Léguillac-de-l'Auche

Léguillac-de-l'Auche est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Léguillac-de-l'Auche

Le bourg de Léguillac-de-l'Auche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Régis Batailler
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24236
Démographie
Gentilé Leguillacois
Population
municipale
990 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 08″ nord, 0° 33′ 27″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 227 m
Superficie 14,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Astier
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Léguillac-de-l'Auche
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Léguillac-de-l'Auche
Géolocalisation sur la carte : France
Léguillac-de-l'Auche
Géolocalisation sur la carte : France
Léguillac-de-l'Auche

    Géographie

    La commune de Léguillac-de-l'Auche est incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1].

    Le bourg de Léguillac-de-l'Auche, implanté 5 kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier et 12 kilomètres à l'ouest de Périgueux, reste à l'écart des routes principales. Cependant, la commune est bordée par les routes départementales 3, 43 et 103.

    Communes limitrophes

    Carte de Léguillac-de-l'Auche et des communes avoisinantes.

    Léguillac-de-l'Auche est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, le territoire communal de Montrem n'est distant que d'environ 250 mètres de celui de Léguillac-de-l'Auche.

    Communes limitrophes de Léguillac-de-l'Auche
    Mensignac
    Saint-Aquilin Annesse-et-Beaulieu
    Saint-Astier

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 948 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Léguillac-de-l'Auche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,1 %), forêts (28 %), terres arables (27,5 %), zones urbanisées (2,9 %), prairies (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Léguillac-de-l'Auche proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[21] :

    • Armagnac
    • Baby
    • le Bas But
    • Bel-Air
    • Bénivau
    • les Biarneix
    • Blanchou
    • Boudeau
    • le But
    • Caroly
    • Cayot
    • la Chabane
    • Aux Champs
    • les Combes
    • la Croix Pintoux
    • Crouzet
    • la Croze
    • Faucherie
    • la Faye
    • la Font de l'Auche
    • la Font Chauvet
    • Girondeau
    • Glenon
    • les Granges
    • la Grèzerie
    • Jalabrou
    • Labat
    • Levrault
    • Leypine
    • Leyterie
    • Linard
    • le Maine
    • Maison Neuve
    • Martinie
    • les Martres
    • le Mas
    • la Massoulie
    • Merlet
    • le Moutot
    • les Palissannes
    • Pépinie
    • Perpezat
    • le Petit Moulin
    • les Plantes
    • Pomerède
    • les Pouzes
    • Puy le Ciel
    • Puychaud
    • les Quatre Routes
    • les Renaudies
    • Sirieix
    • le Sol de Dyme
    • Taboury
    • les Tuilières
    • Vaucombes
    • Védry
    • Veyrièras.

    Toponymie

    La plus ancienne mention écrite connue du village date de l'an 1219, sous le nom de parochia (paroisse) de Lagulac[22]. Sont relevés ensuite Lagulhacum en 1289, Lenguilhacum en 1350, « Léguilhac » au XVIe siècle, « L'Aiguillat de Lauche » en 1596 et « Le Guillac, fon de Lauche » au XVIIIe siècle[22]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Layguillac de Lauche[23]. L'Auche est mentionnée beaucoup plus tardivement, en 1471, sous la forme Lauchas, transformée en « Loches » au XVIIIe siècle[22].

    La première partie du nom de la commune, Léguillac, découlerait peut-être d'un personnage gallo-roman non déterminé. Le suffixe -acum[22], indique un domaine appartenant à une personne. Bien que l'auche soit la francisation de l'occitan auca désignant l'oie[Note 6], il est bien plus probable qu'ici, son origine dérive de l'occitan « aucho, oucho », représentant des terres défrichées de longue date, proches du village[22].

    En occitan, la commune porte le nom de Lagulhac de l'Aucha[24].

    Histoire

    Période mérovingienne

    Sur la commune de Léguillac-de-l'Auche furent découverts en 1967 deux sarcophages mérovingiens, et un autre squelette sans sarcophage, à même la terre, soit trois squelettes[Note 7].

    Cette exhumation eut lieu entre les lieux-dits Linard et Girondeau, et à un autre endroit, une prairie située sur une colline appelée Béniveau. Cette colline surplombe le site où furent découvertes les sépultures mérovingiennes, un lieu-dit qui ne porte pas de récentes traces d'habitation (il est possible qu'au fil du temps les gens des villages alentour y aient pris les pierres pour reconstruire ailleurs, ou tout simplement, il n'y a jamais eu d'habitation en pierres).

    Dans ces sépultures mérovingiennes, on ne découvrit ni arme, ni bouclier, mais il y avait, dans l'un des sarcophages, une boucle de ceinture plaquée or, avec des morceaux de verre brisé incrustés, de différentes couleurs : vert, bleu et rouge. Il y avait aussi trois emplacements vides sur la boucle ; trois morceaux de verre manquaient, le temps n'ayant pas voulu nous faire parvenir cet objet dans son état de perfection d'origine.

