Épeigné-les-Bois
Épeigné-les-Bois est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Épeigné.
Épeigné-les-Bois | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Loches | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Bléré Val de Cher | ||||
Maire Mandat |
Jean Candiago 2020-2026 |
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Code postal | 37150 | ||||
Code commune | 37100 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Épeignois | ||||
Population municipale |
410 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 16′ 52″ nord, 1° 06′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 141 m |
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Superficie | 14,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Georges-sur-Cher (banlieue) |
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Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bléré | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | epeigne-les-bois.fr | ||||
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Épeigné-les-Bois est une commune rurale appartenant au canton de Bléré. Elle est située à l'est du département d'Indre-et-Loire, en limite du Loir-et-Cher, à 12 km de Bléré et à 39 km de Tours.
Les communes limitrophes d'Épeigné-les-Bois sont Francueil, Luzillé, Le Liège et Céré-la-Ronde pour l'Indre-et-Loire et Saint-Georges-sur-Cher pour le Loir-et-Cher. La commune fait partie de l'aire urbaine de Saint-Georges-sur-Cher, du bassin d'emploi de Tours et du bassin de vie de Montrichard Val de Cher[1].
Géologie et relief
Le tuffeau jaune turonien (C3c) qui constitue l'assise du sous-sol d'Épeigné n'affleure pas sur le territoire, exception faite de l'extrême sud de la commune. Il est en effet recouvert par la strate des argiles à silex sénoniennes (c4-6S), parfois épaisse d'une vingtaine de mètres. Même dans la vallée du ruisseau de Chézelles, les colluvions de pente alimentées par ces argiles ont recouvert le calcaire dans lequel le ruisseau a creusé son lit. Ces argiles sont à leur tour recouvertes, à l'ouest et à l'est, de limons des plateaux éoliens apportés au Quaternaire. Des alluvions modernes et récentes couvrent la vallée du ruisseau de Chézelles[2]. Le territoire d'Épeigné-les-Bois est constitué d'un plateau incliné de l'est (altitude maximale de 141 m à la limite de Céré-la-Ronde et Saint-Georges-sur-Cher) vers l'ouest (115 à 120 m). Il est entaillé du sud au nord par le ruisseau de Chézelles, dans la vallée duquel se trouve l'altitude minimale de la commune (71 m) en limite de Saint-Georges-sur-Cher.
En forme de trapèze isocèle allongé dont la grande base est orientée du nord-est au sud-ouest, l'aire communale est de 1 452 ha, dans la moyenne nationale (1 488 ha[3]).
Hydrographie
Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,17 km, comprend un cours d'eau notable, le Chézelles (4,924 km), et trois petits cours d'eau pour certains temporaires[4],[5].
Le Chézelles, d'une longueur totale de 16,8 km, prend sa source dans la commune de Céré-la-Ronde et se jette dans le Cher à Saint-Georges-sur-Cher (Loir-et-Cher), après avoir traversé 4 communes[6]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Chézelles est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[8].
Deux zones humides[Note 2] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau de Chézelles de Richemont à Epeigné-les-Bois » et « la vallée du Ruisseau de Chézelles d'Epeigné-les-Bois à la Ronde »[9],[10].
Climat
La commune d'Épeigné-les-Bois est soumise, comme l'ensemble des communes d'Indre-et-Loire, à un climat tempéré océanique dit dégradé[11], caractérisé par des températures clémentes, même en hiver. Aucun mois n'est véritablement sec, les précipitations mensuelles moyennes étant toujours supérieures à 40 mm. La proximité de la vallée du Cher contribue au lissage des variations climatiques mais les légers reliefs boisés (hauteurs de Céré-la-Ronde à l'est) semblent suffisants pour créer un obstacle aux masses d'air atlantiques, conférant à cette partie de l'Indre-et-Loire une pluviométrie un peu plus importante que celle enregistrée dans le reste de la Touraine[12].
