Cazaunous

Cazaunous est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Cazaunous

Pont sur le Job
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cagire Garonne Salat
Maire
Mandat
Jean Benoit Abadie
2020-2026
Code postal 31160
Code commune 31131
Démographie
Gentilé Cazaunousois
Population
municipale
71 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 12″ nord, 0° 44′ 05″ est
Altitude Min. 474 m
Max. 920 m
Superficie 4,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cazaunous
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Cazaunous
Géolocalisation sur la carte : France
Cazaunous
Géolocalisation sur la carte : France
Cazaunous

    Ses habitants sont appelés les Cazaunousois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Cazaunous se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 90 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 14 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 25 km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Aspet[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Arguenos (1,8 km), Arbon (2,0 km), Juzet-d'Izaut (2,3 km), Moncaup (2,4 km), Izaut-de-l'Hôtel (3,8 km), Malvezie (4,4 km), Sengouagnet (4,5 km), Saint-Pé-d'Ardet (5,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Cazaunous fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

    Cazaunous est limitrophe de six autres communes.

    Carte de la commune de Cazaunous et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Cazaunous[7]
    Malvezie Arbon
    Saint-Pé-d'Ardet Juzet-d'Izaut
    Moncaup Arguenos

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Ruisseau de la Hage un petit affluent du Salat, et le Job un affluent du Ger.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 466 hectares ; son altitude varie de 474 à 920 mètres[8].

    Transports et communications

    Accès avec les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 090 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 31 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21] :

    • l'« Amont du ruisseau du Job et gorges » (178 ha), couvrant 6 communes du département[22] ;
    • le « cœur du massif de Gar-Cagire » (6 194 ha), couvrant 15 communes du département[23],
    • le « piémont calcaire commingeois » (2 924 ha), couvrant 11 communes du département[24] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[21] :

    • l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » (9 679 ha), couvrant 18 communes du département[25] ;
    • le « piémont calcaire commingeois et bassin de Sauveterre » (8 553 ha), couvrant 26 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Cazaunous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,5 %), prairies (27,5 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Origine médiévale : Le terme "Cazaunous" vient de Casannos en latin médiéval. L'origine latine ancienne est "Casas novas" ou "Casals novos". Il s'agissait donc de nouvelles maisons (casas), mais la langue gasconne utilise le terme "Cazau" (prononcer "Cazaou") pour désigner le jardin dont l'importance était aussi vitale que celle de la maison elle-même mais qui n'était pas forcément attenant à l'habitation. Le village de Cazaunous s'est constitué à partir de la disparition du village de Campels, situé un peu plus haut, dont l'emplacement est aujourd'hui rattaché à la commune d'Arbon. Les villages du pays de Thou dont fait partie Cazaunous se sont renforcés au détriment de Campels après les épidémies de peste qui ont frappé Campels en plein Moyen Âge. Campels et Cazaunous étaient des paroisses avec un même recteur à la fin du XIVe siècle (De Campellis et de Casannos. Et habet celebrare in qualibet parrochia singulis diebus dominicis et festis : a Campels et Cazaunous, on célèbre dans chaque paroisse tous les dimanches et fêtes) citation du censier de 1387. La dernière référence précise à l'église de Campels date de 1723[33].

    Histoire

    Le , le hameau de Campels a été le lieu d'un combat entre le maquis d'Aspet et les troupes allemandes qui, en représailles, brulèrent et rasèrent les deux fermes encore habitées. Depuis cette date, le hameau n'est plus habité de façon permanente.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[34],[35].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon.

    Avant le redécoupage départemental de 2014, Cazaunous faisait partie du canton d'Aspet et, avant le , de la Communauté de communes des Trois Vallées).

    La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 2020 Michel Esperte DVD Retraité
    2020 En cours Jean-Benoit Abadie Sans étiquette  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37]. En 2018, la commune comptait 71 habitants[Note 7], en augmentation de 9,23 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    283255267337361417443472430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    408382367369336329320271229
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2162302121631731651269885
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    745842464747616273
    2018 - - - - - - - -
    71--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
    Rang de la commune dans le département 540 529 540 523 551 528 532 532
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'élevage et le tourisme.

    Enseignement

    Cazaunous fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Chasse, randonnée pédestre,

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le lieu appartint un temps aux Prémontrés, qui y établirent un prieuré au XIVe siècle, sur des terrains cédés par le seigneur de Malvezie. Ils y restèrent jusqu'à la Révolution (il n'y avait plus alors qu'un seul moine).

    La chapelle tomba en ruines après la Révolution. Elle sera reconstruite en 1870. De l'ancien édifice il ne reste qu'un chrisme, en réemploi dans le mur extérieur d'une sacristie. On y vient en pèlerinage le , date de la fête de sainte Anne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Cazaunous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Cazaunous et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Cazaunous et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Cazaunous et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Cazaunous », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Cazaunous et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Cazaunous et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cazaunous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF l'« Amont du ruisseau du Job et gorges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « cœur du massif de Gar-Cagire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « piémont calcaire commingeois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « piémont calcaire commingeois et bassin de Sauveterre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Jacques Ducos, Le canton d'Aspet, Aspet, Editions Catherine de Coarraze, , 359 p. (ISBN 2950944264), Pages 179 à 190.
    34. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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