Faverolles-sur-Cher

Faverolles-sur-Cher est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Faverolles.

Faverolles-sur-Cher

Église Saint Aubin à Faverolles-sur-Cher.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Romorantin-Lanthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val-de-Cher-Controis
Maire
Mandat
Olivier Racault
2020-2026
Code postal 41400
Code commune 41080
Démographie
Gentilé Faverollais
Population
municipale
1 387 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 20″ nord, 1° 11′ 11″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 146 m
Superficie 15,51 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montrichard Val de Cher
(banlieue)
Aire d'attraction Montrichard Val de Cher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montrichard
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : France
Faverolles-sur-Cher
Géolocalisation sur la carte : France
Faverolles-sur-Cher
Liens
Site web http://www.faverollessurcher.fr/

    Localisée au sud-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « les Plateaux bocagers de la Touraine méridionale », regroupant des milieux très hétérogènes, plateau dénudé de Pontlevoy, vallée du Cher bordée de coteaux de vignes et aspects de gatine au-delà. Elle est drainée par le Cher, l'Aiguevives le Senelles et par divers petits cours d'eau.

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est toutefois recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 14 en 1988, à 17 en 2000, puis à 11 en 2010.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : la chapelle du prieuré de Belvau, inscrite en 2006, et l'abbaye Notre-Dame d'Aiguevive, classée en 1875.

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Faverolles-sur-Cher se trouve au sud-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole des Plateaux bocagers de la Touraine méridionale[1],[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 31,5 km de Blois[3], préfecture du département, à 42,6 km de Romorantin-Lanthenay[4], sous-préfecture, et à 2,5 km de Montrichard Val de Cher, chef-lieu du canton de Montrichard dont dépend la commune depuis 2015[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montrichard[6].

    Les communes les plus proches sont[7] : Saint-Julien-de-Chédon (2,4 km), Montrichard (2,5 km), Chissay-en-Touraine (km), Bourré (4,3 km), Saint-Georges-sur-Cher (4,3 km), Angé (4,6 km), Chisseaux (6,7 km, Indre-et-Loire), Céré-la-Ronde (km, Indre-et-Loire) et Épeigné-les-Bois (7,1 km, Indre-et-Loire).

    Paysages et relief

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[8]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[9]. La commune fait partie de deux unités de paysage : les « coteaux du Cher » et « le Cher urbanisé de Montrichard », dans « la vallée du Cher »[10].

    Les coteaux du Cher, plus vastes que la simple marge de la vallée, s'étendent sur une épaisseur de 4 à 8 kilomètres en moyenne pour une longueur totale de 25 kilomètres environ. Ils s'organisent en une succession de collines et de vallées qui prennent leurs sources sur la crête dessinée par la confluence de l'Indre et du Cher[11].

    Autour de Montrichard Val de Cher, la vallée du Cher présente un fond relativement plat et régulier, ondulant légèrement en vis-à-vis de la ville. La rivière s'écoule lentement, formant quelques îles comme l'Île Picard ou l'Île de la Salle, toujours verdoyantes. Les berges restent assez difficiles à longer bien que quelques chemins donnent accès au bord de l'eau[12].

    L'altitude du territoire communal varie de 57 mètres à 146 mètres[13],[14].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Faverolles-sur-Cher.

    La commune est drainée par le Cher (2,361 km), l'Aiguevives le Senelles et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13,94 km de longueur totale[15].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source dans la commune de Mérinchal (Creuse) et se jette dans la Loire à Cinq-Mars-la-Pile (Indre-et-Loire), après avoir traversé 117 communes[16]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[17].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5 °C : 2,8 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 712 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée[18].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent 6 variables pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[18]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Faverolles-sur-Cher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montrichard Val de Cher, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[25] et 7 630 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montrichard Val de Cher dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Faverolles-sur-Cher.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (89,5 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (23,4 %), cultures permanentes (20 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (8,3 %), forêts (18,4 %), zones urbanisées (10 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), eaux continentales (1,2 %)[15].

