Grièges

Grièges est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Commune en partie insulaire du sud de la Bresse savoyarde entre le Beaujolais, le Mâconnais et la Dombes, elle connaît depuis quelques années une croissance démographique comme la plupart des communes de l'aire urbaine de Mâcon.

Grièges

Mairie de la commune.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes de la Veyle
Maire
Mandat
Annick Gremy
2020-2026
Code postal 01290
Code commune 01179
Démographie
Population
municipale
1 879 hab. (2018 )
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 20″ nord, 4° 51′ 04″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 212 m
Superficie 14,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vonnas
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Grièges
Géolocalisation sur la carte : Ain
Grièges
Géolocalisation sur la carte : France
Grièges
Géolocalisation sur la carte : France
Grièges
Liens
Site web grieges.fr

    Peuplée de 1 879 habitants en 2018 , elle fait partie des communes les plus peuplées du canton de Vonnas.

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune dans l'Ain.

    Grièges est dans la Bresse, près de sa limite sud. C'est un village situé sur la rive gauche de la Saône.

    Grièges est une commune insulaire récente. En effet, Saint-Laurent-sur-Saône occupe la rive occidentale d'une île de la Saône alors que le reste de l'île est partagé entre Crottet, Replonges et Grièges. Cette île est créée en 1992 à la suite de la construction du canal de déviation de la Saône à la fin des années 1980.

    Communes limitrophes

    Points extrêmes

    • Nord : Près du confluent Saône - Veyle, 46° 17′ 59″ N, 4° 49′ 59″ E
    • Est : Ferme-Sainte-Marie, 46° 16′ 18″ N, 4° 52′ 42″ E
    • Sud : Hautes-Corcelles, 46° 14′ 03″ N, 4° 51′ 42″ E
    • Ouest : Île Drampun, 46° 15′ 56″ N, 4° 49′ 00″ E

    Hydrographie

    Le Saône au port de By.

    Climatologie

    Climat tempéré à légère tendance continentale.

    Grièges a les relevés de Mâcon qui est dû à sa proximité (10 km à vol d'oiseau), voici les valeurs climatiques de 1981 à 2010 :

    Relevés Mâcon 1981-2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 1 3,5 6 10 13,5 15,5 15 11,5 8 3,5 1 7,5
    Température moyenne (°C) 2 4,5 8 11 15 19 21 20,5 17 12 7 3,5 12
    Température maximale moyenne (°C) 5,5 8 12 16 20 24 27 26 22 16,5 10 6 16
    Précipitations (mm) 59 53 49 75 88 75,5 71 72 79,5 85,5 84 70 861,5
    Source : Météo-France/Infoclimat : Mâcon (1981-2010)[1]

    Routes

    Carte des voies de communication de la commune de Grièges.
    • La route départementale D51C démarre à Faty-Villeneuve. Elle permet de rejoindre Crottet en passant par Jonc et le hameau de Crottet qu'est Chavannes.
    • La route départementale D933 traverse une partie du sud-est de la commune aux Corcelles, elle relie Thoissey à Pont-de-Veyle.
    Pont François Mitterrand avec la partie griègeoise à droite de la Saône.

    Une seule autoroute traverse la commune, c'est l'A406 et deux autres sont dans un rayon de km.

    • L'autoroute A406 est une autoroute reliant l'A40 et l'A6 et qui permet aux usagers de gagner un quart d'heure pour aller à Mâcon Sud en évitant le centre. Pour accéder à l'autoroute, il faut aller à la gare de péage de Crottet.
    • L'autoroute A40 (Mâcon - Genève), portion de la Route Centre-Europe Atlantique Bordeaux/Nantes - Annemasse passe à moins de cent mètres au nord de la commune. Pour accéder à l'autoroute, il faut aller à la gare de péage de Mâcon-Est à Replonges.
    • L'autoroute A6 est une autoroute passant à une quinzaine de kilomètres de la commune qui relie Paris à Lyon et qui est accessible depuis l'A406 pour aller à Lyon et par l'A40 pour se rendre à Paris.

    Voies ferroviaires

    La gare.

    Au début du XXe siècle, avec l'exploitation du réseau des tramways de l'Ain, la commune était traversée par la ligne de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes longue de 81 km. Elle longeait la ligne PLM[2] et desservait la gare de la commune. Avant 1940, ce réseau ferroviaire ferma et fut remplacé par un service de transport par cars.

    TGV sur la LGV Sud-Est.

    Aujourd'hui, trois voies ferrées traversent la commune.

    Transport fluvial

    À quelques kilomètres de Grièges, la Saône, qui marque la frontière ouest du département de l'Ain, est navigable à grand gabarit européen depuis Verdun-sur-le-Doubs jusqu'à Lyon. Elle constitue un axe de transport fluvial important entre l'est et la Méditerranée. Mâcon possède un port fluvial. La Saône est aussi appréciée pour le tourisme fluvial.

    Transport aérien

    Transports en commun

    Minibus de la ligne 114.

