Flers-en-Escrebieux

Flers-en-Escrebieux est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de l’agglomération du Douaisis.

Pour les articles homonymes, voir Flers et Escrebieux (homonymie).

Flers-en-Escrebieux

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Douaisis Agglo
Maire
Mandat
Jean-Jacques Peyraud
2020-2026
Code postal 59128
Code commune 59234
Démographie
Gentilé Flersois
Population
municipale
5 816 hab. (2018 )
Densité 818 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 55″ nord, 3° 03′ 48″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 43 m
Superficie 7,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Douai
Législatives Dix-septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Flers-en-Escrebieux
Géolocalisation sur la carte : Nord
Flers-en-Escrebieux
Géolocalisation sur la carte : France
Flers-en-Escrebieux
Géolocalisation sur la carte : France
Flers-en-Escrebieux
Liens
Site web https://www.flers-en-escrebieux.fr/

    Les habitants de la commune sont les Flersois.

    Géographie

    Localisation

    Flers-en-escrebieux est une commune des Hauts de France, située entre Douai et Auby le long de l’autoroute A21 qui relie Aix-Noulette à Douchy-les-Mines. Son altitude moyenne est de 23 mètres environ[1].

    La gare de Pont-de-la-Deûle, sur la ligne de Paris-Nord à Lille, qui se trouve dans la commune, est desservie par le réseau TER Hauts-de-France et permet de relier Lille, Douai et Valenciennes. Depuis la gare de Douai on peut prendre un TGV, et se rendre à Paris en 1 heure, Bruxelles en 1 heure 40.

    La commune possède deux lignes de bus, l’une reliant le centre commerciale Carrefour Flers à Douai et la seconde reliant Douai à Roost-Warendin.

    Hameaux et écarts

    À l’origine trois hameaux distincts, Flers centre, Pont de la Deûle et le Villers aujourd’hui ces hameaux ont été rattachés par Flers-en-Escrebieux .

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de
    Flers-en-Escrebieux
    Courcelles-lès-Lens Auby
    Esquerchin Roost-Warendin
    Lauwin-Planque Douai

    Hydrographie

    La commune est

    • Traversée par l'Escrebieux, affluent de la Scarpe.
    • La Rache, délimite la commune passe par le quartier de Pont de la Deûle limitrophe avec les villes de Auby et Roost-Warendin.
    • Le Fossé de Noire Bredis, délimite la commune par le nord, ce cours d’eau passe dans le parc des Près Loribe
    • le canal de la dérivation de la Scarpe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 682 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 716,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Flers-en-Escrebieux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[18] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34 %), terres arables (33,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de Flers est attesté au Xe siècle. Le déterminant complémentaire de en-Escrebieux, rivière qui traverse la ville du même nom, fut ajouté au début du XXe siècle.

    En 1938, Flers est renommée en Flers-en-Escrebieux[25].

    Histoire

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    Flers-en-Escrebieux est depuis longtemps habité. Lors de fouilles archéologiques sur la commune des objets préhistoriques ont été retrouvés. Le plus ancien objet a été découvert en 1884, il s’agit d’une hache de silex poli ou de bronze, emmanché d’un bois de cerf. D’autres objets ont été découverts datant d'avant la création de la ville comme des vases et une urne romaine, un cimetière Gallo-Romain et une nécropole Mérovingienne datant des VIe et VIIe siècles.

    Flers fut fondée en 972. La commune était un bourg de terre agricole et de marais.

    Au Moyen Âge, la superficie de la commune était plus importante, à cette époque Flers comprenait Lauwin (aujourd’hui Lauwin Planque), Le Bellou aujourd'hui disparu, Auby et le hameau de Bellefouriére aujourd’hui rattaché à la ville de Roost-Warendin. Ce territoire de Flers était découpé en 6 seigneuries, 3 laïques et 3 religieuses.

    Au XVIIe siècle, pendant des guerres de Révolution qui opposaient les Français aux Espagnols, Flers fut saccagé par ces deux armées.

