Genêts
Genêts est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 441 habitants[Note 1].
Genêts | |
L'église Notre-Dame. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Avranches |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie |
Maire Mandat |
Catherine Brunaud-Rhyn 2020-2026 |
Code postal | 50530 |
Code commune | 50199 |
Démographie | |
Gentilé | Genestais |
Population municipale |
441 hab. (2018 ) |
Densité | 64 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 41′ 05″ nord, 1° 28′ 33″ ouest |
Altitude | Min. 6 m Max. 38 m |
Superficie | 6,89 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Avranches (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Avranches |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-genets.com |
Géographie
Situation
Le village est situé à l'ouest de l'Avranchin, sur la rive nord de la baie du mont Saint-Michel, offrant une belle vue sur celle-ci, Tombelaine (réserve d'oiseaux) et le mont Saint-Michel. Au nord du village se trouve le bec d'Andaine[1], qui fut jadis le port très fréquenté de Genêts. Ensablée depuis fort longtemps, il ne reste qu'une plage étendue d’où on peut faire des promenades guidées vers le mont Saint-Michel en passant par Tombelaine[2]. Genêts est limitrophe des communes de Vains, Bacilly et Dragey et est traversée par le Lerre.
Son bourg est à 8 km au sud de Sartilly, à 12 km à l'ouest d'Avranches et à 22 km au sud-est de Granville[3].
Système érosion-progradation
L'érosion actuelle de la plage et des dunes de Dragey dans la baie du Mont-Saint-Michel[5],[6] est à l'origine du recul du littoral d'environ 250 m depuis le milieu du XXe siècle), les produits d'érosion étant transportés jusqu'au bec d'Andaine[7] où la progradation des crêtes de sable (barres sableuses allongées, bien individualisées que tous les trois ou cinq ans, et terminées en crochet) s'érigeant en avant des anciennes dunes bordières, est du même ordre[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[15] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 838,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 19 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[19] à 11,9 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
Genêts est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avranches, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[27]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,5 %), prairies (27,4 %), terres arables (13,3 %), zones urbanisées (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %), zones humides côtières (0,9 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Genitium au Xe siècle, de Genecio en 1066, Genez en 1115, Genecium en 1140[32].
Le nom Genêts (jadis de Genicio vers 1060[33], Genitium, Genecium) est sans rapport avec la plante du même nom (bas latin genĕsta, genista), par contre il correspond bien à sa situation géographique, puisqu'il est basé sur le celtique gen que l'on retrouve dans les environs: Argennes à Saint-Quentin-sur-le-Homme et Ingena, ancien nom d'Avranches[34]. L'archétype devait être *genu- (Genova, Genève) « bouche » Cf. breton genou et gallois genau « bouches », de la sa signification topographique d'« embouchure » et Genêts « endroit près de l'embouchure » (ici celles de la Sée et de la Sélune), soit à l'embouchure de la Lerre sur laquelle l'agglomération est située (allusion à la baie du mont Saint-Michel)[35].
François de Beaurepaire est le premier à rapprocher Genitium / Genecium de l'élément gaulois gen(u)a « bouche; embouchure, estuaire » , dont le radical gen- serait ici suivi d'un suffixe -icium[36].
Jusqu'en 1893, la graphie officielle de la commune est Genest[37].
Le gentilé est Genestais.
Histoire
Les bonnes conditions d'abri qu'offrait le port (un arc entre le bec d'Andaine et le Haut Moncel, encadrant l'estuaire du Lerre) lui permet de se développer et de devenir un port assez important de commerce : vin, blé, poissons séchés, plâtres, pierres à chaux, mercerie, draps, étoffes[38]. Les sources anciennes mentionnent l'activité de ce port. Un commerce de la région, les meules à moulins de Brie et de Champagne a donné son nom au bois des Meules[38]. Au XIVe siècle la population du bourg se monte à 3 000 habitants[38].
Mais sur les siècles suivant, la baie de Genêts va progressivement s'ensabler et l'estuaire de la Lerre se combler, faisant disparaitre son port. Le village est maintenant séparé de la mer par des marais.
L'affaire criminelle Gaston Durand s'est déroulée à Genets et fut jugée par les assises de la Manche à Coutances le [39].
Le 1er janvier 1973, Genêts s'associe avec Dragey, Ronthon et Saint-Jean-le-Thomas, la commune ainsi formée prenant le nom de Dragey-Tombelaine. Genêts et Saint-Jean-le-Thomas sortent de l'association en 1979, et la commune fusionnée est renommée Dragey, puis Dragey-Ronthon.
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[43].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2018, la commune comptait 441 habitants[Note 8], en augmentation de 5,25 % par rapport à 2013 (Manche : −0,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Peuplé d'environ 2 000 habitants au XIVe siècle[réf. nécessaire],Genêts a compté après la mise en place des recensements républicains, jusqu'à 1 017 habitants en 1836.
Économie et infrastructure
Le camping est situé entre le village et la plage de sable.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Genêts était le point d'aboutissement de nombreuses voies montoises empruntées par les pèlerins. Au Moyen Âge, la population s'éleva jusqu'à environ 3 000 âmes au XIVe siècle, l'église était alors entourée de sept chapelles dont la chapelle Sainte-Anne détruite puis reconstruite. L'église Notre-Dame est le seul monument qui nous reste de cette époque.
L'église de Genêts
L'église de Genêts est placée sous le vocable de Notre-Dame et aussi sous celui de saint Sébastien.