    La commune est reliée au réseau départemental des bus se nommant réseau car.ain.fr. Trois arrêts intégrés à la ligne 114 (Sens Belleville - Mâcon et sens Mâcon - Belleville) sont situés dans la commune le long de la route départementale D51B. Deux arrêts sont situés au bourg, l'arrêt Centre vers l'école publique et l'arrêt Grande Rue près de la laiterie. Le dernier, La Croix Blanche, est localisé à Faty-Villeneuve.

    Urbanisme

    Typologie

    Grièges est une commune rurale[Note 1],[4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mâcon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), zones urbanisées (13,6 %), terres arables (7,5 %), forêts (6,4 %), eaux continentales[Note 3] (6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Panneau d'entrée dans le village.

    À l'époque gallo-romaine, le territoire était déjà occupé par une villa dont le nom était Chillia. Au Moyen Âge, la villa devenue paroisse est absorbée par la localité de Grièges mais Chilia reste le chef-lieu de la paroisse donc garde ce nom jusqu'au XVIe siècle.

    Chilia

    À l'origine, le nom du lieu était Chilie selon le pouillé du diocèse de Lyon qui cite ce nom vers 1250[11]. Il aurait pour origine le nom d'un domaine gallo-romain[12]. En 1272, le nom aurait été Chilliacus comme le mentionne Samuel Guichenon dans un de ses ouvrages dédiés à la Bresse. Selon Marie-Claude Guigue dans un ouvrage dédié à la Dombes, Chiliacus était le nom pour se référer au village autour de 1321 même si Chillia est évoqué vers 1325. Enfin, on trouve Chillies dans la pancarte des droits de cire autour de 1506.

    Grièges

    Le premier nom de la commune apparaît en 997 sous le nom de Grecio[13] qui était à cette époque une simple localité, il proviendrait du gentilice Graecius[14].

    En 1570, les archives de l'Ain évoquent Grege. Le terrier de Saint-Cyr-sur-Menthon évoquent Griege en 1630 et les visites pastorales citent Greige en 1650.

    En 1793, on trouve le nom de Griége puis le nom actuel de Grièges en 1801 dans le bulletin des lois[15].

    Histoire

    Niveau des crues en face de la Laiterie. La Saône est située à 3 kilomètres par orthodromie.

    Le territoire communal est occupé dès l'époque gallo-romaine par une villa nommée Chillia qui devient une paroisse durant le Moyen Âge. À cette époque, elle est absorbée par Grièges qui est alors une simple localité. Toutefois, le chef-lieu de la paroisse reste à Chillia jusqu'au XVIe siècle, étant donné qu'elle dépend de l'église Saint-Gengoult. Par la suite, le centre du village est déplacé à l'endroit actuel, le vieux bourg reste aujourd'hui visible.

    En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, la commune devient française avec l'acquisition par la France de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.

    Entre 1790 et 1795, elle était une municipalité du canton de Pont-de-Veyle, et dépendait du district de Châtillon-les-Dombes.

    La Saône fait souvent l'objet de crues qui inondent régulièrement les prairies du val de Saône. Deux d'entre elles furent particulièrement marquantes. La plus importante crue connue date de 1840, la deuxième plus importante date de 1955.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Raymond Vernaton    
    1995 2014 Bernard Poulet   Réélu en 2001 et 2008
    2014 2020 Joëlle Renoud SE Employée
    2020 En cours Annick Gremy DVG Ingénieure Arts et Métiers
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Panneau de jumelage entre Straubenhardt et le canton de Pont-de-Veyle.
    Localisation des villes jumelées avec Grièges.

    La communauté de communes du canton de Pont-de-Veyle dont la commune fait partie est jumelée avec la commune de Straubenhardt localisée dans le Bade-Wurtemberg ( Allemagne) à la porte nord de la Forêt-Noire entre Karlsruhe et Pforzheim. Après quelques échanges entre associations en 1999, le jumelage entre Straubenhardt et le canton de Pont-de-Veyle a été concrétisé par la signature de la Charte lors de la grande fête organisée au Château de Pont-de-Veyle en 2000[16].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2018, la commune comptait 1 879 habitants[Note 4], en diminution de 2,39 % par rapport à 2013 (Ain : +4,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0321 1951 1741 2351 2141 2301 2171 2061 249
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2471 1771 1791 1351 1161 0651 0781 0441 036
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0401 0451 0228839268698739181 001
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0251 1081 2861 4231 6061 5981 7051 8991 891
    2018 - - - - - - - -
    1 879--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • La commune possède une école publique de la petite section jusqu'au CM2, les niveaux sont répartis dans sept classes.
    • Une école privée est située dans la même rue que l'école publique : l'école Saint-Thérèse. Elle accueille trois classes regroupées en cycles.

    Les élèves de la commune passant en 6e sont dirigés au collège George-Sand de Pont-de-Veyle. Enfin, le lycée de secteur de la commune est le Lycée Lamartine, situé à Mâcon dans la région bourguignonne.

    Clubs sportifs

    • Le Tennis Club Veyle Sâone est un club né de la fusion de quatre associations dont celle de la commune (Tennis Club de Grièges) en 2015[20].
    • L'AS Grièges Pont-de-Veyle est un club de football issu de la fusion entre l'ancien club de la commune et celui de Pont-de-Veyle.
    • Le Moto-Club de la Pierre Torrion réunit des licenciés autour de la pratique de la moto.
    • L'AS Grièges Cyclo est une association rassemblant les passionnés du vélo des environs.

