Folschviller

Folschviller est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-Est, en région Grand Est.

Folschviller

Ancien carreau de mine de Folschviller (puits 1), inscrit au titre des Monuments historiques.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Didier Zimny
2020-2026
Code postal 57730
Code commune 57224
Démographie
Gentilé Folschvillerois
Population
municipale
3 945 hab. (2018 )
Densité 417 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 13″ nord, 6° 41′ 09″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 387 m
Superficie 9,46 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Avold (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Avold (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Avold
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Folschviller
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Folschviller
Géolocalisation sur la carte : France
Folschviller
Géolocalisation sur la carte : France
Folschviller

    Ses habitants sont appelés les Folschvillerois.

    Géographie

    Folschviller est une petite ville du nord-est de la France, située en Moselle. La commune est située en moyenne à 279 mètres d'altitude. Le bâti s'étale sur une colline, dont le point le plus bas est le croisement des rues Principale et Des Jardins et le point culminant, la zone industrielle de Furst (anciennement "carreau de la mine"). La ville se trouve à environ 50 kilomètres de Metz, la préfecture du département avec laquelle elle est reliée par l'autoroute A4.

    Hydrographie

    Le territoire communal est irrigué et drainé par le ruisseau le Waeldersbach, le ruisseau de Folschviller et le ruisseau de Valmont. Il est traversé, au sud-est, par la Nied allemande.

    Climat

    Le climat de Folschviller est océanique dégradé à influence continentale. Les saisons sont contrastées et bien marquées mais en fonction des vents dominants peuvent se succéder du jour au lendemain des périodes de précipitations (influence océanique) ou de forte amplitude thermique (influence continentale).

    Environnement

    Le sous-sol et certaines zones aériennes de la commune (dans le bois de Furst notamment) conservent les séquelles de l'exploitation minière du charbon du XIXe et XXe siècles.

    Folschviller est située à moins d'une vingtaine de kilomètres du parc naturel régional de Lorraine.

    Écarts et lieux-dits

    Le hameau d’Aling aurait été détruit en 1633 pendant la guerre de Trente Ans, il n’en reste que deux maisons.

    Les autres écarts de la commune sont Berfang Neuf et la ferme du Vieux Berfang.

    Urbanisme

    Typologie

    Folschviller est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Avold (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 6 communes[4] et 34 169 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,4 %), prairies (19,9 %), forêts (18,2 %), zones urbanisées (18 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Folschviller

    Ancien noms[11]:

    • 1275 : Wolswilre
    • 1356 : Wolchviller et Wolchwilre
    • 1400 : Fogelswilre et Wolstwilre
    • 1485 : Volszwiller et Volsviller
    • 1486 : Volschwiler
    • 1494 : Follsschweiller
    • 1591 : Foleshuviller
    • XVIIe siècle : Woltzeiller
    • 1606 : Folschweiller
    • 1749 : Folweiler
    • 1751 : Folchweiler
    • 1793 : Folschweiler[12]
    • An X : Folschweiler
    • XIXe siècle : Folschwiller

    Aling

    • 1152 : Alinge[13]
    • 1275 : Aldinga[11]
    • 1480 : Aldingen[11]
    • 1681 : Halling[11]
    • Haling (carte de l'état-major)
    • Allingue[14]
    • Alling-lès-Folschviller[13]

    Vieux Berfang

    • 1485 : Berfincken[11]
    • 1680 : Berfangen[11]
    • XVIIIe siècle : Berfand[11]

    Histoire

    Folschviller serait né d'un petit hameau du village disparu d'Aling rasé lors de la guerre de Trente Ans et dont les familles survivantes se seraient réfugiées à Fürst. Après la guerre, ces réfugiés auraient reçu des terres de la part des seigneurs de Fürst pour s'installer dans le hameau de Folschviller, qui grandit alors pour devenir un village. Selon la société savante Société d'histoire du Pays naborien, après cette guerre, cette région fut habitée par les anciens habitants, et par des colons d'origine alémanique pour 30 % (Suisses, Tyroliens, Souabes, gens du Palatinat, Wurtembergeois) et parlant une langue romane pour 20 % (Picards, Bourguignons, Auvergnats, Normands, Savoyards, Espagnols, Italiens)[15].