    Le découvreur, Monsieur Émile (Guy) Moulles, fit cette découverte en labourant pour la première fois le site après l'avoir défriché. Il garda chez lui pendant plus d'une vingtaine d'années cet objet rare avant de le remettre, au début des années 2000, au musée du Périgord, à Périgueux.

    À l'époque, en 1967, la télévision était venue sur place pour faire un petit documentaire.

    Les os des squelettes furent eux, envoyés dans un laboratoire à Bordeaux, où ils furent datés entre 350 et 450 ans apr. J.-C., époque des premiers chefs mérovingiens, Clodion le Chevelu ou Mérovée, et avant le règne de Clovis.

    Moyen-Âge

    En 1209, au lieu-dit la Faye, trois moines fondent un prieuré augustinien (Sancta Maria de la Faia) dépendant de l'abbaye angoumoisine Notre-Dame de La Couronne[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Léguillac-de-l'Auche a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[26].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[27].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Léguillac-de-l'Auche intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle, Vern, Salembre en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[28],[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
     ? mai 1884 Antoine Rapnouil    
    mai 1884 avril 1885 Ernest Jauvinaud    
    avril 1885 (1890 ou après) [Note 8] Raoul Deshorties    
        [Note 8]?    
    (1897 ou avant) [Note 8] 1904 Justin Bardy    
    mai 1904 août 1906 Pierre Arthur Linard[Note 9]    
    août 1906 novembre 1906 Pierre Bouthier   Adjoint faisant fonctions de maire
    novembre 1906 mai 1925 Pierre Bouthier    
    mai 1925 mars 1928 Fernand Laronze[Note 10]    
    mars 1928 mai 1935 Hilaire Lacombe    
    mai 1935  ? Ephrem Laventure    
    octobre 1944 mai 1945 Jean Baylet    
    mai 1945 (1964 ou 1965) Pierre Morvan    
    mars 1965 mars 1977 Jean Dupuy    
    mars 1977 mars 1989 Maurice Voiry DVG  
    mars 1989 mars 2003 Michel Berger[Note 9]    
    avril 2003 mars 2008 Micheline Vergnaud DVD  
    mars 2008[30] juillet 2020 Didier Banizette PS[31] Aide-soignant
    juillet 2020[32] En cours Régis Batailler PCF  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Léguillac-de-l'Auche relève[33] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Léguillac-de-l'Auche.

     Letham (Écosse) depuis 2011[34]

    Population et société

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête votive de la commune s'effectue sous le patronage de saint Cloud et se tient donc chaque année aux alentours du [35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2018, la commune comptait 990 habitants[Note 11], en diminution de 1,49 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    699589619675650688678684713
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    675701693694676651645629599
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    565539540457446443411398415
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    440383377493635636812945981
    2018 - - - - - - - -
    990--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 495 personnes, soit 50,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-trois) a légèrement diminué par rapport à 2010 (quarante-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 54 établissements[40], dont 31 au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, cinq dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Ancienne carrière à chaux
    le long de la vallée du Jouis.

    Deux zones de la commune sont classées comme ZNIEFF :

    • au sud, la vallée du ruisseau le Jouis (ou le Jouy) [45], notamment bordée par des anciennes carrières d'où l'on extrayait le calcaire pour fabriquer de la chaux,
    • au nord-est, la forêt de la Faye[46], massif composé principalement de chênes pédonculés, se trouve en petite partie sur le territoire communal.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Françoise Bourreau-Raluy, Léguillac-de-l'Auche du Paléolithique à l'ère numérique, Éditions les Livres de l'Îlot, 2016.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Selon la tradition, une oie tombée dans un gouffre à Mensignac serait ressortie vivante au lieu-dit Font-de-l'Auche, au nord-est du territoire communal, en limite de Mensignac.
    7. Précision utile car les Mérovingiens mettaient parfois deux défunts par sarcophage. Là, il y avait un squelette par sarcophage, et un autre squelette sans.
    8. Registres de délibérations communales absents entre 1890 et 1897.
    9. Décédé en fonctions.
    10. Démissionnaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Léguillac-de-l'Auche et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Léguillac-de-l'Auche et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Léguillac-de-l'Auche » sur Géoportail (consulté le 25 février 2021)..
    22. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 198-199.
    23. « Layguillac de Lauche » sur Géoportail (consulté le 25 mai 2015)..
    24. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 7 mars 2014.
    25. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 56.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
    29. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
    30. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 août 2014.
    31. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
    32. « Régis Batailler dans le fauteuil de maire », Sud Ouest édition Dordogne, 8 juillet 2020, p. 28.
    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. Jean-Louis Chanseau, Le jumelage est officialisé, Sud Ouest édition Périgueux du 16 avril 2011.
    35. « Même en l'absence de manèges, une Saint-Cloud réussie », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Dossier complet - Commune de Léguillac-de-l'Auche (24236) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
    40. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    41. Dossier complet - Commune de Léguillac-de-l'Auche (24236) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
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    44. Liste des prieurs de Notre-Dame de La Faye, Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, année 1874, tome 1, p. 269-270
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