trouvé à Pontanevaux atteste de l'existence d'un atelier de potier/s dans la première moitié du Ier siècle, producteur de céramique de cuisine cuite en mode B, ou céramique commune gris sombre[16].
Moyen Âge
Plusieurs seigneuries sont signalées : les Nuguets, les Paquelet, etc. la plus importante étant celle de Loize, baronnie (avec château et droits de justice), dont la propriété passera en 1662 des seigneurs aux chartreux qui en font l’acquisition.
Les religieux de la chartreuse de Lyon possédaient à Loyse, une propriété dont les revenus sont évalués 10.000 francs de 1895. Une note des chartreux consigne les désastres dus aux rigueurs des saisons : le grand hiver de 1709 a fait perdre plus de cent cinquante ânées de vin de Loyse de 1708 gelé dans les celliers. Toutes les récoltes en blé et en vin de Loyse et de Poletins, comme aussi celles du clos de Lyon, ont été perdues. En 1713, la grêle emporta la moitié de la récolte des blés de Poletins et toute celle du vin de Loyse. En 1714, une maladie contagieuse, à Poletins et à Loyse, fait périr quarante-deux bœufs de labour et soixante-dix taureaux, vaches ou génisses. Aussi voyons-nous bien souvent les Pères chartreux réclamer ou une diminution de taxe ou certaines franchises, ce qui leur était presque toujours accordé[17].
Les guerres de Religion
Il semble que la région ait été plutôt protestante. Le seigneur de Loize, Jean de Lugny est l’organisateur d’opérations guerrières contre Mâcon avec les seigneurs de Chasselas ou de Berzè. Il organise des prêches. Le vicaire de La Chapelle se convertit au calvinisme.
La Révolution et l’Empire
Après les « brigandages » de 1789, selon Perraud, c'est-à-dire le sac de Loize et de différentes demeures peu d’événements notables en dehors de problèmes liés aux réfractaires à la conscription qui semblent avoir été nombreux. En 1814, les Autrichiens cantonnent à Pontanevaux.
Santé
Les Chartreux de Lyon établis au bois de Loize tenaient une pharmacie pour soigner les habitants jusqu’à la Révolution. En 1876, une religieuse du Saint Sacrement d’Autun crée l’Asile Ferret qui porte son nom. De nos jours, la maison de retraite du Bocage a pris la suite de l’asile Ferret.
Histoire moderne
Durant la Seconde Guerre mondiale, des habitants du hameau des Journets furent déportés et moururent en Allemagne. Une stèle fut érigée en leur mémoire.
Politique et administration
Administration municipale
La Chapelle-de-Guinchay dépend de la préfecture de Saône-et-Loire à Mâcon. Le conseil municipal est composé de 27 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[18]. À l'issue des élections municipales de 2020, Hervé Carreau a été élu maire de la commune.
Liste des maires
Canton et intercommunalité
Cette commune est le chef-lieu du canton de Chapelle-de-Guinchay, comptant 10 505 habitants en 1999. En intercommunalité, ce village fait partie de la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais. Jean-François Cognard et Dominique Piard sont conseillers départementaux de ce canton depuis 2015.
- Vieilles cartes postales La Chapelle vers 1900.
- Vieilles cartes postales La Chapelle vers 1900.
- Vieilles cartes postales La Chapelle vers 1900.
- Vieilles cartes postales La Chapelle vers 1900.
- Vieilles cartes postales La Chapelle vers 1900.
- Pontanevaux Nationale 6.
Instances judiciaires et administratives
Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi de la commune de Mâcon qui possède un tribunal d'instance et de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de Lyon pour la cour d'appel et la Cour administrative d'appel[19].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].
En 2018, la commune comptait 4 158 habitants[Note 4], en augmentation de 5,45 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Il y a une école maternelle, une école élémentaire et un collège[24].
Santé
Il y a deux médecins généralistes[25], un médecin généraliste à orientation homéopathie[26], trois kinésithérapeutes[27], une infirmière[28], deux dentistes[29], une pharmacie[30]. L'hôpital le plus proche se situe à Mâcon.
Sports
Un club de football nommé l'Association Sportive Chapelloise de Football avec 3 équipes séniors[31].
Un club de tennis nommé La Chapelle de Guinchay Tennis Club avec 4 équipes séniors (3 masculines et 1 féminine)[32].
Un club de basketball avec deux équipes séniors et de nombreuses équipes de jeunes.
Un club de course à pied (Route et Trail) nommé le CRU chapellois (Club RUnning chapellois) avec plus de 140 adhérents qui effectuent 2 sorties hebdomadaires[33]. Le club organise également chaque année une course sportive (Trail) au départ du village : La 1ère édition du Tour Des Crus aura lieu le .
Cultes
La Chapelle-de-Guinchay appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Vignes en Sud-Mâconnais, paroisse qui a son siège à La Chapelle-de-Guinchay (presbytère au n° 97 de la rue Jules-Chauvet) et qui regroupe quatorze villages du Mâconnais. Culte catholique dans l'église de la commune, placée sous le vocable de Notre-Dame-du-Mont-Carmel, ou dans la chapelle du Bocage.
