Bacilly

Bacilly (prononcer /basiji:/) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 951 habitants[Note 1].

Bacilly

Le bourg vu de l'est.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Éric Quinton
2020-2026
Code postal 50530
Code commune 50027
Démographie
Gentilé Bacillais
Population
municipale
951 hab. (2018 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 04″ nord, 1° 26′ 27″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 75 m
Superficie 15,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Avranches
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avranches
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Bacilly
Géolocalisation sur la carte : Manche
Bacilly
Géolocalisation sur la carte : France
Bacilly
Géolocalisation sur la carte : France
Bacilly
Liens
Site web www.bacilly.fr

    Elle est située entre la vallée du Lerre et la vallée du Vergon. Le territoire de Bacilly est traversé par la route d'Avranches à Granville par la côte passant au village de Fougeray et par la route de Villedieu à la mer, ancienne voie montoise et saunière passant au bourg et à Fougeray.

    Géographie

    La commune est au nord-ouest de l'Avranchin, à l'intérieur des terres, toute proche de la baie du Mont-Saint-Michel. Couvrant 1 588 hectares, son territoire est le plus étendu du canton de Sartilly. Son bourg est à km au sud de Sartilly et à 8,5 km à l'ouest d'Avranches[1].

    Le point culminant (75 m) se situe en limite nord-est, sur la D 41. Le point le plus bas (m) correspond à la sortie du Vergon  dernier affluent de la Sée  du territoire, au sud-est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 806 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 838,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bacilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avranches, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (35,2 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Bacilleio en 1066[23]. Le toponyme semble issu de l'anthroponyme roman Bassilius[24].

    Le gentilé est Bacillais.

    Histoire

    Sous l’Ancien Régime on trouve plusieurs fiefs à Bacilly.

    • Un fief appelé Bacilly, appartenant jusqu’au treizième siècle à des seigneurs de ce nom puis acquis par l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Il fut fieffé (concédé moyennant une rente) à Antoine Ernault.
    • Le fief de Chantore, appartenant à une famille de ce nom, puis aux Thieuville, Mauny, Goyon de Matignon, Epinay. Il passa, par vente en 1511, à la famille Ernault qui le conserva jusqu’à la Révolution. Ce fief était vassal de celui de Saint-Pierre-Langers.
    • Le fief de la Grande Rousselière qui semble tirer son nom de la famille Roussel, propriétaire en 1327. On trouve deux siècles plus tard la famille Guiton puis Ernault. Ce fief était en débat de tenure entre de la baronnie de Moyon et la vicomté de Saint-Sauveur-Lendelin.
    • Le fief de la Petite Rousselière Champagne, appartenant à Robin Roussel en 1327, on trouve ensuite les Argennes, le Boucher, le Brun, Piton. Devait relever de la Grande Rousselière.
    • Le fief de Monframeray dépendant de la Grande Rousselière et réuni à ce fief avant 1614.
    • Autre fief dit de Bacilly, s’étendant sur Quettreville et relevant de la baronnie de Gouville. En 1327 Jean de Méautis possède ce fief.
    • Le fief de Champillon, semble d’abord avoir été uni à celui de Chavoy, possédé par la famille Breuilly. Au seizième siècle, Champillon appartient aux Lemercier puis La Broise.
    • Le fief de la Haye, sans doute possédé quelque temps par le Mont-Saint-Michel, mouvant de la baronnie de Moyon. Les Ernault furent les derniers propriétaires.
    • Le fief de la Pitière Bellesme, mouvant de celui de Champcey.
    • Le fief de Fougeray, dépendant du prieuré de Tombelaine, lequel appartenait à l’abbaye du Mont-Saint-Michel.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    ..1790 1790.. Louis Lemaître    
    1792 1795 François Charles Lemaître   officier public
    1795 1798 René Ursin Le Chault La Coquerie   agent municipal
    1798 1800 François Le Vavasseur   agent municipal maire provisoire
    1800 1816 François Charles Lemaître   Géomètre
    1817 1818 Guillaume Dupont    
    1818 1819 Charles Doynel de Quincey   Comte
    1819 1821 Louis Dupont    
    1821 1831 François Charles Lemaître    
    1831 1846 Jean-François Lemaître-Frommeray    
    1846 1861 Auguste Bréhier[25]    
    1862 1862 César Pôtel   adjoint fait fonction de maire
    1862 1874 Eugène Jean Dupont    
    1874 1900 Isidore Julien Chauvin    
    1900 1903 Adolphe Gautier    
    1903 1908 Yves Droüet de Montgermont    
    1908 1915 Ernest Liot    
    1915 1918 François Renault   faisant fonction
    1919 1932 Ernest Liot    
    1932 1977 Jean Droüet de Montgermont   agriculteur,
    Conseiller général de 1937-1940, 1945-1976
    1978 1986 Louis Rollo    
    1986 2001 Gérard Levavasseur    
    mars 2001[26] mars 2014 Jean-Pierre Debon SE Enseignant, maire honoraire
    mars 2014[27] janvier 2016[28] Adolphe Baugé SE Cadre administratif et financier
    avril 2016[29] mai 2020 Jean-Pierre Maincent SE retraité du secteur bancaire
    mai 2020[30] En cours Éric Quinton SE Exploitant agricole
    Une partie des données est issue de l'ouvrage "601 communes et lieux de vie de la Manche" [31]

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 951 habitants[Note 8], en augmentation de 3,26 % par rapport à 2013 (Manche : −0,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Bacilly a compté jusqu'à 1 676 habitants en 1806.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5761 5011 6761 6131 6231 5171 5401 5451 411
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3441 3381 3051 2971 1551 1011 0531 011903
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    905896880845862844854855843
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    821781691673644670771785900
    2017 2018 - - - - - - -
    935951-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    En 1939, la commune a servi quelque temps de base de repli aux éditions Gallimard. Le patron Gaston Gallimard avait mis sa propriété, alors récemment acquise, à la disposition d'une partie des services de sa société.

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Étienne.
    Le château de Chantore.
    • L’église Saint-Étienne fut consacrée en 1283 par l’évêque Raoul de Thieuville, qui était aussi seigneur de Chantore. Cette église s’effondra en 1816 et fut rebâtie. Le droit de présenter à la cure était alternatif entre l’évêque et l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Ce bénéfice était un des plus lucratif des cures rurales, le curé ayant la plupart des dîmes. Cette église dépend aujourd'hui de la paroisse Saint-Auguste-Chapdeleine du doyenné du Pays de Granville-Villedieu[37]. Elle abrite une statue de saint Eutrope classée à titre d'objet aux Monuments historiques[38].
    • Château de Chantore.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Pontorson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bacilly et Pontorson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pontorson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bacilly et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    24. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), notice BnF no FRBNF36174448), p. 57.
    25. Annuaire du département de la Manche, 33e année 1861, p 235.
    26. « Jean-Pierre Debon reçoit la médaille du Sénat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. « Adolphe Baugé succède à Jean-Pierre Debon », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. « Adolphe Baugé : démission sous le signe de l'incompréhension », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Adjoint, Jean-Pierre Maincent devient maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Eric Quinton a été élu au poste de maire », sur lamanchelibre.fr, La Manche Libre (consulté le ).
    31. René Gautier, 601 communes et lieux de vie de la Manche [détail des éditions].
    32. « Bacilly (50530) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Site du diocèse
    38. « Statue : Saint Eutrope », notice no PM50000051, base Palissy, ministère français de la Culture.

    Liens externes

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