    Jusqu'au XVIIIe siècle, la commune se retrouva géographiquement partagée entre trois souverainetés : une première partie dépendait des Trois-Évêchés, plus précisément de la principauté épiscopale de Metz, une deuxième partie qui appartenait à l'abbaye bénédictine de Saint-Avold au moins depuis 1275 était passé ainsi dans le domaine du duché de Lorraine et une troisième partie dépendait du comté de Créhange, et donc du Saint-Empire romain germanique. La partie relevant des Trois-Évêchés fut réunie au Royaume de France en 1648 à la suite du traité de Westphalie et de l'annexion des Trois-Évêchés par la France. La partie relevant du duché de Lorraine fut intégrée à la France en 1766, quand le duché fut réuni à la France à la mort du roi Stanislas. Enfin ,la partie du Saint-Empire romain germanique fut occupée en 1793 par les Français, et rattachée officiellement par le traité de Lunéville en 1801[15]. Folschviller fut alors incorporé au canton de Saint-Avold[11].

    Située dans une riche région agricole, puis minière et de passage, proche de l'Allemagne, Folschviller a connu les malheurs de la guerre et ses séquelles dont récemment durant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale (avec une évacuation forcée, le 1er septembre 1939, à la suite de laquelle la plupart des habitants ont trouvé refuge à Usson-du-Poitou dans la Vienne[16]).

    Le XXe siècle fait basculer le village rural dans le monde industriel, avec de 1900 à 1908 une série de sondages qui permettent de localiser de premières veines de charbon (au sud-ouest des sièges appartenant aux houillères de Petite-Rosselle et à la société de Saar und Mosel) dont les géologues comprennent rapidement qu'elles se prolongent en un bassin houiller intéressant pour l'exploitation[15]. En 1903, de premières installations se font aux pieds du Château de Fürst, à Valmont et à Téting. Fin 1906, on creuse un puits au lieu-dit Kalkofen et au Letschberg, et on découvre en 1907 des gisements plus importants (à 600 m de fond)[15].

    En 1906-1907 une Société (I.K.A. Internationale Kohlenbergwerks Aktiengesellschaft) se crée, avec son siège à Saint-Avold. Elle vise à exploiter ce gisement (dès 1909 pour les concessions de Folschviller), via une filiale ad hoc (crée pour cela ; la mine « Metz », en achetant 25 hectares de terrain à l'est de la commune (ban de Folschviller) ; 100 à 250 Marks l'are[15]. À partir du 14 juillet 1908, on commence à ériger le carreau de mine et sa tour de 53 m, une centrale électrique, un hall des machines, des ateliers, douches, dortoirs, cantines, etc. les puits A et B (de 5 m de diamètre chacun) sont creusés du 15 octobre 1909 au 1er octobre 1910. Douze foreuses et un demi-millier d'ouvriers sont à la tâche pour les puits A et B ayant chacun 5 mètres de diamètre[15]. La jeune Société "Metz" ne maîtrise pas la technique de fonçage avec cimentation, et à 100 m, puis à 220 m est victime d'inondations à partir de la nappe. Les travaux cessent à l'automne 1910 alors que 12 millions de Marks ont été dépensés. On démantèle les installations[15].

    Avant la Seconde Guerre mondiale, un nouveau puits est creusé (à la Cité Fürst). Les travaux sont interrompus par la guerre et terminés en 1948). Beaucoup de paysans deviennent mineurs et la population passe de 720 habitants en 1938 à plus de 3000 en 1958[15].

    En 1968, la mine extrait presque un million de tonnes par an de charbon (956 000 t en 1968), mais le charbon devient de moins en moins accessible et de plus en plus coûteux à extraire. Les mines ferment peu à peu. Celle de Folschviller cesse son activité le 2 mars 1979[15]. La ville connaît depuis quelques handicaps démographiques.