Écologie et recyclage
La collecte des déchets est gérée par la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais. Il y a deux déchetteries sur le territoire de la communauté de communes, l'une à Vinzelles, l'autre à Romanèche-Thorins.
Économie
La viticulture est importante. Il y a quelques commerces avec notamment un bourg très actif . la commune étant principalement péri-urbaine, et faisant partie de l'aire urbaine de Mâcon, l'activité commerciale de grande distribution y est représentée par une seule moyenne surface.
De grandes maisons de vins sont situées sur la commune qui accueille également des entreprises artisanales de taille variées.
Vignoble
Ce village est inclus dans le vignoble du Beaujolais et rentre dans les aires de production du chénas du beaujolais-villages et du beaujolais. Il y a de nombreux viticulteurs dans la commune. Néanmoins, d'un point de vue administratif et légal, La Chapelle-de-Guinchay est une commune viticole faisant partie aussi du vignoble de Bourgogne et peut à ce titre produire les vins : AOC bourgogne aligoté, AOC bourgogne, AOC bourgogne passe-tout-grains, AOC coteaux bourguignons, AOC bourgogne mousseux, AOC crémant de Bourgogne, AOC Mâcon et IGP Saône-et-Loire[34].
Culture locale et patrimoine
Monuments religieux
- Église du XIXe siècle[35] : Première Chapelle élevée en 907. Devenue trop petite elle est remplacée en 1672 par une plus vaste en conservant le chœur, l’abside et le clocher d’origine qui seront détruits au XIXe siècle. Construite à partir de 1873 jusqu’en 1878 sur les plans de M. Berthier architecte. Elle ne sera achevée qu'en 1927 par la construction du clocher.
Elle est placée sous le vocable de Notre-Dame du Mont-Carmel.
- L'église au début du XXe siècle.
- Construction du clocher.
- L’église.
- Chevet de l’église.
Monuments civils
- L'hôtel de ville (construit au milieu du XIXe siècle pour abriter à l'origine, outre l'administration municipale, l'école et le prétoire de la justice de paix)[Note 5].
- Château de Beauchamp, seigneurie et forteresse ayant appartenu à la Famille de Lugny, bâtie ou rebâtie par Nicolas Rolin et qui ira par héritage à son fils Guillaume Rollin (cependant, le nom de Rolin ne figure pas dans l’ouvrage de F. Ferraud, op.cité) reviendra a ses propriétaires légitimes à la fin du XVe siècle.
- Le château de Loize.
- Le château des Nuguets.
- Le château de Belleverne.
- Le château Bonnet.
- Le château des Broyers.
- Château de Belleverne.
- Château Bonnet.
Patrimoine local
La vie associative est riche car on dénombre près de 40 associations dans la commune[36].
Personnalités liées à la commune
- Jules Chauvet (1907, † 1989).
Pour approfondir
Bibliographie
- F. Perraud : La Chapelle de Guinchay et ses Hameaux, Laffitte Reprints – Marseille (réimpression de l’édition de Macon 1910.-Protat Frères imprimeurs).
- Claudius Savoye : Le Beaujolais Préhistorique, Réédité par Dédale Ed. – Lyon (première édition Lyon A; Rey et Cie ED. Lyon 1899).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- D'après des plans de l'architecte Adrien Guillemin, à qui l'on doit de nombreux autres bâtiments publics et, notamment, une autre mairie-école-justice de paix : celle de Lugny.
Références
- habitants.fr
- Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
- Site de Mindat.org
- Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990), consulté le 8 décembre 2008.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Mâcon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Patrimoine », sur lachapelledeguinchay.fr (consulté le )
- [Bourguignon & Barthélemy 2012] Jean-Paul Bourguignon et Daniel Barthélemy, « La céramique commune sombre gallo-romaine en val de Saône. Entre grise et rouge » (Actes de la table ronde organisée à Lyon les 2 et 3 février 2009 à la Maison de l'Orient et de la Méditerranée), MOM Éditions, no 60 « Les céramiques communes dans leur contexte régional : faciès de consommation et mode d'approvisionnement », , p. 221-234 (lire en ligne [sur persee]), p. 222.
- Vachet, Adolphe, Les anciens couvents de Lyon, Lyon, Emmanuel Vitte, (lire en ligne), p. 291.
- « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
- « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Site de la mairie de La Chapelle-de-Guinchay, page sur l'éducation, consulté le 21 mars 2012
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecine générale, p. 428.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecine générale orientation homéopathie, p. 430.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Kinésithérapeutes, p. 370.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Infirmiers, p. 348.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Dentistes, p. 237.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Pharmacies, p. 494.
- Site de l'Association Sportive Chapelloise de Football (ASC Football)
- Site de la Fédération Française de Tennis, page sur le club de La Chapelle-de-Guinchay
- Site de la cruchapellois
- Placido Llorca, « La Chapelle-de-Guinchay, commune viticole », sur Vin Vigne, (consulté le ).
- La Saône-et-Loire ; les 573 communes, La Chapelle-de-Guinchay, p. 49
- Site de la mairie, liste des associations
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