On n'a pas de données précises sur la première église de Genêts dont certains éléments subsistent encore dans le transept actuel. Au XIIe siècle, le grand abbé du Mont, Robert de Thorigny, « releva l'église qui tombait de vétusté » et la fit consacrer en 1157. De cette époque datent le transept et la robuste tour carrée alors surmontée d'une flèche de pierre. Après le passage des Anglais qui brûlèrent l'église, les abbés-barons Nicolas Le Vitrier et Geoffroy de Servon « qui tenait la truelle à la main et l'épée de l'autre » la reconstruisirent. Lors des guerres de religion, l'église fut pillée par les troupes de Montgomery. À la fin du XVIIe siècle, l'état des bâtiments était lamentable avec des toitures trouées, des autels croulants. Au siècle suivant, un effort se manifeste.
Aujourd'hui, ce patrimoine est l'objet de mesures conservatoires et d'un suivi attentif. L'église et le cimetière ont été classés monuments historiques le [47]. À l'intérieur, des statues, des autels et autres éléments ont été classés ou inscrits à titre d'objets aux Monument historique ces dernières années[48]. La statue de la Vierge du XIVe siècle, a bénéficié d'une mesure de classement dès 1908. Le transept avec ses quatre piliers massifs et la tour implantée à la croisée de celui-ci appartient à la période romane. Certains éléments plus anciens ont été repris dans cette construction. La tour qui comprend deux étages, autrefois surmontés d'une flèche, a été remaniée au XVIe par l'abbé Guillaume de Lamps qui la coiffa d'un toit en bâtière. Les cloches d'origine fondues à la Révolution, remplacées au XIXe siècle, servaient aussi à guider les personnes égarées dans la baie par temps de brume. Sur les bancs du charmant porche sud dont la construction est attribuée à Guillaume de Lamps, au XIVe siècle, se traitaient autrefois les affaires de la paroisse. Le chœur à chevet plat, est divisé en trois travées. Il pourrait avoir été édifié vers le milieu du XIIIe siècle . La baie du chevet est décorée d'un vitrail restauré au XIXe siècle, dont certains éléments sont du XIIIe siècle. La nef très difficile à dater a été fort remaniée au XVIIIe siècle. Une récente restauration menée a permis de découvrir une charpente du XVe siècle, à poinçon et entraits qui a été rétablie. Outre la grande verrière du chevet, l'église recèle des objets intéressants, des statues, des autels… Le peintre Alexandre Claude Louis Lavalley y a peint Le Christ sortant du tombeau.
Autres lieux
- Le bec d'Andaine, avec sa plage et ses dunes, qui a fait l'objet d'un récent aménagement. C'est le lieu de départ des traversées de la baie, pour atteindre Tombelaine ou le mont Saint-Michel ou des pèlerinages vers l'abbaye.
- L'hippodrome des Grèves, où chaque année se déroule au mois de juillet des épreuves de trot.
- Jardin du prieuré.
- L'îlot de Tombelaine, qui dépend administrativement de Genêts. Propriété de l'État, réserve ornithologique, il fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le [49].
Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
- Aubert d'Avranches (660-vers 725) y serait né[réf. nécessaire].
- Louis Adrian (1859-1933), créateur du casque du poilu (guerre 1914-1918) est inhumé à Genêts.
- Adolphe-Alexandre Lesrel (1839-1929), peintre, est né et mort à Genêts.
- Alexandre-Claude-Louis Lavalley (1862-1927), peintre, prix de Rome en 1891, il possédait une résidence secondaire à Genêts[50].
- L'abbé Henri Ménardais (1883-1965), né et enterré à Genêts, fut curé de Chalmaison de 1934 à 1952. médailles militaires 1914-1918 et 1939-1945, médaille de la Résistance, décoré par les Armées de Grande-Bretagne et des États-Unis, il fut honoré de la médaille des Justes parmi les nations à titre posthume en 1997 pour avoir caché et sauvé des centaines de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, en délivrant notamment de faux certificats de baptêmes. Son nom est inscrit sur le monument de Yad Vashem à Jérusalem[51].
- Maurice Utrillo (1883-1955), peintre, a habité le bourg[réf. nécessaire].
Héraldique
Blason | D'azur au croissant d'argent surmonté d'une étoile de huit rais d'or[52]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2018.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- http://www.ageb.org/Visite/Genets_andaine.html
- http://www.ageb.org/Visite/Genets_tombelaine.html
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- (en) Simplified geological and sedimentological map of the Mont-Saint-Michel bay (after Larsonneur and coll., 1989 ; L'Homer et al., 1999)
- Coupe géologique à travers la baie
- Le bec d'Andaine est la terminaison de ce système érosion-progradation.
- Compain P., Larsonneur C., Walker P., « Les sédiments et leur dynamique dans la partie nord-est de la Baie du Mont-Saint-Michel », Bull. Soc. Linn. Normandie, vol. 112/113, , p. 109-114.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 1, 1990, page 655.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 108.
- Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche), page 562.
- François de Beaurepaire, La Toponymie de la Normandie, Méthodes et applications, Cahiers Léopold Delisle XVIII, fasc. 1-2, 1er semestre 1969, Société parisienne d’histoire et d’archéologie normandes, 1970, § 64.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, 2012, page ??
- Maire de Dragey-Tombelaine.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Église et cimetière qui l'entoure », notice no PA00110407, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Œuvres mobilières à Genêts », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Îlot de Tombelaine », notice no PA00110408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Site municipal de Genêts - Les personnages illustres de notre village » (consulté le ).
- Liste des Justes parmi les nations.
- « 50199 Genêts (Manche) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Bibliographie
- Émile-Auber Pigeon, Le Mont Saint-Michel et sa baronnie Genêts-Tombelaine. Ouvrage orné de plans, de cartes, et d’un grand nombre de dessins, Imprimerie A. Perrin, Avranches, 1901, 411 p., réédité en 1997
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Genêts et l'art roman - site des études françaises
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