    La relève industrielle est prise par un artisan boulanger qui lance une fabrication industrielle de pains précuits congelés, qui trouve un marché porteur et devient leader européen dans ce « créneau », formant aujourd'hui le groupe Neuhauser[15] (qui appartient au groupe Soufflet).

    Politique et administration

    Au niveau de l’aménagement du territoire, la commune s'inscrit dans le schéma de cohérence territoriale Val de Rosselle[17]

    Tendances politiques et résultats

    Folschviller et le bassin de vie de Moselle-est sont gouvernés en grande partie par des partis et mouvements issus de la droite et du centre (LR, DVD, LREM, DVC). Le Front National obtient de forts pourcentages dans la commune lors du premier tour de la Présidentielle de 2017 : Marine Le Pen arrive en tête avec 33.57% des voix.

    Le maire de la commune, élu en mars 2020, est membre du Mouvement Radical.

    Finances locales

    En 2015, les finances communales était constituées ainsi[18] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 342 000 , soit 790  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 3 481 000 , soit 823  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 2 845 000 , soit 672  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 2 034 000 , soit 481  par habitant ;
    • endettement : 4 123 000 , soit 1 211  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 19,12 % ;
    • taxe foncière sur le bâti : 9,46 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 44,71 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1965 Émile Bosch    
    mars 1965 juin 1995 Marcel Martin    
    juin 1995 mars 2008 Bernard Baron DVG  
    mars 2008 mars 2014 Claude Staub DVD Gérant d'une entreprise
    mars 2014 mars 2020 Gabriel Muller DVD Fonctionnaire retraité de la Police Nationale
    Vice-président de la CA Saint-Avold Synergie
    mars 2020 En cours Didier Zimny MRSL  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2018, la commune comptait 3 945 habitants[Note 3], en diminution de 4,87 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    567580616630655694591563505
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    466476437457434465418749522
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    6167117197262 4555 0784 8254 7124 957
    1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018 - -
    4 5814 6354 3504 3094 2674 1473 945--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Après une forte progression de la population induite par l'activité minière, la tendance démographique est aujourd'hui à la baisse, mais la densité d'habitants reste relativement importante (435 hab./km²).

    Économie

    Autrefois rurale, la commune s'est industrialisée avec la découverte puis l'exploitation de la houille du bassin houiller lorrain jusque dans les années 1970.

    Elle fait encore partie de la zone d'emploi dite « Bassin-Houiller ». Sa zone d'activité de Fürst compte quelques entreprises toujours en activité.

    Depuis avril 2015, Folschviller accueille un marché hebdomadaire qui se tient tous les dimanches.

    Culture locale et patrimoine

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e d'argent à la fasce de gueules, aux 2e et 3e de gueules au vaisseau d'or, à trois voiles d'argent chargées chacune d'une croisette du champ, voguant sur une mer d'azur.
    Détails

    Lieux et monuments

    Lieux et édifices civils

    Vue de la tour d'extraction.
    • Passage d’un chemin antique[22].

    Château de Fürst[23], XVIIe siècle, remanié XVIIIe siècle : bâtiment rectangulaire formé de quatre corps, cheminées XVIIIe siècle. Il a été refondé sur les restes d'un château seigneurial dont les origines semblent avoir été perdues mais dont le nom existe dans les archives depuis 1134[16]. Il a été remodelé et reconstruit au XVIIIe siècle et aménagé en devant de corps de ferme[16] ; Il fut un temps le siège de Alexandre Dreux, acquis par la Compagnie des mines de Saint-Avold qui en a fait le siège de sa direction de Folschviller[16]. Il est ensuite devenu centre socio-culturel, reconverti en centre de formation et de loisirs du comité d’entreprise des H .B.L et enfin dernièrement acquis par les établissements Neuhauser[16].