    En 1710 lors du siège de Douai pendant la guerre de succession d’Espagne, Flers fut pillée par l’armée française du roi Louis XIV.

    Grâce à la création de réseaux de drainage (fossés et aqueducs) la superficie marécageuse se fut de plus en plus petite au fil des siècles et laissa de plus en plus de terre exploitables.

    Charbonnage à Pont de la Deûle

    Au cours des XIXe et XXe siècles, deux nouveaux hameaux voient le jour: Pont de la Deûle et le Villers. Ces hameaux se développent grâce à l’activité de l’industrie charbonnière, en ce qui concerne Pont de la Deûle, grâce au chemin de fer, dont la ligne de Paris-Nord à Lille ouvre en 1846 et à l'exploitation minière (Compagnie des mines de l'Escarpelle) en plus des houillères , de ses canaux et de son marché.

    Pendant la Première Guerre mondiale, la ville subit de nombreux dégâts. L’église de la commune est complètement détruite et de nombreuses habitations fut aussi ravagée .

    Pendant l’entre deux guerres, une reconstruction de la ville fut engagée. Entre 1923 et 1926, l’église fut entièrement reconstruite.

    Pendant la seconde guerre mondiale, comme dans beaucoup de villes et de villages, de nombreuses personnes ont fait acte de résistance. De nombreux flersois et flersoises ont été déportés ou fusillés pendant cette guerre pour des faits de résistance. Des habitants du hameau de Pont de la Deule ont écrit une musique sur le sujet de l’occupation autour du piano d’un bar de ce hameau.

    En 1974, l'Imprimerie nationale installe un site sur la commune de Flers-en-Escrebieux

    En 1983, l’enseigne Rond-point s’implante sur la commune et quelques années plus tard, Carrefour rachète l'enseigne dans la région et crée une zone commerciale autour de son magasin.

    Depuis les années 2000, la création d’une Zone d’Activité a vu le jour sur la commune, à proximité de l’autoroute et des marais des Prés Loribe

    Le parc éolien de l'Escrebieux, également sis sur Esquerchin et Courcelles-lès-Lens, est construit à partir d'octobre 2020 pour une mise en service en 2021[26]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dix-septième circonscription du Nord.