    Infrastructures sportives

    • Deux terrains de football accueillent les matches du club de la commune.
    • Autour de ces terrains, on trouve trois courts de tennis.
    • Près du lac de Cormoranche, on trouve un terrain de moto-cross.
    • Au bourg du village, un boulodrome permet la pratique de la pétanque à Grièges.

    Médias

    • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
    • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
    • La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

    Numérique

    Depuis 2012, la commune dispose du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique LIAin régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain.

    Économie

    Laiterie de Grièges.

    Sur le plan économique, l’agriculture est très active avec une dizaine d’exploitations agricoles d’élevage, laitières et de céréales. D’autres petites et moyennes entreprises sont présentes (mécanique générale, horticulture, artisanat, commerces, etc.).

    Mais le village est surtout connu pour son industrie agroalimentaire : la fromagerie Bressor qui fabrique le Carré Frais, le Bleu de Bresse, les apérivrais, emploie entre 250 et 300 personnes selon la charge de travail.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin de Grièges a été édifiée au cœur du village sur la place principale.
    • La chapelle Saint-Gengoult, située dans le vieux bourg du village, aurait été construite au Xe siècle et a été rénovée en 1991. Église de l'ancienne paroisse de Chillia, elle a été sauvée de la démolition durant la Révolution grâce à la municipalité qui avait décidé d'en faire une maison commune[21].
    • Vers le parc du château de Pont-de-Veyle se trouve le pont des Laboureurs inscrit au titre des monuments historiques depuis 2020[22].
    • Le long de la Grande Rue, on peut apercevoir un bâtiment qui accueillait auparavant la mairie et l'école primaire du village.
    • Au hameau de Jonc, le moulin Vieux enjambe la Veyle à la frontière avec Crottet.
    • Un monument en l'honneur des enfants de Grièges tombés durant les guerres a été érigé entre l'église et la mairie.
    • Quelques croix de chemins sont situées dans différents endroits de la commune.

    Espaces verts et fleurissement

    Panneau Village fleuri.

    L'ouest de la commune fait partie des prairies inondables du val de Saône, zone intégrée dans le réseau Natura 2000[23] et classées zones protégées depuis 1994.

    En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[24].

    Festivals et événements

    • La traditionnelle Course de Solex au mois d'août, organisée par le Comité des fêtes
    • Le Nid'Poule Festival, festival de musique émergentes, organisé par l'Association Chaud comme la Bresse

    Personnalités liées à la commune

    • Le groupe "La Pigñata" lors de leur concert à la Cave à Musique à Mâcon.
      Paul-Marie Rousset, évêque français, né dans la commune en 1921.
    • Alexandre Nicolot, Juste parmi les nations[25], avait une maison de campagne dans la commune où il hébergea deux adolescents d'une famille de réfugiés juifs à la fin de l'Occupation.
    • La Pigñata, groupe de punk fondé en 2016[26]. Ils ont notamment écrit un morceau sur Grièges, extrait de leur premier EP.

    Cinéma à Grièges

    Héraldique

    La commune de Grieges porte :

    D'azur aux trois fasces ondées abaissées portant une nef d'or au mat d'argent, accostée à dextre d'un croissant contourné aussi d'or et à senestre d'une étoile du même, au chef d'or chargé de deux pies grièches affrontées d'azur becquées, allumées, armées et colletées d'argent[27].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1981-2010)
    2. Ligne Trévoux <> Saint-Trivier-de-Courtes, sur tramdelain.fr.
    3. Dépliant PDF de la ligne Mâcon-Bourg-Ambérieu.
    4. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Dictionnaire topographique de Philipon p. 114 sur archives-numerisees.ain.fr
    12. Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs (Lettre C) », sur henrysuter.ch (consulté le )
    13. Édouard Philipon, Dictionnaire topographique du département de l'Ain : Comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 528 p. (lire en ligne), p. 200
    14. Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs (Lettre G) », sur henrysuter.ch
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Jumelage du canton de Pont-de-Veyle avec Straubenhardt (Allemagne) », sur pont-de-veyle.com.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Le mot du président, sur le site du TCVS
    21. À Grièges : la chapelle Saint-Gengoult, sur leprogres.fr.
    22. Pascal Mailhos, « Arrêté n° 20-110 portant inscription au titre des monuments historiques du pont des Laboureurs – GRIEGES (Ain) » [PDF], sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le )
    23. « Prairies du val de Saône sur le site du réseau Natura 2000 » (consulté le ).
    24. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    25. « Alexandre Nicolot - Dossier n° 9 947 », sur comité français pour Yas Vashem (consulté le ).
    26. Conseil départemental de Saône-et-Loire, « LA PIGÑATA + LES HÔTESSES D'HILAIRE », sur Conseil départemental de Saône-et-Loire : Site Internet (consulté le )
    27. Armes de Grieges, sur labanquedublason2.com

    Voir aussi

    Article connexe

    Lien externe

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