Juzet-d'Izaut

Juzet-d'Izaut est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Juzet.

Juzet-d'Izaut
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cagire Garonne Salat
Maire
Mandat
Dominique Ponticaccia
2020-2026
Code postal 31160
Code commune 31245
Démographie
Gentilé Juzetois
Population
municipale
187 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 42″ nord, 0° 45′ 36″ est
Altitude Min. 466 m
Max. 1 908 m
Superficie 15,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Gaudens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Juzet-d'Izaut
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Juzet-d'Izaut
Géolocalisation sur la carte : France
Juzet-d'Izaut
Géolocalisation sur la carte : France
Juzet-d'Izaut

    Ses habitants sont appelés les Juzetois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Juzet-d'Izaut se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 89 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 15 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 25 km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Aspet[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Cazaunous (2,3 km), Sengouagnet (2,6 km), Arbon (2,8 km), Arguenos (3,0 km), Razecueillé (3,3 km), Milhas (4,1 km), Moncaup (4,3 km), Izaut-de-l'Hôtel (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Juzet-d'Izaut fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

    Juzet-d'Izaut est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes voisines.
    Communes limitrophes de Juzet-d'Izaut[7]
    Arbon Izaut-de-l'Hôtel
    Cazaunous Sengouagnet
    Arguenos

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Job un affluent du Ger.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 574 hectares ; son altitude varie de 466 à 1 908 mètres[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 083 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 30 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[22] :

    • les « Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié », d'une superficie de 7 680 ha, sont un espace présentant une grande richesse floristique et faunistique du fait de la diversité et de la complémentarité des habitats présents (pelouses, landes, forêts, parois rocheuses, ravins, torrents encaissés). Des ours sont présents suite à leur réintroduction[23] ;
    • les « chaînons calcaires du Piémont Commingeois », d'une superficie de 6 198 ha, sont un site vallonné forestier et bocager du piémont pyrénéen[24] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25] :

    • l'« Amont du ruisseau du Job et gorges » (178 ha), couvrant 6 communes du département[26] ;
    • le « cœur du massif de Gar-Cagire » (6 194 ha), couvrant 15 communes du département[27],
    • le « massifforestier de Juzet-d'Izaut à Aspet » (828 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[25] : l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » (9 679 ha), couvrant 18 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Juzet-d'Izaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,1 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), zones urbanisées (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec l'ancienne Route nationale 618 et ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

    Histoire

    Le village porte aujourd'hui le nom de Juzet d'Izaut, Izaut étant un village voisin. Jusqu'à la Révolution, on parlait simplement de Juzet. La situation de Juzet au cours du Moyen Âge est extrêmement complexe. La communauté formait, avec Moncaup, Arguenos et Cazaunous le Pays de Thou, inclus dans la châtellenie des Frontignes (comté de Comminges). Mais un texte de 1335 indique que Raymond-Athon d'Aspet est co-seigneur de Juzet. En 1543, Juzet est citée dans les localités de la baronnie d'Aspet et en 1553, la baronne d'Aspet, Claude de Foix, fait prêter serment aux consuls de Juzet. Au XVIe siècle apparaît une famille de Bilhères, qui réside au château de la Moulette (dont il ne reste plus rien aujourd'hui). Jacques de Bilhères confirme en 1540 les privilèges du consulat. En 1570, la seigneurie de Juzet passe, par mariage, aux d'Ustou. En 1666, la dame de la Molette, Marguerite d'Ustou, cède ses biens aux jésuites qui dirigent le séminaire de Saint-Gaudens, à charge pour eux d'évangéliser la vallée. Ils resteront à la Moulette jusqu'à la Révolution[36].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[37],[38].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Juzet-d'Izaut faisait partie de l'ex-canton d'Aspet) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Trois Vallées. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Pierre Redonnet    
    mars 2008 En cours Dominique Ponticaccia DVG Retraité de l'enseignement (professeur d'éducation physique et sportive)

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40]. En 2018, la commune comptait 187 habitants[Note 9], en diminution de 8,33 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    572508712757903940902959871
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    856731784776790715638600560
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    530504404371371284277292255
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    188222248229202193201202203
    2017 2018 - - - - - - -
    188187-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 297 261 323 345 338 376 384 389
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'élevage.

    Enseignement

    Juzet-d'Izaut fait partie de l'académie de Toulouse.

    Protection environnementale

    Le site Natura 2000 Chaînons calcaires du Piémont Commingeois est classé en zone spéciale de conservation depuis 2007 ; avec une superficie de 6 198 hectares, il s'étend sur une partie de la commune de Juzet-d'Izaut[47].

    La zone Natura 2000 des Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié est classée en zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2007 ; avec une superficie de 7 680 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Juzet-d'Izaut[48].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Germier.
    • Le village est bâti au pied du pic de Cagire (1 912 m). Castillon d'Aspet, au début du XIXe siècle avait cru découvrir un Autel votif dédié au Dieu Cagire, mais la lecture faite par Castillon est depuis longtemps abandonnée. On a des témoignages sur le dieu Gar (montagne voisine du même chaînon calcaire), mais pas sur un prétendu dieu Cagire.

    La montée la plus rapide au pic de Cagire depuis le village passe par le col de Buret (599 m, à 1 km) d'où l'on monte dans la forêt puis à travers l'alpage nord qui mêne au pic.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Juzet-d'Izaut », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Juzet-d'Izaut et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Juzet-d'Izaut et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Juzet-d'Izaut et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Juzet-d'Izaut », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Juzet-d'Izaut et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Juzet-d'Izaut et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Juzet-d'Izaut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7300884 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300885 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Juzet-d'Izaut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF l'« Amont du ruisseau du Job et gorges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « cœur du massif de Gar-Cagire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massifforestier de Juzet-d'Izaut à Aspet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    36. Source : d'après Jacques Ducos, Le canton d'Aspet
    37. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    38. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300885 - Chaînons calcaires du Piémont Commingeois - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    48. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300884 - Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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