    Planification

    En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[30]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis a été prescrit le [31].

    Habitat et logement

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Faverolles-sur-Cher en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (8,7 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,4 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

    Le logement à Faverolles-sur-Cher en 2016.
    Faverolles-sur-Cher[32] Loir-et-Cher[33] France entière[34]
    Résidences principales (en %) 84,5 74,5 82,3
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,7 18 9,6
    Logements vacants (en %) 6,8 7,5 8,1

    Risques majeurs

    Le territoire communal de Faverolles-sur-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Cher ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques : le risque industriel et le transport de matières dangereuses[35],[36].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Faverolles-sur-Cher.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains[35]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[37]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[38].

    Les crues du Cher sont moins importantes que celles de la Loire, mais elles peuvent générer des dégâts importants. Les crues historiques sont celles de 1856 (5 m à l'échelle de Noyers-sur-Cher), 1940 (4,03 m) et 1977 (3,58 m). Le débit maximal historique est de 1 560 m3/s et caractérise une crue de retour supérieur à cent ans pour Montrichard Val de Cher[39]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du Cher[40].

    Risques technologiques

    Storengy, société spécialisée dans le stockage de gaz souterrain à Céré-la-Ronde (Indre-et-Loire), est une entreprise de statut Seveso seuil haut[41]. À ce titre, en cas d'accident, elle représente un risque majeur pour l'environnement qui doit être pris en compte dans les documents d'urbanisme. Un Plan de prévention des risques technologiques a été élaboré et approuvé à cet effet[42].

    Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[43].

    Toponymie

    Dérivé de latin faba (fève), donc « champ où l'on cultive des fèves ».

    Histoire

    L'histoire de la commune est liée à celle du chef-lieu Montrichard, mais elle a aussi son histoire propre : la construction de l'abbaye d'Aiguevives (XIIe siècle) sur son territoire.

    Nouvelle organisation territoriale

    Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[44], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Faverolles-sur-Cher devient formellement « commune de Faverolles-sur-Cher »[44],[45].

    En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Montrichard et au district de Saint Aignan[45]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[46],[47]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795), supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[46]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[48]. Faverolles-sur-Cher est alors rattachée au canton de Montrichard et à l'Arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[49],[45],[50]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

    Époque contemporaine

    Entre les 29 janvier et 8 février 1939, plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent dans le Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[51], dont Faverolles-sur-Cher[52]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[53]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[54].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Faverolles-sur-Cher est membre de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [55].

    Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[6], en tant que circonscriptions administratives[6]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montrichard depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[56] et à la Première circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[57].

    Conseil municipal et maire

    Le conseil municipal de Faverolles-sur-Cher, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel plurinominal avec prime majoritaire[58]. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[59].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 2021
    (décès)
    Bernard Girault[60],[61]   Ancien ouvrier
    Avril 2021 En cours Olivier Racault DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[62].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[63].

    Alimentation en eau potable

    Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[64]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Montrichard qui assure le service en régie[65].

    Assainissement des eaux usées

    En 2019, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Faverolles-sur-Cher est assurée par le syndicat Intercommunal d'Assainissement de l'Agglomération de Montrichard qui a le statut de régie à autonomie financière[66]. Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[67] : « La Larderie », un équipement utilisant la technique du filtre biologique, dont la capacité est de 70 EH , mis en service le [68].

    Sécurité, justice et secours

    La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Montrichard-Val-de-Cher qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[69].

    En matière de justice, Faverolles-sur-Cher relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[70], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[71].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[73].