    Elle faisait partie de 1801 à 1991 du canton de Douay-Ouest, année où elle intègre le canton de Douai-Nord-Est[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Douai.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération du Douaisis, créée en 2002, et qui a pris en 2019 le nom de communication de Douaisis Agglo.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 561 inscrits, dont 1 256 votants (35,27 %), 33 votes blancs (2,63 %) et 1 133 suffrages exprimés (90,21 %). La liste conduite par Jean-Jacques Peyraud, étiquetée divers droite, menée par le maire sortant recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29][source insuffisante]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1792 août 1803 Louis Marquette    
    août 1803 avril 1805 Pierre Joseph Raoult    
    avril 1805 juin 1816 Charle Desmontier    
    juin 1816 août 1825 François Delattre    
    août 1825 décembre 1826 Pierre Phillipe Carmin    
    décembre 1826 septembre 1830 Ghislain Marquette    
    septembre 1830 janvier 1835 Philipe Charles Desmoutier    
    janvier 1835 juillet 1852 Ghislain Marquette    
    juillet 1852 août 1860 Clovis Aligard    
    août 1860 janvier 1873 Grégoire Marquette    
    février 1873 mai 1888 Albert Carlier    
    mai 1888 mai 1896 Alexandre Marquette    
    mai 1896 avril 1898 Mary Amard Voreux    
    juin 1898 mai 1900 Alphonse Pasquet    
    mai 1900 juillet 1903 Benjamin Sellier    
    juillet 1903 mai 1904 Eugène Tilmant    
    mai 1904 septembre 1914 Alphonse Pasquet    
    septembre 1914 janvier 1919 Louis Carlier   Nommé maire provisoire en raison de la mobilisation du maire titulaire
    janvier 1919 décembre 1919 Alphonse Pasquet    
    décembre 1919 octobre 1944 Ernest Danat   13 octobre 1944 : Dissolution du Conseil Municipal,
    installation d’une délégation Municipale
    octobre 1944 mai 1945 Maurice Dapvril SFIO Président de la Délégation Municipale
    mai 1945 octobre 1947 Alfred Stiévenard    
    octobre 1947 mars 1959 Henri Dapvril    
    mars 1959 décembre 1972 Maurice Dapvril SFIO-PS Conseiller général de Douai-Ouest (1967 → 1972)
    Décédé en fonctions
    janvier 1973 mars 1977 Pierre Pruvost    
    mars 1977 mars 1985[Note 7] René Arquin PS Démissionnaire
    avril 1985 mars 1989 Agnès Moinardeau    
    mars 1989 En cours
    (au 2 mars 2019)
    Jean-Jacques Peyraud UMPLR Cadre supérieur hospitalier retraité
    Conseiller régional des Hauts-de-France (2015[30] → )
    Vice-président de Douaisis Agglo (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020[31]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2018, la commune comptait 5 816 habitants[Note 8], en diminution de 0,72 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    701687763794916922947954958
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9941 0241 1491 1451 2551 4241 8312 0522 504
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9793 1824 0483 9745 7736 3156 0866 0436 432
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6 1326 6756 4315 4915 3445 5405 3665 3425 769
    2017 2018 - - - - - - -
    5 8565 816-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges
    Pyramide des âges à Flers-en-Escrebieux en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,9 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,6 
    9,2 
    60 à 74 ans
    11,4 
    21,9 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,3 
    30 à 44 ans
    18,9 
    20,5 
    15 à 29 ans
    20,0 
    22,1 
    0 à 14 ans
    20,0 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Economie et industrie

    Industrie

    • Depuis 1974, important site de INGroupe (ex-Imprimerie Nationale), consacré aux titres et plateformes sécurisés (env. 600 p. en 2019)[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Le géant

    Comme beaucoup de villes dans le Nord, Flers-en-Escrebieux possède son géant depuis le 24 mai 1988, il se prénomme Euch Tondier , il a été conçu par des employés communaux de la ville. Euch Tondier mesure 5,15 m et pèse 140 kilos[42]. On trouve également l'orthographe Ch'Tondier[43].

    Héraldique

    Les armes de Flers-en-Escrebieux se blasonnent ainsi : "D'argent au chevron de gueules, accompagné d'un annelet du même en pointe" .

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. À la demande de la fédération PS du Nord, René Arquin est poussé à la démission « A Flers-en-Escrebieux (Nord), c'est à la demande de ta fédération du Nord du PS que le maire, M. René Arquin, a démissionné, à la suite de rumeurs selon lesquelles il aurait lourdement endetté sa commune et touché des pots-de-vin. M. Arquin affirme que ta seconde accusation est sans fondement et que les dettes contractées par la commune sont presque totalement remboursées »
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Présentation de Flers-en-Escrebieux », sur https://www.flers-en-escrebieux.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Douai - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Flers-en-Escrebieux et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Flers-en-Escrebieux et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Julien Gilman, « Le chantier du parc éolien de l'Escrebieux débute le 5 octobre », La Voix du Nord, no 24360, , p. 10 (lire en ligne).
    27. « Élections municipales, Flers-en-Escrebieux », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
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    31. « Jean-Jacques Peyraud comme au premier jour : Le maire a retrouvé son fauteuil faisant preuve du même enthousiasme qu’à ses débuts », L'Observateur du Douaisis, no 587, , p. 16.
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    41. « Un documentaire et un dictionnaire biographique des 9 000 déportés au camp de Dora édités par la Coupole d’Helfaut : Jeudi, sur l’écran géant du dôme du planétarium, élus, responsables de la Coupole, invités, enfants de déportés se sont souvenus du voyage de quatre jours effectué en octobre à Dora, en Allemagne », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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