Paysages naturels et biodiversité
Les bois sont toujours très présents sur le territoire, occupant à la fin des années 1980 plus du tiers de la superficie communale. Les terres agricoles sont principalement vouées aux céréales et dans une moindre mesure à l'élevage, bien qu'au nord de la commune apparaissent les premières parcelles des vignobles de la vallée du Cher[13]
Urbanisme
Typologie
Épeigné-les-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-sur-Cher, une agglomération inter-départementale regroupant 3 communes[17] et 4 241 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), forêts (22 %), prairies (9,7 %), cultures permanentes (6,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Morphologie urbaine
Le bourg est groupé autour de l'église (XIIe et XIIIe siècles) sur la rive gauche du ruisseau, sur une pente douce. Seuls quelques hameaux constituent des noyaux secondaires d'habitat[13]. La proximité de sites touristiques majeurs (Amboise, château de Chenonceau) fait qu'Épeigné-les-Bois est une commune où, en 2015, 16 % des habitations sont des résidences secondaires[13],[24].
Voies de communication et transports
La principale route traversant le territoire d'Épeigné-les-Bois est la D 81 qui relie le château de Chenonceau au nord-ouest à Céré-la-Ronde puis Orbigny au sud-est en passant par le centre-bourg. Une autre route relie le bourg d'Épeigné à Saint-Georges-sur-Cher au nord et Le Liège au sud. L'autoroute A 85 Angers-Vierzon traverse, depuis décembre 2007, le nord d'Épeigné-les-Bois d'ouest en est mais aucune sortie n'existe sur le territoire communal.
Épeigné dispose de trois sentiers de randonnée : 6, 9 et 12 km. Le plus long conduit les randonneurs au château de Montpoupon à Céré-la-Ronde.
La commune n'est pas directement desservie par un réseau de transports en commun. Il faut gagner Montrichard Val de Cher, tête de la ligne C du réseau Rémi pour l'Indre-et-Loire vers Amboise et Tours[25]. Il est également possible de rejoindre Saint-Georges-sur-Cher où la ligne 6 du réseau Rémi pour le Loir-et-Cher permet d'aller à Blois[26].
Toponymie
Le toponyme se rencontre en 816 sur un diplôme de Louis le Pieux sous la forme Spaniacum. Il est formé du cognomen romain Hispanus et du suffixe -acum d'origine gauloise fréquemment utilisé pour former des noms de domaines. C'est donc le « domaine d'Hispanus »[27].
Histoire
Des outils néolithiques en silex et un polissoir sont de rares indices d'une présence humaine à l'époque préhistorique sur le territoire d'Épeigné. Des toponymes comme « le Fourneau » évoquent peut-être des activités métallurgiques protohistoriques ou antiques[13].
Au IXe siècle, Épeigné est un fief du château d'Amboise et une paroisse rattachée à l'abbaye Saint-Sauveur de Villeloin[28]. C'est probablement au cours du XIe siècle que les moines de cette abbaye font procéder au défrichement des terres les plus fertiles[13]. Un prieuré dédidé à Martin de Tours est fondé dans le bourg, près de l'église, à une date indéterminée mais bien antérieure à sa première mention dans les textes en 1326. Les moines de ce prieuré contrôlent alors le moulin établi sur le ruisseau de Chézelles au niveau du bourg[29].
La Première et la Seconde Guerre mondiale font respectivement 29 et 4 victimes parmi les combattants originaires d'Épeigné-les-Bois[30]
Politique et administration
Population et société
Les habitants d'Épeigné-les-Bois se nomment les « Épeignois »[27].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2018, la commune comptait 410 habitants[Note 5], en diminution de 5,96 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Les communes d'Épeigné-les-Bois et de Luzillé ont créé un regroupement pédagogique intercommunal pour les enfants des deux communes scolarisés en primaire. L'école maternelle est installée à Épeigné-les-Bois et l'école élémentaire à Luzillé[36].
La carte scolaire départementale prévoit la scolarisation des étudiants d'Épeigné-les-Boi dans le collège du Reflessoir de Bléré et le lycée Léonard-de-Vinci d'Amboise[37].