    En 2018, la commune comptait 1 387 habitants[Note 6], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Loir-et-Cher : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    374359455497532562568630643
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    663706741783758808817784785
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    787728666662663675643645835
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    7907628071 0081 0561 1201 2181 2811 327
    2018 - - - - - - - -
    1 387--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[74] puis Insee à partir de 2006[75].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,7 % d'hommes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 12,2 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 27,4 %) ;
    • 51,3 % de femmes (0 à 14 ans = 18,9 %, 15 à 29 ans = 11,7 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 29,7 %).
    Pyramide des âges à Faverolles-sur-Cher en 2007 en pourcentage[76]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    0,6 
    9,8 
    75 à 89 ans
    10,8 
    17,1 
    60 à 74 ans
    18,3 
    20,8 
    45 à 59 ans
    19,2 
    21,3 
    30 à 44 ans
    20,5 
    12,2 
    15 à 29 ans
    11,7 
    18,3 
    0 à 14 ans
    18,9 
    Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2007 en pourcentage[77]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,3 
    75 à 89 ans
    11,5 
    14,8 
    60 à 74 ans
    15,7 
    21,4 
    45 à 59 ans
    20,6 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,2 
    15 à 29 ans
    14,7 
    18,5 
    0 à 14 ans
    16,7 

    Économie

    Secteurs d'activité

    Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Faverolles-sur-Cher selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[78] :

    Établissements actifs par secteur d'activité au .
    total % com (% dep[79]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
    Ensemble 88 100,0 (100) 64 19 3 1 1
    Agriculture, sylviculture et pêche 11 12,5 (11,8) 7 3 1 0 0
    Industrie 3 3,4 (6,5) 2 1 0 0 0
    Construction 9 10,2 (10,3) 9 0 0 0 0
    Commerce, transports, services divers 57 64,8 (57,9) 41 13 2 1 0
    dont commerce et réparation automobile 17 19,3 (17,5) 10 5 1 1 0
    Administration publique, enseignement, santé, action sociale 8 9,1 (13,5) 5 2 0 0 1
    Champ : ensemble des activités.

    Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (57 entreprises sur 88) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (12,5) %, il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 88 entreprises implantées à Faverolles-sur-Cher en 2016, 64 ne font appel à aucun salarié, 19 comptent 1 à 9 salariés, 3 emploient entre 10 et 19 personnes.1 emploie entre 20 et 49 personnes.

    Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[80]

    Agriculture

    En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[81]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[82]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 34 en 1988 à 17 en 2000 puis à 11 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 23 ha en 1988 à 45 ha en 2010[81]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Faverolles-sur-Cher, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l'agriculture à Faverolles-sur-Cher (41) entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[81]
    Nombre d'exploitations (u) 34 17 11
    Travail (UTA) 54 36 41
    Surface agricole utilisée (ha) 772 486 495
    Cultures[83]
    Terres labourables (ha) 474 341 398
    Céréales (ha) 317 194 225
    dont blé tendre (ha) 104 180 184
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 53 s s
    Tournesol (ha) 48 s
    Colza et navette (ha) 34 80 91
    Élevage[81]
    Cheptel (UGBTA[Note 7]) 231 159 286

    .

    Produits labellisés

    La commune de Faverolles-sur-Cher est située dans l'aire de l'appellation d'origine protégée (AOP)[Note 8] de cinq produits[84] : deux fromages (le Sainte-maure-de-touraine[85] et le Selles-sur-cher[86]) et trois vins (le crémant-de-loire[87], le rosé-de-loire[88] et le Touraine[89]).

    Le territoire de la commune est également intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : les rillettes de Tours[90], le vin Val-de-loire[91] et les volailles de l’Orléanais[92],[84].

    Culture locale et patrimoine

    Héraldique

    Les armoiries de Faverolles-sur-Cher se blasonnent ainsi :

    D'azur à la tige de trois gousses de fèves accostée en chef de deux étoiles et soutenue d'un croissant le tout d'or.

    Ce sont les armes de la famille Faverolles, seigneurs du lieu au XVe siècle. Adoptées en 1993.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans, permettant de caractériser le climat sur cette période et servant de référence.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    8. Nomenclature européenne, appellation d'origine contrôlée (AOC) dans la nomenclature française.

    Références

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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui - Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4)

    Articles connexes

    Liens externes

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