    • Ancienne tour d’extraction du puits I, au lieu-dit Cité Fürst, devenu l'un des principaux points de repère dans le paysage. Il s'agit de l'unique tour d'extraction en forme de "marteau" de la région Grand Est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [24].
    • La fresque souvenir de Daniel Ollagnier[25]
    Monument aux morts de Folschviller

    Édifices religieux

    • Église Paroissiale Notre-Dame-de-la-Nativité (1833[26] ; dont le chœur fut détruit en 1830 et reconstruit (et béni en 1832) ; alors que la nef détruite fut reconstruite en 1833. Le clocher ayant quant à lui été détruit et reconstruit en 1863. La sacristie actuelle date de 1888. L'église contient un autel en bois doré installé en 1765, créé par Jean-Bernard Meiling[27] et provenant des bénédictines de Saint-Avold, une Vierge à l’Enfant[28], un retable en pierre polychrome XVe siècle, une chapelle funéraire édifiée pour les curés de la paroisse durant la seconde moitié du XIXe siècle.L'orgue est de Haerpfer-Erman et de Théo Haerpfer[29] ;
    • Église Saint-Jean-Bosco au Cité-Furst (1955), abritant une Vierge à l'Enfant du XVIIIe siècle et un orgue de Haerpfer-Erman[30] ;
    • Chapelle des Quatorze-Saints-Auxiliaires (terminée en 1787)[31] ;
    • Chapelle funéraire[32],[33] ;
    • Oratoire devant l'église ;
    • Monument aux morts[34],[35].

    Equipements sportifs

    • stade de la Mine
    • gymnase du centre Marcel Martin
    • complexe de tennis (1 terrain intérieur et 2 terrains extérieur)
    • parcours de santé et sentiers de randonnées balisés dans la forêt de Fürst

    Équipements culturels

    Enseignement

    • Écoles maternelles du Centre et Les P'tits Galibots
    • École élémentaire du Centre
    • Collège Alexandre Dreux qui accueille les élèves de Folschviller, Valmont, Teting-sur-Nied et Lelling

    Personnalités liées à la commune

    • Alfred Nehauser (1944-2018), entrepreneur français et fils du fondateur de la maison Nehauser spécialisée dans l'agro-alimentaire, plus précisément dans la production de pains et de viennoiseries. Son siège social et son principal site de production (filière des produits congelés) sont implantés à Folschviller.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Saint-Avold (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. J.-B. Baillière fils - L'Information historique - Vol. 37 à 38 (1975)
    14. Mémoires de l'Académie nationale de Metz, XXXIVe année (1852-1853)
    15. Les dossiers de la Société d'histoire du Pays naborien dossier no 36, consulté le 10 avril 2013.
    16. Histoire (de Folschviller), consulté 2013-04-10
    17. Ville de Folschviller - La Commune, la Mairie, consulté le 10 avril 2013.
    18. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Bulletin de la Société des sciences de Nancy, Répertoire archéologique de la Lorraine (Période Gallo-romaine), par Maurice Toussaint, Août 1950  : Voie antique Folscwiller, p.86
    23. « château de Furst », notice no IA00037017, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « Puits I Cité Fürs », notice no PA00107065, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. La fresque souvenir
    26. « Eglise paroissiale de la Nativité », notice no IA00037007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. Notice no PM57000071, base Palissy, ministère français de la Culture autel, tabernacle, 2 reliquaires (maître-autel)
    28. Notice no PM57000070, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Vierge à l'Enfant
    29. Inventaire de l'orgue de l'église paroissiale
    30. Inventaire de l'orgue de l'église Saint Jean Bosco
    31. « Chapelle des Saints-Auxiliaires », notice no IA00037008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Chapelle funéraire », notice no IA00037019, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. L'ancien cimetière
    34. Monument aux morts
    35. Le monument aux morts de la Grande Guerre
    36. Bienvenue à l'Orchestre d'Harmonie Ste Barbe de Folschwiller
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