Santé et services d'urgence
Aucun professionnel de santé n'est installé à Épeigné-les-Bois. Les médecins généralistes les plus proches exercent à Luzillé ou Saint-Georges-sur-Cher.
L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier intercommunal Amboise - Château Renault à Amboise[38].
Économie
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Épeigné-les-Bois selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[39] :
Total | % | 0 salarié |
1 à 9 salariés |
10 à 19 salariés |
20 à 49 salariés |
50 salariés ou plus | |
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Ensemble | 42 | 100,0 | 34 | 7 | 1 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 9 | 21,4 | 9 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 4 | 9,5 | 2 | 1 | 1 | 0 | 0 |
Construction | 2 | 4,8 | 1 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 23 | 54,8 | 20 | 3 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 2 | 4,8 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 4 | 9,5 | 2 | 2 | 0 | 0 | 0 |
Champ : ensemble des activités. |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Aignan date du IXe siècle. La paroisse appartenait en 816 à l'abbaye de Villeloin. Le chœur voûté en cul-de-four et le croisillon nord en berceau remontent au XIIe et XIIIe siècles. La nef, particulièrement étroite, est divisée en deux travées carrées à six voûtes d'un type rare. À l'entrée du chœur, près de la statue de saint Vincent, se trouve la corne du saint, haute d'environ 2 mètres. Le prieuré accolé à l'église a été très remanié.
En contrebas de l'église, un escalier donne accès à un souterrain avec une source aux vertus réputées curatives (source Saint-Aignan). L'église et cette crypte constituent des points d'intérêt complémentaire pour les touristes, français ou étrangers, qui viennent visiter le château de Chenonceau[29].
Place de l'église se trouve une maison couverte d'un toit à l'impériale. Par sa forme en nef renversée et la disposition de ses ardoises, il ressemble à la toiture du bâtiment des dômes du château de Chenonceau.
Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Fiche communale - Épeigné-les-Bois », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Saint-Aignan » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
- Christophe Meunier, Géographie : Professeur des écoles : Oral, admission - CRPE 2017, Dunod, , 256 p. (ISBN 978-2-10-075579-0, lire en ligne), p. 73.
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Épeigné-les-Bois », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Chézelles », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- « Les climats du monde », sur le site de l'encyclopédie Larousse (consulté le ).
- Pierre Leveel, Histoire de Touraine et d'Indre-et-Loire, Chambray-lès-Tours, CLD, , 991 p. (ISBN 978-2-85443-157-5), p. 20.
- Couderc 1987, p. 385.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-sur-Cher », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « LOG T2 - Catégories et types de logements à Épeigné-les-Bois (37) au 31 décembre 2015 », sur Le site de l'Insee (consulté le ).
- « Plan du réseau 37 » [PDF], sur le site du Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
- « Plan du réseau 41 » [PDF], sur le site du Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 115.
- Ranjard 1949, p. 352.
- Couderc 1987, p. 386.
- « Épeigné-les-Bois, monument aux morts (Relevé n° 14102) », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
- « Jean Candiago bouveau maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, , p. 16.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Les écoles », sur le site de Luzillé (consulté le ).
- « Zones de recrutement des collèges et des lycées - département d'Indre-et-Loire » [PDF], sur le site de l'académie d'Orléans-Tours (consulté le ), p. 22.
- « Trouver un établissement », sur Hopital.fr, un site de la Fédération hospitalière de France (consulté le ).
- « CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité à Épeigné-les-Bois (37) au 31 décembre 2015 », sur Le site de l'Insee (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, CLD, , 967 p. (ISBN 978-2-85443-136-0).
- Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. I, Paris, Flohic, , 1406 p. (ISBN 2-84234-115-5).
- Robert Ranjard, La Touraine archéologique : guide du touriste en Indre-et-Loire, Mayenne, Imprimerie de la Manutention, (réimpr. 1986), 3e éd., 733 p. (ISBN 2-85554-017-8), p. 670-671.
Articles connexes
Liens externes
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